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Actualité

Dortmund leader provisoire

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Haaland a signé un doublé samedi (© KEYSTONE/EPA/SASCHA STEINBACH)

Dortmund a pris provisoirement la tête de la Bundesliga samedi après une victoire 3-1 contre Mayence.

Le BVB, qui alignait Gregor Kobel et Manuel Akanji d'entrée, a forcé la décision sur un doublé de Haaland.

Au Borussia, Erling Haaland est revenu de blessure et le colosse norvégien a repris son histoire là où il l'avait arrêtée: avec neuf buts en six matches disputés, il reprend à Robert Lewandowski (Bayern) la tête du classement des buteurs, et place Dortmund tout en haut du classement avec 18 points.

Le podium pourrait être remanié dimanche, après le choc au sommet (15h30) entre les deux anciens co-leaders Leverkusen et Munich, tous deux à 16 points. Le vainqueur, s'il y en a un, prendra la tête avec un point d'avance. Dortmund restera seul leader en cas de match nul.

Dortmund a pris provisoirement la tête de la Bundesliga samedi après une victoire 3-1 contre Mayence. Le BVB, qui alignait Gregor Kobel et Manuel Akanji d'entrée, a forcé la décision sur un doublé de Haaland.

Au Borussia, Erling Haaland est revenu de blessure et le colosse norvégien a repris son histoire là où il l'avait arrêtée: avec neuf buts en six matches disputés, il reprend à Robert Lewandowski (Bayern) la tête du classement des buteurs, et place Dortmund tout en haut du classement avec 18 points.

Le podium pourrait être remanié dimanche, après le choc au sommet (15h30) entre les deux anciens co-leaders Leverkusen et Munich, tous deux à 16 points. Le vainqueur, s'il y en a un, prendra la tête avec un point d'avance. Dortmund restera seul leader en cas de match nul.

Mönchengladbach et sa colonie helvétique ont par ailleurs dû se contenter d'un nul (1-1) face à Stuttgart. La troupe d'Adi Hütter - lequel avait titularisé Sommer, Elvedi, Zakaria et Embolo - reste ainsi engluée dans le ventre mou, à 7 points de Dortmund.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

L'ArchéoLab de Pully propose une immersion dans le passé

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L'ArchéoLab de Pully propose une expérience immersive en réalité virtuelle avec sa nouvelle exposition. (© KEYSTONE/CYRIL ZINGARO)

L'ArchéoLab de Pully inaugure samedi sa nouvelle exposition. Intitulée "Portail vers le passé", elle propose une expérience immersive en réalité virtuelle qui met en scène les découvertes archéologiques de la ville sur trois périodes historiques. A découvrir jusqu'à fin juin 2025.

"Les enfants sont invités à choisir leur personnage pour voyager dans le temps à la rencontre d'esclaves romains et de leurs maîtres banqueteurs, d'une communauté préhistorique endeuillée ou d'une famille burgonde en quête d'une terre nouvelle", explique le musée dans un communiqué. Chaque période leur fera vivre des situations originales et découvrir la diversité des modes de vie des sociétés qui se sont succédé sur le Plateau suisse.

Trois scénarios ont été imaginés: la préparation d'une cérémonie funéraire au sein d'une communauté néolithique liée à la nécropole de Pully-Chamblandes au début du 4e millénaire av. J.-C., le service du vin lors d'un somptueux banquet dans le pavillon d'été de la villa romaine du Prieuré au 2e siècle ap. J.-C. et la rencontre entre de jeunes migrantes burgondes et des enfants gallo-romains vivant sur le territoire de Pully au 5e siècle ap. J.-C.

L'ArchéoLab invite aussi le public dès huit ans à explorer les coulisses de la création numérique en découvrant les véritables objets qui ont inspiré le projet "Portail vers le passé". "Témoins d'une histoire vieille de 6000 ans, ces trésors portent en eux la richesse d'un héritage commun et permettent d'entrevoir le quotidien des sociétés anciennes", souligne le musée pulliéran.

