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Greta Thunberg de retour à Lausanne

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Greta Thunberg était déjà venue manifester à Lausanne en août dernier (archives). (©KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Greta Thunberg sera de retour à Lausanne le 17 janvier pour une manifestation pour le climat. L'activiste suédoise, qui s'était déjà déplacée l'été dernier dans la capitale vaudoise, participera au premier anniversaire du mouvement de la Grève du climat en Suisse.

L'annonce a été faite sur le site internet du collectif suisse de la Grève du climat - climatestrike.ch -, qui convie tous les militants du pays à participer à cette manifestation nationale au côté de Greta Thunberg. "Elle fera aussi certainement un discours", a précisé l'un des membres du mouvement vaudois, en confirmant à Keystone-ATS la venue de la Suédoise.

La marche du 17 janvier se déroulera dans une ville de Lausanne en pleine effervescence en raison des Jeux olympiques de la jeunesse. Les organisateurs ont donné rendez-vous aux manifestants à 10h30 devant la gare.

Greta Thunberg était déjà venue à Lausanne en août dernier. La jeune femme, qui vient de fêter ses 17 ans, avait participé durant une semaine au sommet Smile For Future à l'Université de Lausanne. Un sommet qui s'était déjà achevé par une marche dans les rues de la capitale vaudoise.

Après Lausanne, Greta Thunberg devrait prendre cette fois-ci le chemin de Davos. Comme en 2019, l'égérie de la lutte contre le réchauffement climatique a été invitée à participer au Forum économique mondial (WEF), ont annoncé plusieurs médias alémaniques.

Marche de trois jours dans les Grisons

Les activistes du climat ont annoncé jeudi qu'ils organisent une marche de trois jours, du 19 au 21 janvier, entre Landquart (GR) et Davos, à l'occasion du WEF. Ils ont reçu une autorisation du gouvernement grison, ont indiqué les Verts des Grisons (Verda).

L'objectif est de rendre attentif les participants au WEF à leur responsabilité pour la protection du climat. On ne sait pas encore si Greta Thunberg participera à la marche.

A leur arrivée à Davos, les marcheurs ont l'intention de manifester avec les Jeunes socialistes (Juso) des Grisons. Les Juso espèrent obtenir mardi l'autorisation pour cette manifestation.

Source: ATS

1 commentaire

1 commentaire

  1. Matia Muller

    10 janvier 2020 à 16 h 45 min

    "L’objectif est de rendre attentif les participants au WEF à leur responsabilité pour la protection du climat."

    C'est pas gagné...surtout que Trump y participe.

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International

La Corée du Nord a tiré un "missile balistique"dans la mer (Séoul)

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Le leader nord-coréen procède régulièrement à des essais d'armement, dans un contexte de tensions avec Séoul. (© KEYSTONE/AP)

La Corée du Nord a tiré jeudi un "missile non-identifié" en direction de la mer, a affirmé l'armée sud-coréenne, précisant analyser l'incident.

Pyongyang a lancé de multiples "missiles balistiques de courte portée (...) vers la mer de l'Est (appellation coréenne de la mer du Japon, ndlr) vers 07H10 (00H10 Heure suisse jeudi)", a indiqué l'état-major interarmées de la Corée du Sud.

Cet organe a précisé analyser l'incident et "partager les informations" avec les autorités américaines et japonaises. Le ministère japonais de la Défense a pour sa part confirmé le lancement d'au moins un missile balistique nord-coréen.

Pyongyang a souvent procédé par le passé à des tirs de missiles autour du 9 septembre, jour de l'anniversaire de la fondation de la République démocratique populaire de Corée en 1948. Elle avait également procédé à son cinquième essai nucléaire un 9 septembre, en 2016.

Lors d'un discours prononcé cette semaine, à l'occasion du 76e anniversaire de la fondation du pays, le dirigeant Kim Jong Un a déclaré que la Corée du Nord entendait renforcer son arsenal nucléaire pour "faire face à tout acte de menace venant de ses Etats rivaux, dotés de l'arme nucléaire".

La Corée du Nord procède régulièrement à des essais d'armement, dans un contexte de tensions avec Séoul. Pyongyang a en outre fait décoller des milliers de ballons d'immondices vers le Sud depuis mai, affirmant agir en représailles à des ballons de matériel de propagande lancés en direction de leur pays par des activistes sud-coréens.

