La Banque cantonale genevoise affiche un bénéfice net record durant le premier semestre 2021. Il s’élève à 64 millions, en hausse de 16%.
La BCGE affiche un bénéfice net record de 64 millions de francs au premier semestre, en hausse de 16%. Les actifs gérés et administrés atteignent 33,5 milliards (+5,1%). Les revenus augmentent de 12% tout comme le chiffre d’affaires qui atteint 205 millions. La banque s’attend à un résultat global en progression sur l’année. Une des raisons de cette bonne santé financière : l’arrivée de nouveaux clients privés. Plus de 1000 nouveaux mandats de gestion depuis janvier. Une bonne santé qui signe la reprise selon Blaise Goetschin directeur général de la Banque cantonale genevoise.
Blaise Goetschin
Directeur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
La progression des actifs gérés et administrés est de 1,6 milliards depuis janvier. La banque cantonale a le vent en poupe auprès des Genevois. Les précisions de Blaise Goetschin.
Blaise Goetschin
Directeur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Les créances hypothécaires s’élèvent à 12,4 milliards et les fonds propres à 1, 75 milliard.
Avenir de l’économie genevoise
La Banque octroie des financements à l’économie genevoise aux entreprises et aux particuliers pour un montant de 18 milliards. 255 entreprises supplémentaires ont rejoint le rang des clients. Les prochains mois s’annoncent plutôt prometteurs, selon Blaise Goetschin.
Blaise Goetschin
Directeur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Bilan carbone
La BCGE finance les activités de négoce international très présentes à Genève. N’est-ce pas au détriment de son bilan carbone, dans le viseur des activistes du climat ? Ecoutez la réponse du directeur de la BCGE.
Blaise Goetschin
Directeur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
La BCGE s’est dotée d’experts indépendants pour déterminer le respect des normes ESG des entreprises, à savoir si elles sont responsables au niveau environnemental, social et en termes de gestion. Elle dit accompagner la transition.
Blaise Goetschin
Directeur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Blaise GoetschinDirecteur général de la BCGE
Action en hausse
L’action de la BCGE avait chuté l’an dernier, provoquant des pertes conséquentes dans les comptes des Collectivités publiques, notamment dans ceux de la Ville de Genève. Cette année devrait être meilleure. Blaise Goetchin.
Les amateurs de littérature en tout genre ne peuvent pas manquer le rendez-vous annuel incontournable qu’est le Salon du livre de Genève.
Après 3 éditions repensées, à cause de la pandémie, le Salon du livre signe enfin son grand retour dans sa version complète à Palexpo, du 22 au 26 mars prochain ! Venez profiter des premiers jours du printemps, en partageant des moments uniques autour de la lecture. Prenez votre billet ici.
Un événement accessible
Le Salon du livre vous accueille, les portes grandes ouvertes ! Cette manifestation gratuite permet à chacun, quel que soit son âge et ses affinités littéraires, de passer un moment riche en partage et en découverte.
Durant ces 5 jours au cœur de la culture francophone, tous les styles seront représentés. Du roman à l’essai philosophique, en passant par des ouvrages spécialisés, la bande dessinée ou encore les œuvres jeunesse, on est assuré de trouver de quoi éveiller notre intérêt au Salon du livre.
Le Salon du livre, c’est également l’occasion de croiser le chemin d’auteurs de talent, qui sont à la fois déjà bien établis dans le domaine mais aussi fraîchement arrivés.
Comment ? En assistant à des débats, des rencontres uniques et des échanges entre artistes primés, comme ce sera notamment le cas avec les deux hôtes d’honneur de cette édition 2023 : La journaliste et romancière Monica Sabolo et le dessinateur et réalisateur Joann Sfar.
En plus de ces moments particuliers, vous pourrez vous balader à travers les nombreux stands du Salon du livre, découvrir pas moins de 12 expositions et participer à des animations spécialement pensées autour de la lecture.
