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Actualité

Cinq cas du variant britannique du coronavirus identifiés à Genève

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Photo archivesKEYSTONE/Salvatore Di Nolfi

Cinq cas du variant britannique du coronavirus ont été identifiés cette semaine dans le canton de Genève.

Les autorités souhaitent surveiller étroitement l'isolement des personnes atteintes.

"Nous pensons que le variant a été importé mais il s'est déjà échangé localement", a affirmé dimanche à Keystone-ATS le porte-parole du Département de la sécurité, de l'emploi et de la santé (DSES), Laurent Paoliello. D'autres cas avaient été repérés auparavant mais ils n'étaient pas attribués à des résidents genevois.

A priori pas plus dangereux mais plus contagieux, le variant "devra être freiné" jusqu'à ce que les Genevois soient largement vaccinés pour éviter une nouvelle surcharge des hôpitaux, selon le porte-parole. Une situation qui demande un effort d'autant plus important de la population pour honorer les recommandations d'hygiène et de distanciation physique, insiste-t-il.

Selon des données publiées samedi, 123 personnes étaient hospitalisées dans le canton pour les conséquences du coronavirus. Parmi elles, cinq se trouvaient aux soins intensifs.

Dès lundi, le canton veut accélérer le dispositif de vaccination pour le faire passer à plusieurs centaines par jour. Il n'a reçu pour le moment que quelques milliers de doses.

Des cas du variant britannique ont déjà été détecté dans plusieurs cantons ces derniers jours, notamment à Berne, dans les Grisons, à Zurich et au Liechtenstein. Trois cas de la nouvelle souche sud-africaine ont également été confirmés au Tessin, à Schwyz et chez une personne séjournant en France.

Avec ATS Keystone.

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International

Viols en série en France: l'accusé reconnaît être "un violeur"

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Dominique Pelicot s'exprimait pour la première fois devant la cour criminelle de Vaucluse. Concernant son ex-femme, Gisèle Pelicot, qu'il a droguée pour la soumettre à des viols, il a déclaré qu'elle "ne méritait pas ça". (© KEYSTONE/EPA/GUILLAUME HORCAJUELO)

Le principal accusé du procès retentissant sur des viols en série organisés par un mari sur sa femme dans le sud de la France a reconnu mardi être "un violeur", tout en déclarant que son ex-femme ne méritait pas ce qu'elle a subi pendant dix ans.

"Je suis un violeur comme ceux qui sont dans cette salle. Il savaient tous, ils ne peuvent pas dire le contraire", a assuré Dominique Pelicot faisant allusion aux 50 coaccusés du procès.

Son ex-femme, Gisèle Pelicot, qu'il a droguée pour la soumettre à des viols, "ne méritait pas ça", a ajouté le septuagénaire, s'exprimant pour la première fois devant la cour criminelle de Vaucluse.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Une villa en feu à Lancy

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©Incendie Secours Genève

L’incendie s’est déclaré avant 20h au 1er étage de l’habitation, au chemin du Fort-de-l’Ecluse.

Une personne bloquée sur un balcon a été secourue par les sapeurs-pompiers du SIS. Trois autres personnes avaient évacué le bâtiment avant l’arrivée des secours.

Les quatre personnes ont été prises en charge par les ambulanciers, puis transportées en ambulances aux HUG. Les flammes ont été maîtrisées peu après 22h à l'aide de deux lances à eau.

Une trentaine de pompiers ont été engagés sur place. Les occupants ont été relogés par la commune de Lancy.

 

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Politique

Le Conseil des Etats veut lutter contre les appels indésirables

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Les appels indésirables font toujours l'objet de plaintes répétées des consommateurs (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Malgré une révision de la loi en 2019, les appels indésirables restent fréquents et toujours aussi irritants. Le Conseil des Etats a donc accepté mardi un postulat demandant des mesures plus efficaces. Dans sa réponse, le Conseil fédéral a annoncé un projet pour 2025.

Le flux d’appels publicitaires garde des proportions inquiétantes, constate Marianne Maret (Centre/VS), à l'origine de cette demande. Les filtres proposés par les opérateurs ne sont pas activés par défaut et les démarcheurs rivalisent d’ingéniosité pour contourner cette protection.