Les relations entre les deux Corées sont au plus bas depuis des années. Le Nord a récemment annoncé le déploiement de 250 lanceurs de missiles balistiques à sa frontière méridionale.

En réponse à ces actions, la Corée du Sud a repris la diffusion de propagande le long de la frontière, totalement suspendu un accord militaire visant à réduire les tensions et repris les exercices de tir à balles réelles sur les îles frontalières et près de la zone démilitarisée qui divise la péninsule coréenne.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Tamedia assure que la Tribune de Genève continuera à exister

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Jessica Peppel-Schulz a assuré mercredi soir à la RTS que la Tribune de Genève continuerait à exister dans sa version papier et numérique (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Après les annonces de restructuration de Tamedia qui laissent craindre une disparition de la Tribune de Genève, la directrice générale Jessica Peppel-Schulz a assuré dans le 19h30 que le titre allait perdurer. Des assurances ont été données au gouvernement genevois.

"La Tribune de Genève va perdurer: c'est une marque très forte, très pertinente pour la Suisse romande et évidemment pour le canton et la Ville de Genève", a déclaré mercredi Mme Peppel-Schulz. Le titre existera sous forme papier et sous forme numérique, comme par le passé, a ajouté la directrice générale de Tamedia.

Fin août, Tamedia, filiale de TX Group, a annoncé la fermeture de deux centres d'impressions à Bussigny (VD) et à Zurich ainsi qu'une taille dans les effectifs des rédactions. Au total 290 postes, dont 90 au sein de ses journaux vont disparaître. Le groupe a annoncé vouloir miser prioritairement sur le 24 Heures en Suisse romande.

A Genève, les craintes sont grandes quant à la survie de la Tribune de Genève dans ces conditions. Très inquiet, le gouvernement avait sollicité une rencontre urgente avec Tamedia. Cette réunion a eu lieu mardi, a indiqué la présidente du Conseil d'Etat Nathalie Fontanet dans le 19h30.

"La discussion a été franche, un peu tendue, mais constructive. Elle nous a permis de lever l'ambiguïté sur la disparition programmée de la Tribune de Genève", a indiqué Mme Fontanet. "Nos interlocuteurs nous ont donné des assurances sur le fait que leur stratégie comprenait la pérennité du titre dans sa version tant papier que numérique", a-t-elle ajouté.

Grande inquiétude

L'inquiétude demeure toutefois, notamment quant au nombre de licenciements qui n'a pas été précisé et sur ses effets sur un journalisme de qualité, selon Mme Fontanet. Le scepticisme est aussi de mise du côté des employés. Interrogé dans le 19h30, Rocco Zacheo, représentant du personnel, relève "qu'il y a beaucoup de communication là-derrière". "Il y a un plan de restructuration qui va dans la direction diamétralement opposée", a-t-il ajouté.

Les deux syndicats Impressum et Syndicom ont annoncé mercredi soir soutenir le mouvement de débrayage des rédactions de Tamedia qui est prévu jeudi en réponse au silence de la direction de Tamedia. Ils dénoncent "l'opacité totale à laquelle les travailleurs et les travailleuses font face depuis plusieurs semaines".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Kiev: Washington et Londres s'engagent pour la "victoire"

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"Nous travaillons d'urgence pour continuer à garantir que l'Ukraine dispose de ce dont elle a besoin pour se défendre efficacement", a déclaré Antony Blinken, lors d'une conférence de presse avec ses homologues ukrainien et britannique Andrii Sybiha et David Lammy, à Kiev. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY DOLZHENKO)

Les chefs des diplomaties américaine et britannique ont promis mercredi à Kiev de répondre "d'urgence" aux demandes de l'Ukraine. Ce pays réclame notamment de pouvoir frapper le territoire russe en profondeur avec des missiles occidentaux.

Cette visite du secrétaire d'Etat américain Antony Blinken et de son homologue britannique David Lammy intervient à un moment délicat pour l'Ukraine, ses forces étant en difficulté sur le front Est, malgré une offensive surprise lancée début août dans la région russe de Koursk.

Pour faire face à l'avancée russe, Kiev réclame incessamment l'autorisation de frapper plus loin des cibles en Russie à l'aide des missiles longue portée qui lui ont été fournis par les Occidentaux, alors que Moscou est de son côté accusé d'avoir reçu des missiles balistiques d'Iran.

