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Genève

Moins de tolérance pour les motos et scooters mal parqués sur les trottoirs

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Gare aux motos et aux scooters mal parqués à Genève... L'application de la loi va être plus stricte dès aujourd'hui.

Après des campagnes d'informations menées ces dernières semaines, les contrôles vont être renforcés dès ce lundi pour mettre fin au stationnement des deux roues motorisés sur les trottoirs ou sur la voie publique hors cases. Avec à la clé des amendes de 40 à 120 francs, en fonction de l'infraction... Concrètement, qu’est-ce qui va changer dès ce lundi ? La réponse de Damien Zuber, directeur général de la Fondation des Parkings.

Damien ZuberDirecteur général de la fondation des Parkings

En écho, les autorités assurent qu'il y a suffisamment de places pour parquer son 2 roues correctement. Damien Zuber, directeur général de la Fondation des Parkings.

Damien ZuberDirecteur général de la fondation des Parkings

Une application plus stricte de la loi qui, bien évidemment, est accueillie froidement du côtés des propriétaires de scooters ou de motos. A l'instar d'Aristos Marcou, président de l'association Génération 2 motards.

Aristos MarcouPrésident de l'association Génération 2 Motards

De leur côté, les motards fustigent le manque de place pour se garer en surface, même si les parkings souterrains sont vus d'un bon œil. Aristos Marcou, président de l'association Génération 2 Motards.

Aristos MarcouPrésident de l'association Génération 2 Motards

Et une nouvelle donne qui pourrait quelque peu échauffer les esprits, avec les agents de la fondation des Parkings en 1ère ligne.

Damien ZuberDirecteur général de la fondation des Parkings

Dossier signé Miguel Hernandez et Benoît Rouchaleau.

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Genève

Une marche pour sortir la Suisse de sa léthargie face au climat

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Les marcheuses et les marcheurs avaient enfilé leurs imperméables pour cette première étape qui devait les mener jusqu'à Mies (VD). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Les participantes à la Marche Bleue ont entamé samedi, à Genève leur voyage de 21 jours qui doit les mener à Berne. Là, elles remettront aux autorités fédérales une pétition demandant que la Suisse respecte l'accord de Paris sur le climat de 2015.

Face au changement climatique, le temps n'est plus aux palabres, mais à l'action, ont souligné avant le départ les quatre initiatrices de la marche, la professeur d'université Julia Steinberger, l'avocate Irène Wettstein, l'infectiologue Valérie D'Acremont et la directrice du CSP Vaud Bastienne Joerchel.

Laisser le climat dériver aura de graves incidences sur la santé, l'alimentation, la biodiversité. Et les plus vulnérables seront les premiers touchés. Or, aujourd'hui, les Etats sont loin de respecter les objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre de l'accord de Paris. La Suisse ne fait pas exception à la règle.

Au lieu d'un réchauffement de 1,5 degré par rapport au début de l'ère industrielle, on s'oriente plutôt vers une hausse des températures de 3,2 degrés, a relevé le conseiller administratif de la Ville de Genève Alfonso Gomez, dans son discours devant les marcheuses. Infléchir la courbe nécessitera des mesures draconiennes.

Journées thématiques

Au cours de leur périple de Genève jusqu'à Berne, les participantes à la Marche Bleue s'entretiendront avec les milieux politiques, économiques et associatifs locaux. Des journées thématiques sont aussi programmées. A Lausanne, on débattra de la mobilité de demain, à Neuchâtel d'agriculture et à Fribourg d'économie.

Au total, les marcheuses, accompagnées de quelques marcheurs, parcourront 224 kilomètres jusqu'à Berne. Au Palais fédéral, elles remettront aux autorités une pétition demandant que la Suisse s'engage dans une politique beaucoup plus ambitieuse de réduction de ses émissions de CO2 générés par les combustibles fossiles.

Samedi, la Marche Bleue a démarré sur la place des Nations, devant l'ONU, pour se rendre à Mies, dans le canton de Vaud. Quelque 500 personnes s'étaient inscrites pour cette première étape. La météo pluvieuse et venteuse en a découragé certaines. Environ 150 participantes sont attendues, en moyenne, lors des autres étapes.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Genève avait tort d'interdire une procession de la Fête-Dieu

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(photo symbolique). (© Keystone/DPA/NICOLAS ARMER)
La justice genevoise a donné raison à une communauté catholique qui n'avait pas obtenu d'autorisation pour organiser une procession de la Fête-Dieu en juin 2022. Le recours de cette paroisse contre la décision du Département de la sécurité (DSPS) a été admis.

La communauté religieuse avait sollicité une autorisation pour un cortège dans le quartier des Acacias afin de célébrer la Fête-Dieu avec le Saint-Sacrement placé dans un ostensoir porté à travers les rues. Entre 100 et 300 personnes étaient attendues pour honorer cette tradition qui remonte au début du 19e siècle.

Le DSPS avait rejeté cette demande de manifestation religieuse cultuelle. Selon le département, cette procession ne constituait pas seulement un hommage à la divinité, mais elle visait à exhiber cet hommage à autrui. Il s'agissait, selon le DSPS, d'une atteinte grave à la liberté et aux droits d'autrui à la neutralité cultuelle du domaine public.

Envergure restreinte

La paroisse a fait recours contre cette décision auprès de la Chambre administrative de la Cour de justice. Dans un arrêt du 21 mars, rendu public vendredi, la Chambre conclut que le refus d'autorisation violait le principe de proportionnalité et dans la foulée, la liberté de conscience et de croyance des recourants.

Selon les juges, la procession était destinée à déambuler silencieusement pendant environ une heure, sur le trottoir uniquement, un dimanche en fin de matinée et dans quatre rues seulement. "Il s'agissait d'une manifestation d'envergure restreinte dont on ne voit pas qu'elle soit de nature à porter atteinte à la paix religieuse", concluent les juges.

Une autre procession

Dans une récente affaire concernant également une procession religieuse sur le domaine public, la chambre administrative avait rejeté le recours des organisateurs. Mais le cas était différent: le refus d'octroyer une autorisation avait été justifié par le fait que cette communauté ne figurait pas sur la liste des organisations pouvant avoir des relations avec l'Etat.

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Genève

L'auteur présumé d'un meurtre arrêté sept ans après les faits

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(© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)
L'auteur présumé d'un meurtre, commis en avril 2016 à Genève, a été localisé et arrêté sept ans après les faits au Sénégal, indique vendredi le Ministère public genevois. Le suspect était l'ex-compagnon de la victime, une femme de 28 ans d'origine italienne.

La malheureuse avait été agressée à l'avenue de la Croisette, près de l'hôpital. Elle aurait été frappée à coups de barre de fer au bas de son immeuble. Grièvement blessée, elle n'avait pas pu être sauvée. Au terme d'une traque qui a duré sept ans, les enquêteurs de la police genevoise ont donc pu retrouver l'auteur présumé du crime.

Il s'agit d'un homme de nationalité sénégalaise et italienne. Les inspecteurs genevois savaient depuis 2020 que le suspect s'était caché au Sénégal. Grâce à une collaboration avec les autorités de ce pays, l'auteur présumé de l'homicide a finalement été interpellé jeudi, à Dakar, par la gendarmerie locale.

L'enquête sur ce meurtre a été perturbée pendant de longs mois par la pandémie de Covid-19. Les investigations au Sénégal n'ont pu reprendre que début mars, avec le déplacement à Dakar de la première procureure Séverine Stalder. L'enquête a permis de déterminer que le suspect avait utilisé quatre identités différentes durant sa cavale.

L'auteur présumé du meurtre étant de nationalité sénégalaise, il ne pourra "vraisemblablement" pas être extradé en Suisse. Une procédure pénale a été ouverte à son encontre au Sénégal.

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Economie

Un projet de médiation culturelle pour les habitants des Acacias

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Un projet de médiation culturelle a été mis en place aux Acacias dans le but d'impliquer les habitants dans la mutation de leur quartier. Le PAV, ici représenté par une maquette, est le plus gros projet de développement urbain du canton (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Un projet de médiation culturelle destiné aux habitants des Acacias a été lancé officiellement vendredi en présence des autorités cantonales et municipales. L'objectif est d'accompagner la population du quartier, actuelle et à venir, dans la conception d'événements artistiques dans l'espace public.

L'association Topos s'associe à la ville de Genève et au canton pour lancer un projet culturel et participatif aux Acacias. Avec pour objectif de fédérer anciens et futurs habitants du quartier.  Il vise à mettre en place un accompagnement des mutations territoriales liées au projet urbain Praille Acacias Vernets (PAV). Le détail du projet avec Marion Nemchi, Présidente de l'association Topos.

Marion NemchiPrésidente de l'association Topos

"Depuis maintenant près de dix ans, les Acacias sont concernés par la planification du PAV. Il est essentiel aujourd’hui que les habitants puissent faire entendre leur voix et participer activement à la transformation de leur lieu de vie", a déclaré le chef du Département du territoire, Antonio Hodgers, cité dans le communiqué. Le projet devra favoriser les liens sociaux.

Parmi les projets, un journal de bord collectif et numérique visible dans l'espace public. Ecoutez  Marion Nemchi.

Marion NemchiPrésidente de l'association Topos

Pour la cohésion

Egalement lancés vendredi, des ateliers participatifs de cartographie sensible permettent de visualiser le ressenti, le vécu et l’identité du quartier. Durant toute l’année 2023, dans divers lieux et rues des Acacias, la population sera invitée à contribuer en partageant sa connaissance de la dynamique quotidienne.

A travers ces interventions artistiques, les habitants du quartier pourront concevoir ensemble des projets afin de prendre part activement à l’évolution de leur lieu de vie. Toutes ces actions auront pour effet de favoriser la cohésion entre les actuels et futurs habitants des Acacias, estiment les différents protagonistes impliqués dans ce projet.

MH avec Keystone-ATS

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Genève

Seul le centre des HUG continue à vacciner contre le Covid-19

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Les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) sont le seul lieu du canton qui propose encore des vaccinations contre le Covid-19 (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

A Genève, seul le centre de vaccination des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) continuera à vacciner contre le Covid-19 durant le printemps et l'été. Vu la faible circulation du virus et le taux élevé d'immunité au sein de la population, les autorités sanitaires ne formulent aucune recommandation de vaccination.

Seules les personnes immunosupprimées et les personnes vulnérables munies d'une ordonnance médicale sont encore encouragées à se faire vacciner. Dès lundi, le vaccin bivalent de Moderna sera disponible au centre des HUG pour les doses de rappel, indique vendredi le Département de la santé dans un communiqué.

La vaccination est suspendue au sein des pharmacies, des cabinets médicaux et dans les autres centres. Pour que la vaccination demeure gratuite, les patients doivent présenter une ordonnance médicale. Les personnes qui veulent se faire vacciner pour des motifs autres que médicaux devront payer 64 francs.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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