Rejoignez-nous

International

Frappes israéliennes incessantes sur Gaza, Netanyahu sous pression

Publié

,

le

Israël poursuit ses frappes sur la bande de Gaza, ici un bâtiment situé dans le camp de réfugiés de Nuseirat, touché dimanche par une frappe. (© KEYSTONE/AP/Ismael Abu Dayyah)

Des avions de combat et des hélicoptères de l'armée israélienne ont mené d'intenses frappes sur la bande de Gaza lundi avant l'aube, au huitième mois de guerre entre Israël et le Hamas. Elle a entraîné un nouveau déplacement de centaines de milliers de Palestiniens.

Alors qu'aucune perspective d'une fin des hostilités n'est en vue, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, est sous pression pour préparer une stratégie pour l'avenir de la bande de Gaza assiégée, dévastée par les bombardements et les combats et menacée de famine.

Dans ce contexte, le mouvement islamiste Hamas a perdu un grand allié à la cause palestinienne, le président iranien Ebrahim Raïssi, tué dans un accident d'hélicoptère dimanche dans le nord-ouest du pays.

C'est sous sa présidence que l'Iran a mené le 13 avril une attaque sans précédent contre Israël, son ennemi juré, lançant 350 drones et missiles, dont la plupart ont été interceptés, en représailles à une frappe meurtrière contre le consulat iranien à Damas.

"Raids ciblés"

Dans le nord de la bande de Gaza, des avions militaires ont mené avant l'aube des frappes sur les quartiers de Zeitoun et Sabra dans la ville de Gaza, et l'une d'elles a touché une maison, selon des correspondants de l'AFP et des médecins. Des hélicoptères ont bombardé le camp de réfugiés de Jabalia, où les combats se poursuivent après que l'armée a dit que le Hamas avait repris pied.

Dans le centre du petit territoire palestinien surpeuplé, les camps d'Al-Bureij et Deir al-Balah (centre) ont été la cible de raids aériens.

Et dans le sud, une frappe a touché une maison dans le quartier Tal al-Sultan, dans l'ouest de Rafah, faisant trois morts et huit blessés, selon des sources hospitalières. Rafah a été également visée par des tirs de la marine israélienne, ont indiqué des témoins.

Selon l'armée, les soldats mènent dans l'est de Rafah des "raids ciblés contre les infrastructures terroristes, éliminent l'ennemi et localisent des ouvertures de tunnels".

"Pas d'endroit sûr"

Depuis l'ordre d'évacuation de l'armée le 6 mai, à la veille de l'entrée de ses chars dans l'est de Rafah, "environ la moitié de la population de Gaza" forte de 2,4 millions d'habitants, a été "forcée de fuir" à nouveau, a affirmé dimanche Philippe Lazzarini, le patron de l'Unrwa, agence de l'ONU pour les réfugiés palestiniens.

Les déplacés affluent massivement à Khan Younès, une ville en ruines plus au nord, mais "il n'y a absolument aucun endroit sûr dans la bande de Gaza", a-t-il dit.

L'armée a intensifié ses opérations au sol principalement dans l'est de Rafah, adossée à la frontière fermée avec l'Egypte, disant vouloir y réduire les derniers bataillons du Hamas.

Dimanche à Jérusalem, le conseiller américain à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, dont le pays s'oppose comme plusieurs autres capitales à une offensive d'ampleur à Rafah, a appelé Benjamin Netanyahu à accompagner les opérations militaires d'une "stratégie politique" pour l'avenir de la bande de Gaza, où le Hamas avait pris le pouvoir en 2007.

Benny Gantz, membre du cabinet de guerre de M. Netanyahu, a lui menacé de démissionner si un "plan d'action" pour l'après-guerre à Gaza n'était pas adopté rapidement. Le ministre de la Défense, Yoav Gallant, a sommé M. Netanyahu de "préparer immédiatement" une "alternative gouvernementale au Hamas".

Le 11 mai, le chef d'état-major israélien, Herzi Halevi, a averti que démanteler le Hamas "sans mouvement diplomatique pour développer une structure de gouvernement qui ne soit pas le Hamas", équivaudrait à "un travail de Sisyphe".

Les aides quasiment à l'arrêt

Le président américain, Joe Biden, dont le pays est le principal soutien d'Israël, a de nouveau appelé à un "cessez-le-feu immédiat pour arrêter les combats et ramener les otages à la maison".

Le 7 octobre, des commandos du Hamas infiltrés de la bande de Gaza dans le sud d'Israël, ont mené une attaque qui a entraîné la mort de plus de 1170 personnes, majoritairement des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes. Sur les 252 personnes alors emmenées comme otages, 125 sont toujours détenues à Gaza, dont 37 mortes selon l'armée.

Israël a juré de détruire le Hamas, qui avait pris le pouvoir à Gaza depuis 2007, et qu'il considère comme terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne.

Son armée a lancé des bombardements intenses par air, terre et mer contre la bande de Gaza, suivis d'une offensive terrestre le 27 octobre, entraînant la mort d'au moins 35'456 personnes la plupart des civils, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement de Gaza dirigé par le Hamas et une catastrophe humanitaire.

Depuis que les soldats ont pris le 7 mai le contrôle côté palestinien du poste-frontière de Rafah avec l'Egypte, l'acheminement de l'aide humanitaire est quasiment à l'arrêt. Ce passage est crucial pour les aides dont le carburant, indispensable aux hôpitaux et à la logistique humanitaire.

Malgré les largages aériens d'aides par plusieurs pays et la jetée temporaire construite par les Etats-Unis sur la plage de Gaza, l'ONU répète que seule l'ouverture des passages routiers peut garantir les nécessaires livraisons à grande échelle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

International

L'investissement étranger direct a reculé de 8% l'année dernière

Publié

le

ONU Commerce et Développement (CNUCED) dirigée par Rebeca Grynspan à Genève anticipe une progression modérée de l'investissement étranger direct (IED) cette année dans les différents pays (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'investissement étranger direct (IED) a reculé de 8% l'année dernière, selon les estimations d'ONU Commerce et Développement (CNUCED). En associant toutefois les flux intermédiaires européens avant la destination finale des transactions, il a toutefois pris 11%.

Selon les estimations, l'IED a atteint 1400 milliards de dollars, a précisé mardi à Genève l'agence onusienne. Il a décroché de 2% dans les pays en développement, à 854 milliards de dollars, notamment en Asie occidentale et centrale et en Amérique du Sud, un problème pour honorer les Objectifs de développement durable (ODD) selon la CNUCED.

Dans les pays riches, les transactions ont reculé de 15%, à près de 530 milliards, mais elles ont progressé de 43% en considérant les flux intermédiaires européens des multinationales.

Au total, les projets d'investissements avec filiales à l'étranger ont diminué de 8% en nombre et de 7% en valeur. Les dispositifs financiers internationaux ont eux poursuivi leur recul, de 26%, leur valeur se contractant elle d'un tiers.

La situation s'est améliorée sur des thématiques comme les énergies renouvelables ou la santé, mais elle se détériore sur l'agroalimentaire ou les infrastructures. En revanche, les projets de fusion et acquisition ont eux augmenté de 2%.

Pour 2025, la CNUCED anticipe une extension modérée grâce à de meilleures conditions financières et davantage de fusions et acquisitions. Les investissements internationaux devraient progresser plus rapidement aux Etats-Unis ou dans les Etats européens, ajoute aussi l'agence onusienne. Mais tout dépendra aussi des différences entre les écosystèmes législatifs et réglementaires, a-t-elle encore dit.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Culture

A Paris, Vuitton ouvre le bal de la Fashion Week au Louvre

Publié

le

La Fashion Week masculine parisienne démarre mardi. Photo: Création de Giorgio Armani lors de la Semaine de la mode de Milan lundi. (© KEYSTONE/EPA/DANIEL DAL ZENNARO)

La Fashion Week masculine parisienne démarre mardi, avec en point d'orgue le nouveau show très attendu du créateur star Pharrell Williams pour Louis Vuitton, qui investit cette fois le Louvre en soirée.

La semaine de la mode parisienne automne-hiver 2025-2026 emboîte le pas à celle de Milan. A cause de la valse des directeurs artistiques des derniers mois, elle s'annonce un peu moins dense que l'an dernier, avec 37 défilés et 30 présentations réparties sur six jours, de mardi à dimanche.

Givenchy et Valentino manquent notamment à l'appel, leurs nouveaux créateurs préférant se réserver respectivement pour la semaine de la mode féminine en mars et celle de la haute couture.

Autre absence notable, celle de Loewe, dont le directeur artistique Jonathan Anderson serait sur le départ, selon plusieurs médias spécialisés.

Les maisons de luxe Dior Homme et Hermès, à l'instar des maisons japonaises Kenzo, Yohji Yamamoto, Issey Miyake et Mihara Yasuhiro, seront pour leur part bien présentes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Le séisme qui a frappé Taïwan a fait 27 blessés

Publié

le

Des marchandises ont été projetées au sol par les secousses dans un magasin à Tainan. (© KEYSTONE/AP)

Le tremblement de terre de magnitude 6 qui a frappé l'île de Taïwan dans la nuit de lundi à mardi, a fait 27 blessés, ont indiqué les autorités. Il n'a pas provoqué de dégâts majeurs.

Le séisme, qui a ébranlé les bâtiments de la capitale Taïpei, a été enregistré à 00h17 mardi à Taïwan. Son épicentre était situé à 12 kilomètres au nord du district de Yujing, dans le sud de l'île, selon l'institut géologique américain (USGS).

Selon les autorités locales, trois personnes dont un enfant, coincées sous les décombres de leur maison, ont été secourues par les pompiers. Les plafonds de plusieurs autres maisons se sont effondrés.

Une personne a été blessée par la chute de débris et deux personnes ont été secourues dans des ascenseurs, ont indiqué les autorités. Le ministère de la santé a indiqué que 27 personnes au total avaient été blessées.

Les pompiers du district de Nanxi ont déclaré néanmoins qu'"aucun dégât majeur" n'avait été signalé.

Usines évacuées

Le géant taïwanais des semi-conducteurs TSMC a annoncé avoir évacué les employés de certaines de ses usines du centre et du sud du pays. Dans la ville de Chiayi (sud-ouest) des images de vidéosurveillance à l'intérieur d'un magasin de noix, partagées sur le réseau social Threads et vérifiées par l'AFP, montrent des étagères se balançant sous l'effet de la secousse et des marchandises tomber au sol.

L'île Taïwan est fréquemment touchée par des tremblements de terre en raison de sa situation à la jonction de deux plaques tectoniques, près de la ceinture de feu du Pacifique, qui est, selon l'USGS, la zone la plus active au monde sur le plan sismique.

Le dernier grand tremblement de terre s'est produit en avril 2024, lorsque l'île a été frappée par une secousse meurtrière de magnitude 7,4, la plus forte depuis 25 ans, selon les autorités. Au moins 17 personnes avaient été tuées dans ce séisme, qui avait provoqué des glissements de terrain et gravement endommagé des bâtiments autour d'Hualien, dans l'est de l'île.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

En proie aux feux, Los Angeles s'inquiète de vents "critiques"

Publié

le

Les feux à Los Angeles ont fait depuis le 7 janvier au moins 27 morts, détruit près de 16'000 hectares et dévasté certains quartiers (archives). (© KEYSTONE/AP/Richard Vogel)

Le sud de la Californie était balayé lundi par de nouveaux vents puissants, créant des conditions météorologiques "critiques" autour de Los Angeles, toujours en proie à des incendies destructeurs. Certaines rafales de vent ont la puissance d'un ouragan.

Les pompiers continuent de faire des progrès face aux flammes, qui ont fait depuis le 7 janvier au moins 27 morts, détruit près de 16'000 hectares et dévasté certains quartiers et banlieues de la mégapole américaine. Mais le danger d'une reprise n'est toujours pas écarté, à cause du retour de vents violents.

Certaines rafales ont dépassé les 140 km/h lundi, une puissance comparable à celle d'un ouragan. Combiné au manque de pluie qui assèche la région depuis huit mois, cela crée des conditions propices à la propagation du feu.

"Nous nous attendons à ce que cela continue à créer des conditions météorologiques extrêmement critiques pour les incendies dans toute la région", a expliqué Ariel Cohen, des services météorologiques américains (NWS). "Tous les incendies qui se forment peuvent croître de manière explosive. Il s'agit donc d'une situation particulièrement dangereuse", a-t-il ajouté.

Critiquées pour leur gestion de la catastrophe, les autorités ont pré-déployé des pompiers et des camions dans les zones à risques.

"Je pense que nous serons très, très bien préparés au pire scénario possible au cours des deux prochains jours et j'espère que nous n'en arriverons pas là", a assuré la maire de Los Angeles, Karen Bass.

Trump attendu sur place

L'incendie le plus important, le Palisades Fire, était contenu à 59% lundi, et les autorités ont réduit l'étendue des zones concernées par un ordre d'évacuation. L'incendie d'Eaton, qui a notamment ravagé la ville d'Altadena, au nord de Los Angeles, était lui circonscrit à 87%.

Los Angeles recense toujours l'ampleur des dégâts, qui vont bouleverser la vie de milliers de personnes, bien au-delà des seules victimes d'incendies.

Endeuillée, la ville se pose aussi beaucoup de questions sur sa reconstruction et voit les querelles politiques autour de la gestion des feux s'envenimer.

Donald Trump est attendu en Californie en fin de semaine. Sa visite sera scrutée par les habitants, car le milliardaire républicain a par le passé menacé de couper les aides fédérales aidant la Californie à lutter contre les incendies.

"Nous regardons des incendies qui brûlent encore tragiquement depuis des semaines sans même un geste de défense", a lancé le tribun lundi, lors de son discours d'investiture comme nouveau président des Etats-Unis.

"Nous ne pouvons pas laisser faire cela. Tout le monde est incapable de faire quoi que ce soit. Cela va changer", a-t-il ajouté, en critiquant en creux la gestion de cet Etat démocrate.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Trump presse Poutine de trouver un "accord" sur l'Ukraine

Publié

le

Pour la première fois, Donald Trump a mis clairement la pression sur Vladimir Poutine. (© KEYSTONE/EPA/JIM LO SCALZO / POOL)

Le président américain Donald Trump, tout juste investi lundi, a pour la première fois sommé son homologue russe Vladimir Poutine de trouver un "accord" pour "mettre fin à la guerre" en Ukraine. Sans accord, la Russie risque d'être "détruite", a averti Trump.

Avant de devenir le 47e président des Etats-Unis, le milliardaire républicain a plusieurs fois affirmé qu'il préparait une rencontre au sommet avec le président russe pour "en finir" avec ce conflit, déclenché par l'invasion de l'Ukraine le 24 février 2022.

Alors qu'il retrouvait lundi le bureau ovale pour signer une série de décrets, Donald Trump a réaffirmé devant la presse qu'il "devait parler au président Poutine [...] qui sera très satisfait de mettre fin à cette guerre".

Mais, pour la première fois, il a mis clairement la pression sur le maître du Kremlin en jugeant que la Russie courrait à la catastrophe si elle refusait de négocier un accord de cessez-le-feu ou de paix avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

"Zelensky veut un accord"

M. "Zelensky veut passer un accord. Je ne sais pas si Poutine le souhaite, peut-être pas. [Mais] il devrait le faire. Je crois qu'il est en train de détruire la Russie en ne trouvant pas un règlement", a lancé Donald Trump.

De retour à la tête de la première puissance mondiale, Donald Trump avait maintes fois dénoncé en campagne les dizaines de milliards de dollars d'aide militaire et économique déversés à Kiev par le gouvernement américain précédent.

"La Russie court au-devant de gros problèmes. Regardez l'économie, l'inflation", a dit aux journalistes dans le bureau ovale le nouveau président américain, en relevant que Moscou avait tablé en février 2022 sur une "guerre terminée en une semaine et que l'on en est à trois années".

"Je m'entends très bien avec lui [M. Poutine, ndlr] et j'espère qu'il veut passer un accord", a conclu l'ancien homme d'affaires, adepte d'une diplomatie transactionnelle.

Le président russe, de son côté, est "ouvert au contact" avec Donald Trump, sans "conditions" préalables, avait dit il y a dix jours le Kremlin, saluant la volonté de celui qui n'était pas encore président américain en fonction de "résoudre les problèmes par le dialogue".

M. Poutine veut cependant toujours la reddition de l'Ukraine, que celle-ci renonce à rejoindre l'OTAN et que la Russie garde les territoires ukrainiens dont elle a revendiqué l'annexion.

Elu le 5 novembre, Donald Trump avait promis pendant sa campagne de mettre un terme "en 24 heures" au conflit en Ukraine et appelé à un "cessez-le-feu immédiat" et à des pourparlers. Il a reconnu par la suite que le processus pourrait prendre des mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

PolitiqueIl y a 15 minutes

183'000 paraphes en 14 jours pour des multinationales responsables

Le peuple suisse devrait à nouveau voter sur la responsabilité des multinationales. Après un premier échec dans les urnes en...

SuisseIl y a 25 minutes

Plusieurs sites web suisses touchés par une cyberattaque

Des pirates informatiques russes ont attaqué mardi les sites internet de plusieurs communes et banques...

SuisseIl y a 46 minutes

Keller-Sutter et von der Leyen ont discuté des accords à Davos

La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter et la présidente de la Commission européenne Ursula...

InternationalIl y a 49 minutes

L'investissement étranger direct a reculé de 8% l'année dernière

L'investissement étranger direct (IED) a reculé de 8% l'année dernière, selon les estimations d'ONU Commerce...

Suisse RomandeIl y a 54 minutes

Gros déploiement policier à Malley dans l'Ouest lausannois

Un gros dispositif policier a été déployé à Malley mardi matin dans l'Ouest lausannois. Selon...

CultureIl y a 56 minutes

A Paris, Vuitton ouvre le bal de la Fashion Week au Louvre

La Fashion Week masculine parisienne démarre mardi, avec en point d'orgue le nouveau show très...

EconomieIl y a 1 heure

Les loyers ont continué d'augmenter en décembre en Suisse

Les prix des nouveaux baux locatifs en Suisse ont continué à augmenter en décembre. L'indice...

SuisseIl y a 1 heure

Denner a vu ses recettes stagner en 2024

Denner, l'enseigne discount de Migros, a stabilisé son chiffre d'affaires l'an dernier. Torsten Friedrich, qui...

GenèveIl y a 3 heures

Dans son hors-série la FRC traque les PFAS mais pas seulement

Où se cachent les PFAS? Ces polluants cachés dans certains produits du quotidien. La FRC...

CultureIl y a 3 heures

La musique renforce les connexions dans le cerveau des prématurés

Chez les prématurés, la musique renforce les connexions dans certaines zones du cerveau. Depuis plusieurs...