La deuxième grève du climat de l’année a lieu ce vendredi soir à Genève, sur le mode, "La planète brûle, on attend quoi?" Elle se rendra de la place des 22 Cantons à la Place des Nations.
Une grève du climat a lieu ce vendredi après-midi à Genève. Le rendez-vous est donné place des 22 Cantons devant la gare Cornavin, à 16 heures. La manifestation se rendra ensuite à la Place des Nations en passant par les Pâquis. C’est seulement la deuxième grève du climat cette année. La précédente manifestation, en mai dernier, n’avait connu qu’un succès modeste. La mobilisation devrait être plus forte cette fois-ci, selon Téo, jeune activiste dans la grève du climat à Genève et membre de Breakfree.
Téo
Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Dès 17h30, différentes actions auront lieu sur la place des Nations, des prises de paroles, des activités artistiques de la danse, des percussions et même une fanfare.
Catastrophes naturelles
Pour Téo, il est urgent d’agir au vu des derniers événements extrêmes.
Téo
Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
L’ONU est un lieu symbolique pour les activistes du climat puisqu’il abrite le monde entier. Ecoutez Téo.
Téo
Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Place financière dans le collimateur
La Suisse et sa place financière doit montrer l’exemple pour les grévistes du climat. Elle doit se désengager du fossile.
Téo
Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Selon les chiffres, la place financière suisse polluerait 22 fois plus que le pays tout entier avec ses investissements.
Les collectifs de défense du climat ont déjà interpellé la banque nationale et les banques privées suisses. Ils vont prochainement s’attaquer aux caisses de pensions.
Téo
Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
"La planète brûle, on attend quoi ?"
Pour Teo, il est important d’agir, de manifester, pour juguler l’inquiétude ambiante.
Téo
Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Le mouvement Grève du climat tient à garder son indépendance, selon Teo, même si des partis politiques sont présents aux manifestations.
Téo
Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Téo Activiste de la Grève du climat et membre de Breakfree
Les aînés pour le climat seront également présents à la manifestation de ce vendredi.
Si vous voulez en savoir plus sur les nouveaux traitements de radiothérapie, c’est le moment. Le Service de radio-oncologie des Hôpitaux Universitaires de Genève organise des portes ouvertes ce jeudi.
Visite des lieux, rencontre avec les équipes, voilà ce qui attend les visiteurs. La radiothérapie joue un rôle essentiel dans le traitement des cancers. Une personne sur deux atteinte d’un cancer aura en effet besoin d’une radiothérapie. Ces portes ouvertes seront aussi l’occasion de présenter les différentes professions qui collaborent au sein de cette spécialité médicale mais aussi le fonctionnement des équipements et leur rôle dans le traitement des cancers. André Durham est radio-oncologue aux HUG.
Dr André Durham
radio-oncologue aux HUG
Dr André Durham radio-oncologue aux HUG
Dr André Durham radio-oncologue aux HUG
Le public pourra aussi, notamment, découvrir un robot permettant de s'attaquer aux tumeurs avec une grande précision.
Dr André Durham
radio-oncologue aux HUG
Dr André Durham radio-oncologue aux HUG
Dr André Durham radio-oncologue aux HUG
Les portes ouvertes ont lieu de 16h à 19h. L'entrée est libre, vous pouvez aussi vous inscrire ici.
Des proches parentes de l'escort-girl française qui avait été tuée à son domicile, en 2019, à Genève, ont regretté mardi les mensonges à répétition du principal accusé dans cette affaire. Cet homme de 43 ans est jugé depuis lundi pour assassinat par le Tribunal criminel de Genève.
Elles ont précisé à la Cour avoir suivi en France le procès de l'autre protagoniste du meurtre. Ce jeune homme de 21 ans a été condamné en mars dernier à 13 ans de réclusion. "Nous avons vu une personne qui assume et qui évolue et nous n'avons pas l'impression que ce soit le cas du prévenu" jugé à Genève, ont-elles fait savoir.
