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Economie

Pourquoi personne ne veut du restaurant du téléphérique du Salève?

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(KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Le téléphérique du Salève est en travaux depuis 2 ans et doit rouvrir au printemps prochain. Si le chantier avance, il y a un problème: personne ne s'est porté candidat pour exploiter le futur restaurant panoramique. 

Au printemps 2023 c'est un téléphérique du Salève tout neuf qui sera relancé. Les gares haute et basse seront fidèles au plan d'origine de l'architecte genevois Maurice Braillard. Un plan qui comportait notamment un restaurant panoramique de plus de 100 couverts. Mais d'ici au premier service, il faut trouver un restaurateur intéressé. Un avis de concession a été lancé cet été et personne ne s'est manifesté depuis, aucun candidat n'est intéressé... A tel point que le délai pour trouver un restaurateur a été rallongé au 2 novembre prochain. Explication avec Nabila Wahid, responsable de l'appel d'offre pour le futur restaurant du téléphérique:

Nabila WahidResponsable de l'appel d'offre du futur restaurant

Mais alors que propose concrètement le Groupement Local de Coopération Transfrontalière aux candidats potentiels? Le détail de l'offre avec Odile Bosse-Platière, coordinatrice du GLCT pour le téléphérique:

Odile Bosse-PlatièreCoordinatrice au GLCT

Les personnes intéressées ont jusqu'au 2 novembre pour proposer leur candidature.

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Aimé Pouly veut rajeunir son image

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Aimé Pouly exploite trente boulangeries, exclusivement en Suisse romande. L'enseigne genevoise n'envisage pas de franchir la Sarine pour le moment (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le groupe de boulangeries Aimé Pouly a donné mardi le coup d'envoi de son opération de rajeunissement avec l'inauguration de son enseigne historique du quartier des Eaux-Vives à Genève. L'entreprise qui fait partie de la holding Swiss Food Group entend se concentrer sur l'activité de son réseau déjà en place et la Suisse romande.

"Notre priorité est de développer l'activité de nos boulangeries avec espace de restauration déjà existantes grâce aux travaux de rénovation", a expliqué à AWP Nicolas Boucault, directeur général de Swiss Food Group et d'Aimé Pouly, principale société de la holding.

Pour le seul site des Eaux-Vives, ouvert à la fin des années 1970 et dirigé alors par Madame Aimé Pouly, épouse du fondateur, le groupe vise une hausse du chiffre d'affaires de 20%.

"Il s'agit d'un ballon d'essai, nous procédons à des travaux plus légers dans notre boulangerie de Champel et nous comparerons les résultats en termes de fréquentation", a indiqué M. Boucault, qui reconnaît que l'enseigne souffrait d'une image quelque peu vétuste.

Aimé Pouly exploite trente boulangeries, exclusivement en Suisse romande. "Nous n'envisageons pas de franchir la Sarine pour le moment, car d'une part les habitudes culturelles y sont différentes, mais nous ferions également concurrence aux artisans qui distribuent notre produit Pain Paillasse", a expliqué le directeur général.

Prix relevés de 5%

Inflation oblige, le groupe a dû relever ses prix de 5%. "Tous les coûts ont augmenté, la farine, le beurre, l'électricité et les salaires", a énuméré M. Boucault, qui souligne cependant que les marges sont restées identiques. Quant au chiffre d'affaires, c'est un secret bien gardé. "En proportions, nous réalisons 95% du chiffre d'affaires du groupe et 90% de celui d'Aimé Pouly en Suisse", a-t-il précisé.

Pain Paillasse constitue un autre pilier de l'activité de Swiss Food Group, avec une centaine de points de vente en Suisse romande et environ 400 pour la Suisse alémanique et le Tessin. "Le principe est toujours le même, nous fournissons à l'artisan boulanger le mélange de farine et la méthode de fabrication", rappelle M. Boucault.

En Suisse, le mélange de farines est fourni par Groupe Minoteries, partenaire historique d'Aimé Pouly et historiquement investisseur de l'entreprise. Celui-ci s'est retiré financièrement mais reste un partenaire important, souligne le directeur général.