Cette exposition est le fruit d'un projet soutenu par le Fonds national suisse pour la recherche scientifique (FNSRS) afin d'encourager la communication entre science et société.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Destitution de Macron: procédure jugée recevable

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La procédure de destitution du président français Emmanuel Macron, jugée recevable mardi par le bureau de l'Assemblée, a très peu de chances d'aboutir. (Archives) (© KEYSTONE/EPA/BENOIT TESSIER / POOL)

La procédure de destitution d'Emmanuel Macron, portée par La France insoumise, a été jugée recevable mardi par le bureau de l'Assemblée. Ce dernier l'a renvoyé devant la commission des Lois, selon des sources parlementaires.

La plus haute instance exécutive de la chambre basse a donc validé la première étape de cette procédure, par 12 voix contre 10, selon le chef du groupe Union des droites pour la République Eric Ciotti.

La gauche a fait le plein de ses voix pour donner ce feu vert au texte signé par l'ensemble des députés Insoumis, et une poignée d'élus écologistes et communistes.

La cheffe du groupe LFI Mathilde Panot s'est aussitôt félicitée sur X de cet "événement inédit dans l'histoire de la Ve République", donnant "rendez-vous prochainement en commission des Lois pour en débattre".

La démarche a cependant très peu de chances d'aboutir, la gauche étant minoritaire en commission, comme dans l'hémicycle, où la destitution doit être approuvée par deux tiers des parlementaires.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Les producteurs de pommes s'adaptent au changement climatique

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Les producteurs de pommes s'adaptent au changement climatique. KEYSTONE-GAETAN BALLY

C’est parti pour la récolte des pommes. Dans la région genevoise, on s’adapte au changement climatique avec des variétés qui évoluent.

La récolte des pommes s’annonce bien à Genève.

Septembre rime avec l’arrivée de ces fruits de saison, emblématiques de la fin de l’été et du début d’automne. Mais les arboriculteurs doivent composer avec le changement climatique. Entre les pluies diluviennes, la grêle et la sécheresse, les variétés de ces fruits changent. En 10 ans d’activité, Grégory Donzé, arboriculteur à Lully a déjà vu une évolution:

Grégory DonzéArboriculteur à Lully

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International

Le commissaire européen Maros Sefcovic conserve le dossier suisse

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Le ministre des Affaires étrangères Ignazio Cassis (à droite) et le commissaire européen Maros Sefcovic se sont rencontrés pour la dernière fois en janvier au World Economic Forum de Davos. (Archives) (© KEYSTONE/KEYSTONE POOL/LAURENT GILLIERON)

Le commissaire Maros Sefcovic restera responsable des relations entre la Suisse et la Commission européenne. La présidente de l'exécutif européen, Ursula von der Leyen, l'a annoncé mardi dans une lettre de mission adressée au Slovaque.

Selon ce document, Maros Sefcovic est nommé commissaire européen au commerce et au développement économique ainsi qu'aux relations institutionnelles et à la transparence de 2024 à 2029. Membre de la Commission européenne depuis 2009, le Slovaque est déjà en charge des relations institutionnelles de l'Union européenne (UE) depuis 2019.

Dans ses nouvelles fonctions, M. Sefcovic sera chargé d'approfondir les partenariats de l'UE dans le monde et de faire progresser un commerce "libre et équitable". En plus du dossier suisse, il sera notamment responsable des relations avec la Grande-Bretagne, les Etats-Unis et la Chine.

La Suisse et l'UE négocient depuis mars pour régler leurs futures relations bilatérales. Leur objectif est de conclure les pourparlers d'ici la fin de l'année.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

La mendicité fait grand débat sur ses restrictions en ville

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Quelles limites fixer à la mendicité dans le canton de Vaud? Les députés sont partis pour de longs débats sur le sujet et un projet de loi gouvernemental (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

La mendicité a été au coeur d'un long débat inachevé mardi matin au Grand Conseil vaudois. Les députés ont commencé à recadrer le projet du Conseil d'Etat avec des restrictions plus sévères. Les discussions déjà bien nourries se poursuivront la semaine prochaine.

Pour rappel, la mendicité a été bannie dès 2018 dans le canton de Vaud, mais cette interdiction est devenue ensuite inapplicable à la suite d'un arrêt de la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) en 2021, concernant un cas de figure genevois. En substance, les juges de Strasbourg ont considéré que la répression sans nuance de la mendicité n'était pas conforme au principe de proportionnalité.