Ce programme complet sera décliné selon certaines thématiques, qui prendront place sur les diverses scènes du Salon du livre. Ainsi, vous pourrez retrouver Le Forum, Le Boudoir, Les Loges, La scène BD, La scène Suisse, La scène Bien-vivre et Le salon africain.
Le Salon du livre s’articule chaque année autour de préoccupations contemporaines. Pour 2023, ce seront les femmes, la famille et l’écologie qui seront portées à l’attention des visiteurs dans ces différents espaces.
Cette année, le Salon du livre vous propose en plus d’une balade littéraire, un véritable voyage poétique et musical. De quoi profiter d’une véritable parenthèse culturelle !
Une dimension internationale
Bien évidemment, cette mise en avant de la richesse littéraire francophone est accompagnée par la venue de talents suisses, mais pas que ! Des pays tels que la France, la Belgique et le Canada seront également présents, tout comme la communauté africaine.
C'est un beau programme qui vous attend pour cette édition 2023 du Salon du livre alors rendez-vous du 22 au 26 mars à Palexpo !
Une piste noire présentée comme l'une des plus raides au monde a ouvert lundi sur le domaine skiable de Glacier 3000, aux Diablerets. Cette descente de 3 km relie le sommet (3000 m) au col du Pillon (1546 m), via un tunnel de 265 m percé dans la montagne.
Avec une pente maximale à 104% (46°), le Black Wall (mur noir) dépasse la Streif ou le Lauberhorn, les redoutables pistes de ski alpin de Kitzbühel (Autriche) et de Wengen (Alpes bernoises), compare un communiqué de Glacier 3000. Sa préparation a représenté un défi, souligne l'exploitant. Il a fallu stationner une dameuse avec un treuil de 1400m de long dans la paroi au sommet de la pente, afin de pouvoir damer la partie supérieure de la piste.
Le nouveau tracé se trouve sur le secteur de Pierres Pointes, déjà utilisé pour le ski de 1963 à 1999. Ce versant était alors desservi par une télécabine, démantelée lors du renouvellement des installations.
La réalisation du tunnel - qui est équipé d'un tapis de ski pour l'intérieur - a pris six mois. Dans le but de limiter le recours à l'hélicoptère, l'essentiel du matériel a été acheminé à l'aide des remontées mécaniques existantes et d'un téléphérique de chantier installé pour l'occasion, indique le communiqué.
Garantir la compétitivité
Glacier 3000 dispose désormais de trois grandes pistes de plus de 1000 m de dénivelé: Combe d'Audon (7 km), Red Run (8 km) et Black Wall. "Toutes les trois se situent sur des versants nord, avec un départ à plus de 3000 m d'altitude, garantissant un enneigement naturel cinq mois par année", relève l'entreprise.
Il s'agit de garantir une "offre compétitive" dans un contexte marqué par le réchauffement climatique et la raréfaction de la neige. La société rappelle ainsi que l'exploitation du secteur du glacier de Tsanfleuron, sur le domaine de Glacier 3000, est incertaine pour les prochaines décennies en raison de la fonte des glaces.
Les amateurs de glisse pourront s'essayer à la nouvelle piste jusqu'au 7 mai prochain, date qui marquera la fin de la saison de ski. Le Black Wall aurait initialement dû être inauguré le 9 février dernier, mais les conditions météorologiques en avaient décidé autrement.
Une partie de la station supérieure de Glacier 3000 a été ravagée par un incendie en septembre dernier. Le restaurant dessiné par l'architecte tessinois Mario Botta au 4e étage ainsi que le self-service du 3e étage ont été détruits, mais le téléphérique est resté intact et les installations ont pu ouvrir le 12 novembre, avec une offre de restauration adaptée.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Après un début de séance laborieux au lendemain de l'annonce de la reprise forcée du concurrent Credit Suisse en grande difficulté, UBS voyait son action rebondir lundi après-midi. Vers 14h40, le titre du numéro un bancaire suisse s'envolait de 6,02% à 18,14 francs.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : awp / ats
"La Suisse est elle aussi déjà fortement touchée par le changement climatique", a observé lundi Erich Fischer, un des cinq experts actifs en Suisse ayant participé au dernier rapport du GIEC. Les spécialistes helvétiques estiment qu'il est "très, très urgent d'agir".