Le produit Pain Paillasse, emblématique du groupe, est désormais distribué dans 24 pays, dont plusieurs hors d'Europe: Etats-Unis, Egypte, Chili, Liban et Ouzbékistan. "Les Etats-Unis représentent environ 5% du chiffre d'affaires de Pain Paillasse, nous distribuons principalement dans la grande distribution haut de gamme", a expliqué M. Boucault, qui souligne que le potentiel y est considérable.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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CEP: 14 membres et 5 millions pour enquêter sur Credit Suisse

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La CEP sur Credit Suisse comptera 14 membres et disposera d'un budget de 5 millions de francs (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA BELLA)

La commission d'enquête parlementaire (CEP) sur le rachat de Credit Suisse par UBS prend forme. Elle devrait compter 14 membres du Parlement. Elle aura un budget de cinq millions de francs. Le National devrait donner son feu vert la semaine prochaine.

La CEP est chargée d'enquêter sur la gestion au cours des dernières années par le Conseil fédéral, l'administration fédérale et d’autres organes ou personnes auxquels sont confiées des tâches de la Confédération, en rapport avec la fusion d'urgence de Credit Suisse avec UBS. Elle comptera 14 membres, annonce mardi un communiqué du bureau du Conseil national.

La commission se composera de sept membres du Conseil national et de sept membres du Conseil des États, propose le bureau. Elle fera rapport aux deux conseils sur les résultats de ses travaux et sur les responsabilités et les lacunes constatées sur le plan institutionnel. Elle devra aussi faire des propositions quant aux mesures à prendre.

Le mandat confié à la CEP est assorti d'un crédit d'engagement de 5 millions de francs. L'arrêté fédéral correspondant sera débattu au Conseil national le mercredi 7 juin, après que le Conseil fédéral aura donné son avis. Il sera ensuite soumis au Conseil des États, également au cours de la deuxième semaine de la session d'été, afin de permettre une éventuelle élimination des divergences durant la troisième semaine de session.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Quotas viticoles de 2022 maintenus ou légèrement rehaussés en 2023

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Après le millésime 2021 historiquement faible en raison des aléas climatiques, la viticulture vaudoise a retrouvé le sourire en 2022 dans des conditions presque méditerranéennes où qualité et quantité étaient au rendez-vous (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Canton de Vaud a décidé de maintenir, voire de légèrement rehausser, pour 2023 les quotas de production fixés en 2022 pour les divers crus de chaque région viticole. Ils ont été fixés alors que le millésime 2022 a retrouvé le sourire tant au niveau qualitatif que quantitatif, a indiqué mardi le Conseil d'Etat.

"Dans une tendance à la réduction générale de la consommation de vin en Suisse, le marché des vins vaudois est stable et montre des signes positifs pour les vins effervescents et le rosé", relèvent les services de Valérie Dittli, cheffe du Département des finances et de l'agriculture (DFA), dans un communiqué.

D'après les analyses de l'Observatoire suisse du marché du vin de Changins et des propositions de la Communauté interprofessionnelle du vin vaudois (CIVV), la ministre en charge de la viticulture a fixé les quotas pour la récolte 2023: ils sont maintenus au niveau de l'an dernier ou légèrement rehaussés pour certains cépages rouges. L'objectif est de conserver voire de renforcer les parts de marchés des vins vaudois, explique le DFA.

Gamay et garanoir relevés

Ces droits de production, exprimés en kilo par mètre carré de vigne, représentent les quantités maximales pouvant être encavées par les opérateurs de la branche vitivinicole, est-il rappelé.

Dans le détail, les quotas définis en 2023 maintiennent la production de chasselas et des autres cépages blancs à 1,10 kg/m2. Les régions de Lavaux, Dézaley et Calamin sont alignées sur les autres, après avoir bénéficié de 1,15 kg/m2 pour les blancs en 2022.

