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Genève s'éveille... déserte. Découvrez notre reportage photo

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Rue des Pâquis, vers 7 heures, le 24 mars 2020

Les Genevois, admirables, respectent les recommandations sanitaires et se conforment au confinement pour endiguer l'épidémie de Coronavirus. Vers 7 heures, ce mardi 24 mars 2020, la seconde ville de Suisse présente un visage inédit... celui d'une cité déserte. A l'heure où, habituellement, Genève se réveille, le silence semble assourdissant. Seuls, les véhicules des TPG, des services de propreté, de la Police et du 144 parcourent les rues. Les rares piétons, isolés, se tiennent à des dizaines de mètres de distance. De Bel Air aux Pâquis, de la Treille à la rue du Mont-Blanc, découvrez nos photos historiques d'une Genève figée.

 

Quai des Bergues

 

Place du Molard

 

Gare routière

 

Pont du Mont-Blanc

 

Pont des Bergues

 

Rue des Pâquis

 

Rue de l'hôtel de Ville

 

Rue de La Croix d'Or

 

Cathédrale Saint-Pierre

 

Rue du Mont-Blanc

 

Rue de la Cité

 

4 Commentaires

4 Comments

  1. MAGGY-LAURE GIORGINI - PRESIDENTE

    24 mars 2020 à 12 h 26 min

    Merci de toutes ces informations pour nous SUISSES à l'ETRANGER.

  2. Sebmia

    24 mars 2020 à 18 h 09 min

    Politique spectacle en France et journaliste comique en suisse

  3. MONTET

    25 mars 2020 à 7 h 44 min

    Bonjour !
    Quel spectacle désolant 😥 !
    Si jolie ville tellement trépidante d’habitude...
    Ça donne à réfléchir...
    Française confinée en France , c’est Genève qui me manque le plus !
    Courage à tous et à bientôt pour des jours meilleurs 😷🧤🙏

  4. Notification automatique: Les premiers signes du réveil de Genève (reportage photo) | Radio Lac

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Genève

À l'hôpital des nounours, les enfants soignent leurs doudous

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Les enfants repartent avec des doudous en bonne santé et une moins grosse appréhension des hôpitaux.

C'est un hôpital qui ouvre une seule fois par an: l'hôpital des nounours. Il soigne les bobos des doudous et adoucit le monde médical auprès des enfants. 

Ils arrivent tous avec leurs doudous serrés sur le cœur. Salle Faubourg à Genève, cette semaine, les enfants de 4 à 9 ans peuvent soigner leurs peluches préférées chez des nounoursologues. L'Hôpital des Nounours est un projet mené par les élèves en deuxième année de médecine.

Jasmine fabrique une pommade paillette pour sa poupée prénommée "Mabelle".

"Il a mal où ton doudou?". Les enfants sont accompagnés par des étudiants en santé, rebaptisés "nounoursologues" pour l'occasion. Ils sont vêtus d'une blouse blanche, certes, mais l’idée est justement de permettre aux enfants d’appréhender en douceur le monde médical, les piqûres terrifiantes, les aiguilles impressionnantes. Dans l'hôpital, il y a tout ce qu'il faut: pharmacie, blocs opératoires, IRM et un espace pour faire des plâtres aux doudous aux jambes cassées.

Reportage de Léna Ailloud

Laure, nounoursologue place finalement le hérisson est placé sous oxygène.

L'Hôpital des Nounours est un projet associatif de l'AMEG, l'association des étudiants en médecine de Genève. Les étudiants attendent toute cette semaine près de 3'000 petits visiteurs, dont la majorité d'écoliers Genevois. L'Hôpital des Nounours est ouvert à toutes et tous dès l'âge de 4 ans ce mercredi après-midi, samedi et dimanche mais pensez à vous inscrire.

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Suisse

Changement du climat: les arbres confrontés au gel sont mieux armés

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Avec le changement climatique, il fait souvent chaud plus tôt dans l'année. Mais, dans le même temps, le risque de gelées tardives devrait rester au moins aussi élevé (image d'illustration). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Les arbres soumis au gel parce qu'ils bourgeonnent tôt au printemps paraissent mieux armés pour faire face au changement climatique. Cette floraison précoce les a habitués à souffrir du gel et ils ont développé des moyens pour s'en remettre rapidement.

Selon une nouvelle étude de l'Institut fédéral de recherches sur la forêt, la neige et le paysage (WSL), le changement climatique avance dans la saison le moment de la floraison des arbres. Mais le risque de gel tardif reste élevé.

Les essences qui se remettent rapidement des dégâts causés par le gel pourraient être avantagées à l'avenir, écrit le WSL mardi dans un communiqué. L'étude publiée dans la revue spécialisée Functional Ecology prouve que les arbres qui se remettent bien des gelées peuvent bourgeonner plus tôt dans l'année malgré le risque de gel existant.

Selon l'étude, cette capacité devient de plus en plus importante avec le changement climatique. Il fait souvent chaud plus tôt dans l'année, mais, dans le même temps, le risque de gelées tardives devrait rester au moins aussi élevé. Ainsi, les espèces tolérantes au gel pourraient à l'avenir s'imposer face aux espèces sensibles au gel, ce qui modifierait nos forêts à long terme.

Des arbres prêts à prendre des risques

Pour les arbres à feuilles caduques, choisir le bon moment pour l'apparition de ces dernières est une entreprise risquée. Trop tôt, et toute la production peut être victime d'un seul épisode de gel; trop tard, et des plantes voisines concurrentes peuvent déjà avoir fait main basse sur les ressources rares comme l'eau, les nutriments et la lumière.

Chaque arbre doit ainsi évaluer le niveau de risque à prendre pour faire ses feuilles par rapport à sa capacité à se remettre du gel. Au cours de l'évolution, chaque espèce a ainsi développé le moment optimal pour l'apparition des feuilles.

Pour cette étude, les chercheurs ont fait bourgeonner des arbres mis en pot dans une chambre chauffante, puis les ont exposés au gel dans une chambre froide. Il est apparu que les merisiers et les chênes pédonculés ont de bonnes stratégies pour résister au gel. Les nouvelles pousses des merisiers se forment depuis la base et les chênes ont de nombreux bourgeons de réserve.

En revanche, un charme étudié sur trois n'a pas survécu au gel. Les hêtres communs ont également souffert davantage: leurs feuilles étaient plus petites et leur couronne clairsemée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Football

Une anomalie à corriger

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La Suisse veut poursuivre le redressement entamé contre le Bélarus (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Trois jours après avoir battu 5-0 une équipe qui jouerait le maintien en Super League, la Suisse accueille à Genève un adversaire tout heureux d'avoir partagé à domicile l'enjeu avec le Kosovo.

Le tour préliminaire de l'Euro 2024 ne provoque pas encore le grand frisson.

Murat Yakin et ses joueurs n'auront toutefois pas le droit à l'erreur ce mardi face à Israël. Après la promenade de Novi Sad contre le Bélarus dans une rencontre qui risque de ne pas être comptabilisée dans le classement de ce groupe I en raison du soutien à la Russie du régime de Minsk dans la guerre en Ukraine mais qui a permis à Renato Steffen d'écrire une page d'histoire avec son hat-trick parfait, la Suisse se doit de vaincre. Pour marquer d'entrée de jeu son empreinte dans ce tour préliminaire et, bien sûr, pour être en phase avec l'objectif avoué: gagner les dix rencontres de cette campagne. Elle espère remporter le deuxième dans un stade qui ne laissera pas apparaître des vides béants. Les 11'500 billets vendus jusqu'à lundi ne préfigurent malheureusement pas un immense succès populaire pour cette rencontre.

S'il reconnaît ne pas être féru de statistiques, Murat Yakin ne doit certainement pas ignorer que la Suisse n'a encore jamais battu Israël en quatre rencontres officielles. Que c'est justement contre cet adversaire que le Bâlois avait honoré sa 49e et dernière sélection le 9 octobre 2004 à Tel Aviv. Sorti peu après l'heure de jeu sur blessure, le défenseur n'avait pas vraiment rayonné lors de ce match conclu sur un score de 2-2.

La troisième "force"

Le temps est donc venu corriger enfin cette anomalie face à une sélection qui occupe le 76e rang du classement FIFA, mais qui se profile comme la troisième "force" de ce groupe I derrière la Suisse et la Roumanie, mais devant le Kosovo, le Bélarus et Andorre. Israël ne s'est jamais hissé dans une phase finale depuis son affiliation à l'UEFA en 1994. Les Israéliens restent toutefois sur une dernière campagne réussie avec une promotion en Ligue A de la Ligue des Nations dans un groupe qui comprenait l'Islande et l'Albanie. Dans l'équipe appelée à affronter la Suisse, on ne trouve qu'un seul joueur qui évolue régulièrement dans l'un des cinq grands championnats en la personne du demi de Fulham, Manor Solomon.

"Il est clair que l'issue de cette rencontre est entre nos mains. A nous de faire le nécessaire contre une équipe qui joue un football très offensif avec deux latéraux qui sont presque des attaquants, souligne Murat Yakin. Je demanderai à mes joueurs de presser l'adversaire tout de suite". Le sélectionneur devrait reconduire le onze victorieux même si, dit-il, la réflexion est ouverte pour donner davantage de punch à son flanc droit.

Buteur à Novi Sad, Zeki Amdouni devrait ainsi à nouveau sortir du banc pour insuffler, faut-il l'espérer, le même élan qu'en Serbie. "Il est important que des joueurs comme Amdouni bénéficient aujourd'hui déjà d'un temps de jeu conséquent, souligne Murat Yakin. Il ne faut pas les lancer seulement le jour où les circonstances l'exigeront." Le discours vaut également pour Fabian Rieder. Le buteur du FC Bâle et le joyau des Young Boys sont appelés à tenir un rôle en vue dans cette campagne.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Suisse:racisme systémique, droit à l'IVG menacé, climat pas protégé

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Alors que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande la dépénalisation totale de l'IVG, l'initiative en ce sens déposée par la conseillère nationale Léonore Porchet (Vert-e-s/VD) en mai 2022 a été rejetée en mars 2023. (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le racisme est systémique en Suisse, le droit à l'avortement menacé et les mesures prises contre le réchauffement sont insuffisantes: ce sont quelques-unes des critiques émises mardi par Amnesty International (AI) contre la Suisse dans son rapport annuel.

S'agissant du racisme, le Groupe de travail d’experts sur les personnes d’ascendance africaine de l'ONU, en visite en Suisse début 2022, a notamment recommandé l’interdiction du profilage racial, ainsi que la création de mécanismes civils de plainte indépendants dotés d’un pouvoir de surveillance et disciplinaire sur la police dans chaque canton, rappelle l'organisation de défense des droits humains.

Droit à l'avortement, viol

Le droit à l'avortement est quant à lui menacé. Deux initiatives lancées en décembre 2021 par des membres de l’UDC dans le but d'en restreindre l’accès sont en cours.

Alors que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande la dépénalisation totale de l'IVG, l'initiative en ce sens déposée par la conseillère nationale Léonore Porchet (Vert-e-s/VD) en mai 2022 a été rejetée en mars 2023.

Le Parlement n'a par ailleurs toujours pas réussi à se mettre d'accord sur une redéfinition du viol. Contrairement au Conseil national, le Conseil des Etats ne veut pas se fonder sur la notion de consentement. L'approche "Seul un oui est un oui" serait pourtant conforme aux observations du Comité pour l’élimination de la discrimination à l’égard des femmes, relève Amnesty.

Climat: la Suisse n'en fait pas assez

Du côté du climat, la Suisse n'en fait pas assez. En avril, le recours des Aînées pour le climat, dans lequel des femmes âgées affirment que leur état de santé s’est dégradé parce que la Suisse n’a pas pris les mesures nécessaires contre le réchauffement, a été attribué à la Grande Chambre de la Cour européenne des droits de l’homme à Strasbourg.

Les recourantes avaient auparavant été déboutées en Suisse jusque devant le Tribunal fédéral. La proposition du Parlement visant à inscrire dans la loi l’objectif de zéro émission nette d’ici à 2050 et à définir de nouvelles mesures pour les différents secteurs est elle suspendue à l’issue de la votation populaire du 18 juin prochain.

Asile

Dans le domaine de l'asile, l’aide rapidement accordée aux personnes fuyant le conflit en Ukraine contraste fortement avec les failles de la réglementation appliquée aux demandeurs d’asile venant d’autres pays et admis à titre provisoire, pointe AI.

En raison de l’arrivée de réfugiés ukrainiens, des projets visant à améliorer les conditions de vie dans les centres d’asile fédéraux ont été différés. Des personnes ont aussi été partiellement entravées pendant leur renvoi forcé, et les droits des enfants n’ont pas été suffisamment pris en compte.

Les droits des 1,8 million de personnes handicapées que compte la Suisse ne sont pas non plus assez respectés. En mars 2022, le Comité des droits des personnes handicapées de l'ONU a ainsi considéré que la Suisse avait violé ces droits en raison de l’absence de "stratégie exhaustive de mise en ½uvre" de la Convention ad hoc.

Loi sur le renseignement

Le projet de révision de la loi fédérale sur le renseignement a été fortement critiqué, car élargissant les pouvoirs déjà très étendus des services de renseignements au détriment des droits fondamentaux. En septembre, le Conseil communal de la ville de Saint-Gall a décidé d’interdire la surveillance biométrique dans l’espace public.

Enfin, la Cour européenne des droits de l’homme a donné raison à la Communauté genevoise d’action syndicale (CGAS), constatant une violation du droit à la liberté de réunion pacifique dans l'interdiction des manifestations prononcée en raison de la pandémie de Covid-19.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Claude Wild met en garde contre le "fétichisme de la neutralité"

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La neutralité doit servir les valeurs de la Suisse et la sécurité du pays, estime Claude Wild (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Claude Wild, l'ancien ambassadeur de Suisse à Kiev, exprime des doutes sur l'interdiction de la réexportation d'armes de fabrication suisse à l'Ukraine. La Suisse doit prendre cette décision en tenant compte de ses propres intérêts en matière de sécurité, estime-t-il.

Le fait que la Suisse ne puisse pas faire partie d'une alliance militaire ou livrer directement des armes est bien compris en Ukraine, a déclaré lundi M. Wild dans l'émission "Talk täglich" de Tele Züri. Il est en revanche "très difficile" d'expliquer que le pays bloque également les livraisons d'armes indirectes.

"On peut aussi se demander si c'est vraiment dans l'intérêt de la sécurité de la Suisse", a ajouté le diplomate. Car la neutralité ne doit pas signifier que l'on soutient indirectement l'agresseur. En fin de compte, la neutralité doit servir les valeurs de la Suisse et la sécurité du pays, estime-t-il. "Nous n'avons aucun intérêt à devenir les idiots utiles d'un agresseur. La Suisse doit veiller à ne pas tomber dans un "fétichisme de la neutralité".

Ces déclarations ont pour toile de fond des demandes émanant notamment de l'Espagne de l'Allemagne et du Danemark pour transmettre à Kiev du matériel de guerre fabriqués en Suisse. Le Conseil fédéral s'y est jusqu'à présent toujours opposé, invoquant le droit de la neutralité et la loi sur le matériel de guerre.

Le débat se poursuit au Parlement

Deux interventions demandant un assouplissement des dispositions relatives à la réexportation ont échoué au Parlement lors de la session de printemps. Plusieurs initiatives parlementaires sur ce thème sont encore en suspens.

Claude Wild sera à l'avenir le représentant permanent de la Suisse auprès du Conseil de l'Europe à Strasbourg. Le Conseil fédéral a mi-mars nommé Félix Baumann, jusqu'alors ambassadeur auprès de la Conférence du désarmement de l'ONU à Genève, pour succéder à Claude Wild. Il représentera les intérêts de la Suisse en Ukraine mais aussi en Moldavie, avec pour résidence Kiev.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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