"Nous travaillons d'urgence pour continuer à garantir que l'Ukraine dispose de ce dont elle a besoin pour se défendre efficacement", a déclaré M. Blinken lors d'une conférence de presse, précisant que le président américain Joe Biden et le Premier ministre britannique Keir Starmer discuteraient ensemble vendredi de la question.

"Nous nous sommes ajustés et adaptés à l'évolution des besoins, à l'évolution du champ de bataille, et je ne doute pas que nous continuerons à le faire au fur et à mesure de l'évolution de la situation", a-t-il répété.

"Notre soutien ne faiblira pas, notre unité ne se brisera pas", a encore ajouté M. Blinken, qui a dit voir en sa visite le signe d'un engagement en faveur de la "victoire" de l'Ukraine.

"Lever toute restriction"

A ses côtés, son homologue ukrainien Andriï Sybiga a demandé de "lever toute restriction à l'utilisation d'armes américaines et britanniques contre des cibles militaires légitimes en Russie".

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky avait souligné plus tôt mercredi que la "victoire" de son pays dans cette guerre dépendait "essentiellement" des Etats-Unis.

M. Blinken a d'ailleurs annoncé mercredi une nouvelle aide de 717 millions de dollars pour le secteur de l'énergie ukrainien, dévasté par les bombardements russes, la fourniture d'eau potable et le déminage.

"Centaines" de missiles antiaériens promis

David Lammy, dont le gouvernement travailliste en place depuis deux mois s'est engagé à rester l'un des principaux soutiens de l'Ukraine, a promis de livrer d'ici la fin de l'année des "centaines" de missiles antiaériens, des dizaines de milliers d'obus d'artillerie et des véhicules blindés.

Il a réitéré l'engagement de son gouvernement à fournir une aide économique de 600 milliards de livres (710 millions d'euros) à Kiev.

L'Ukraine a par ailleurs reçu une bonne nouvelle financière mardi, le Fonds monétaire international (FMI) ayant annoncé un accord ouvrant la porte au déblocage d'une nouvelle tranche d'aide de 1,1 milliard de dollars.

Biden "réfléchit"

Les pays occidentaux, dont les Etats-Unis, refusaient jusqu'à présent de donner leur feu vert à des frappes en profondeur sur le territoire russe, craignant une escalade pouvant mener à un conflit direct avec Moscou. Le Pentagone avait aussi estimé qu'une telle autorisation ne serait pas "décisive" pour renverser le cours de la guerre.

Interrogé à ce sujet à Washington, le président américain Joe Biden avait assuré "être en train de réfléchir en ce moment même" à la question. M. Blinken avait dit "ne pas exclure" un feu vert.

Le Kremlin a de son côté averti mercredi que la Russie fournirait une réponse "appropriée" si l'Ukraine était autorisée à utiliser ces armes contre son territoire.

Appel aux voisins de l'Ukraine

L'Ukraine a également appelé mercredi ses voisins à abattre les missiles et drones russes lorsqu'ils survolent l'Ouest du pays, comme lors d'une récente frappe sur la ville de Lviv.

"Les Russes (...) frappent de plus en plus souvent des installations proches de la frontière de l'Otan", a plaidé le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, appelant à une "réponse commune, ferme et décisive".

La Lituanie, grand soutien de l'Ukraine, a estimé que les avions de l'Otan stationnant dans les pays baltes devraient abattre les drones russes dans l'espace aérien de son pays et de ses voisins, après plusieurs incidents récents impliquant des aéronefs tirés par Moscou.

Missiles iraniens

Le débat sur les restrictions sur les missiles livrés à l'Ukraine se déroule alors que Washington a alerté cette semaine sur la livraison par l'Iran de missiles de courte portée à la Russie, qui pourrait les utiliser pour frapper le territoire ukrainien dans les semaines à venir.

Le Royaume-Uni a convoqué mercredi le chargé d'affaires iranien à Londres pour protester contre cette livraison présumée.

Selon les médias britanniques, M. Biden, qui rencontrera vendredi le Premier ministre britannique, devrait lever le veto américain à l'utilisation par l'Ukraine de missiles de croisière Storm Shadow fournis par Londres contre des objectifs en Russie.

