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CMA CGM va faire construire six porte-conteneurs en Inde

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Dans son communiqué, CMA CGM se dit "aligné sur la vision du développement maritime de l'Inde". "Le groupe a déjà immatriculé quatre navires sous pavillon indien en 2025, prévoit le recrutement de 1000 marins indiens d'ici la fin de l'année, et en embauchera 500 supplémentaires en 2026". (© KEYSTONE/AP POOL AFP/BORIS HORVAT)

L'armateur français CMA CGM a annoncé mercredi dans un communiqué avoir conclu un accord pour la construction en Inde de six navires porte-conteneurs.

"Le groupe CMA CGM signe une lettre d'intention pour six nouveaux porte-conteneurs de 1700 EVP", ou équivalent vingt pieds (mesure de référence pour un conteneur standard), indique le géant mondial du transport maritime, sans préciser le montant de la commande.

Les bateaux, qui utiliseront le gaz naturel liquéfié (GNL) comme carburant, seront construits par la société Cochin Shipyard Limited, entreprise publique indienne. Ils seront livrés entre 2029 et 2031.

"Tous les navires seront enregistrés sous pavillon indien", précise le groupe.

Cet accord s'inscrit dans le cadre de l'initiative "Make in India", lancée en 2014 par le Premier ministre Narendra Modi pour renforcer l'industrie du pays le plus peuplé de la planète en encourageant les entreprises étrangères à produire en Inde.

Lors de sa visite en France en février, M. Modi s'était rendu au siège de CMA CGM, au port de Marseille, en compagnie d'Emmanuel Macron.

Le PDG Rodolphe Saadé leur avait notamment présenté le centre de navigation d'où est gérée la flotte de l'armateur et avait souligné les liens de la compagnie avec l'Inde.

Dans son communiqué, CMA CGM se dit "aligné sur la vision du développement maritime de l'Inde". "Le groupe a déjà immatriculé quatre navires sous pavillon indien en 2025, prévoit le recrutement de 1000 marins indiens d'ici la fin de l'année, et en embauchera 500 supplémentaires en 2026".

D'après le groupe, CMA CGM est la première compagnie maritime internationale à commander des navires propulsés au GNL à l'Inde. Les navires "sont capables d'utiliser des carburants bas carbone réduisant significativement les gaz à effet de serre", assure-t-il.

Cette "énergie fossile de transition" permet de "réduire nos émissions de CO2 de 20%", avait estimé Rodolphe Saadé en septembre devant les députés, reconnaissant toutefois se demander "comment on va faire pour" atteindre "l'engagement d'être carbone zéro en 2050" pris par le groupe.

CMA CGM, troisième transporteur maritime mondial, est basé à Marseille et détient une flotte de plus de 650 navires. Il exploite 60 terminaux portuaires dans 30 pays, sur les cinq continents, seul ou en société conjointe.

En Inde, où le groupe est présent depuis 34 ans, CMA CGM assure 19 services maritimes hebdomadaires et emploie 17.000 personnes, d'après les chiffres communiqués.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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IAG, maison mère de British Airways, voit un ralentissement aux USA

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Ses concurrentes Air France-KLM et Lufthansa ont aussi annoncé des bénéfices en baisse au troisième trimestre, pointant également une diminution de la demande de billets vers les Etats-Unis, qui ont pris des mesures pour limiter l'immigration et rendu plus ardue l'obtention de visas. (© KEYSTONE/PIERRE ALBOUY)

IAG, maison mère de British Airways et Iberia, a publié vendredi un bénéfice net en recul au troisième trimestre, pointant notamment "un certain ralentissement" pour ses vols vers les États-Unis, comme ses concurrentes Air France-KLM et Lufthansa ces derniers jours.

Le bénéfice net d'IAG a baissé de 2,3% sur la période, à 1,4 milliard d'euros (1,3 milliard de francs), pour un chiffre d'affaires resté stable à 9,3 milliards d'euros.

Si ses résultats sont globalement en deçà des attentes du marché, le groupe estime toutefois qu'il s'agit d'une "bonne performance, qui se compare à un troisième trimestre record en 2024" et assure que "la demande de voyages reste forte".

"Le marché de l'Atlantique Nord a connu, comme attendu, un certain ralentissement" dans le segment des voyages de loisirs aux États-Unis, a développé le groupe, qui dit avoir aussi pâti de prix plus bas en Europe "en raison d'une combinaison de forte croissance de British Airways et de marchés plus compétitifs ailleurs".

