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Actualité

GSHC: arrivée de Jens Olsson, nouveau défenseur étranger

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Alors que les Genevois connaissent un très bon début de saison, le club grenat annonce la signature du défenseur suédois Jens Olsson jusqu'à la fin de la présente saison. Cette signature  intervient alors que l'équipe de Pat Emond est privée du Suédois Henrik Tömmernes, touché à un genou le 20 septembre face à Ambri-Piotta et dont la durée d'absence se situe entre 2 à 3 semaines.

Jens Olsson a disputé les sept dernières saisons avec l'équipe de Malmö en ligue Suédoise. Attendu à Genève mercredi soir, il devrait être sur la glace pour le match face à Lugano.

C'est la sixième licence étrangère utilisée par le club après Daniel Winnik, Tommy Wingels, Eric Fehr, Henrik Tömmernes et Peter Cajka.

Sébastien Telley

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Sport

Murat Yakin: "Le défi est magnifique"

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Murat Yakin affiche un large sourire à la veille de défier la Roja (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

"L'équipe a très vite basculé sur le match contre l'Espagne !" Murat Yakin l'assure: la funeste soirée de jeudi à Copenhague ne pèsera pas dans les têtes de ses joueurs à l'heure de défier la Roja.

"Nous jouerons contre le Champion d'Europe en titre dans un stade plein qui sera derrière nous. Le défi est magnifique, souligne un Murat Yakin dont le bonheur de disputer un tel match est vraiment perceptible. Nous ne devrons pas reculer. Jouer avec une très grande intensité. Faire les courses qu'il faudra faire. Gagner les duels qu'il faudra gagner. Nous ne sommes pas favoris devant une telle équipe, c'est vrai, mais nous ferons tout pour lui faire mal."

Le sélectionneur - et aussi Granit Xhaka qui est resté avec l'équipe après son carton rouge de Copenhague - trouveront certainement les mots justes pour insuffler cette détermination extrême qui a sans doute manqué à Copenhague. "Granit a tout de suite indiqué sa volonté de venir à Genève. Il s'est aussi excusé devant l'équipe pour son expulsion, précise Murat Yakin. Tout cela démontre une certaine grandeur de sa part."

Denis Zakaria retrouve la lumière

Le capitaine, qui cédera dimanche son brassard à Manuel Akanji, sera remplacé par Denis Zakaria. Devant son public, le Genevois retrouvera la lumière après avoir dû soigner pendant pratiquement tout l'Euro une déchirure musculaire et après avoir entamé le match de jeudi sur le banc.

"Je ne veux pas parler d'un nouveau départ. Cela fait quand même un bon moment que je joue en équipe nationale", sourit le Genevois, dont la première sélection remonte au 28 mai 2016 lors de la rencontre amicale perdue 1-0 contre la Belgique à... Genève.

"Ce n'était pas facile d'accepter mon sort durant l'Euro avec cette blessure. J'ai travaillé énormément pour être en mesure de jouer la fin de la prolongation contre l'Angleterre, raconte Denis Zakaria. Maintenant, je suis Denis Zakaria et non Granit Xhaka. Je veux aider l'équipe. Nous avons la chance de nous appuyer sur un cadre élargi. A ceux qui ne jouent pas beaucoup de prendre leurs responsabilités."

Murat Yakin a, par ailleurs, officialisé la titularisation de Gregory Wüthrich en défense centrale pour remplacer Nico Elvedi, le premier expulsé de Copenhague. "Gregory a fait une bonne entrée jeudi. Il est en pleine confiance", précise le sélectionneur.