L'une des principales demandes de l'Ukraine est cependant d'assouplir les restrictions sur l'emploi des systèmes de missiles tactiques ATACMS américains, qui peuvent atteindre des cibles situées à 300 kilomètres de distance.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Inondations au Nigeria: au moins 30 morts et 400'000 déplacés

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Des milliers de maisons ont été submergées mardi par la rapide montée des eaux provoquée par la rupture du barrage d'Alau, sur la rivière Ngadda, à 20 kilomètres au sud de Maiduguri. (© KEYSTONE/AP/Musa Ajit Borno)

Les inondations massives qui ont submergé en début de semaine la ville de Maiduguri, dans le nord-est du Nigeria, ont fait au moins 30 morts et déplacé plus de 400'000 personnes, ont déclaré mercredi les secours. Ceux-ci craignent que le bilan s'alourdisse.

Des milliers de maisons ont été submergées mardi par la rapide montée des eaux provoquée par la rupture du barrage d'Alau, sur la rivière Ngadda, à 20 kilomètres au sud de Maiduguri.

Au lendemain des pluies diluviennes qui ont entraîné la rupture du barrage, la pluie s'est arrêtée mais "plus de 400'000 personnes ont été déplacées" et au moins "30 morts" ont été retrouvés, a déclaré à l'AFP Ezekiel Manzo, un porte-parole de l'Agence nationale de gestion des urgences (NEMA).

La capitale régionale, dans l'Etat de Borno, épicentre d'une insurrection jihadiste qui dure depuis plus de quatorze ans, est touchée par l'une des pires inondations de ces trente dernières années, a indiqué l'agence des Nations unies pour les réfugiés au Nigeria.

"Nulle part où aller"

"C'est vraiment terrible, je ne souhaiterais même pas à mon pire ennemi de vivre cela, de quitter sa propre maison sans rien d'autre que les habits qu'on porte", a raconté à l'AFP Aisha Aliyu, réfugiée dans l'un des huit camps ouverts par la NEMA pour accueillir les déplacés.

"Je n'ai nulle part où aller, je n'arrive pas à joindre ma famille, je n'ai vu aucun de mes frères et soeurs, personne ne répond au téléphone", a confié à l'AFP les larmes aux yeux Maryam Musa, qui a dû elle aussi fuir son domicile.

Bilan provisoire

Selon Zubaida Umar, directrice générale de la NEMA, "environ 40% de la ville" sont dévastés. Le bilan pourrait s'alourdir, a-t-elle indiqué, alors que les secours sont toujours à pied d'oeuvre.

"Nous secourons encore des gens et au final il pourrait y avoir un million de déplacés", a-t-elle dit sur la chaîne de télévision BBC en hausa.

Secouristes munis de canoës

Selon Mme Umar, la NEMA a déployé des équipes munies de canoës pour aller secourir les habitants pris au piège par les eaux, des camions-citernes pour répondre aux besoins en eau potable ainsi que des cliniques mobiles et des médecins pour prendre en charge les déplacés.

"Nous avons décidé de donner 10'000 nairas (environ 5,5 euros) à chacun des chefs de famille, hommes et femmes. Ensuite, nous distribuerons de la nourriture et des produits non alimentaires à tout le monde", a indiqué de son côté le gouverneur de l'Etat de Borno, Babagana Umara Zulum, en visite mercredi dans l'un des camps de déplacés mis en place par la NEMA.

"Maintenant nous devons reconstruire et renforcer le barrage, et augmenter sa capacité", a assuré le gouverneur. Mardi, le vice-président Kashim Shettima, originaire de Maiduguri, s'était rendu sur place.

Le président nigérian, Bola Ahmed Tinubu, a présenté ses "condoléances" aux "familles qui ont perdu leurs moyens de subsistance à cause du désastre".

Terres agricoles endommagées

Depuis le début de la saison des pluies dans le pays, le plus peuplé d'Afrique, les inondations ont fait 229 morts et forcé plus de 380'000 personnes à fuir, d'après la NEMA.

Au moins 107'600 hectares de terres agricoles ont également été endommagés par les pluies diluviennes, ce qui laisse craindre une aggravation de l'insécurité alimentaire.

En 2022, plus de 500 personnes sont mortes et 1,4 million ont été déplacées lors des pires inondations que le pays avait enregistrées au cours des dix années précédentes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto est un jeu de loterie classique proposé en Suisse depuis 1970. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 2, 3, 14, 27, 29 et 36. Le numéro chance était le 2, le rePLAY le 5 et le Joker le 671140.

Lors du prochain tirage samedi, 18 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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