Ses concurrentes Air France-KLM et Lufthansa ont elles aussi annoncé ces derniers jours des bénéfices en baisse au troisième trimestre, pointant également une diminution de la demande de billets vers les Etats-Unis, qui ont pris des mesures pour limiter l'immigration et rendu plus ardue l'obtention de visas de tourisme et d'étude.

Malgré ce ralentissement, "nous restons en bonne voie pour réaliser une nouvelle année de croissance de nos revenus, de nos bénéfices et des rendements pour nos actionnaires", a affirmé le directeur général d'IAG, Luis Gallego, dans un communiqué.

IAG avait vu son bénéfice progresser au premier semestre, porté par une "forte" demande pour les voyages qui alimentait ses recettes et des marges en hausse.

Comme les autres transporteurs aériens, IAG avait subi des pertes abyssales pendant la pandémie de Covid-19, avant de rebondir fortement. Après avoir multiplié par six son bénéfice annuel en 2023, celui-ci avait progressé de 3% en 2024.

British Airways a par ailleurs annoncé jeudi la signature d'un accord avec le réseau d'accès à internet par satellite Starlink du multimilliardaire américain Elon Musk pour proposer à partir de l'an prochain à tous ses passagers une connexion wifi gratuite "ultra-rapide".

Ce n'est pas la première compagnie à faire une telle annonce: en septembre, Air France avait indiqué que toute sa flotte serait équipée de wifi haut débit gratuit d'ici à la fin de l'année prochaine, grâce elle aussi à la constellation de satellites de Starlink.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Garde suisse sous enquête pour insultes anti-juifs présumées

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L'audience générale du pape du 29 octobre était consacrée au 60e anniversaire de la déclaration du concile Vatican II "Nostra Aetate". Le texte traite des relations de l'Eglise catholique avec les religions non chrétiennes, dont de nombreux représentants étaient présents à Rome ce jour-là. (© KEYSTONE/EPA/FABIO FRUSTACI)

Un garde pontifical suisse fait l'objet d'une enquête pour des insultes qu'il aurait proférées à deux femmes juives. L'incident se serait produit lors de l'audience générale du pape le mercredi 29 octobre.

Interrogé par l'agence italienne Ansa, le porte-parole de la Garde suisse pontificale, le caporal Eliah Cinotti, a confirmé vendredi qu'un "épisode litigieux" avait été signalé et qu'une enquête interne, dont le contenu reste confidentiel, avait été lancée.

"Il s'agit d'une procédure normale car le service doit toujours être assuré avec le plus grand professionnalisme", a-t-il ajouté. L'affaire avait été révélée par le quotidien italien "La Repubblica".

Au cours de l'audience générale du pape, le mercredi 29 octobre, deux femmes juives auraient été insultées par un garde suisse en service sur la place Saint-Pierre. L'audience était consacrée au 60e anniversaire de la déclaration du concile Vatican II "Nostra Aetate", promulguée le 28 octobre 1965 par le pape Paul VI. Le texte traite des relations de l'Eglise catholique avec les religions non chrétiennes. Le lieu était rempli de représentants d'autres religions, avec une forte représentation juive, selon Ansa.

Pape Léon XIV contre l'antisémitisme

L'une des personnes concernées, Michal Govrin, écrivaine et metteuse en scène israélienne, a raconté, cité par l'agence italienne: "Alors qu'une collègue et moi-même, deux femmes qui ne sont généralement pas reconnues comme juives, passions par une entrée latérale de la place Saint-Pierre dans le cadre d'une délégation internationale de juifs, un membre de la Garde suisse pontificale nous a visiblement sifflé "les juifs", puis "a fait le geste de cracher dans notre direction avec un mépris évident".

Si l'épisode est confirmé par l'enquête interne, des mesures drastiques pourraient être envisagées, selon Ansa. Lors de cette même audience, le pape Léon XIV avait déclaré: "L'Eglise ne tolère pas l'antisémitisme et le combat, à cause de l'Evangile lui-même". Cette déclaration avait été saluée par de longs applaudissements.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / ans

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Chine: exportations en baisse pour la première fois en huit mois

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Les exportations chinoises ont reculé de 1,1% sur un an en octobre, baissant pour la première fois depuis février, dans une période de regain des tensions commerciales avec les États-Unis, ont indiqué les douanes chinoises vendredi. (© KEYSTONE/AP/ANDY WONG)

Les exportations chinoises ont reculé de 1,1% sur un an en octobre, baissant pour la première fois depuis février, dans une période de regain des tensions commerciales avec les États-Unis, ont indiqué les douanes chinoises vendredi.

Ces chiffres sont plus défavorables que les prévisions d'économistes interrogés par l'agence Bloomberg, qui tablaient sur une augmentation de 2,9% sur un an.

