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Airbus va fermer sa compagnie de fret par avions "Beluga"

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Las, tous les vols opérés par la flotte "Beluga ST" sont suspendus dès à présent, a indiqué Airbus, sans en préciser les raisons, et le processus de clôture de la jeune société vient de commencer. (© KEYSTONE/DPA/WOLFGANG KUMM)

Le géant aéronautique européen Airbus a confirmé vendredi l'arrêt de sa compagnie de fret hors gabarit qui empruntait ses gros avions "Beluga".

"Nous confirmons que l'activité d'Airbus Beluga Transport (AiBT) pour les missions de fret surdimensionnées prend fin", a indiqué un porte-parole de la compagnie à l'AFP, confirmant une information des Echos.

Les "Beluga" sont des avions dérivés de l'Airbus A330 qui servent au transport des grandes sections d'avions entre les différents sites Airbus. Entrés en service en 1995, ils tiennent leur nom de leur silhouette ressemblant au cétacé.

L'avionneur a commencé en 2019 à remplacer la première génération de Beluga par des "Beluga XL", tout en donnant une deuxième vie aux cinq appareils de première génération avec le lancement en janvier 2022 de ce service de fret aérien.

Airbus comptait alors cibler des "clients de divers secteurs, notamment l'espace, l'énergie, l'armée, l'aéronautique, le secteur maritime et l'humanitaire", pour le transport de "cargaisons hors norme".

Las, tous les vols opérés par la flotte "Beluga ST" sont suspendus dès à présent, a indiqué Airbus, sans en préciser les raisons, et le processus de clôture de la jeune société vient de commencer.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Tempête à Los Angeles, qui redoute des glissements de terrain

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Tempête à Los Angeles, où l'observatoire public du Griffith Park est noyé dans le brouillard. (© KEYSTONE/AP/Damian Dovarganes)

La Californie subit jeudi sa plus forte tempête de l'hiver, ce qui fait craindre des inondations et des glissements de terrain dans les zones incendiées en janvier autour de Los Angeles.

Des trombes d'eau ont commencé à s'abattre sur la mégapole américaine. Les services météorologiques américains (NWS) attendent jusqu'à 15 cm de précipitations en l'espace de 48 heures dans certains endroits de la région.

De quoi inquiéter les autorités de Los Angeles, qui pansent encore les plaies des feux ayant tué près d'une trentaine de personnes le mois dernier. "Il y a un risque élevé d'inondations, en particulier à l'intérieur et autour des routes et des zones urbaines, ainsi qu'un risque significatif de coulées de débris", a averti Ryan Kittell, un météorologue du NWS.

Les autorités recommandent aux Californiens vivant près des zones incendiées de se tenir prêts à évacuer. Car les sols fragilisés par le feu et où la végétation a disparu font ruisseler l'eau plus rapidement, ce qui crée des coulées de boue pouvant parfois dégénérer en glissements de terrain.

Sacs de sable et barrières

Les employés de la ville ont installé des milliers de sacs de sable et de barrières en béton ces dernières semaines pour tenter de limiter l'érosion des sols.

Les feux qui ont ravagé la ville et ses abords ont notamment touché le quartier de Pacific Palisades, une zone huppée située dans les collines surplombant la ville, où les terrains en pente constituent une menace lors de fortes pluies. La ville d'Altadena, autre zone très touchée en banlieue de Los Angeles, est également adossée à des montagnes.

Comme souvent en Californie, cette tempête est due à une "rivière atmosphérique", un gigantesque couloir de pluie qui transporte la vapeur d'eau emmagasinée dans les tropiques autour d'Hawaï. Les précipitations qu'elle amène sont très attendues: avant début février, le sud de la Californie n'avait pas enregistré de pluies significatives depuis huit mois.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump promet des droits de douane "réciproques"

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Le président Trump a admis que les prix "pourraient augmenter à court terme" pour les ménages américains. (© KEYSTONE/EPA/FRANCIS CHUNG / POOL)

Le président américain Donald Trump a assuré jeudi qu'il allait imposer des "droits de douane réciproques" aux alliés comme aux rivaux des Etats-Unis. Il précise ainsi son offensive tarifaire internationale qui plonge le monde au bord de la guerre commerciale.

