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Cet article va vous surprendre !

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(© KEYSTONE/DPA/FABIAN SOMMER)

C’est avec ce genre de titre que les réseaux sociaux captent votre attention. Mais comment ces plateformes numériques s’y prennent-elles exactement pour nous attirer et exploiter les failles de notre cerveau? Une conférence organisée ce mercredi soir par l’UNIGE va tenter de répondre à cette question.

Demandez à Netflix quel est votre genre de film préféré, le service de vidéo à la demande saura vous répondre parfois même mieux que votre entourage. Vous attendez un enfant et vous voulez l’appeler Léon : dès demain vous verrez sur votre page d'actualité Facebook les 30 vieux prénoms les plus jolis pour votre futur bébé. Les plateformes numériques exploitent massivement nos données d'utilisation. Mais comment captent-elles notre attention?
Réponse ce mercredi à l’UNIGE. Le Bureau de la Transformation numérique de l'Université organise une conférence pour tenter de comprendre comment les géants du web font pour capter notre attention et récolter nos précieuses informations mais surtout comment aussi les réguler.

La première à chose à faire est de définir l’attention, ce qui n’est pas forcément le plus simple, explique Nicolas Burra, enseignant en neuroscience et psychologie à l’UNIGE et qui participe à cette conférence.

Nicolas BurraEnseignant en neuroscience et psychologie à l'UNIGE

Nicolas Burra nous décrit les différents mécanismes de l’attention activés face aux réseaux sociaux.

Nicolas BurraEnseignant en neuroscience et psychologie à l’UNIGE

Alors comment faire pour réguler notre attention face à ces plateformes ?

Nicolas BurraEnseignant en neuroscience et psychologie à l’UNIGE

Célia Zolynski, professeure spécialisée en droit de la propriété intellectuelle et en droit du numérique à l’Université de Paris Panthéon Sorbonne, et Joséphine Hurstel, responsable des études chez Conseil National du Numérique, analyseront aussi ces questions à l’aune de leur expertise.

 

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Prise en charge limitée des prévenus de violence domestique

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Selon la Cour des comptes, le dispositif de prise en charge des auteurs prévenus de violence domestique est limité, et les entités spécialisées sont peu nombreuses et saturées (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A la demande du canton de Genève, la Cour des comptes a évalué la prise en charge des auteurs prévenus de violence domestique. Elle constate que le dispositif est limité et que les entités spécialisées sont peu nombreuses et saturées.

Le Département des finances, qui chapeaute le Bureau de promotion de l'égalité et de prévention des violences (BPEV), souhaite renforcer la prise en charge des auteurs de violence domestique, a expliqué jeudi devant les médias Sophie Forster Carbonnier, présidente de la Cour des comptes. Pour ce faire, il souhaite connaître les lacunes du dispositif, qui se concentre davantage sur les victimes.

La Cour constate que les données collectées par l'observatoire genevois des violences domestiques ne donnent pas une image fiable du phénomène. Avec l'abandon en 2020 de l'identifiant unique pour les auteurs, il n'est plus possible de suivre leur trajectoire dans le temps et de mesurer la récidive. Les données ne permettent pas non plus de suivre la durée et la qualité de la prise en charge des auteurs.

En outre, les dossiers du Pouvoir judiciaire n'étant pas numérisés, les informations sur le traitement judiciaire des affaires de violences domestiques ne sont pas transmises systématiquement. La Cour des comptes recommande donc de renforcer la collecte et l'analyse des données par l'observatoire.

Standards non respectés

Sur le terrain, il s'avère que seuls 43% des auteurs ont bénéficié d'une prise en charge thérapeutique en 2023. Ils n'étaient aussi que 10,6% à se voir imposer un entretien avec un professionnel dans le cadre d'une mesure d'éloignement thérapeutique, comme l'exige la loi genevoise. Les deux associations principales de prise en charge ne suffisent pas et sont saturées.

La Cour propose de développer un programme socio-éducatif, comme il en existe à Bâle, et une prise en charge ambulatoire pour aborder les dynamiques familiales complexes, comme dans le canton de Vaud. Pour l'heure, le dispositif genevois ne respecte pas les standards de qualité internationaux et ne permet pas aux auteurs de remettre en question leur comportement.

Alors que le Département des institutions et des affaires numériques projette de mettre en place une unité de gestion des menaces, la Cour estime qu'il faut s'assurer de la bonne transmission des informations liées aux violences domestiques entre les services. A Genève, 1939 infractions - soit 957 cas - ont été recensés par la police l'an passé. Des chiffres à interpréter avec prudence, car moins d'une victime sur cinq porte plainte.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Le MAH partenaire de la Croix-Rouge pour récolter 4'500 cadeaux pour les enfants en précarité

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Des cadeaux pour les enfants de familles en situation de précarité. C’est l’opération “Paniers de Noël” organisée chaque année par la Croix-Rouge genevoise. Le Musée d’art et d'histoire se joint à l’action pour la première fois cette année.

A l'approche de Noël il n’y a pas que les lutins qui s’activent pour préparer les cadeaux. La Croix-Rouge Genevoise organise de nouveau l'opération Paniers de Noël pour soutenir les familles en situation de précarité à Genève. Une collecte de cadeaux neufs pour les enfants se tient depuis fin novembre dans plusieurs institutions.
Et cette année le MAH se joint à l’opération. Il est possible de déposer les cadeaux dans le hall du Musée d’art et d'histoire jusqu’au vendredi 13 décembre.

Reportage

90 partenaires participent à l’opération des "Paniers de Noël". La distribution se déroulera du 16 au 19 décembre 2024 à l'OptimHall aux Acacias.

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La Ville ne devrait pas pouvoir acheter la Maison de Zep

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La propriété de Zep, située aux Charmilles au bord du Rhône. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La maison de Zep devrait passer sous le nez de la Ville de Genève. Le PLR Ville de Genève a voté, mercredi soir, le lancement d’un référendum contre son acquisition. Mais avec le délai de récolte des signatures, l’achat ne devrait pas pouvoir être signé avant fin janvier, date butoir donnée par Zep, pour cette vente.

Certains imaginaient déjà un grand parc ouvert à la population, des équipements culturels ou encore une crèche en forêt. Il ne devrait en être rien. Le PLR Ville de Genève a voté, mercredi soir, le lancement d'un référendum contre l'achat de la maison de Zep, par la Ville, pour 21,5 millions de francs. Cette acquisition avait été acceptée, par le Conseil municipal, le 26 novembre dernier. Pour le PLR, "cette décision soulève de nombreuses interrogations, notamment sur la précipitation avec laquelle elle a été menée, l’usage envisagé de la villa, ainsi que les coûts d’investissement et d’entretien liés à cette opération".

Mais avec le lancement de ce référendum c'est l'achat, lui-même, qui devrait tomber à l'eau, avant même que ce référendum n'aboutisse. Le délai référendaire pour la récolte des signatures est de 40 jours, délai prorogé pendant la période des fêtes.. ce qui amènerait une fin de récoltes des signatures bien au delà de fin janvier, date butoir donné par Zep pour la vente de sa villa.

Le PLR Ville de Genève pourrait ne pas être le seul parti à contester cet achat. Les Vert'libéraux sont, eux aussi, réunis en assemblée générale, ce jeudi soir, sur ce thème.

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Genève

Steve Guerdat veut briller au CHI de Genève

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Steve Guerdat ambitieux avant le CHI de Genève (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Steve Guerdat affiche un double objectif avant le CHI de Genève. Il vise un quatrième succès à Palexpo tant dans la Finale du Top 10 (vendredi dès 21h00), que dans le Grand Prix dominical (14h30).

"Ce sont deux épreuves vraiment à part", a répété le vice-champion olympique 2024 et champion olympique 2012, comme chaque année avant ce concours si particulier à ses yeux. Il montera Venard de Cerisy le vendredi soir - où il aura notamment Martin Fuchs comme adversaire - et Dynamix dans un GP estampillé Grand Chelem.

"Venard a déjà gagné cette Finale du Top 10 (réd: l'an dernier), c'est un cheval qui a déjà gagné sur toutes les belles pistes du monde, qui est aussi très rapide sur les longs parcours. Spécialement à Genève où il a toujours très bien sauté", souligne le Jurassien, qui a accordé quelques minutes à Keystone-ATS en marge d'une conférence de presse la semaine passée.

"C'est pour ça que je trouve que le format du Top 10 lui convient assez bien", enchaîne-t-il. "Quant à Dynamix, je pense qu'à peu près tous les formats lui conviennent. Mais c'est elle qui a gagné le droit de sauter en Grand Chelem le dimanche après-midi et c'est ma meilleure jument, mon meilleur atout du moment."

Dynamix peut se mettre en jambes

C'est en effet en selle sur Dynamix de Belheme que Steve Guerdat a décroché l'argent olympique cet été au Château de Versailles, douze ans après avoir cueilli l'or avec Nino des Buissonnets à Londres. Et c'est déjà avec cette jument de onze ans qu'il était devenu pour la première fois champion d'Europe en individuel en 2023.

"C'est avec elle que j'ai envie de tenter ma chance devant notre public pour le Grand Chelem de Genève", explique encore Steve Guerdat, conscient que l'accumulation des parcours l'oblige à monter deux chevaux différents s'il entend prendre tous les risques pour jouer la gagne sur ces deux épreuves.

Dynamix aura néanmoins l'occasion de monter en puissance tout au long de ce 63e CHI de Genève. "Elle va avoir une entrée en compétition un peu plus light: elle va sauter deux épreuves jeudi et vendredi, sans essayer d'avoir un résultat, mais simplement pour se mettre en jambes afin d'être au meilleur de sa forme dimanche", précise-t-il.

"Un avant et un après Jeux olympiques"

S'il ne cache pas ses ambitions de victoire(s) à Genève, Steve Guerdat confesse avoir connu un petit coup de blues post-olympique. "Cela peut paraître un peu négatif de parler de coup de blues, ce n'est même pas forcément négatif, mais qu'on le veuille ou pas, il y a un avant et un après Jeux olympiques", glisse-t-il.

"Que les Jeux se soient bien passés ou pas, il y a un avant et un après JO. Quand on rentre à la maison après les Jeux, quand la pression commence à redescendre, que la fatigue commence à se faire ressentir un petit peu, on appuie sur un bouton reset et tout recommence à zéro", explique-t-il encore.

"Ce n'est pas forcément du vide", précise-t-il. "Mais c'est une situation qu'on ne peut pas vraiment prévoir. On ne sait pas quel résultat nous attend, et c'est là qu'on redescend un petit peu sur terre et qu'on ouvre les yeux. Dans mon cas, on les ouvre sur la fin de saison et les nouveaux objectifs qui se présentent", poursuit-il.

Bonheur

"J'ai la chance d'avoir une écurie très bien fournie. J'ai pu continuer à me présenter sur la plupart des plus belles compétitions, directement après Paris, et mes chevaux ont su répondre présent. Ce que j'aime par-dessus tout, c'est faire mon sport dans les plus belles compétitions", lâche-t-il.

Mais comment fait-on pour garder sa motivation intacte ? "J'ai la chance de vraiment aimer ce que je fais. Les chevaux pour commencer, le sport ensuite. J'ai envie de dire que si j'ai un coup de blues, la chose qui me remonte le moral c'est de monter à cheval. Ce qui m'apporte le plus de bonnes ondes et le plus de bonheur, c'est ma famille, ma femme, ma fille et mes chevaux."

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Une pétition demande de mieux protéger les élèves genevois numériquement

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Une pétition demande de mieux protéger les élèves genevois numériquement (KEYSTONE/Laurent Gillieron)

Halte aux GAFAM dans l’éducation! Une association genevoise demande que l’Etat applique la loi sur l’intégrité numérique acceptée en votation en juin 2023. Ils ont déposé une pétition en ce sens ce mercredi. 

3259 signatures récoltées en trois semaines "Pour le respect de l’intégrité numérique dans l’éducation par l’État de Genève".

Une pétition lancée par l’association RUNE, acronyme de "Réfléchissons à l’Usage du Numérique et des Écrans". Ses initiants l’ont déposé ce mercredi au Grand Conseil genevois.  Concrètement, ils veulent que l’Etat applique la loi sur l’intégrité numérique acceptée en votation en juin 2023, ce qui n’est pas le cas actuellement. Ce droit permet d’être protégé contre le traitement abusif des données liées à sa vie numérique. 

Les initiants de la pétition demandent que ce droit soit appliqué aux élèves de l’enseignement public. Avec en ligne de mire, arrêter l'utilisation de Google ou autres mastodontes informatiques que l’on appelle les GAFAM. 

Samuel Chenal, membre de l'association RUNE-Genève et informaticien:

Samuel ChenalMembre de l'association RUNE-Genève et informaticien

Pour l’association Rune, il faut privilégier les acteurs de terrain proches de nous, Samuel Chenal:

Samuel ChenalMembre de l'association RUNE-Genève et informaticien

Il s’agit donc, selon les initiants, de protéger les données numériques des plus jeunes. Mais comment faire quand papa ou maman a déjà un compte mail chez l’une de ces grosses entreprises?

Anne-Marie Cruz, co-présidente de l’association Rune et enseignante dans la vie:

Anne-Marie CruzCo-présidente de l’association Rune et enseignante dans la vie

En filigrane, il s’agit de faire de l’éducation au numérique: 

Anne-Marie CruzCo-présidente de l’association Rune et enseignante dans la vie

 

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