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Arts

« La baleine », le premier film de Tom Tirabosco

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Tom Tirabosco

Le dessinateur genevois Tom Tirabosco présente son premier film, "La baleine", il sera projeté pour la première fois ce week-end à Genève

Tom Tirabosco se lance dans le film d’animation.

Le dessinateur genevois a imaginé un court métrage de 11 minutes. 

Il sortira en première suisse au festival Animatou de Genève ce samedi. 

Tom Tirabosco a travaillé avec le réalisateur Leandro Basso qui a donné vie à ses personnages. 

Mais de quoi parle cette histoire? La réponse de Leandro Basso et Tom Tirabosco:

Un film de Tom Tirabosco et Leandro Basso

Comment ont-ils fait pour donner vie aux personnages dessinés? La réponse de Tom Tirabosco:

Tom Tirabosco

"La baleine" est un animal cher au dessinateur genevois qui avait donné un spectacle sur ce même thème:

Tom Tirabosco

Quel effet cela lui a fait de voir ses personnages prendre vie?

Tom Tirabosco

Ce projet date d'il y a plusieurs années:

Tom Tirabosco

Pour découvrir "La baleine", rdv ce samedi 8 octobre au festival Animatou à Genève.

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Arts

Décès du maître du "volume" Fernando Botero à 91 ans

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Le peintre et sculpteur Colombien Fernando Botero devant ses œuvres à Mexico en mars 2012. (© EPA/Mario Guzman)

Le peintre et sculpteur colombien Fernando Botero est décédé vendredi à l'âge de 91 ans. Célèbre pour ses personnages aux formes voluptueuses, il était considéré comme l'un des plus grands artistes du XXe siècle.

"Fernando Botero, le peintre de nos traditions et de nos défauts, le peintre de nos vertus, est mort", a annoncé le président colombien Gustavo Petro vendredi sur le réseau social X (ex-Twitter). "Le peintre de notre violence et de notre paix. De la colombe mille fois rejetée et mille fois placée sur son trône", a-t-il ajouté en référence à l'un des animaux emblématiques de l'artiste.

Fernando Botero était né en 1932 à Medellin, dans le centre de la Colombie. Selon sa fille Lina, il est décédé à 09h00 à Monaco, où il résidait. "Il a continué à peindre jusqu'à la fin et encore samedi", a-t-elle ajouté.

Parkinson

Et de préciser que son père "souffrait de la maladie de Parkinson depuis plusieurs années", qui ne lui apportait pas "de tremblements" mais "il lui était difficile de marcher, de communiquer et d'avaler". "Au cours des cinq derniers jours, il avait développé une pneumonie", a-t-elle encore dit.

"Il est le plus colombien des Colombiens parce qu'il portait la Colombie dans son coeur en permanence. Non seulement parce qu'il se tenait au courant de l'actualité colombienne, sensible aux besoins et aux domaines dans lesquels il pouvait apporter son aide, mais aussi parce que la Colombie et ses souvenirs ont nourri son oeuvre artistique", a-t-elle déclaré.

Medellin en deuil

La presse colombienne saluait vendredi matin à l'unisson "le plus grand artiste colombien de tous les temps". Sa ville natale de Medellin a décrété sept jours de deuil pour "rendre hommage au maître (...) après une vie pleine d'oeuvres et un héritage qui restera à jamais dans le coeur de tous les habitants" de la ville, a indiqué son maire Daniel Quintero.

L'édile a rendu hommage à "un grand homme d'art, de culture, mais aussi un grand homme en raison de son amour pour Medellin, de son amour pour la Colombie, de son amour pour l'Amérique latine. Son oeuvre, sa vie, son héritage resteront dans cette ville qu'il aimait tant et dans laquelle il a laissé tant d'oeuvres", a-t-il dit. Des hommages seront rendus au "maestro" "sur la place Botero et dans les différents lieux de la ville où son oeuvre se trouve aujourd'hui et où elle vivra à jamais".

Toujours selon la municipalité, la dépouille "du Maestro sera inhumé à Pietrasanta, en Italie, à côté de celle de son épouse Sophia Vari, sculptrice grecque décédée le 5 mai dernier " après 48 ans de vie commune. Un départ qui lui avait provoqué "une tristesse infinie" selon sa fille.