"S'ils nous imposent un droit de douane ou une taxe, on leur impose exactement le même niveau de droit de douane ou de taxe, c'est aussi simple que ça", a déclaré Donald Trump, affirmant qu'il s'agissait d'une question d'"équité".

Le président a admis que les prix "pourraient augmenter à court terme" pour les ménages américains, mais estimé qu'ils finiraient par reculer, et que le pays tout entier profiterait de ces barrières douanières destinées à mieux protéger l'industrie de la concurrence.

Les alliés des Etats-Unis se "comportent souvent moins bien que nos ennemis" sur le plan commercial, a lancé le chef l'Etat depuis le Bureau ovale, avant un entretien avec le Premier ministre indien Narendra Modi. Il a aussi qualifié "d'extrêmement dur" le comportement de l'Union européenne sur le plan des affaires.

Revue pays par pays

Donald Trump compte imposer aux produits qui arrivent aux Etats-Unis le même niveau de taxes que ce que le pays d'origine fait peser sur les produits américains.

Mais l'exécutif américain ne veut pas en rester là: il vise aussi les barrières non douanières telles que des réglementations pénalisant les produits américains, ou encore la TVA que les Etats prélèvent en bas des tickets de caisse.

Dans un mémo signé dans la foulée, Donald Trump demande à ses équipes de faire une revue complète des disparités commerciales entre les Etats-Unis et le reste du monde pour mettre en place des droits de douane "réciproques", "personnalisés" pays par pays, selon des précisions apportées par un responsable de la Maison Blanche à la presse.

Ce tour d'horizon devrait "prendre quelques semaines ou quelques mois, mais pas plus", selon la même source.

Déficit commercial

"L'Amérique accuse un déficit commercial néfaste de plus de mille milliards de dollars parce que les principales nations exportatrices du monde attaquent nos marchés avec des droits de douane punitifs et des barrières non tarifaires encore plus punitives", a déclaré Peter Navarro, le conseiller au commerce et à l'industrie de Donald Trump.

Après les 10% de droits de douane supplémentaires annoncés sur les produits chinois, les 25% sur l'aluminium et l'acier... Donald Trump poursuit sa politique économique agressive, guidée par son agenda et un cap: "L'Amérique d'abord".

Cette politique de réciprocité pourrait représenter un coup sévère pour certaines économies émergentes, tels le Brésil ou la Thaïlande, qui fixent des barrières douanières plus élevées pour protéger leurs économies respectives.

L'Inde de Narendra Modi applique des droits de douane de 25% sur les voitures américaines, ce qui voudrait dire que les Etats-Unis pourraient faire de même sur les véhicules indiens.

"Grand jour"

La journée de jeudi avait commencé avec un message du président américain annonçant un "grand jour" sur le front de la guerre commerciale entamée depuis le début de son mandat.

Ce furent "trois semaines extraordinaires, peut-être les meilleures jamais eues, mais aujourd'hui c'est le grand jour: droits de douane réciproques!!!", a écrit le président sur son réseau Truth Social, accompagné de son célèbre slogan "Make America Great Again".

Le président a répété jeudi qu'il utilisait les droits de douane comme un outil à part entière "pour rendre notre pays à nouveau riche".

Nombre d'analystes s'attendent à voir les prix augmenter pour les Américains, car les droits de douane sont réglés par les importateurs, qui les répercutent généralement à leurs acheteurs.

Coût de la vie critiqué

Or le mécontentement des ménages face au renchérissement des biens de consommation courante a été analysé comme l'une des raisons de la victoire de Donald Trump lors de l'élection du 5 novembre.

