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Genève

Visiter une exposition quand on a moins de 2 ans, c'est possible

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L'atelier se déroule au milieu des vitrines de l'exposition permanente du musée.

Tout le monde est le bienvenu au musée, et même les bébés de 0 à 2 ans. La preuve avec cet atelier d’éveil musical au MEG. 

Le MEG se veut à porter de bébé. Pour se faire, le Musée d'Ethnographie de Genève organise un mercredi ou un dimanche de chaque mois, un atelier consacré aux bambins de moins de 2 ans et à leurs parents.

Il s'agit d'un atelier d'éveil musical: en binôme, deux intervenantes - Anouck et Morgane - invitent tout petits et grands à visiter et découvrir l'exposition permanente du MEG. Aux oubliettes les longues explications, et les dates historiques: tout se passe en sons, en bruits, en chants et en mouvements.

Au milieu de cette salle sombre d'exposition, la scène n'a rien de très banale: à même le sol, assis sur des tapis colorés, des bébés peuvent toucher, taper, secouer, s'échanger des instruments de toute sorte. Ils écoutent, s'agitent ou s'arrêtent net au son d'un nouveau bruit. Certains regardent ici et là, paraissent être à la recherche de la provenance du son. Alors ils se lèvent, regardent, explorent, s'arrêtent un moment contre les grandes vitrines, y laissant un peu de salive.

Les petites mains touchent à tout et elles sont invitées à le faire.

Morgane est l'animatrice de l'atelier et on pourrait volontiers la surnommé Mary Poppins. Dans ses sacs, posés dans différents endroits de la grande pièce, des bouts de bois, des ustensiles bruyants, des sifflets, des tissus, des pochons musicaux. Elle les agite, les frotte, les presse ou les laisse tomber avant de les tendre aux enfants. Et quand Morgane ouvre la bouche pour pousser la chansonnette, c'est l'attention des bébés et des parents aussi, qu'elle réussit à attirer.

Reportage de Léna Ailloud

Pour participer aux prochains ateliers, en mars ou en avril, il faut s'inscrire. Plus d'informations sur leur site internet.

 

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Culture

Un "labo" pour écouter de la musique autrement à la bibliothèque de la Cité

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Un "labo" pour écouter de la musique autrement à la bibliothèque de la Cité. KEYSTONE-STEFFEN SCHMIDT

La musique au cœur d’un nouveau projet à la bibliothèque de la Cité à Genève. Il sera possible d’emprunter des instruments, faire des siestes musicales ou de s’initier au chant. Projet à découvrir ce samedi.

Un “labo musique” voit le jour à la bibliothèque de la Cité à Genève.

Il s’agit d’une nouveauté à retrouver à l’Espace musique.

Ce “labo” s’adresse au plus grand nombre, enfants et adultes. Il permettra d’apprendre à mieux écouter la musique et de proposer des activités de découvertes. Comme s’initier au chant, créer son premier morceau de rap, faire des siestes musicales ou emprunter des instruments. Plus d’excuses donc si vous voulez tester la guitare ou la batterie.

Katia Savi, la responsable de l’espace musique à la bibliothèque de la Cité à Genève:

Katia SaviResponsable de l’espace musique à la bibliothèque de la Cité à Genève

Et pour les siestes, comment dormir avec de la musique? Virginie Rouiller, responsable de la bibliothèque de la Cité:

Virginie RouillerResponsable de la bibliothèque de la Cité à Genève

Ce sera aussi l’occasion pour certains de jeter un œil ou plutôt une oreille à la collection conséquente de CD. Car pour accéder au "Labo", il faut passer devant cette dernière. Car oui les CD sont encore empruntés. Katia Savi: 

Katia SaviResponsable de l’espace musique à la bibliothèque de la Cité à Genève

Pour découvrir le “labo musique”, rendez-vous ce samedi de 10h à 17h avec plusieurs animations prévues.

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Culture

Tamedia assure que la Tribune de Genève continuera à exister

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Jessica Peppel-Schulz a assuré mercredi soir à la RTS que la Tribune de Genève continuerait à exister dans sa version papier et numérique (archives). (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

Après les annonces de restructuration de Tamedia qui laissent craindre une disparition de la Tribune de Genève, la directrice générale Jessica Peppel-Schulz a assuré dans le 19h30 que le titre allait perdurer. Des assurances ont été données au gouvernement genevois.

"La Tribune de Genève va perdurer: c'est une marque très forte, très pertinente pour la Suisse romande et évidemment pour le canton et la Ville de Genève", a déclaré mercredi Mme Peppel-Schulz. Le titre existera sous forme papier et sous forme numérique, comme par le passé, a ajouté la directrice générale de Tamedia.

Fin août, Tamedia, filiale de TX Group, a annoncé la fermeture de deux centres d'impressions à Bussigny (VD) et à Zurich ainsi qu'une taille dans les effectifs des rédactions. Au total 290 postes, dont 90 au sein de ses journaux vont disparaître. Le groupe a annoncé vouloir miser prioritairement sur le 24 Heures en Suisse romande.

A Genève, les craintes sont grandes quant à la survie de la Tribune de Genève dans ces conditions. Très inquiet, le gouvernement avait sollicité une rencontre urgente avec Tamedia. Cette réunion a eu lieu mardi, a indiqué la présidente du Conseil d'Etat Nathalie Fontanet dans le 19h30.

"La discussion a été franche, un peu tendue, mais constructive. Elle nous a permis de lever l'ambiguïté sur la disparition programmée de la Tribune de Genève", a indiqué Mme Fontanet. "Nos interlocuteurs nous ont donné des assurances sur le fait que leur stratégie comprenait la pérennité du titre dans sa version tant papier que numérique", a-t-elle ajouté.