Pluie d'hommages

Hommes politiques, de culture, médias... Partout en Colombie, c'était une pluie d'hommages pour l'artiste auteur de plus de 3000 tableaux et 300 sculptures. "Un grand homme nous a quittés, il a donné un grand nom au pays, il a exalté la culture. Merci Maestro Botero", a commenté l'ancien président Alvaro Uribe (2002-2010).

"Nous regrettons profondément le départ de Fernando Botero, l'un des plus grands artistes de Colombie et du monde. Il a toujours été généreux envers son pays, un grand ami et un bâtisseur de paix passionné", a déclaré sur le réseau X un autre ex-président et prix Nobel de la Paix Juan Manuel Santos (2010-2018).

Pas "gros"

Issu d'un milieu modeste, Botero s'initie à l'art très tôt et après une première exposition individuelle à Bogota dans les années 1950, il part pour l'Europe, séjournant en Espagne, France et Italie où il découvre l'art classique. Sa carrière décolle dans les années 1970 à New York, où il commence à être contacté par les plus grands marchands d'art.

Les dimensions hors du commun deviendront sa marque de fabrique. Pour l'artiste, le qualificatif de "gros" ne convenait pas à ses personnages. Amoureux de la Renaissance italienne, il se disait "défenseur du volume" en art moderne. Sa sculpture, également marquée par le gigantisme, a occupé une place très importante dans sa carrière.

Fernando Botero a aussi été un grand mécène, avec des donations estimées à plus de 200 millions de dollars. Il a donné aux musées de Medellin et de Bogota nombre de ses oeuvres, et des dizaines de tableaux de sa collection privée, dont des Picasso, Monet, Renoir, Miro...

Ses oeuvres sont aussi visibles en plein air dans de nombreuses villes du monde, l'artiste estimant que les expositions dans les espaces publics sont un "rapprochement révolutionnaire" de l'art avec le public.

Avec Keystone-ATS

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Arts

Les enfants à l'opéra

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A atelier-spectacle "La souris Traviata" au Grand Théâtre de Genève

Le Grand Théâtre de Genève propose des ateliers-spectacles pour initier les enfants à l'opéra. Des ateliers pour les 3-7 ans.

Des enfants accompagnés de leurs parents ont rendez-vous dans le foyer lyrique du Grand Théâtre. En face d'eux, une soprano ou une mezzo-soprano qui chante mais pas uniquement. Les enfants sont mis à contribution d'abord pour un échauffement puis pour chanter! Le nom du spectacle: "La souris Traviata". Reportage:

Reportage Opéra pour les enfants

Ces ateliers sont aussi organisés pour les scolaires. En ce qui concerne le grand public la prochaine session aura lieu en novembre. Le prix: 10 francs pour les enfants et 15 francs pour les adultes.

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Arts

La crème de l'improvisation se retrouve à Genève

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Mondial de l'improvisation de Genève

C’est l'événement de l’année pour les amateurs d’improvisation, le mondial de la discipline commence mercredi à Genève.

A partir de ce mercredi et jusqu’au 22 octobre, Genève accueille le Mondial d’improvisation théâtrale amateur!

Il est organisé par la FIG, la Fédération d’Improvisation Genevoise et va rassembler les meilleures équipes du monde francophone: la Belgique, la France, l'Italie, le Québec et la Suisse. Chaque soir, les matchs opposeront 2 équipes. 

Le premier sera Suisse-France mercredi. 

Comment se passe un match? La réponse de Sara Rusalen , elle fait partie de l’équipe de suisse et est membre de la fédération d'improvisation genevoise:

Sara RusalenMembre de la fédération d'improvisation genevoise

Et c’est le public qui va voter pour son équipe favorite. 

Quand on pense au théâtre d’impro, on pense humour mais ce n’est pas toujours le cas. Sara Rusalen:

Sara RusalenMembre de la fédération d'improvisation genevoise

Si l'improvisation est une discipline à part entière, elle n’est pas aussi professionnelle que le “théâtre classique”.

Sara RusalenMembre de la fédération d'improvisation genevoise

Les qualifications se passent au Théâtre de la Madeleine et la finale au Bâtiment des Forces Motrices

Billetterie et infos ici

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Arts

Le Grand Théâtre lève le voile sur ses coulisses

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Archives du Grand théâtre lors de sa réouverture post-covid (KEYSTONE/Martial Trezzini)

Ce dimanche 11 septembre, les Genevois.es sont invités à découvrir les coulisses du Grand Théâtre à l’occasion de sa Journée Portes Ouvertes.

L’occasion de monter sur la scène mythique, de partir sur les traces des secrets du grand foyer et d’assister à une répétition du Ballet, puis à un concert du mythique Chœur du Grand Théâtre, que nous envie le monde entier. 

Visite guidée avec Benjamin Smadja et Elsa Duperray qui ont poussé pour vous les portes des couloirs feutrés de la célèbre institution genevoise, bien loin d’être poussiéreuse…

Pour démarrer, il faut passer par l'entrée

Ce n'est qu'ensuite que la sublime salle de 1500 places se dévoile

Le Grand Théâtre de Genève, ce sont aussi des hommes et des femmes

Au programme du dimanche 11 septembre:

  • 11h-18h Atelier maquillage pour enfants, visites, quiz, borne à selfies
  • 14h Répétition du Ballet du GTG
  • 15h30 Concert du Chœur du GTG

Version longue de la balade:

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Arts

Le cirque Starlight fête ses 35 ans dans des limbes oniriques

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(KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Le cirque Starlight écume les villes romandes depuis 35 ans, avec comme mot d'ordre: surprendre, encore et toujours. Cette année, le cirque fondé en 1987 par Jocelyne et Heinrich Gasser invite les spectateurs à découvrir "Limbes", création de leur fils Christopher.

Dans ce spectacle onirique mêlant théâtre et performances de cirque traditionnelles, point de lions, éléphants ou autres chevaux. Les fondateurs ont décidé de se passer d'animaux pour se consacrer au cirque contemporain voilà déjà 20 ans. "Nous sommes très avant-gardistes, c'est ça l'esprit Starlight", s'enthousiasme Jocelyne Gasser au micro de Keystone-ATS.

"Plus loin, plus haut, plus fort"

Même si Heinrich, le mari, fait partie de la dynastie Gasser qui compte cinq générations, le couple ne craint pas de casser les traditions et de sortir de sa zone de confort. "Heinrich a quitté le cirque familial pour créer Starlight en 1987, alors que notre deuxième enfant avait tout juste trois jours", raconte Jocelyne. Désireux de transmettre leur passion et de former la relève, les Gasser ont ensuite créé l'Ecole de cirque du Jura à Porrentruy en 1997.

Jocelyne se souvient des 35 dernières années comme pleines de partage, mais également de défis. "Il faut pouvoir vendre ses idées et contenter un public qui évolue, s'adapter à une nouvelle génération d'artistes qui a moins l'habitude de vivre en caravane. Nous devons constamment nous remettre en question pour aller toujours plus loin, toujours plus haut, toujours plus fort", explique-t-elle.

Le cirque comme mode de vie

Pour cette "privée", arrivée dans le monde du cirque sans y être née, l'itinérance est devenue un mode de vie. "Chaque jour, on a une vue différente depuis la porte de sa caravane, parfois c'est un lac, parfois des montagnes. On vit dans une petite île de bien-être avec des échanges culturels sans religion et sans politique", dit-elle.

Et pour autant que l'on parvienne à joindre les deux bouts, la question financière ne semble guère pertinente. "Cela a toujours été comme ça", tranche Jocelyne. "On ne vit pas du cirque, on vit pour le cirque, c'est une passion".

Après la première de "Limbes" le 18 mars, chez lui à Porrentruy, le cirque Starlight se produit actuellement à Genève. Il dressera ensuite son chapiteau dans plusieurs villes neuchâteloises, fribourgeoises, vaudoises et valaisannes d'ici à la fin du mois de juin.

https://cirquestarlight.ch

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