Après un pic d'inflation à +9,5% au printemps 2022 (selon l'indice CPI), les hausses de prix ont par la suite continué, mais à un rythme plus mesuré. Mais l'indice CPI publié mercredi a jeté une nouvelle ombre au tableau: les prix à la consommation ont augmenté en janvier de 3% sur un an, en accélération, et ce avant même l'entrée en vigueur de nouveaux droits de douane.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Robert Kennedy Jr validé à la Santé des Etats-Unis

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Le Sénat a confirmé Robert F. Kennedy Jr au ministère de la santé. (© KEYSTONE/AP/Rod Lamkey)

Le Sénat américain a validé jeudi la nomination de Robert Kennedy Jr à la tête du ministère de la Santé, malgré la vive opposition d'élus démocrates et de scientifiques. Ces derniers dénoncent notamment ses positions antivaccins.

Le neveu du président assassiné "JFK" a bénéficié du soutien de la majorité républicaine à la chambre haute du Congrès et a obtenu 52 voix pour et 48 contre.

Sa désignation par Donald Trump avait suscité la vive inquiétude de nombreux scientifiques et professionnels de santé qui avaient appelé les élus à empêcher sa confirmation au poste de ministre.

"C'est un homme terrifiant, dangereux, et je pense qu'il fera du mal", a alerté Paul Offit, directeur du Vaccine Education Center de l'hôpital pour enfants de Philadelphie.

Pour ce pédiatre, son ascension entraînera "une perte de confiance dans les vaccins" qui se traduira par une diminution des vaccinations infantiles dans le pays. Ce taux est déjà en baisse depuis la pandémie de Covid-19, faisant craindre le retour de maladies infectieuses quasiment éradiquées comme la rougeole ou la coqueluche.

Le moins qualifié

"Robert F. Kennedy Jr. est le candidat le moins qualifié qui ait jamais été désigné pour devenir responsable de la santé publique aux États-Unis", a fustigé le sénateur démocrate Ron Wyden juste avant le vote, appelant ses collègues à voter non.

Une accusation injustifiée, selon le sénateur républicain Mike Crapo qui a lui enjoint les élus à voter comme lui en faveur de cet ancien avocat en droit de l'environnement.

"Contrairement aux attaques dont il fait constamment l'objet", RFK Jr "a très clairement indiqué qu'il soutiendrait des vaccinations sûres et qu'il souhaitait simplement que des recherches sur les vaccins soient menées", a insisté l'élu de l'Idaho.

Vaccins et complot

Auditionné fin janvier par une commission de sénateurs, Robert Kennedy Jr avait été pressé de questions par des élus des deux bords sur ses multiples prises de position passées contre les vaccins et son soutien à des théories du complot.

Ces dernières années, il s'est fait le relais de nombreuses théories du complot sur les vaccins contre le Covid-19 comme sur de prétendus liens entre vaccination et autisme, notamment par le biais de l'organisation Children's Health Defense qu'il a cofondée.

Il a également déclaré qu'aucun vaccin n'était "sûr et efficace" et suggéré que le sida pourrait être causé par autre chose que le virus du VIH. Attaqué par les démocrates sur le sujet, RFK Jr avait fortement minimisé ses propos passés, assurant ne pas être "antivaccin" mais "pour la sécurité".

Revirement sur l'avortement

Des sénateurs démocrates lui ont également reproché son revirement sur la question de l'avortement. Alors qu'il défendait encore il y a peu l'idée que les femmes puissent avorter tout au long de leur grossesse, RFK Jr a promis de se ranger derrière l'avis de Donald Trump.

RFK Jr va désormais prendre la tête d'un ministère employant plus de 80'000 personnes avec comme programme de "rendre à l'Amérique sa santé", calque du slogan "Make America Great Again" de Donald Trump.

Pour ce faire, cet homme à la personnalité insaisissable, entend notamment s'attaquer au problème de la malbouffe, un combat qu'il mène de longue date et qui est salué par des personnalités des deux bords de l'échiquier politique.