Les importations ont quant à elles augmenté de 1% sur la même période, ont précisé les douanes. C'est également en deçà des prévisions des mêmes économistes qui misaient sur une hausse de 2,7%.

La période concernée correspond à un nouvel accès de crispation commerciale entre les deux plus grandes puissances économiques mondiales, avec l'annonce au début du mois d'octobre de nouvelles restrictions chinoises sur les exportations relatives aux stratégiques terres rares. En représailles, le président américain Donald Trump avait annoncé des droits de douanes supplémentaires de 100%, sans toutefois être passé à l'acte par la suite.

Un sommet entre le président américain et son homologue chinois Xi Jinping le 30 octobre en Corée du Sud a ensuite débouché sur des mesures de détente réciproques.

Avant cela, les exportations chinoises vers les États-Unis ont augmenté de 1,8% en octobre par rapport à septembre, selon les données rendues publiques vendredi, alors qu'elles avaient augmenté de 8,6% en septembre par rapport à août.

Les importations en provenance des États-Unis ont quant à elles reculé de 11,6% entre septembre et octobre, d'après les douanes chinoises.

Moteur grippé

Les exportations font depuis des années office de moteur de l'économie chinoise, avec une consommation domestique obstinément languissante comme l'ont montré fin octobre les chiffres des ventes de détail qui, à 3% sur un an en septembre, ont affiché leur rythme de croissance le plus faible depuis novembre 2024.

Au même moment, la Chine annonçait un ralentissement de la croissance au troisième trimestre: +4,8% sur douze mois, soit sa progression la plus faible depuis un an.

Les exportateurs chinois avaient pris les mois précédents leurs dispositions pour anticiper l'augmentation des droits de douanes américains, rappelle dans une note Zhiwei Zhang, économiste chez Pinpoint Asset Management.

"Cette pratique d'anticipation semble avoir fini par s'atténuer en octobre", ajoute-t-il.

"La guerre commerciale étant suspendue pendant un an, les exportations devraient se normaliser", présage-t-il en faisant référence aux mesures annoncées par Chinois et Américains à la suite du sommet Xi-Trump, comme la baisse ou la confirmation de la suspension de droits de douanes.

"Maintenant que la dynamique des exportations s'affaiblit, la Chine doit davantage miser sur la demande intérieure", prévient Zhiwei Zhang.

Le Parti communiste au pouvoir énonce la nécessité de "stimuler fortement la consommation" dans son récent projet de plan quinquennal définissant les grandes orientations du pays pour 2026-2030.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Pourquoi le secteur automobile européen traverse "un ouragan"

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Le patron de Mercedes, Ola Källenius, évoque "une transformation comme on en voit tous les 100 ans, dans un environnement balayé par un ouragan force 5". Tandis que Marylise Léon, à la tête de la CFDT, a qualifié le moment d'"historique" et de "charnière", devant la presse cette semaine également. (© KEYSTONE/EPA DPA/JULIAN STRATENSCHULTE)

Profits et ventes en berne, marché de la voiture électrique décevant, concurrence de la Chine et "sur-réglementation" de la part de Bruxelles: le secteur automobile européen est "à un moment charnière" de son existence, selon ses acteurs.

Lors de la Journée de la filière auto, organisée cette semaine à Paris par la Plateforme automobile (PFA, le lobby des constructeurs et équipementiers français), les dirigeants ont tous ou presque sonné le tocsin: "Le sol se dérobe sous nos pieds" (Luc Chatel, président de la PFA), "notre industrie vit un tournant, avec un risque de décrochage" (François Provost, patron du groupe Renault), "l'Europe décline" (Antonio Filosa, Stellantis) etc.

Pourquoi cette crise?

Sans forcément tomber dans les prédictions les plus noires, dirigeants mais aussi syndicalistes et ONG environnementales sont d'accord sur les bouleversements en cours.

Le patron de Mercedes, Ola Källenius, évoque "une transformation comme on en voit tous les 100 ans, dans un environnement balayé par un ouragan force 5". Tandis que Marylise Léon, à la tête de la CFDT, a qualifié le moment d'"historique" et de "charnière", devant la presse cette semaine également.

De fait, le marché automobile n'a pas retrouvé ses niveaux d'avant Covid. Les ventes de véhicules neufs en Europe ont reculé de quelque 3 millions d'unités en Europe en 2024 par rapport à 2019, à 10,6 millions. Pour la France seulement, la chute est de 22% (2,21 millions d'unités en 2019, 1,72 million en 2024).

Olivier Hanoulle, expert automobile au cabinet Roland Berger, explique le sentiment du secteur par trois facteurs: voiture électrique, protectionnisme américain et montée en puissance de la Chine. "L'Europe doit accomplir la transition vers la voiture électrique la plus rapide du monde. Les Chinois ont démarré bien avant nous, sans viser la fin du moteur thermique en 2035, et les Etats-Unis", dirigés par Donald Trump, "s'électrifient lentement", relève-t-il.

L'échéance 2035?

L'UE prévoit pour 2035 l'interdiction des voitures thermiques et hybrides neuves, une mesure phare du Pacte vert européen (Green Deal) acté en mars 2023 malgré les réticences allemandes. Une clause de revoyure est prévue pour 2026 mais, sous la pression des industriels qui espèrent un assouplissement des textes, la Commission devrait annoncer des décisions courant décembre.

"Les risques qui pèsent aujourd'hui sur l'industrie européenne" résultent "d'un choix politique et dogmatique, et non pas technologique", a asséné mardi Luc Chatel, président de la PFA.

Les consommateurs n'achètent pas de véhicules électriques car ils sont trop chers, arguent des acteurs de l'industrie. Il faut donc autoriser les voitures hybrides rechargeables (moteur thermique et batterie électrique) et les agrocarburants pour après 2035. Et limiter "le tsunami de normes sur la sécurité et la décarbonation", selon François Provost, le patron de Renault.

2035 a été choisie afin d'avoir un parc automobile 100% vert en 2050, année de la neutralité climatique (une voiture dure en moyenne 15 ans), a rappelé Christophe Périllat, directeur général de l'équipementier Valeo, selon qui "le défi climatique n'a pas changé". Mais les "concessions automobiles sont vides" et il faut donc "introduire de la flexibilité" pour relancer le marché.

Et les prix des voitures?

Ils ont augmenté de 24% pour les véhicules neufs en France entre 2020 et 2024, indique une étude de l'Institut Mobilités en transition, publiée en mai. Selon ses analyses, "l'électrification" ne représente que 6 points de ces 24%, de même que l'inflation des coûts. La moitié de la hausse s'explique par des augmentations de marge et des montées en gamme.

Une "SUVisation" des modèles proposés, qui rendent inaccessibles les véhicules neufs à la classe moyenne, note Thomas Uthayakumar, de l'ONG Fondation pour la nature et l'Homme. "Les constructeurs ont cyniquement abandonné les voitures abordables au profit des plus chères", "aux dépens des PME implantées sur le sol français", et "malgré les aides publiques largement distribuées", abonde Marylise Léon.

"Des voitures très grosses, très chères, très équipées" qui ont boosté les profits des constructeurs auto au tournant des années 2020, s'agace Diane Strauss, de l'ONG Transport & Environnement.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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La Chine met en service son troisième porte-avions

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Photo satelllite du porte-avion Fujian. (© KEYSTONE/AP/Planet Labs PBC)

La Chine a mis en service son troisième porte-avions lors d'une cérémonie en présence du président Xi Jinping, marquant un jalon crucial dans la modernisation de sa marine face aux Etats-Unis, a rapporté l'agence Chine Nouvelle vendredi.

Le Fujian, bien plus moderne et plus puissant que ses deux prédécesseurs, est équipé d'un système de catapulte qui lui permet de propulser une plus grande variété d'avions, et offre un meilleur rayon d'action que ses prédécesseurs, selon cette source.

Le seul autre porte-avions actuellement équipé de ce système est le Gerald R. Ford, de la marine américaine.

Après la cérémonie de mise en service qui s'est tenue mercredi sur l'île tropicale de Hainan (sud), "Xi Jinping est monté à bord du Fujian (...) et s'est informé du développement des capacités de combat du système de porte-avions ainsi que de la construction et l'application du système de catapultage électromagnétique", a rapporté Chine Nouvelle.

Le Fujian, à propulsion conventionnelle (et non nucléaire), est le plus grand et le plus avancé des porte-avions chinois.

La Chine dispose de deux porte-avions en service actif: le Liaoning, acheté à l'Ukraine en 2000, et le Shandong, premier porte-avions à avoir été construit en Chine, mis en service en 2019.

Mais ils n'ont pas le degré de technicité du Fujian: dépourvus de catapultes, ils sont équipés d'une rampe de type "tremplin", qui ne permet pas aux avions de décoller avec autant de puissance. Cela les contraint à emporter moins d'armes et de carburant.

Engagé dans une rivalité navale avec Washington en mer de Chine méridionale et autour de Taïwan, Pékin reste toutefois sensiblement derrière les Américains en termes de capacité de projection, soulignent la plupart des analystes

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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