S'agissant du pinot noir et des autres cépages rouges, la limite de production reste globalement inchangée à 0,90 kg/m2 (1,00 kg/m2 pour les vignobles du Nord vaudois). Seuls le gamay et le garanoir sont relevés de 0,90 à 1,00 kg/m2 à Lavaux, Dézaley, Calamin et La Côte. Cette augmentation relative vise à développer l'offre dans le segment porteur des vins rosés, précise le DFA.

Excellente cuvée 2022

En 2022, toutes les vignes ont connu un été caniculaire et subi un stress hydrique qui a localement contraint à l'arrosage, souligne le Canton. Avec 24,5 millions de kg de raisins blancs (72%) et 9,5 millions de kg de raisins rouges (28%), les quotas ont pratiquement été atteints dans toutes les régions du canton, à l'exception de Bonvillars sévèrement touchée par la grêle l'année précédente.

"Partout, l'excellente qualité des raisins a permis d’élaborer des vins d'exception", affirment les services de Mme Dittli.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les perspectives se dégradent encore pour l'économie suisse

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Les nuages s'accumulent notamment sur les secteurs de la finance et de l'assurance, (archive) (© KEYSTONE/CHRISTIAN BEUTLER)

L'horizon de l'économie helvétique continue de s'assombrir en ce milieu d'année, notamment dans l'industrie, les services financiers et l'assurance. Les nuages s'amoncellent aussi en matière d'exportations.

En mai, le baromètre économique du KOF a chuté à 90,2 points, après 96,4 points en avril. "C'est la deuxième fois consécutive que le baromètre accuse une forte baisse", souligne mardi le Centre d'études conjoncturelles de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich (EPFZ). C'est bien en-deçà des attentes, les économistes sondés par AWP l'ayant anticipé entre 94,0 et 97,5 points.

Cette chute est principalement liée aux indicateurs du secteur manufacturier ainsi que des services financiers et d'assurance. Le sentiment est aussi négatif concernant la demande extérieure. En revanche, la consommation privée est légèrement positive, après un accès de faiblesse en avril.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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La Suisse affiche une légère croissance en début d'année

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Alerte Info (© )

Après avoir marqué le pas fin 2022, l'économie suisse a repris un peu de vigueur au 1er trimestre 2023, soutenu par la consommation privée et la hausse des exportations. Le produit intérieur brut (PIB) a progressé entre de 0,6% sur un an et de 0,3% sur trois mois.

Corrigé des effets des événements sportifs, le PIB de la Suisse s'est étoffé au 1er trimestre de 0,5% au regard du dernier partiel de 2022 et de 0,9% en l'espace de douze mois, a indiqué mardi le Secrétariat d'Etat à l'économie (Seco).

L'évolution s'est révélée conforme aux attentes des économistes sondés par l'agence AWP, ceux-ci ayant anticipé une croissance entre 0,1 et 0,3% sur trois mois et entre 0,6 et 0,7% sur un an.

La croissance de la demande intérieure finale de 0,9% au 1er trimestre par rapport aux trois mois précédents a dépassé sa moyenne historique, observent les économistes de la Confédération. Si la consommation de l'Etat a stagné (+0,0%), celles des privés a progressé de manière substantielle (+0,6%). Les dépenses de consommation dans les services, notamment, ont nettement progressé, entre autres dans le domaine de la mobilité et du tourisme. Portée par le secteur des voyages, qui continue de se revigorer, la création de valeur a enregistré une croissance supérieure à la moyenne dans la branche des transports et de la communication (+0,7%) et dans l'hôtellerie-restauration (+1,0%).

Les dépenses de consommation pour les biens ont présenté une évolution moins favorable, la création de valeur ayant fléchi de 0,4% dans le commerce de détail. Considéré dans son ensemble, le commerce clôt néanmoins le trimestre sur un résultat positif (+2,1%) à la faveur du commerce de gros et des ventes d'automobiles. La plupart des autres branches tertiaires ont également enregistré une évolution positive au 1er trimestre, dont le secteur important des services aux entreprises (+0,2%) ainsi que ceux de la santé (+0,7%) et des activités récréatives (+1,2%).

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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