A l'occasion du festival Antigel, qui se tient jusqu'au 15 février, la caserne des Vernets a été transformée pour accueillir une partie des festivités. En plus de deux salles de concert, on y trouve un restaurant et bar à huîtres.
Lorsqu'on se présente à l'entrée du site de la caserne des Vernets, le passé militaire de l'endroit est encore bien visible. Pour entrer dans l'enceinte, il faut passer par l'ancien portail et le petit poste de garde est toujours là. Pourtant, les véhicules militaires ont cédé leur place aux voitures du staff du Festival. L'intérieur du bâtiment, relativement austère en façade, a été repeint et les différents étages aménagés. Car c'est bien ici que des milliers de festivaliers déambulent les soirs de fin de semaine.
Organisateurs satisfaits
La responsable du lieu - dit "le Grand central" -, Katia Kaufmann, se dit satisfaite. Chaque année, le festival cherche de nouveaux lieux en transition. Aussi, la caserne militaires des Vernets était tout indiquée pour cette dixième édition. Depuis l'ouverture du festival, il y a une semaine, le public a largement répondu présent. De quoi enthousiasmer la responsable.
Katia Kaufmann
Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Autre succès: l'aménagement d'un bunker, en dehors du bâtiment. Une salle de concert originale qui peut accueillir 200 personnes.
Katia Kaufmann
Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Blind-test
Le jeudi soir, dès 18h30, sont organisés des blind-tests. En équipe, l'objectif est de reconnaître un morceau de musique. Un événement devenu un incontournable du festival.
Katia Kaufmann
Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Avec son programme éclectique, le festival Antigel attire désormais un public varié, attiré par la musique, mais aussi par le restaurant, par le bar, ou simplement par le caractère singulier de l'endroit.
Katia Kaufmann
Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Katia Kaufmann Responsable du Grand-Central au Festival Antigel
Bar à huître
Ce jeudi soir, au rez-de-chaussée de la caserne, ouvre également un bar à huître. Plus qu'un bar, le Blue Oyster Laser bar propose - depuis plus de 10 ans - de la musique, du champagne et des huîtres jusqu'au bout de la nuit. Derrière ce concept, on retrouve Peter Stoffel (artiste peintre et DJ) et Antoine Bertier (artisan).
Peter Stoffel et Antoine Bertier
Blue Oyster Laser bar
Peter Stoffel et Antoine Bertier Blue Oyster Laser bar
Peter Stoffel et Antoine Bertier Blue Oyster Laser bar
Pour être certain de pouvoir déguster des huîtres, il est tout de même mieux de s'annoncer. Parfois, le Blue Oyster Laser bar est victime de son succès.
Peter Stoffel et Antoine Bertier
Blue Oyster Laser bar
Peter Stoffel et Antoine Bertier Blue Oyster Laser bar
Peter Stoffel et Antoine Bertier Blue Oyster Laser bar
Bâle-Ville va rendre l'acquisition de la nationalité suisse gratuite pour les jeunes et les personnes au faible revenu. D'autres villes suivent le mouvement. Ailleurs, le Jura et Vaud font partie des cantons les plus généreux. Partout, la facture dépend des communes.
A l'avenir, l'obtention de la nationalité pour les personnes de plus de 25 ans coûtera 900 francs en ville de Bâle au lieu des 1750 francs actuels. Le législatif cantonal a aussi décidé mercredi de réduire les émoluments réguliers.
En novembre, la ville de Lucerne a décidé de réduire les émoluments à 500 francs par personne, par couple et par famille au lieu de 1900 francs en moyenne actuellement pour les personnes seules et 2300 francs pour les couples.
Toujour en novembre, le législatif de la ville de Berne a approuvé une motion exigeant carrément la suppression complète des émoluments communaux liés à la naturalisation.
En Suisse romande, Vaud et le Jura sont les plus généreux. A l'inverse, se faire naturaliser coûte bien plus cher dans les cantons de Genève, Neuchâtel et Fribourg.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
La Russie a affirmé samedi avoir frappé des installations industrielles et énergétiques ukrainiennes dans la nuit avec des missiles hypersoniques, dans ce qu'elle a qualifié de représailles à des frappes ukrainiennes contre des "cibles civiles" en Russie.
Le ministère russe de la Défense a indiqué avoir mené une "frappe massive" contre des installations de l'armée et du secteur énergétique en Ukraine, utilisant notamment des missiles hypersoniques Kinjal, en "réponse aux attaques terroristes de l'Ukraine contre des cibles civiles en Russie".
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de son côté affirmé que des frappes russes dans la nuit ont endommagé plus d'une douzaine d'installations civiles en Ukraine et privé des milliers de personnes d'électricité dans sept régions.
"Il est important que chacun voie maintenant ce que fait la Russie (...) car il ne s'agit clairement pas de mettre fin à la guerre", a-t-il déclaré sur les réseaux sociaux. Il a affirmé que Moscou "visent toujours à détruire notre Etat et à infliger le plus de souffrance à notre peuple".