Selon M. Fischer, auteur principal du GIEC à l'EPFZ cité par l'Académie des sciences naturelles (Scnat) et qui s'est exprimé devant les médias lundi à Berne, la Suisse a eu ces dernières années "un avant-goût des phénomènes extrêmes qui pourraient s'aggraver et se généraliser dans un avenir proche: canicules, sécheresses, fortes précipitations, manque de neige".
Vice-président d'un groupe de travail du GIEC à l'EPFZ, Andreas Fischlin a souligné que "les risques climatiques surviennent plus tôt et sont plus importants qu'on ne le pensait auparavant", ajoutant: "Il est devenu très, très urgent d'agir".
"Pour des transformations fondamentales"
Les experts basés en Suisse invitent le pays à en faire davantage: "Plusieurs mesures de la stratégie suisse 2020-2025 d’adaptation aux changements climatiques ne consistent qu’en de petites adaptations de la situation actuelle. Or, des transformations fondamentales et systémiques sont nécessaires pour réduire les risques futurs", a expliqué Veruska Muccione, auteure principale du GIEC aux Université de Genève et de Zurich.
Sonia Seneviratne, coordinatrice du GIEC à l'EPFZ, s'est inquiétée pour les nouvelles générations: "Chaque dixième de degré de réchauffement que nous parviendrons à éviter réduira considérablement le risque de conséquences négatives, notamment pour les jeunes, qui vivront ces changements."
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le système bancaire de la zone euro est "résilient" grâce à une assise financière solide, a assuré lundi la Banque centrale européenne, au lendemain de l'annonce du rachat en urgence de Credit Suisse par UBS, accueilli avec scepticisme par les marchés.
"Le secteur bancaire européen est résilient, avec de solides niveaux de capitaux et de liquidités", a indiqué la BCE dans un communiqué commun avec le Mécanisme européen de résolution bancaire (SRB) et l'Autorité bancaire européenne (EBA) publié lundi.
L'institution s'est "félicitée de l'ensemble des mesures prises par les autorités suisses afin d'assurer la stabilité financière", après l'annonce dimanche du rachat de Credit Suisse par sa rivale UBS.
Elle a toutefois discrètement critiqué la décision de la Suisse de privilégier les actionnaires par rapport aux détenteurs d'obligations à risque dites Additionnal Tier 1.
En zone euro, les détenteurs d'actions "seraient les premiers à absorber les pertes et ce n'est qu'après leur pleine utilisation que les Additionnal Tier 1 seraient lésés", a assuré la BCE.
"Cette approche a été appliquée de manière cohérente dans le passé et continuera d'orienter les actions de surveillance bancaire de la SRB et de la BCE dans les interventions de crise", a-t-elle ajouté.
"Les Additional Tier 1 sont et resteront une composante essentielle de la structure des banques européennes", a martelé la BCE.
A l'issue d'intenses tractations, UBS a consenti dimanche à racheter pour une bouchée de pain son rival en difficulté Credit Suisse, avec d'importantes garanties du gouvernement de Berne et de liquidités de la BNS, la banque centrale du pays.
Mais ce rachat a fait plonger les titres des actions bancaires lundi matin sur les Bourses européennes, les investisseurs craignant une déstabilisation du système bancaire.
L'opération va en effet faire perdre 16 milliards de francs suisses à des détenteurs d'obligations à risque dites Additionnal Tier 1, sur lesquels les autorités suisses ont décidé de faire porter une partie du fardeau financier de l'opération.
Une décision extraordinaire alors que les détenteurs de ces titres arrivent normalement avant les actionnaires dans l'ordre de priorité de remboursement en cas de faillite.
Ces obligations risquées, créées après la crise de 2008, peuvent être suspendue par une banque lorsque sa situation financière se dégrade.
Elles ont rencontré un grand succès ces dernières années en raison de leur rémunération élevée en raison du risque accru, dans un contexte de taux en général morose.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp