Rejoignez-nous

Genève

Des enfants apprennent les bons gestes à l'occasion de la journée du coeur

Publié

,

le

C’est la journée mondiale du cœur ce jeudi. A cette occasion, le réseau Save a life a organisé une journée de sensibilisation pour 170 enfants du primaire à la rotonde des Pâquis à Genève.

Apprendre les gestes qui sauvent aux enfants, c’est le but de la sensibilisation organisée ce jeudi par Save a life à la rotonde des Pâquis à Genève, à l'occasion de la journée mondiale du coeur. De 10 heures à 17 heures, ce ne sont pas moins de 170 enfants âgés de 8 à 12 ans qui se sont succédé dans les différents ateliers. Reconnaître les signes d’une crise cardiaque, appeler le numéro d’urgence, mettre en position latérale de sécurité et s’essayer au massage cardiaque sur un mannequin, autant de gestes qui peuvent sauver des vies. Les précisions de Sébastien Martin-Achard, directeur de Save a life.

Sébastien Martin-AchardDirecteur du réseau Save a life

Le directeur de Save a live rappelle qu’après trois minutes sans oxygène le cerveau subit des lésions irréversibles, d’où l’importance d’agir vite. Les enfants sont bien débrouilles d'après Sébastien Achard.

Sébastien Martin-AchardDirecteur de Save a life

10'000 personnes meurent chaque année d’un infarctus du myocarde. 400 arrêts cardio-respiratoires par an à Genève dont 250 environ sont réanimés.

170 enfants des écoles des Pâquis et de Versoix sont venus apprendre les gestes qui sauvent en cas de malaise cardiaque. Reportage dans les différents ateliers.

Sachant que trois quart des accidents cardiaques ont lieu à la maison, les enfants peuvent être amenés à intervenir. Appeler le numéro d’urgence, reconnaître les signes d’une crise cardiaque et pratiquer un massage étaient les ateliers proposés par Save a life. Les enfants ont participé avec sérieux...on les écoute.

élèves des écoles des Pâquis et de Versoix

Cliquez pour commenter

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Culture

Une soirée pour mieux connaitre les requins et les raies

Publié

le

Raies Mobula ©Christopher Leon

Pour protéger notre planète, il faut protéger les requins et les raies.

C’est en substance le message que veut faire passer la fondation “Save our seas”, basée à Genève. 

L'organisation est spécialisée dans la préservation de ces espèces et de leur environnement, elle soutient de nombreux projets scientifiques ou d’éducation dans le monde. A l’occasion de son vingtième anniversaire, elle a organisé deux évènements gratuits. Le premier remonte à cet été 2023, avec une exposition photos sur la rotonde du Mont-Blanc, de Thomas Peschak qui travaille pour le National Geographic.

Le deuxième a lieu ce samedi 23 septembre. Il s'agit d'une soirée gratuite et ouverte à tous, au Théâtre du Léman. Au programme, des échanges avec des experts et la diffusion de films, dont "Older than trees" de la réalisatrice oscarisée Pippa Ehrlich. Un événement placé sous le signe de l’optimisme.

Aurélie Grospiron, en charge de la communication pour la Fondation “Save our seas” espère que cette soirée va donner des idées aux jeunes:  

Aurélie GrospironEn charge de la communication pour la Fondation “Save our seas”

Principale menaces pour les requins: la surpêche mais aussi le réchauffement climatique. Ils sont pourtant vitaux pour la bonne santé de notre planète:

Aurélie GrospironEn charge de la communication pour la Fondation “Save our seas”

L'événement est gratuit, il faut juste s’inscrire en amont.

Les informations complémentaires ici.

Continuer la lecture

Genève

Pour un contreprojet à l'initiative "J'y vis, j'y paie!"

Publié

le

Le Grand Conseil genevois ne veut pas de l'initiative législative cantonale de l'UDC "J'y vis, j'y paie!" (illustration). (© KEYSTONE/GEORGIOS KEFALAS)

Le Grand Conseil genevois ne veut pas de l'initiative législative cantonale de l'UDC "J'y vis, j'y paie!". Mais il estime qu'une réforme de la fiscalité des communes est nécessaire, raison pour laquelle il a adopté jeudi soir le principe d'un contreprojet dans ce sens.

"A Genève, le système d'imposition communale des personnes physiques est le plus compliqué de Suisse", a dénoncé le centriste Sébastien Desfayes, rapporteur de majorité. L'initiative vise à transférer l'intégralité de l'impôt communal au lieu de domicile. Ce faisant, elle porte atteinte à la solidarité entre les communes, a-t-il déploré: "La Ville de Genève perdrait 50 millions de francs."

Actuellement, l'impôt communal est partagé, selon des calculs très complexes, entre la commune de domicile et la commune de travail lorsque ces communes sont différentes, une pratique unique en Suisse. S'y ajoutent les mécanismes de péréquation financière intercommunale, un millefeuille tout aussi complexe "qui arrive en bout de course", selon M. Desfayes.

"Temps considérable"

Pour le Centre et à sa suite Libertés et justice sociale (LJS) et le MCG, il faut réformer le système, mais l'initiative pose problème. Ils se sont déclarés en faveur d'un contreprojet. "Les discussions sur une refonte du système de péréquation prendront un temps considérable. Le contreprojet parlera des principes de la réforme.", a expliqué le rapporteur de majorité.

"Les années de discussions vont engendrer des blocages. C'est hasardeux", a mis en garde le Vert Julien Nicolet-dit-Félix, rapporteur de deuxième minorité. Rejetant l'initiative, il a plaidé pour le statu quo. Un avis partagé par le socialiste Grégoire Carasso, rapporteur de troisième minorité, pour qui "la redistribution d'une part de l'impôt sur le lieu de travail est juste."

De leur côté, le PLR et l'UDC sont favorables à l'initiative et au principe d'un contreprojet. Au final, l'initiative a été refusée par 63 non (le Centre, MCG, LJS, Verts et PS) et 32 oui (PLR et UDC). Le principe d'élaborer un contreprojet a, lui, été accepté par 63 oui (le Centre, MCG, LJS, PLR et UDC) et 33 non (Verts et PS).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Genève

Baignade fortement déconseillée dans l'Arve et le Rhône

Publié

le

La baignade est fortement déconseillée dans l'Arve ainsi que dans le Rhône à partir de la Jonction à cause du déversement accidentel d'une grande quantité d'eaux usées à Annemasse, en France voisine (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/MAGALI GIRARDIN)

La baignade est fortement déconseillée dans l'Arve ainsi que dans le Rhône à partir de la Jonction, ont indiqué jeudi les Départements genevois du territoire et de la santé dans un communiqué commun. Le déversement accidentel d'une grande quantité d'eaux usées dans l'Arve à Annemasse (F) a entraîné une contamination bactérienne "très élevée".

Le déversement a eu lieu à la suite de l'obstruction d'un collecteur d'eaux usées du réseau d'assainissement de l'agglomération d'Annemasse dans la nuit de mercredi à jeudi, ont précisé les autorités genevoises.

Jusqu'à nouvel avis, toutes les activités impliquant un risque d'ingestion d'eau du fleuve ou de la rivière - notamment baignade, kayak, rafting, paddle - sont "fortement déconseillées" dans ces zones. La baignade et la consommation d'eau sont également déconseillées aux animaux de compagnie. L'eau potable genevoise n'est pas concernée par cet incident.

Les travaux de réparation du collecteur d'eaux usées bouché sont en cours, indiquent les autorités. La canalisation défectueuse devrait fonctionner à nouveau normalement "dans les prochaines heures". Les autorités suivent la situation et continueront d'informer la population.

Les bactéries présentes dans les eaux usées et déversées dans l'Arve peuvent provoquer des nausées, des vomissements ou des diarrhées de quelques jours, préviennent les autorités. En cas de symptômes, il est recommandé de boire de l'eau en suffisance.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Genève

Pictet pose la première pierre de son nouveau campus carougeois

Publié

le

© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI

Le groupe bancaire Pictet a posé jeudi sous un ciel menaçant la première pierre du nouveau campus Pictet de Rochemont à Carouge. La future tour de 90 mètres de haut, dont les travaux dureront environ deux ans, accueillera à terme quelque 2500 employés.

La cérémonie présidée par Renaud de Planta, associé senior de Pictet, a eu lieu en présence notamment d'Antonio Hodgers, président du Conseil d'Etat genevois, de Stéphanie Lammar, maire de Carouge, et d'Inès Lalumière, architecte en charge du projet.

"Nous prévoyons d'emménager au second semestre 2025", a déclaré M. de Planta. Les travaux de terrassement sont terminés et le gros peut désormais commencer, avec comme objectif une cérémonie du bouquet dans une année. La tour sera réalisée sans échafaudages et dépassera de 30 mètres celle de la télévision. Elle sera la plus haute du canton, en attendant la réalisations d'autres projets dans le périmètre d'aménagement Praille-Acacias-Vernets (PAV).

Outre les 55'000 mètres carrés de bureaux, l'édifice abritera 96 appartements répartis sur 11'500 mètres carrés, développés et gérés par la caisse de retraite de Pictet. Un auditorium public, des arcades commerciales, un restaurant et des espaces verts accessibles à tous figurent également au programme.

Dans son discours, Antonio Hodgers a salué une réalisation architecturale s'inscrivant dans un projet de densification urbaine soigné, dans le cadre de l'aménagement du PAV, le plus grand chantier de mutation urbaine d'Europe.

Volonté de créer de nouvelles places de travail

Le nouvel immeuble sera relié au siège actuel de Pictet par une passerelle et un passage souterrain. Le groupe rassemblera sur son nouveau site les bureaux qui se trouvent aujourd'hui dispersés dans d'autres bâtiments externes, a expliqué à AWP une porte-parole. A terme, la banque aura par ailleurs la possibilité de créer 1000 postes de travail supplémentaires par rapport à ses effectifs actuels.

Pour mémoire, Pictet employait fin août 2023 un peu moins de 3000 collaborateurs en équivalents plein-temps dans le canton de Genève. Seules trois entreprises du bout du lac comptaient plus de 2000 collaborateurs à fin juin 2023, selon les chiffres du Département de l'économie et de l'emploi: Migros, Pictet et Rolex.

Au chapitre de l'environnement, Pictet a prévu entre autres de faire appel à la géothermie en installant 99 sondes verticales de 350 mètres chacune, qui exploiteront les ressources du sous-sol sous forme de chaleur et de fraîcheur. L'aérothermie, l'énergie solaire et la récupération de chaleur sur le réseau des eaux usées seront également utilisées.

Enfin, le campus sera bordé par la Drize, qui s'écoule actuellement dans une galerie souterraine. Les travaux de remise à ciel ouvert démarreront cet automne et seront suivis d'une opération de renaturation.

Source ATS

 

Continuer la lecture

Environnement

La Nuit est Belle: Quel impact de la pollution lumineuse sur la santé?

Publié

le

MAGALI GIRARDIN

Plus de 180 communes du Grand Genève seront plongées dans le noir vendredi soir, à l’occasion de la Nuit est Belle! Près de 80 animations sont prévues pour cette 4e édition.

Extinction des feux ce vendredi avec la 4e édition de “La Nuit est Belle”. Plus de 180 communes du Grand Genève n’allumeront pas leur éclairage public ce vendredi soir. Elles sont 118, désormais, à le faire totalement ou partiellement, au quotidien. Le thème choisi pour cette année:  « l’Humain, la nuit », avec un curseur placé sur la santé des usagers et l’impact de la pollution lumineuse sur notre organisme.  Les explications de Laurence Bayer. Elle est chercheuse au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l’UNIGE et au Centre de médecine du sommeil des HUG.

Laurence Bayer Chercheuse au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l'UNIGE et au Centre de médecine du sommeil des HUG

Trop d’éclairage intrusif autour de nos habitations perturbe en effet notre rythme biologique et peut entraîner des troubles du sommeil.

Laurence Bayer Chercheuse au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l'UNIGE et au Centre de médecine du sommeil des HUG

Face à ce constat il est donc important de se protéger de la lumière artificielle au quotidien.

Laurence Bayer Chercheuse au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l'UNIGE et au Centre de médecine du sommeil des HUG

« La nuit est belle, restons visible ! »

Balades nocturnes, repas à la bougie, lectures contées, observations du ciel, expositions : près de 80 animations sont prévues ce vendredi.

La sécurité des usagers la nuit sera aussi au cœur des échanges lors de cette 4ème édition via une campagne de sensibilisation « La nuit est belle, restons visibles! ». L’objectif est d’encourager les cyclistes, utilisateurs de trottinettes et piétons à se rendre plus visibles la nuit. Des matériels réfléchissants seront distribués vendredi matin aux abords des gares Léman Express. 

 

Continuer la lecture