Ainsi, de nombreux call centers agissent de manière illicite pour vendre services et produits, alors que les arnaques téléphoniques bénéficient des avancées des technologies de l’information et de la communication pour être de plus en plus ciblées.

Pour éviter d’être poursuivis pénalement, ces centres opèrent depuis l’étranger et changent fréquemment de numéro de téléphone. Peu de poursuites aboutissent donc à un jugement en Suisse.

Son postulat, largement co-signé par des élus tous partis confondus, demande au gouvernement d'agir. Le rapport devra évaluer l'efficacité des outils mis en place et proposer des solutions adaptées aux évolutions technologiques récentes.

Le chef du Département fédéral des télécoms (DETEC), Albert Rösti, a admis que les problèmes subsistaient. Ces questions seront traitées dans le cadre de la prochaine révision de la loi sur les télécommunications. Un projet sera mis en consultation d'ici fin 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

L'industrie horlogère suisse réclame un franc moins fort

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L'industrie horlogère suisse, qui fait face à un ralentissement de la demande pesant sur les entreprises du secteur, appelle les autorités à soutenir les exportations. Elle réclame notamment d'agir sur le franc. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'industrie horlogère suisse, qui fait face à un ralentissement de la demande pesant sur les entreprises du secteur, appelle les autorités à soutenir les exportations. Elle réclame notamment d'agir sur le franc.

"L'industrie horlogère suisse traverse actuellement une situation délicate, marquée par une évolution très contrastée depuis le début de l'année", selon le communiqué conjoint de la Fédération de l'industrie horlogère suisse (FH) et la Convention patronale de l'industrie horlogère suisse (CP) publié mardi.

"Le ralentissement de la demande et la baisse des exportations ont créé un contexte difficile pour les entreprises, en particulier pour les sous-traitants et celles opérant dans l'entrée et le milieu de gamme", ont souligné les deux organisations.

De janvier à juillet, les envois de garde-temps ont reculé de 2,4% par rapport à la même période de l'an passé à 15,15 milliards de francs.

Recours au chômage partiel

Ces entreprises "voient leur compétitivité affaiblie par la vigueur persistante du franc suisse", tandis que "la situation s'aggrave davantage en période de grande volatilité des taux de change". La FH et la CP s'alarment des "conséquences" pour le tissu économique local, composé de près de 700 entreprises employant 65'000 personnes. "Nombre d'entre elles ont déjà dû recourir au chômage partiel, prolonger les fermetures estivales et procéder à des licenciements", assurent-elles.

A cela s'ajoute une visibilité quasi-nulle, sans perspective d'amélioration à court terme, poursuit le document. "Les prévisions négatives pour fin 2024 pourraient s'avérer très problématiques pour certains acteurs du secteur."

La faîtière et le patronat réclament "l'amélioration des conditions cadres et saluent les avancées récentes en matière de libre-échange", tout en exigeant "la réduction des charges administrative", assurant que "le soutien à l'industrie d'exportation permettra parallèlement aux collectivités publiques de maintenir leurs recettes fiscales."

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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International

Crime contre l'humanité de persécution au Venezuela (enquêteurs)

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L'Etat vénézuélien contrôlé par le président Nicolas Maduro a mené une répression sans précédent selon les enquêteurs onusiens (archives). (© KEYSTONE/AP/Ariana Cubillos)

Les enquêteurs sur le Venezuela mandatés à l'ONU parlent désormais d'indications d'un crime contre l'humanité de persécution au Venezuela. Dans leur rapport mardi à Genève, ils affirment que la répression menée avant et depuis la présidentielle est "sans précédent".

Jusqu'à présent, la Mission internationale d'établissement des faits avait seulement estimé en 2020 que le crime de persécution pouvait avoir été perpétré. Désormais, ils ont des "indications raisonnables" que celui-ci l'a été.

"Nous observons une intensification de la machine répressive de l'Etat face à ce que celui-ci considère comme des critiques, des oppositions ou des dissensions", estime la présidente de la Mission, Marta Valiñas.

Plus de 2000 personnes ont été détenues dans la première semaine après la réélection controversée de Nicolas Maduro fin juillet. Le candidat de l'opposition Edmundo González Urrutia est en exil depuis le 8 septembre en Espagne. Selon les trois enquêteurs, qui ne s'expriment pas au nom de l'ONU, le pays est confronté à une crise des droits humains.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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