Le Conseil d'Etat a ainsi dû s'adapter et proposer, en juillet 2023, un nouveau projet de loi. Il pose un principe de base: la mendicité est autorisée pour autant qu'elle ne porte pas atteinte à la liberté de choix du passant. Il est prévu de sanctionner la mendicité intrusive ou agressive. Et le fait de mendier dans un certain nombre de lieux "sensibles".

Multitude d'amendements

En commission, de nombreux amendements ont été déposés pour préciser ces lieux, en rajouter et étendre des périmètres d'interdiction, en clair, pour serrer un peu plus la vis. Le conseiller d'Etat en charge du dossier, Vassilis Venizelos, a tenu à mettre en garde de "ne pas avoir la main trop lourde" afin d'éviter de futur recours, notamment auprès de la CEDH.

Le ministre a aussi rappelé en substance que la mendicité n'était pas un problème de sécurité en soi du point de vue de la police, mais plus un sentiment d'insécurité des gens. Et un seul cas de traite d'êtres humains, condamné en 2013, a été enregistré dans le canton, a-t-il souligné. Il n'y a pas de recrudescence d'agressivité des mendiants, a-t-il encore ajouté.

L'entrée en matière sur ce dossier a auguré de la longueur des débats à venir tout comme les deux rapports - un de majorité et un de minorité - de la commission chargée d'examiner le projet de loi gouvernemental. Avec un clivage gauche-droite attendu. D'un côté, le message était de ne pas criminaliser la pauvreté et d'autoriser la mendicité passive, et de l'autre bord, de répondre au ras-le-bol général de la population des principales villes du canton.

"Un fléau"

C'est du côté de l'UDC que les mots étaient les plus forts, le parti défendant une interdiction totale de la mendicité ou au moins la plus large possible. Plusieurs députés ont aussi tiré à boulets rouges contre la CDEH, obstacle à la souveraineté suisse.

Le PLR Guy Gaudard a parlé de la mendicité comme "un fléau qui altère le quotidien de nombreux citoyens et centres urbains". Son parti a été le fer de lance de nombreux amendements visant à cadrer encore plus et renforcer le projet de loi du Conseil d'Etat.

A gauche, l'élue EP Joëlle Minacci a été la grande défenseuse des plus démunis. "Le projet de loi équivaut à une interdiction partielle de la mendicité. Il y a un problème de vision qui se limite à la répression sans trouver de solution à la mendicité et à la pauvreté. On ne peut pas chasser la mendicité sans résoudre la pauvreté", a-t-elle argumenté.

Deux heures de discussions n'auront pas permis de prendre beaucoup d'avance sur l'ensemble de la loi, mais d'ancrer déjà un paradigme de fond et ensuite de fixer de premières restrictions.

Question de sémantique

Les députés se sont finalement prononcés en faveur de la version du Conseil d'Etat pour un article de fond longuement disputé. Ils ont opté pour "la mendicité est interdite si elle est de nature à porter atteinte à la liberté de choix du passant".

La gauche souhaitait le paradigme suivant, afin d'éviter toute stigmatisation et répression: "La mendicité est autorisée sous réserve des comportements de nature à porter atteinte à la liberté de choix du passant". Une proposition écartée par 79 non contre 56 oui.

La loi prévoit de sanctionner la mendicité "intrusive ou agressive". Les parlementaires ont, à une très large majorité, ajouté "déloyale et trompeuse" (en référence par exemple à de faux papiers).

Liste allongée

Trois amendements de la droite ont aussi passé la rampe: l'interdiction de la mendicité à l'ensemble du périmètre des marchés et non pas seulement aux files d'attente devant les stands, aux entrées des établissements publics, enfin à proximité immédiate (et non "aux abords") des écoles mais aussi des crèches (ajoutées), des places de jeux, banques, bureaux de poste, distributeurs automatiques d'argent, horodateurs.

Un quatrième amendement n'a pas pu être voté encore en ce premier débat, faisant l'objet d'âpres discussions inachevées. Il s'agit de l'ajout d'autres lieux d'interdiction: aux entrées des immeubles d'habitation et de bureaux, bâtiments et installations publics, magasins, établissements médicaux et de soins, musées, théâtres et cinémas.

La semaine prochaine, il s'agira aussi de régler la question des amendes et éventuellement de préciser ou non la notion de "proximité immédiate" (en mètres).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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