Grande inquiétude

L'inquiétude demeure toutefois, notamment quant au nombre de licenciements qui n'a pas été précisé et sur ses effets sur un journalisme de qualité, selon Mme Fontanet. Le scepticisme est aussi de mise du côté des employés. Interrogé dans le 19h30, Rocco Zacheo, représentant du personnel, relève "qu'il y a beaucoup de communication là-derrière". "Il y a un plan de restructuration qui va dans la direction diamétralement opposée", a-t-il ajouté.

Les deux syndicats Impressum et Syndicom ont annoncé mercredi soir soutenir le mouvement de débrayage des rédactions de Tamedia qui est prévu jeudi en réponse au silence de la direction de Tamedia. Ils dénoncent "l'opacité totale à laquelle les travailleurs et les travailleuses font face depuis plusieurs semaines".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Le Centre sportif de Varembé étoffe son offre

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Le fitness urbain du stade de Varembé permet de travailler son agilité et son équilibre. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Centre sportif de Varembé, en Ville de Genève, étoffe son offre. Deux nouveaux terrains de basket 3x3 et un nouveau terrain de beach-volley ont été inaugurés mercredi. Des disciplines en plein essor et dont la demande à Genève est croissante.

Marie Barbey-ChappuisConseillère administrative en charge des Sports

Le terrain de beach-volley en fond et le terrain de basket 3x3 (KEYSTONE/Martial Trezzini)

La zone d'athlétisme du Centre sportif de Varembé a également été modernisée. De plus, le site dispose dorénavant d'un fitness urbain tout neuf, qui permet de s'échauffer et de travailler son agilité, son équilibre et le renforcement musculaire.

Ce projet s'inscrit dans le programme de modernisation et de rénovation des installations sportives de la Ville de Genève. Il s'agit de répondre aux besoins croissants de population, a expliqué la conseillère administrative Marie Barbey-Chappuis, en charge du département de la sécurité et des sports. En 2021, une motion est déposée au Conseil municipal de la Ville de Genève qui soulignait la nécessité de cette rénovation. Illustration avec l'une des élues à l'origine du texte Livia Zbinden, actuelle présidente du Conseil municipal.

Livia ZbindenPrésidente du Conseil municipal de la Ville de Genève

Une rénovation qui ne s'est pas faite sans difficultés ou surprises.

Marie-Paul DavidArchitecte au service du Patrimoine bâti

Le Centre sportif de Varembé dispose également de trois terrains de football, d'un club de tennis de table et d'une piscine. Depuis sa mise en service en 1987, le stade de Varembé n'avait jamais bénéficié d'une rénovation. Un centre sportif qui joue le rôle de cohésion sociale que doit avoir un lieu comme celui-ci.

Marie Barbey-ChappuisConseillère administrative en charge des Sports

avec ATS

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Genève

Victoire d'étape pour les policiers municipaux genevois

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Un agent de l'unité Bike Police de la Police municipale de la Ville de Genève lors d'une démonstration (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les policiers municipaux genevois et les agents de la Police internationale remportent une victoire d'étape en vue d'une reconnaissance comme policiers à part entière. La justice fédérale annule le refus d'entrée en matière du Secrétariat d'Etat à la formation.

Dans deux arrêts publiés mardi, le Tribunal administratif fédéral admet les recours du Syndicat des polices municipales genevoises et de l'Union des fonctionnaires de la police genevoise. Les deux organisations s'étaient adressées en vain auprès du Secrétariat d'Etat à la formation, à la recherche et à l'innovation (SEFRI) afin de permettre à leurs membres d'obtenir un certificat fédéral de policier.

Concrètement, les recourants demandaient que les agents des polices municipales (APM) et les agents de sécurité publique (ASP) de la Police internationale puissent prétendre à ce titre, le cas échéant par le biais d'une passerelle.

Ils soulignaient qu'au-delà de leurs tâches spécifiques leurs membres exerçaient aussi de nombreuses prérogatives réservées à la police. En outre, la pénurie de policiers conduisait à ce que les APM et les ASP effectuent régulièrement des missions avec ceux-ci.

"Sans pertinence"

Le Tribunal administratif fédéral relève dans ses considérants que la décision d'irrecevabilité du SEFRI "repose sur un argumentaire dénué de toute pertinence". Le secrétariat d'Etat s'est mépris sur la nature des demandes des deux syndicats et a confondu plusieurs catégories d'agents.

Le dossier étant insuffisamment mûr pour qu'une décision en réforme puisse être rendue par le Tribunal administratif fédéral, celui-ci le renvoie au SEFRI. Le secrétariat d'Etat est invité à procéder aux clarifications nécessaires avant de se prononcer sur sa propre compétence. (arrêts B-1340 et B-2051/2022 du 29 août 2024)

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Les habitants des Pâquis toujours excédés par le trafic de drogue près des écoles

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Un collectif d'association demande une zone d'exclusion du deal autour des écoles des Pâquis

Un collectif d'association demande une zone d'exclusion du deal autour des écoles des Pâquis.

Les habitants des Pâquis sont de nouveau mobilisés contre le trafic de drogues autour des écoles du quartier. Un collectif, qui regroupe une dizaine d'associations, demande à l'Etat de mettre les moyens pour exclure les dealers du périmètre et permettre aux enfants de jouer en toute sécurité.

Marie Fleury-WullschlegerPrésidente de l'association des parents d'élèves des Pâquis

Une rencontre entre les représentants du collectif et les responsables de la police est agendée la semaine prochaine. L'occasion de réclamer à nouveau plus de présence policière en journée.

Marie Fleury-WullschlegerPrésidente de l'association des parents d'élèves des Pâquis

 

 

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