Kobel titulaire

Par ailleurs, Gregor Kobel sera à nouveau titularisé dans la cage. "Il a besoin de jouer un tel match", précise Murat Yakin au sujet de son nouveau no 1. Pour le sélectionneur, l'exigence de résultats que commande cette Ligue des nations n'autorise pas vraiment à multiplier les essais. "Et c'est l'Espagne en face tout de même", glisse-t-il.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Attaque d'ours dans un parc national touristique de Croatie

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La victime mordue au bras par un ours est un homme de 64 ans qui vit dans le Parc des lacs de Plitvice (photo d'illustration). (© KEYSTONE/DPA/MARTIN SCHUTT)

Un ours a attaqué un homme, qu'il a mordu au bras, dans le Parc national touristique des lacs de Plitvice en Croatie, a annoncé samedi la police.

La victime, âgée de 64 ans, a été hospitalisée dans la ville voisine de Gospic, a précisé la police dans un communiqué. L'incident a eu lieu vendredi soir dans le hameau où vit l'homme, selon la même source.

Le parc des lacs de Plitvice, le plus grand parc naturel de Croatie qui figure au Patrimoine mondial de l'Unesco, attire chaque année plus d'1,5 million de touristes.

Le nombre d'ours bruns en Croatie est estimé à un millier. Ils vivent principalement dans les zones forestières du centre du pays où se trouve le parc national des lacs de Plitvice.

Bien qu'il s'agisse d'espèces protégées, les autorités autorisent la chasse d'une centaine d'ours par an.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Les travaux de dynamitage dans la vallée de Saas sont terminés

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Le dynamitage des gros blocs de pierre dans la vallée de Saas est terminé, mais la route ne devrait pas rouvrir avant le début de la semaine. Ici, une photo prise vendredi. (© KEYSTONE/EPA/ANDREA SOLTERMANN)

Le dynamitage des gros blocs de roche qui bloquaient la vallée de Saas (VS) après les récentes intempéries a été achevé samedi. Des vols d'évacuation de Saas Fee à Stalden étaient en cours samedi.

Il n'y aura pas de vols dimanche, mais un nouveau pont aérien est prévu lundi. Celui-ci a été mis en place vendredi pour les quelque 2200 touristes bloqués à Saas-Fee et dans les environs suite au glissement de terrain survenu dans la nuit de mercredi à jeudi.

Samedi matin, Air Zermatt a transporté 320 personnes supplémentaires de Saas-Fee à Stalden, a indiqué dans l'après-midi l'état-major régional de conduite. Vendredi, 250 personnes avaient déjà été évacuées par hélicoptère.

Près de 350 personnes supplémentaires devraient encore être héliportées vers Stalden samedi jusqu'à 18h00. Un prochain pont aérien doit être mis en place lundi. Les horaires de vol seront communiqués ultérieurement. Un vol dure quelques minutes et coûte 140 francs par personne. Samedi, le temps d'attente était de quatre heures.

Des badauds gênants

L'état-major ne peut pas se prononcer précisément sur la réouverture de la route cantonale. L'équipe de construction travaille d'arrache-pied à la remise en état. La vallée devrait rester fermée au moins jusqu'au début de la semaine prochaine, selon les dernières informations.

Des badauds et des personnes impatientes de quitter la vallée à pied ont entravé samedi les travaux de dynamitage, ajoute l'état-major. Il est dangereux de se trouver dans la zone du chantier et la remise en état de la route s'en trouve retardée, soulignent les autorités.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Les Algériens élisent leur président, Tebboune grand favori

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L'Algérie élisait samedi son président. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMED MESSARA)

Les Algériens ont voté samedi dans un scrutin présidentiel, qui devrait voir une réélection sans surprise d'Abdelmadjid Tebboune pour un deuxième mandat. Le principal enjeu réside dans le taux de participation.

"Je suis venu tôt exercer mon devoir et choisir le président, en toute démocratie", déclare Sidali Mahmoudi, un commerçant de 65 ans, à Alger centre. Pour Seghir Derouiche, un retraité de 72 ans, "ne pas voter reviendrait à ignorer son droit de citoyen algérien".