Ex-démocrate et avocat respecté en droit de l'environnement, Robert Kennedy Jr s'était rallié à Donald Trump lors de la dernière campagne présidentielle après avoir été candidat indépendant.

Le Sénat a jusqu'ici validé chacune des nominations de Donald Trump, malgré les critiques visant certaines d'entre eux, comme Pete Hegseth, devenu ministre de la Défense et visé par une accusation d'agression sexuelle en 2017, et par des suspicions de consommation excessive d'alcool.

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International

Lancement d'un vaste programme de construction britannique

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Le Premier ministre britannique Keir Starmer (au centre) s'est rendu jeudi matin sur un site de construction au nord de Londres afin de dévoiler les plans de son gouvernement pour "la prochaine génération de nouvelles villes". (© KEYSTONE/AP/Leon Neal)

Le Premier ministre britannique Keir Starmer a lancé jeudi un vaste programme de construction de "nouvelles villes", présenté comme le plus important depuis la Seconde Guerre mondiale. Son but est de répondre à une grave crise du logement au Royaume-Uni.

Le gouvernement travailliste, arrivé au pouvoir en juillet, a pour ambition de construire 1,5 million de logements d'ici à 2029.

Keir Starmer s'est rendu jeudi matin sur un site en construction à Milton Keynes, au nord de Londres, afin de dévoiler les plans de son gouvernement pour "la prochaine génération de nouvelles villes", des quartiers "bien conçus, beaux, avec des logements abordables, des cabinets médicaux, des écoles et des transports publics".

Ce déplacement a cependant dû être écourté à cause d'une manifestation d'agriculteurs protestant contre une nouvelle taxe sur la succession de leurs exploitations.

Le programme de construction va être mis en oeuvre après "une décennie de déclin dans la construction de logements", selon le dirigeant travailliste. "Pour tant de familles, devenir propriétaire est un rêve lointain", déplore-t-il. Keir Starmer promet que "des centaines de milliers de travailleurs et de familles" à travers le pays bénéficieront de ce programme.

Il s'inspire de celui du gouvernement travailliste à la fin des années 1940, qui a permis de construire de nouvelles zones urbaines pour pallier la pénurie de logements après la Seconde Guerre mondiale.

Plus de 100 sites

Le Royaume-Uni est en proie à une crise du logement depuis plusieurs années, l'offre ne parvenant pas à répondre à la demande, en hausse du fait de la croissance démographique. Les prix ont fortement augmenté et, avec le manque de logements abordables, devenir propriétaire est devenu hors de portée pour de nombreux Britanniques, en particulier les jeunes.

Plus de 100 sites à travers l'Angleterre ont été identifiés pour construire ces nouvelles villes, chacun ayant le potentiel d'accueillir "au moins 10'000 logements", selon Downing Street.

M. Starmer s'est engagé à revoir les lois sur l'aménagement du territoire afin de permettre aux promoteurs de passer outre certaines réglementations environnementales et de construire davantage.

Bev Craig, la cheffe du conseil municipal de Manchester (nord de l'Angleterre) a salué le plan du gouvernement, mettant en avant le projet de construction de Victoria North dans sa ville, "l'un des plus ambitieux d'Europe".

Plus de 15'000 logements doivent y être construits d'ici 10 ans. Ce programme va permettre de "transformer" des friches industrielles et des terrains sous-utilisés dans certains des quartiers les plus défavorisés de Manchester, s'est félicitée l'élue travailliste.

Inspiration royale

Selon des médias britanniques, ces nouvelles villes seront en partie inspirées de projets du roi Charles III. Le thème du logement est cher au souverain britannique, également connu pour ses prises de positions écologistes, et qui a imaginé le village "modèle" de Poundbury au début des années 1990.

Charles III et Keir Starmer ont d'ailleurs visité ensemble lundi un projet de logement durable sur le domaine du duché de Cornouailles, propriété de la famille royale.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Football

Baiser forcé: l'avocate de Luis Rubiales demande la relaxe

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L'ex-président du football espagnol Luis Rubiales et son avocate Olga Tabau Martinez à la sortie de l'audience jeudi. (© KEYSTONE/EPA/FERNANDO VILLAR)

L'avocate de Luis Rubiales a demandé jeudi la relaxe de l'ex-patron du football espagnol lors de son procès pour le baiser sur la bouche qu'il avait infligé à la joueuse Jenni Hermoso en 2023. Le verdict n'est pas attendu avant plusieurs semaines.

Dans ses conclusions, Me Olga Tabau Martínez a affirmé qu'il y avait bien eu "consentement" de la joueuse internationale et que la conduite de son client, tout en étant "inappropriée", ne pouvait être considérée comme "criminelle".

"Nous sommes devant une manifestation de joie incontrôlable", a-t-elle dit en référence au triomphe de la "Roja" lors de la finale du Mondial 2023 à Sydney. "Sommes-nous face à une conduite inappropriée ? Oui. Criminelle ? Non", a insisté l'avocate.

Elle a rappelé que M. Rubiales avait présenté ses excuses pour s'être comporté comme "un joueur quelconque" et non comme le président de la Fédération espagnole de football (RFEF).

Deux ans et demi de prison

La veille, lors de ses réquisitions, la procureure Marta Durántez Gil avait confirmé qu'elle requérait deux ans et demi de prison contre Luis Rubiales: un an pour agression sexuelle et un an et demi pour coercition, en l'occurrence les pressions sur Jenni Hermoso pour qu'elle contribue à étouffer le scandale.

D'après la magistrate, il n'y a "aucun doute" sur le fait qu'il s'était agi d'un baiser forcé infligé par Luis Rubiales à Jenni Hermoso lors de la remise des médailles après la victoire de l'Espagne contre l'Angleterre le 20 août 2023.

L'avocate de M. Rubiales a, au contraire, écarté la thèse d'un "comportement constitutif de l'agression sexuelle", se basant notamment sur une vidéo réalisée par la joueuse dans les vestiaires juste après le baiser. "On y voit de la bonne humeur, de la joie, une certaine euphorie" de la part de la joueuse, a fait valoir l'avocate.

"Soumission"

S'exprimant avant Me Tabau, le défenseur de Jenni Hermoso s'était appuyé sur le règlement de la Fédération pour condamner le comportement de M. Rubiales. Celui-ci "n'aurait jamais dû embrasser" la joueuse compte tenu de "sa supériorité hiérarchique: "nous ne sommes pas face à un consentement, nous sommes face à une soumission", a déclaré Ángel Chavarría.

Une peine d'un an et demi de prison a été requise à l'encontre des trois co-accusés de M. Rubiales pour les pressions exercées sur Hermoso afin qu'elle minimise l'affaire.

Accord demandé

Lors de sa déposition, Luis Rubiales avait affirmé mardi qu'il avait demandé l'accord de l'attaquante avant de l'embrasser, allant à l'encontre des propos tenus par Jenni Hermomo le premier jour du procès, le 3 février.

"Je ne fais un baiser sur les lèvres que lorsque je décide de le faire", avait-elle déclaré, assurant s'être sentie "peu respectée" en tant que femme. La joueuse, soutenue devant le tribunal comme au moment des faits par plusieurs coéquipières, avait aussi décrit les "innombrables" pressions subies ensuite pour minimiser l'importance de ce geste.

Dernière prise de parole vendredi

Le procès se poursuit vendredi avec les autres plaidoiries de la défense et, s'ils le souhaitent, les dernières prises de parole de M. Rubiales et de ses trois co-accusés.

"Nous verrons si nous pouvons terminer demain (vendredi)", a commenté le juge, qui n'a donc pas écarté que le procès ne s'achève que la semaine prochaine. Le jugement sera ensuite mis en délibéré et pourrait ne pas être rendu avant plusieurs semaines.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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