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp
Quartier Libre SIG accueille au pont de la Machine à Genève l’exposition "Libre comme le Rhône de Robert Hainard". Ce récit fluvial enrichi par l'½uvre du naturaliste Robert Hainard propose de remonter le temps et de suivre l'évolution du Rhône genevois. A découvrir dès lundi et jusqu'au 29 mars 2026.
L'exposition retrace près d'un siècle de transformations: des paysages sauvages d'avant 1937 à la construction du barrage de Verbois en 1944, en passant par le projet de centrale nucléaire abandonné dans les années 1980 et la renaturation des Teppes de Verbois en 2000.
A travers peintures, gravures, photographies et archives, le public découvre comment le territoire a dû concilier besoins énergétiques croissants et protection de la nature. Au centre du récit, l'oeuvre du Genevois Robert Hainard, philosophe, artiste et pionnier de la pensée écologique.
Le naturaliste passionné a longuement observé la faune et les paysages du Rhône genevois, allant jusqu'à passer des nuits d'affût pour saisir les dernières loutres du fleuve. Il documente cette évolution avec des oeuvres majeures, dont la série "Nuits d'hiver au bord du Rhône", exposée pour la première fois depuis 1952.
Organisée par les Services industriels de Genève (SIG), en partenariat avec la Fondation Hainard et sous le commissariat de Nicolas Crispini, cette exposition ouverte au public dès le 15 décembre sera inaugurée le 20 janvier. Des visites guidées seront proposées sur inscription.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
L'une des plus importantes pluies d'étoiles filantes de l'année approche. Le flux annuel de météores des Géminides atteindra son apogée dans la nuit de samedi à dimanche.
Selon la Société suisse d'astronomie (SAS), dans des conditions optimales - c'est-à-dire par ciel clair, loin des villes lumineuses et avec une vue dégagée dans toutes les directions - il serait théoriquement possible d'observer jusqu'à 120 à 150 étoiles filantes par heure.
Mais en réalité, le nombre effectif d'étoiles filantes visibles est généralement nettement inférieur, car la pollution lumineuse, les nuages, la lumière de la lune et la visibilité limitée rendent l'observation difficile, écrit le SAS sur son site. A proximité des villes, on peut tabler sur 20 à 30 étoiles filantes par heure.
La tempête de météores qui porte le nom de la constellation des Gémeaux - gemini en latin - produit de nombreuses étoiles filantes lumineuses. Ces dernières proviennent d'un nuage de poussière qui s'approche de la Terre chaque année à pareille époque lors de son orbite autour du Soleil.
En raison de leur vitesse d'entrée relativement lente, les Géminides laissent des traces dans le ciel qui s'éteignent plus lentement que d'habitude.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
Le bilan des inondations et glissements de terrain qui ont frappé l'Indonésie il y a deux semaines dépasse désormais le millier de morts. Il s'établit à 1003 morts et 218 disparus, a annoncé samedi l'Agence nationale de gestion des catastrophes (BNPB).
Les inondations qui ont touché les provinces de Sumatra nord et ouest et d'Aceh ont également fait plus de 5400 blessés tandis que 1,2 million d'habitants sont toujours hébergés dans des abris temporaires, a ajouté l'agence.
Des tempêtes tropicales et des pluies de mousson ont frappé l'Asie du Sud-Est (Indonésie, Malaisie et Thaïlande) et l'Asie du Sud (Sri Lanka), ce mois-ci, provoquant des glissements de terrain et des crues éclair.
C'est l'une des pires catastrophes qui ait touché récemment Sumatra et notamment Aceh, à son extrémité occidentale, également balayée par le tsunami de 2004. Le coût de la reconstruction pourrait s'élever à 51'820 milliards de roupies (2,5 milliards de francs).
Le gouvernement indonésien est critiqué pour ne pas avoir décrété l'état de catastrophe naturelle, ce qui aurait pu permettre d'accélérer les secours et une meilleure coordination. Jakarta n'a pas non plus fait appel à l'aide internationale, contrairement au Sri Lanka.
Samedi, le président Prabowo Subianto s'est de nouveau rendu dans les provinces sinistrées. "Ici et là, en raison des conditions naturelles et physiques, il y a eu de légers retards, mais j'ai inspecté tous les sites d'évacuation: leurs conditions sont bonnes, les services fournis sont adéquats et les provisions alimentaires sont suffisantes", a-t-il dit à l'issue d'une visite à Langkat, dans la province de Sumatra nord.
"Dans les zones les plus isolées, comme Takengon, nous continuons de travailler sans relâche pour rouvrir les routes d'accès. A Bener Meriah également, je crois que le pont est déjà opérationnel", a ajouté le chef de l'Etat indonésien, depuis la base aérienne de Soewondo, gérée par l'armée de l'air.
Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp