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Easyjet se renforce avant un été qu'elle espère record

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Easy Jet espère assister, cette année encore, à une saison estivale "record". (archive) (© KEYSTONE/EPA EFE/ALEJANDRO GARCIA)

Un centre de contrôle flambant neuf, de l'intelligence artificielle et des effectifs renforcés: après deux étés marqués par des retards et annulations, la compagnie aérienne britannique Easyjet assure être prête pour transporter 300'000 passagers par jour pour en été.

Le "Centre de contrôle intégré" (ICC), près de l'aéroport de Luton au Nord de Londres, est en quelque sorte la tour de contrôle de la compagnie. Gestion des équipages, planification des vols, surveillance technique des avions et information des passagers, il est chargé d'articuler les opérations et de gérer les crises.

"Nous avons plus que doublé nos effectifs" à l'ICC ces deux dernières années, assure Gill Baudot, directrice du contrôle du réseau chez Easyjet. Derrière elle, plus de 250 employés se relayent nuit et jour, les yeux rivés sur des ordinateurs aux larges écrans courbes.

Lorsqu'un avion ne peut décoller comme prévu, en raison d'un problème technique ou de la météo par exemple, ce sont eux qui sont chargés de réorganiser les vols et les équipages, d'envoyer si nécessaire un appareil de remplacement, de retarder ou, dans le pire des cas, d'annuler.

300'000 passagers par jour

Le redémarrage des voyages après la pandémie avait été terni il y a deux ans par de nombreuses annulations, en particulier chez Easyjet, dans un secteur qui peinait à recruter. L'an dernier, des restrictions liées au contrôle du trafic aérien en Europe avaient conduit à de nouvelles annulations.

Cela n'a pas empêché la compagnie low cost d'engranger des recettes historiques en juillet et août dernier, et la compagnie espère assister cette année encore à une saison estivale "record".

"Au cours des prochains mois, nous assurerons près de 2000 vols quotidiens et transporterons 300'000 passagers par jour", a indiqué Mme Baudot.

Par une grande baie vitrée se dessine, au loin, la piste de l'aéroport de Luton. Un appareil de la compagnie au logo orange s'élance dans les airs, survole le bâtiment avant de disparaître dans un grondement étouffé.

"Je pense que les gens manquaient de pratique lorsqu'ils sont revenus" au travail après la période du Covid, mais les difficultés ont été constatées "à l'échelle du secteur", reprend la directrice.

Easyjet n'est pas seule à attendre avec impatience le pic estival: ses concurrentes Wizz Air et Ryanair, comme tout le secteur, s'y préparent activement.

Enfants privilégiés

Outre les embauches, Easyjet "a également investi massivement dans la technologie, l'automatisation et l'intelligence artificielle" (IA), poursuit Mme Baudot.

Le nouveau centre intègre ainsi un nouvel outil d'IA qui aide les agents à sélectionner plus rapidement les meilleures options parmi les 340 avions, dont 14 sont des appareils de secours, ou les équipages de réserve répartis dans toute l'Europe.

Si elle n'exclut pas que l'IA puisse un jour décider seule d'affecter les avions et les équipages à un trajet, ce n'est pas pour tout de suite, assure Mme Baudot: "A l'heure actuelle, nous pensons que l'être humain prendra toujours la décision" finale.

La technologie permet aussi de "prédire exactement de quelle nourriture et boisson nous avons besoin pour certaines routes tout en minimisant le gaspillage", a ajouté le directeur général Johan Lundgren dans un communiqué.

Sur l'une des consoles, Mark Garrett, responsable "perturbations clients", guette les vols susceptibles de subir des retards. Il en informe directement les passagers affectés, qui reçoivent une notification sur leur téléphone.

Lorsque la compagnie doit choisir quel vol privilégier et quel avion retarder ou annuler, "ce n'est pas toujours les vols les moins remplis" qui sont pénalisés, explique-t-il: une priorité plus grande est par exemple accordée s'il y a des enfants à bord, ou des voyages de groupe.

Dans la salle d'à côté, des ingénieurs surveillent en temps réel la santé technique des avions, que ce soit pour des toilettes en panne ou des composants plus critiques.

Chaque nuit, les équipes techniques de la compagnie totalisent 8000 heures d'entretien sur les appareils qui en ont besoin, pour avoir un maximum d'avion prêts au départ le matin suivant.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

L'Australie veut obliger les Gafam à payer pour les contenus médias

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Les plateformes de réseaux sociaux dont les revenus annuels en Australie dépassent 160 millions de dollars américains devraient se voir imposer une taxe destinée au financement des médias (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP/JENNY KANE)

L'Australie veut obliger Meta et Google à payer pour les contenus d'information qu'ils relaient, dans le cadre d'un nouveau programme dévoilé jeudi. Ce programme menace les géants de l'internet de taxes en cas de refus d'accord avec les médias locaux.

"Il est important que les plateformes numériques jouent leur rôle. Elles doivent soutenir l'accès à un journalisme de qualité qui informe et renforce notre démocratie", a déclaré la ministre des Communications Michelle Rowland.

Alors que les rédactions traditionnelles luttent souvent pour leur survie, la manne de leurs recettes publicitaires étant accaparées par le web, Canberra souhaite que les géants de la tech accordent une rémunération aux médias en fonction des contenus apparaissant sur leurs plateformes. Et ce alors qu'une partie croissante du public s'informe désormais exclusivement sur les réseaux sociaux.

"Bouleversements"

"La croissance rapide des plateformes numériques ces dernières années a bouleversé le paysage médiatique australien et menace la viabilité du journalisme d'intérêt public", a souligné Mme Rowland.

Les plateformes de réseaux sociaux dont les revenus annuels en Australie dépassent 160 millions de dollars américains se verront imposer une taxe - dont le montant n'a pas encore été fixée -, destinée au financement des médias. Ces groupes pourront cependant être exemptés de cette taxation s'ils concluent volontairement des accords commerciaux avec les firmes de médias australiennes.

Selon le gouvernement, les sociétés mères de Google, Facebook et TikTok seront probablement concernées par le dispositif, mais X pourrait y échapper en raison de revenus australiens en-deçà du seuil retenu.

En Suisse et en Europe aussi

L'Union européenne a émis en 2019 une directive sur les "droits voisins" destinée à permettre aux médias de se faire rémunérer lorsque leurs contenus sont réutilisés par les géants du numérique, mais les contentieux se multiplient pour tenter de faire valoir ceux-ci.

La Suisse veut aussi réglementer le droit voisin. Le Conseil fédéral a présenté en mai un projet de révision du droit d'auteur qui vise à faire payer les grandes plateformes pour les courts extraits d'articles visibles dans les listes de résultats. Malgré le rejet du projet en consultation, il a demandé au Département fédéral de justice et police de rédiger un message d'ici au premier semestre 2025.

Canberra s'efforce déjà de mieux encadrer les mastodontes de la tech: le mois dernier, le pays a adopté une nouvelle réglementation interdisant l'accès aux médias sociaux aux mineurs de moins de 16 ans. L'Australie a également envisagé d'imposer des amendes aux entreprises ne parvenant pas à éradiquer sur leurs plateformes les contenus choquants et la propagation de la désinformation.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Le président sud-coréen va "se battre jusqu'à la dernière minute"

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Le Parlement sud-coréen "est devenu un monstre détruisant l'ordre constitutionnel de la démocratie libérale", estime le président sud-coréen Yoon Suk-yeol. (© KEYSTONE/AP/Lee Jin-man)

Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol, menacé de destitution après sa tentative d'imposer la loi martiale il y a une semaine, "se battra jusqu'à la dernière minute", a-t-il annoncé jeudi. Il a accusé l'opposition de provoquer "une crise nationale".

Le Parlement contrôlé par l'opposition, qui a prévu de soumettre samedi au vote une nouvelle motion pour le démettre de ses fonctions, "est devenu un monstre détruisant l'ordre constitutionnel de la démocratie libérale", a fustigé M. Yoon dans un discours télévisé.

"Je me battrai avec le peuple jusqu'à la dernière minute", a martelé le dirigeant conservateur, dont la cote de popularité a plongé à 13% après son coup de force.

Depuis son élection en 2022 avec la marge la plus étroite de l'histoire du pays face au chef de file du Parti démocrate, M. Yoon n'a jamais disposé de la majorité à l'Assemblée.

Invoquant notamment des difficultés à faire passer son budget, il a sidéré le pays en imposant la loi martiale par surprise dans la nuit du 3 au 4 décembre, avant d'être obligé de l'abroger six heures plus tard sous la pression du Parlement et de la rue.

Nouveau vote

Il a échappé de peu samedi à une motion de destitution par l'Assemblée nationale, sauvé par son parti. Mais le Parti démocrate, principale formation d'opposition, a fixé à samedi 17h00 locales un deuxième vote en ce sens.

Si huit députés du Parti du pouvoir au peuple (PPP) de M. Yoon soutiennent cette nouvelle motion, elle pourra être adoptée. A la première tentative, seuls deux avaient voté pour la motion.

Le dirigeant du PPP, Han Dong-hoon, a lui-même appelé jeudi les élus du parti à voter "selon leur conviction et leur conscience". "Le président Yoon Suk Yeol n'est plus capable d'occuper ses fonctions, cela devient de plus en plus évident je pense", a-t-il estimé.

Pression populaire

La pression populaire reste forte: des milliers de manifestants se sont rassemblés mercredi soir devant le Parlement, chantant des chansons de K-pop tout en brandissant des bâtons lumineux colorés et des pancartes réclamant la dissolution du PPP, "qui soutient l'insurrection".

Kim Jae-hee, 34 ans, a confié à l'AFP qu'elle descendrait dans la rue samedi pour manifester en faveur de la destitution: "Je veux être un témoin de l'Histoire. Je connais aussi beaucoup d'amis qui feront la même chose."

Visé par une enquête pour "rébellion", M. Yoon, 63 ans, a interdiction de quitter le territoire, tout comme ses anciens ministres de la Défense, de l'Intérieur, et le commandant de la brève loi martiale. Deux hauts responsables de la police ont aussi été arrêtés.

Nouvelle perquisition

La police sud-coréenne a lancé jeudi une nouvelle perquisition des bureaux de la présidence, après avoir affirmé mercredi avoir été entravée lors d'une première tentative. Le Parti démocrate avait alors menacé de porter plainte pour insurrection si ces blocages persistaient.

Selon l'agence Yonhap, la perquisition de jeudi s'est concentrée sur le quartier général de l'état-major interarmées, qui aurait accepté de coopérer à l'enquête.

La police a par ailleurs annoncé jeudi perquisitionner le quartier général de l'armée dans la capitale, en lien avec son rôle durant la loi martiale.

"Responsabilité juridique et politique"

"Je m'excuse à nouveau auprès des personnes qui ont dû être surprises et inquiètes en raison de la loi martiale", a également déclaré le président Yoon jeudi, assurant qu'il "n'esquiverait pas (sa) responsabilité juridique et politique concernant la proclamation de la loi martiale".

Selon le PPP, le président a laissé la gouvernance à sa formation et au Premier ministre Han Duck-soo.

L'ex-ministre de la Défense en poste lors de la loi martiake, Kim Yong-hyun, a par ailleurs été accusé par des parlementaires de l'opposition d'avoir ordonné d'envoyer des drones sur Pyongyang, pour apparemment créer un casus belli avec le Nord qui aurait justifié la loi martiale.

Incarcéré depuis dimanche notamment pour "abus de pouvoir pour entraver l'exercice de droits", M. Kim a, selon les autorités, tenté de se suicider en détention mardi soir.

Coup dur pour l'opposition, un de ses ténors, Cho Kuk, a vu jeudi une peine de prison de deux ans ferme confirmée à son encontre en dernière instance et perd son siège de député. Il a été reconnu coupable d'avoir falsifié les documents académiques de ses enfants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

New York: des frères accusés d'avoir agressé des dizaines de femmes

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Les trois frères Alexander sont inculpés de complot aux fins de "trafic sexuel par la force et la tromperie" et encourent la prison à perpétuité. (© KEYSTONE/AP/Al Diaz)

Trois frères sont accusés de s'être servi de leur connexion à New York dans le monde de l'immobilier de luxe pour violer et agresser sexuellement des dizaines de femmes pendant des années, a annoncé mercredi le parquet. Ils ont été inculpés de "trafic sexuel".

Les jumeaux Alon et Oren Alexander, 37 ans, ainsi que leur frère Tal Alexander, 38 ans, sont accusés de s'être "livrés à l'exploitation sexuelle, notamment en droguant, agressant sexuellement et violant de manière répétée des dizaines de victimes féminines", selon un communiqué du parquet du district sud de New York.

D'après les médias américains, Oren et Tal Alexander sont les fondateurs de la société immobilière Official, qui a des bureaux à Miami, en Floride et à New York. Alon Alexander travaillait pour l'entreprise de sécurité privée de la famille.

De 2010 à 2021

Les frères Alexander sont accusés de "s'être servi de leur richesse et de leur statut" pour s'en prendre à leurs victimes, "les contraignant à se livrer à des actes sexuels", poursuit le communiqué. Les agressions présumées ont eu lieu entre 2010 et 2021.

Il y a deux ans, Tal et Oren Alexander avaient fait l'objet d'un article dans le New York Times décrivant leur réussite professionnelle, y compris la vente d'un penthouse de plus de 2000 m2 à Manhattan pour plus 234 millions de dollars. Selon la presse américaine, outre New York, ils négociaient des ventes sur des marchés de luxe en Floride ou à Aspen, station de ski chic du Colorado.

"Les frères Alexander ont fait miroiter des expériences, des voyages et des hébergements de luxe pour attirer et séduire les femmes à ces événements, puis, à plusieurs reprises, ont violé et agressé sexuellement les femmes qui y participaient", selon le parquet.

Ils sont accusés de s'être procuré divers types de drogue, GHB, champignons ou cocaïne pour soumettre leurs victimes avant de les agresser.

L'avocate d'Oren Alexander a déclaré dans un communiqué que son client était innocent. Les trois frères encourent la prison à perpétuité.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Musk premier homme à posséder une fortune de plus de 400 milliards

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La fortune d'Elon Musk prend l'ascenseur grâce à l'élection de Donald Trump à la présidence des Etats-Unis d'Amérique (archives). (© KEYSTONE/AP/Evan Vucci)

Le patron de Tesla et SpaceX, Elon Musk, déjà considéré comme le plus riche de la planète, a dépassé les 400 milliards de dollars de fortune, une première, rapporte Bloomberg. Le prix de l'action de Tesla a augmenté de plus de 65% depuis l'élection de Donald Trump.

SpaceX et ses investisseurs ont par ailleurs accepté d'acheter jusqu'à 1,25 milliard de dollars d'actions de la société faisant grimper la valeur de l'entreprise spatiale à environ 350 milliards de dollars. Cette transaction a augmenté la fortune personnelle d'Elon Musk d'environ 50 milliards de dollars, la portant à 440 milliards de dollars, toujours selon Bloomberg.

Désormais proche du président élu américain Donald Trump, Elon Musk est devenu le plus grand donateur politique de l'histoire américaine récente avec plus de 270 millions de dollars versés lors de la campagne présidentielle de 2024 pour soutenir le républicain, selon les chiffres de la commission électorale américaine (FEC).

Conflits d'intérêts

Cette somme est la plus importante provenant d'un seul donateur non candidat, selon les données d'OpenSecrets, association à but non lucratif qui "suit l'argent dans la politique et ses effets sur la politique".

La proximité d'Elon Musk avec Donald Trump a suscité des inquiétudes quant à d'éventuels conflits d'intérêts, faisant notamment craindre que le nouveau gouvernement n'élimine les crédits d'impôt sur les véhicules électriques concurrents de Tesla.

Le gagnant de la présidentielle américaine l'a récompensé en le nommant à la tête d'une commission pour "l'efficacité gouvernementale", un organe créé pour tailler dans les budgets fédéraux.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Frappes israéliennes sur des sites militaires à Lattaquié

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Israël avait déjà bombardé le port de Lattaquié ces derniers jours (archives). (© KEYSTONE/EPA/BILAL AL HAMMOUD)

Des frappes aériennes israéliennes ont visé des sites militaires en Syrie appartenant à l'armée du président syrien déchu Bashar al-Assad, a affirmé mercredi une ONG. Des "sites militaires", dont "le port de Lattaquié", ainsi que des entrepôts à Tartous ont été ciblés.

"Les avions de combat israéliens continuent de détruire ce qui reste de l'arsenal militaire syrien pour le quatrième jour consécutif depuis la chute de l'ancien régime", a précisé l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH), une ONG qui s'appuie sur un vaste réseau de sources à travers la Syrie.

Israël a mené des centaines de frappes aériennes sur la Syrie depuis la prise dimanche de Damas par les rebelles syrien et la chute du président Bachar al-Assad, selon l'OSDH.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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