Elles ont notamment trouvé que les remords émis par l'accusé étaient insultants. "Il ne fait que mentir et nous avons peu d'espoir que cet homme violent change un jour". Elles ont dit attendre que le tribunal prenne des mesures afin qu'une telle horreur ne se produise plus et que l'accusé ne puisse "plus faire de mal".
Des antécédents
Outre le meurtre de l'escort-girl, le prévenu est également jugé pour une tentative d'extorsion et de chantage à l'encontre d'une prostituée de l'est et pour s'en être pris, en le menaçant chez lui avec une arme à feu, à un ressortissant ukrainien qu'il soupçonnait de diriger un réseau clandestin de prostitution à Genève.
Pour cette expédition punitive, le prévenu avait engagé un Biélorusse comme homme de main et un Moldave comme chauffeur. Tous deux sont jugés par le Tribunal criminel pour brigandage aggravé et complicité de brigandage aggravé. Les deux hommes ont été interrogés par la Cour mardi.
Les juges ont aussi entendu l'ancienne compagne de la victime du brigandage. Habitant en Ukraine, elle a été entendue en visioconférence par le tribunal. Elle a été surprise d'apprendre, sur une question d'un des avocats, que son ancien compagnon avait retiré sa plainte dans cette affaire.
L'homme soupçonné d'avoir assassiné l'escort-girl avec un jeune complice nie l'essentiel des faits. Le quarantenaire affirme n'avoir pas été présent dans l'appartement de la prostituée quand celle-ci a été tuée. Il a juste concédé avoir aidé à mettre le corps de la malheureuse dans une valise pour le transporter jusqu'à Evian (F).
Le cadavre a ensuite été brûlé et enterré en bas d'un ravin, dans une forêt de la petite commune de Marin.
Le procès se poursuit mercredi avec l'audition de plusieurs témoins. Puis viendra le tour du représentant du Ministère public de formuler ses réquisitions.
Le boulevard du Pont-d’Arve rouvre vendredi, avec deux voies de circulation pour les voitures. La Ville de Genève précise que son plan de marquage, qui ne demandait qu’un axe pour les véhicules, n’a pas reçu l’aval du canton. Le conseiller d'Etat aux mobilités, Pierre Maudet, répond, lui, que cette demande a été faite très tardivement et qu'il faut un travail plus concerté sur la question avant toute modification.
"Ce n'est pas d'un claquement de doigts que l'on va dégrapper de bon matin ou que l'on va peindre des lignes, de nuit, pour se faire plaisir. C'est un peu plus subtil que cela"
Le boulevard du Pont-d'Arve va enfin rouvrir, le 1er décembre... après plus de cinq mois de travaux et de nombreux retards. La Ville souhaitait que le boulevard passe à une seule voie pour les voitures. Elle assure avoir envoyé un plan de marquage, le 16 octobre dernier au département des mobilités... qui n'a pas donné son aval:
"On a reçu, non pas le 16 octobre mais le 21 novembre, cette demande, c'est extrêmement tardif. Le chantier du boulevard du Pont-d'Arve, on le connaît depuis le mois de juin. Si la Ville a des intentions, il faut qu'elle les manifeste assez en amont. La Ville devrait savoir que la modification du trafic, sur une rue, a un impact sur beaucoup d'autres rues. On a un quartier qui est chargé, je le reconnais et on y travaille (...) Ce n'est pas d'un claquement de doigts que l'on va dégrapper de bon matin ou que l'on va peindre des lignes, de nuit, pour se faire plaisir. C'est un peu plus subtil que cela. Il y a un travail, en profondeur, qui doit être fait. On ne peut pas simplement, quelques jours ou quelques semaines avant la réouverture de cet axe, se dire on passe de deux voies à une voie sans tenir compte des effets collatéraux pour tout le quartier. On continue le travail, avec la Ville, sur la régulation des feux, sur l'0rientation du trafic, sur une atténuation de celui-ci sur tous ces axes, il n'y a pas que le boulevard du Pont-d'Arve. On le fait de façon concertée, coordonnée et un tout petit peu sérieuse".
