Le personnel du parascolaire est en colère. Ils étaient plus de 150 animatrices et animateurs du GIAP à réclamer de meilleures conditions de travail ce mardi à Carouge. Ils ont déposé la pétition "Pour un parascolaire de qualité" munie de 6'400 signatures.
Plus de 150 employés du parascolaire ont crié leur colère ce mardi à Carouge. Ils ont déposé au siège du GIAP, le Groupement intercommunal pour l’animation du parascolaire, une pétition munie de plus de 6'400 signatures. Elle dénonce le manque d’effectifs et le risque que provoque cette situation. Le personnel du parascolaire réclame aussi de meilleurs salaires pour rendre le travail plus attractif et une augmentation de leur temps de travail pour coller à la réalité du terrain. Alice Lefrançois secrétaire syndicale au SIT.
Alice Lefrançois
Secrétaire syndicale au SIT
Alice LefrançoisSecrétaire syndicale au SIT
Alice LefrançoisSecrétaire syndicale au SIT
L’automne dernier, un quart d’heure supplémentaire a été ajouté au temps de travail du midi et du soir des animatrices et des animateurs, mais selon les syndicats il faudrait ajouter 35 minutes de plus. Ce que confirme Anica, au Giap depuis 10 ans.
Anica
Animatrice au GIAP
AnicaAnimatrice au GIAP
AnicaAnimatrice au GIAP
Cette demande surprend la directrice du Giap, Floriane Demont, au vu de la récente augmentation.
Floriane Demont
Directrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Floriane DemontDirectrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Floriane DemontDirectrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Selon le SIT, les référentes n'ont pas obtenu de temps de travail supplémentaire.
Concernant les salaires, le Groupement indique que la classe salariale est déterminée par la grille de salaire de l'Etat, qui devrait être revue avec le projet de réévaluation appelé GE-volue.
Taux d'encadrement
Selon les syndicats, les effectifs seraient insuffisants. Deux animateurs font traverser la route à 56 enfants, rapporte les pétitionnaires. Et un tiers des écoles manquerait d’encadrement. Ecoutez Jean, animateur au Giap.
Jean
Animateur au GIAP
Jean Animateur au GIAP
Jean Animateur au GIAP
La directrice du Groupement intercommunal s’inscrit en faux. Les chiffres avancés sont inexacts et elle assure que la situation a changé depuis la rentrée, selon la directrice du GIAP Floriane Demont.
Floriane Demont
Directrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Floriane DemontDirectrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Floriane DemontDirectrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Quelque 2100 personnes sont employées au GIAP pour 29'000 enfants dans le canton. Depuis la rentrée 2022, 500 employés supplémentaires ont été recrutés pour faire face à l'augmentation des élèves. Un recrutement flash aura lieu d'ailleurs ce mercredi.
Mais comme le relève cette animatrice qui travaille au GIAP depuis de nombreuses années et qui dit "adorer son travail", les situations sont très différentes d'une école à l'autre.
Animatrice
Animatrice
Animatrice
Autre grief, le turn-over parmi les employés qui serait dû aux conditions précaires. Nombreux sont engagés en temporaire. Ce qui complique la tâche des animateurs permanents. Ecoutez Olrick.
Olrick
Animateur au GIAP
Olrick Animateur au GIAP
Olrick Animateur au GIAP
Pour la direction, certains employés souhaitent avoir un contrat de travail temporaire.
Floriane Demont
Directrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Floriane DemontDirectrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Floriane DemontDirectrice du Groupement intercommunal pour l'animation parascolaire
Peut-être qu’ils ont engagé,mais alors concrètement dans mon équipe rien n’a changé. Pour les 1 p taux d’encadrement bon et adéquat. Chez les 2-3-4p 3 animateurs pour plus de 50 enfants dont beaucoup non francophones. Pour les 5-6 les 3/4 de l’année à 2 animateurs pour plus de 55 enfants. Pour les 7p en principe nous devrions être 2 animateurs pour environ 30 enfants, mais très souvent se retrouve seul dans un petit réfectoire. Chez les 8p c’est pareil, nous devrions être 2 pour une trentaine d’enfants, mais souvent il n’y a qu’un animateur. Cela ne permet pas d’envisager des sorties au parc ou autres dans des conditions de sécurité.
Que fait un animateur en cas d’accident si il se retrouve seul avec un groupe de 20 ou 30 enfants ou si l’un de enfant répond aux indications ou n’obéit pas.
Nous réclamons 2 personnes de plus dans l’équipe mais personne n’est ajouté. Au mieux les personnes partie en cours d’année ont été remplacées.
Chez les 5-6p chaque animateur a 20 enfants chaque midi et certains viennent de débuter au giap. Avec ce genre d’effectif, nous n’arrivons pas faire des activités structurées de bricolage comme la direction nous le demande.
Bref, la direction n’est pas au fait des réalités du terrain.
Bizarre, le dernier commentaire de la directrice. Mon épouse à été engagée en Septembre 2022, en mentionnant vouloir faire carrière, pourtant, après 10 mois, elle est toujours remplaçante, donc bouche trou, avec la mention "sans carrière" dans son dossier, ceci malgré le fait d'avoir répété plusieurs fois son intérêt pour cette profession... sinon, côté salaire, on ne depasse pas 1400 chf/mois... entre les creux et les vacances scolaires non payée... après ça, c est compliqué d'en faire un métier. A noté que notre enfant est inscrit a la crèche (payant) pour, justement pouvoir permettre a mon épouse d'aller travailler... Au GIap...
Star annoncée de l'épreuve, Jimmy Gressier a fêté dimanche son premier succès sur la Course de l'Escalade.
Le Français, champion du monde du 10'000 m sur piste en septembre à Tokyo, a déclassé la concurrence.
Jimmy Gressier a bouclé les 7,323 km du parcours tracé en vieille ville de Genève en 20'34''8, à environ 14 secondes du record établi en 2022 par Dominic Lobalu. Le Français s'est imposé avec une marge de 19''6 sur son dauphin kényan Boniface Kibiwott.
Le St-Gallois d'adoption Dominic Lobalu, qui avait également triomphé l'an dernier à Genève, doit se contenter du 10e rang cette fois-ci. Deux Helvètes l'ont devancé: Jonas Raess (6e, à 28''9 de Gressier) et Mathias Kyburz (8e).
Victoire kényane chez les dames, où Winnie Jeptarus s'est imposée en 23'39''5. Elle a devancé de 4''2 la lauréate de l'édition 2024, la Néerlandaise Diane van Es. Meilleure Suissesse, la Valaisanne Oria Liaci a terminé 8e à 48''9 de la gagnante.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
A Genève, l'Hospice général a publié son traditionnel calendrier répertoriant les évènements qui sont organisés par les associations caritatives et les services publics pour les personnes isolées ou démunies durant les Fêtes de fin d'année. Parmi les animations proposées, un repas festif en musique le 24 décembre au Café Cornavin.
Le document "Où aller en ces fêtes de fin d'année" est disponible en ligne. Il est aussi distribué dans les centres d'action sociale, à l'Hospice général à Rive, dans les services sociaux des communes ou encore dans les maisons de quartiers.
Le 23 décembre, c'est soirée karaoké sur le Bateau Genève. Le Caré propose le 25 décembre une Fête de Noël avec repas et animations dès 11h00. Le service social de la Ville de Genève organise comme chaque année son Réveillon de la solidarité à la salle communale de Plainpalais.
Ouverts à tous, ces événements visent à aider les personnes seules ou manquants de moyens à traverser cette période parfois difficile des fêtes de fin d'année. A noter que les organisateurs cherchent des bénévoles prêts à donner de leur temps. Il suffit de contacter les associations mentionnées dans le calendrier.
www.ou-aller-en-ces-fetes.ch
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Près de 60'000 coureurs s'élancent samedi et dimanche dans les rues de Genève pour participer à la 47e édition de la Course de l'Escalade. La course déguisée de la Marmite, longue de 3,6 kilomètres, a réuni plusieurs milliers de sportifs déguisés de tout âge.
Le départ a été donné à 19h00 samedi pour la traditionnelle course non-compétitive de la Marmite, juste après la dernière course populaire du parcours de 7,3 kilomètres. Des lapins suivis de leurs carottes, des dinosaures gonflables ou encore des barres chocolatées à taille humaine se sont joyeusement élancés dans la nuit, en direction du Bourg-de-Four.
Les coureurs sont ensuite descendus dans les rues basses, au rythme des fanfares tout au long du parcours. Les premiers sont arrivés en courant à la Place Neuve, avant que le rythme ralentisse. Les participants, déguisés en personnages de dessin animé, en paquet de Tic-Tac ou en nuages lumineux ont défilé devant le Grand Théâtre sous les flashs et les tambours, jusqu'à la ligne d'arrivée au Parc des Bastions.
Nouveau record
La course de l'Escalade a établi un nouveau record ce week-end. Au total, 59'712 personnes se sont inscrites pour fouler les rues de Genève, selon un communiqué, soit 4,4% de plus qu'en 2024. Parmi eux, 89% sont domiciliés dans la région, avec une petite majorité de femmes. Les inscriptions étaient limitées à 60'000, dont 6000 dossards disponibles pour la Marmite.
Les courses continueront demain, avec celles des enfants dès le matin. Les athlètes s'affronteront sur le parcours de 7,3 kilomètres dans l'après-midi. Jimmy Gressier, champion du monde des 10 kilomètres y affrontera notamment le champion d'Europe de la même distance, Dominic Lobalu.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
A Genève, près de 1800 jeunes, selon la police, ont participé vendredi matin au Picoulet, le traditionnel cortège déguisé de l'Escalade des élèves du secondaire II. Ce défilé musical et festif s'est déroulé au centre-ville dans une ambiance bon enfant.
Un mineur a été interpellé pour usage d'un engin pyrotechnique, a précisé la police genevoise. Aucun autre incident n'a été signalé. Comme chaque année, les batailles de mousse à raser ont ponctué le Picoulet.
Parti du CEC André-Chavanne, le cortège qui a été rejoint par les élèves d'autres établissements, s'est rendu jusqu'aux Bastions en passant par le Pont du Mont-Blanc. Les jeunes, déguisés pour l'occasion, suivaient en dansant des vélos-cargos musicaux. Les automobilistes ont quant à eux dû prendre leur mal en patience.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Les Services industriels de Genève (SIG) vont renforcer dès le 1er janvier 2026 leur soutien pour encourager la production d'électricité solaire. Parmi les trois mesures annoncées: une prime solaire plus importante pour les installations de panneaux photovoltaïques.
Le montant de cette aide à l'investissement, calculé sur la base de l'aide fédérale, est augmenté de 20 à 25% pour les installations inférieures à 30 kWc, indiquent jeudi les SIG dans un communiqué. En vigueur depuis 2021, cette prime solaire est par ailleurs étendue à de plus grandes installations.
Afin de renforcer l'autoconsommation des producteurs, une nouvelle prime est introduite pour l'acquisition de batteries de stockage. Cette aide financière concerne les batteries d'une capacité de stockage inférieure ou égale à 15 kWh. Elle s'élève à 130 francs par kWh.
Rétribution unique
Les SIG veulent aussi maintenir des conditions intéressantes pour les producteurs qui injectent leur électricité solaire dans le réseau. Cette rétribution est encadrée par des dispositions fédérales, précisent les SIG. En Suisse, les distributeurs ont tendance à s'aligner sur le prix du marché, actuellement bas, avec des adaptations tous les trois mois.
La régie publique a opté pour "une certaine sécurité" en proposant un montant de rétribution unique qui ne dépend pas des aléas du marché. Pour 2026, cette rétribution est fixée à 10,96 centimes/kWh. Ce montant est certes en baisse par rapport à 2025 (14,30 centimes/kWh), mais elle est au-dessus de la rémunération moyenne en Suisse (9,6 centimes), soulignent les SIG.
Une enveloppe de 12 milions de francs est prévue sur la période 2026-2029 pour financer l'ensemble de ces mesures. Ce soutien vise à répondre aux ambitions du canton fixées dans le Plan directeur de l'énergie, selon les SIG. Il est prévu de déployer 350 MWc de solaire photovoltaïque dans le canton à l’horizon 2030.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Biloutte
10 mai 2023 à 8 h 52 min
Peut-être qu’ils ont engagé,mais alors concrètement dans mon équipe rien n’a changé. Pour les 1 p taux d’encadrement bon et adéquat. Chez les 2-3-4p 3 animateurs pour plus de 50 enfants dont beaucoup non francophones. Pour les 5-6 les 3/4 de l’année à 2 animateurs pour plus de 55 enfants. Pour les 7p en principe nous devrions être 2 animateurs pour environ 30 enfants, mais très souvent se retrouve seul dans un petit réfectoire. Chez les 8p c’est pareil, nous devrions être 2 pour une trentaine d’enfants, mais souvent il n’y a qu’un animateur. Cela ne permet pas d’envisager des sorties au parc ou autres dans des conditions de sécurité.
Que fait un animateur en cas d’accident si il se retrouve seul avec un groupe de 20 ou 30 enfants ou si l’un de enfant répond aux indications ou n’obéit pas.
Nous réclamons 2 personnes de plus dans l’équipe mais personne n’est ajouté. Au mieux les personnes partie en cours d’année ont été remplacées.
Chez les 5-6p chaque animateur a 20 enfants chaque midi et certains viennent de débuter au giap. Avec ce genre d’effectif, nous n’arrivons pas faire des activités structurées de bricolage comme la direction nous le demande.
Bref, la direction n’est pas au fait des réalités du terrain.
Steve
21 juin 2023 à 12 h 36 min
Bizarre, le dernier commentaire de la directrice. Mon épouse à été engagée en Septembre 2022, en mentionnant vouloir faire carrière, pourtant, après 10 mois, elle est toujours remplaçante, donc bouche trou, avec la mention "sans carrière" dans son dossier, ceci malgré le fait d'avoir répété plusieurs fois son intérêt pour cette profession... sinon, côté salaire, on ne depasse pas 1400 chf/mois... entre les creux et les vacances scolaires non payée... après ça, c est compliqué d'en faire un métier. A noté que notre enfant est inscrit a la crèche (payant) pour, justement pouvoir permettre a mon épouse d'aller travailler... Au GIap...