Face au président sortant, deux candidats peu connus: Abdelaali Hassani, un ingénieur de 57 ans, chef du Mouvement de la société pour la paix (MSP), le principal parti islamiste, et Youcef Aouchiche, 41 ans, ex-journaliste et sénateur, à la tête du Front des forces socialistes (FFS), plus vieux parti d'opposition.

Une reconduction de M. Tebboune, 78 ans, est d'autant plus probable que quatre formations importantes soutiennent sa candidature, dont le Front de libération nationale (FLN, ex-parti unique).

"Connu d'avance"

"Le vainqueur est connu d'avance", au vu "du nombre réduit" des concurrents et de leur faible notoriété, estime Mohamed Hennad, expert en sciences politiques. Mais M. Tebboune tient "à une participation importante. Il veut être un président normal, pas un président mal élu", souligne à l'AFP Hasni Abidi du Centre d'études Cermam à Genève.

En décembre 2019, l'abstention avait battu des records (60%) lors du premier scrutin remporté par M. Tebboune avec 58% des suffrages, alors que les manifestations massives pour la démocratie battaient leur plein et que beaucoup de partis boycottaient le vote.

Plus de 24 millions d'électeurs, sur 45 millions d'habitants, sont convoqués. Les bus publics, le métro et le tramway sont gratuits afin de faciliter les déplacements. Les résultats pourraient tomber dès samedi soir ou au plus tard dimanche.

Campagne terne

Après avoir voté, M. Hassani a appelé les Algériens à se rendre aux urnes car "un taux de participation élevé donne une plus grande crédibilité à ces élections".

M. Aouchiche a exhorté "les Algériens à participer en force" pour sortir "définitivement du boycott et du désespoir", après une campagne électorale qui a suscité peu d'enthousiasme.

Sans évoquer l'affluence, M. Tebboune a souhaité que "le vainqueur de la présidentielle poursuive ce projet (le sien, ndlr) décisif pour l'Algérie afin d'atteindre un point de non-retour dans le développement économique et la construction d'une démocratie".

Les trois candidats disent tous vouloir améliorer le pouvoir d'achat et redresser l'économie, afin qu'elle soit moins dépendante des hydrocarbures (95% des recettes en devises).

Logement, économie, emplois

Aidé par la manne du gaz naturel, M. Tebboune a promis de rehausser salaires et retraites, des investissements, deux millions de logements neufs et 450'000 emplois nouveaux, pour faire de l'Algérie, "la deuxième économie en Afrique", derrière l'Afrique du sud.

Ses rivaux promettent davantage de libertés. Le candidat du FFS s'engage à "libérer les prisonniers d'opinion via une amnistie et à réexaminer les lois injustes" sur le terrorisme ou les médias. Celui du MSP prône "le respect des libertés réduites à néant".

Selon l'expert Abidi, cinq ans après le Hirak, étouffé par les interdictions de rassemblement liées au Covid et l'arrestation de ses figures de proue, le bilan de M. Tebboune souffre "d'un déficit de démocratie" qui pourrait constituer un handicap lors d'un nouveau mandat.

L'ONG Amnesty International a accusé cette semaine le pouvoir de continuer d'"étouffer l'espace civique en maintenant une répression sévère des droits humains", avec de "nouvelles arrestations arbitraires" et "une approche de tolérance zéro à l'égard des opinions dissidentes".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Michel Barnier déjà sous le feu de la gauche et la pression du RN

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Michel Barnier doit déjà faire face samedi à des manifestations à l'appel de La France insoumise, notamment à Paris. (© KEYSTONE/EPA/YOAN VALAT)

Tout juste nommé à Matignon, Michel Barnier essuie samedi les tirs croisés de la gauche, qui a appelé à manifester dans plusieurs villes pour dénoncer "un coup de force", et du Rassemblement national, qui dit placer le nouveau Premier ministre "sous surveillance".

Baptême du feu: alors qu'il doit effectuer en début d'après-midi son premier déplacement dans son costume de chef de gouvernement, Michel Barnier doit déjà faire face à des manifestations à l'appel de La France insoumise, notamment à Paris où un cortège s'est élancé de la place de la Bastille vers 14h30.