La pornographie en ligne au cœur d’une conférence organisée par l’UNIGE ce mercredi. 4 experts vont analyser l’impact de l'industrie de la pornographie et notamment ses revenus. Il sera aussi question de la manière dont la réalité virtuelle influence la pornographie actuelle ainsi que la vie sexuelle des internautes.
Intitulée "Les dessous de l'industrie de la pornographie en ligne", la conférence parlera des acteurs de cette industrie et des flux d'argent sous-jacents, de l'impact des nouvelles technologies sur la transformation de l'industrie pornographique, aussi.
Les sujets seront traités par Giedre Huber, maître d'enseignement et de recherche au Centre de philanthropie de l'Université de Genève, Francesco Bianchi-Demicheli, thérapeute et médecin spécialiste en sexologie, et Saul Pandelakis, chercheur à l'Université de Toulouse et auteur de fiction. Cathline Smoos, psychologue et sexologue sera également présente. Elle expliquera notamment en quoi la pornographie en réalité virtuelle transforme la vie sexuelle des internautes.
Cathline Smoos
Psychologue et sexologue
Cathline SmoosPsychologue et sexologue
Cathline SmoosPsychologue et sexologue
Pour elle, la réalité virtuelle peut offrir des alternatives aux problématiques de la pornographie actuelle.
Cathline Smoos
Psychologue et sexologue
Cathline SmoosPsychologue et sexologue
Cathline SmoosPsychologue et sexologue
Quels sont les avantages de la réalité virtuelle dans la pornographie ?
Cathline Smoos
Psychologue et sexologue
Cathline SmoosPsychologue et sexologue
Cathline SmoosPsychologue et sexologue
La conférence est organisée en partenariat avec le Centre Maurice Chalumeau en sciences de la sexualité de l'UNIGE. Elle s'inscrit dans le cadre de la 4e édition du cycle de conférences-débats du Bureau de la transition numérique destiné à créer un dialogue entre la communauté universitaire et le grand public. Ce cycle se déroulera jusqu'en mars. Les événements ont lieu à Uni Dufour et en ligne.
A Genève, le metteur en scène Eric Devanthéry dirigera le Théâtre du Grütli à partir du 1er juillet pour trois saisons. Le Genevois succèdera à Barbara Giongo et Nataly Sugnaux Hernandez, dont le mandat arrive à son terme.
Le dossier porté par Eric Devanthéry a été choisi à l'unanimité par une commission d'évaluation composée de quatre experts externes après trois tours, a annoncé la Ville de Genève mardi, tout en précisant qu'elle a reçu onze candidatures de grande qualité. Le mandat du metteur en scène, traducteur et dramaturge né en 1974 est renouvelable une fois pour trois nouvelles saisons.
Nommé "Scènes du Grütli", ce projet est axé sur la pluralité du théâtre. "Il cultive un fort enthousiasme et une capacité à fédérer autour de l'accompagnement des artistes et des compagnies genevoises, tout en portant une véritable attention au développement des publics", souligne la Ville de Genève. Des projets "Pop Up" feront ainsi ponctuellement sortir le théâtre de ses murs.
Accompagnement des artistes
Eric Devanthéry s'est formé à l'Université de Genève et à l'Ecole supérieure d'art dramatique de Genève. Il a été assistant de Thomas Ostermeier à la Schaubühne de Berlin en 2002. Il a mené une résidence au Théâtre Pitoëff, à Genève, de 2015 à 2018. Ses pièces tournent régulièrement en Suisse romande et alémanique. Il a aussi enseigné le théâtre.
Barbara Giogo et Nataly Sugnaux Hernandez ont dirigé le Théâtre du Grütli depuis 2017. Durant leurs deux mandats, elles ont développé l'accompagnement des artistes. Elles ont récemment été récompensées par un Prix suisse des arts de la scène.