La colère exprimée est d'abord tournée contre Emmanuel Macron et son "coup de force démocratique", selon les mots des initiateurs de la marche, furieux de ne pas voir nommée à Matignon Lucie Castets, candidate d'une gauche unie forte de 193 députés.

Deux mois après les législatives anticipées, "l'élection a été volée", assure le patriarche insoumis Jean-Luc Mélenchon, qui exhorte à une forte mobilisation sur les quelque "150 points à travers la France" revendiqués par les organisateurs.

Le choix de Michel Barnier, issu de la droite, a renforcé la détermination des manifestants, même si la police n'anticipait qu'une affluence limitée (entre 4000 et 8000 personnes à Paris). "Nous voyons qu'un pacte à été scellé entre la macronie, la droite et l'extrême droite", a pesté la députée LFI Aurélie Trouvé au départ de la marche dans la capitale, alors que fusaient dans la foule des "Macron démission".

Et si M. Barnier a indiqué vendredi soir être prêt à travailler avec la gauche, "personne n'est dupe", a ajouté Mme Trouvé, qui n'a guère apprécié le discours de fermeté sur l'immigration du pensionnaire de Matignon, jugeant qu'il répétait "ce que l'extrême droite a toujours dit".

L'initiative, lancée fin août par deux syndicats d'étudiants et de lycéens puis reprise en main par LFI, s'inscrit dans une stratégie de contestation plus large des Insoumis qui ont déposé également à l'Assemblée une procédure de destitution du président.

Mais les troupes mélenchonistes peinent à faire le plein de soutien à gauche: comme les grandes centrales syndicales, le PS n'a pas relayé l'appel à manifester samedi ; et seuls six élus écologistes et trois ultramarins ont paraphé, en plus des députés LFI, la proposition de destitution.

Un gouvernement "fragile"?

Mais la pression n'est pas venue que de la gauche samedi. Le président du Rassemblement national Jordan Bardella, en déplacement à la foire de Chalons-en-Champagne, a exigé de M. Barnier que "les sujets du Rassemblement national" soient pris en compte par un futur gouvernement étiqueté comme "fragile".

"Je souhaite que le Premier ministre et le futur gouvernement puissent non seulement se mettre au travail, mais qu'ils puissent être attentifs aux exigences qui sont désormais les nôtres. Et je crois qu'à compter de ce jour, M. Barnier est un Premier ministre sous surveillance (...) d'un parti politique qui est désormais incontournable dans le jeu parlementaire", a-t-il ajouté.

Si le RN a jusque-là fait savoir qu'il jugerait M. Barnier "sur pièces", et n'entendait pas tenter de le renverser à l'Assemblée avant de connaître le contenu de son programme, le ton s'est durci, le parti à la flamme capitalisant sur son contingent de 126 députés (142 avec les alliés d'Eric Ciotti). "Nous aurons sans doute un rôle d'arbitre dans les prochains mois et à compter d'aujourd'hui", a rappelé le chef du RN.

M. Barnier, lui, poursuit dans le même temps son installation à Matignon où il a reçu samedi matin sa prédécesseure Elisabeth Borne, avant de déjeuner à l'Assemblée nationale avec la présidente Yaël Braun-Pivet. En jeu, le casting gouvernemental mais aussi - et surtout - l'élaboration de sa feuille de route pour les prochaines semaines, exercice hautement périlleux au vu de la fragmentation de l'Assemblée.

Le Premier ministre a réservé son premier déplacement au Samu de Paris à l'hôpital Necker, où il se voudra "à l'écoute" des agents, a fait savoir son entourage. Attendu vers 15H00 sur place, il participera notamment à une table ronde avec le personnel de santé, thème qui lui est cher, avant de s'adresser à la presse à l'issue de sa visite.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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