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Aller-retour du Leman: Flavie Capozzi se lance pour 150 km de nage

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Nyon, mardi 3 septembre 2019 Portrait de Flavie Capozzi, nageuse à la Grande Jetée à Nyon © Sigfredo Haro

Après avoir relié Le Bouveret à Genève en 30 heures et 19 minutes en 2019, Flavie Capozzi se lance un nouveau défi. Dès ce soir, elle va tenter l'aller-retour dans le Léman entre Genève et Veytraux: soit 150km d'effort et plus de 60h de nage.

150km d'effort et plus de 60h de nage dans le Léman. C'est le défi qui attend la nageuse Flavie Capozzi. Ce soir, la Glandoise se jettera à l'eau pour tenter l'aller-retour dans le Léman entre Genève et Veytraux. Et elle n'en est pas à son coup d'essai puisqu'en 2019 elle avait déjà relié le Bouveret à Genève en 30 heures et 19 minutes. A quelques heures du départ, si elle avoue un certain stresse, la nageuse Flavie Capozzi est plutôt confiante.

Flavie CapozziNageuse

Bien que l'aller-retour du Léman n'ait jamais été réalisé, pour autant, Flavie Capozzi n'est pas obsédée par un quelconque record.

Flavie CapozziNageuse

Cet effort servira la bonne cause. Flavie Capozzi nagera afin de récolter des fonds pour l’association suisse Morija, qui œuvre pour l’accès à l’eau en Afrique subsaharienne.

Grosse préparation

Cet ultramarathon lacustre est une véritable épreuve d'endurance. Flavie Capozzi a subi un gros entraînement pour pouvoir relever ce défi?

Flavie CapozziNageuse

Face à ce défi physique, comment gère-t-elle de tels efforts? La réponse de Flavie Capozzi.

Flavie CapozziNageuse

Flavie Capozzi s’élancera donc dès ce soir depuis Genève pour 60h d’effort. Mais elle ne partira pas seule. Trois bateaux la suivront tout au long de son aventure.

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International

Venezuela: l'opposition appelle à une nouvelle manifestation

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La cheffe de l'opposition vénézuélienne Maria Corina Machado a appelé samedi à une nouvelle manifestation le 28 septembre pour contester la réélection de Nicolas Maduro. (© KEYSTONE/AP/Ariana Cubillos)

La cheffe de l'opposition vénézuélienne Maria Corina Machado a appelé samedi à une nouvelle manifestation le 28 septembre pour contester la réélection controversée du président Nicolas Maduro et exiger la reconnaissance de son candidat exilé en Espagne.

Deux mois après les élections, "le 28 septembre, les Vénézuéliens feront grand bruit dans le monde (...) nous élèverons nos voix pour qu'Edmundo Gonzalez soit reconnu par le monde comme président du Venezuela; Pour que Maduro comprenne qu'il s'en va; Pour les crimes contre l'humanité", a lancé Mme Machado sur ses réseaux sociaux.

Edmundo Gonzalez Urrutia, menacé de prison dans son pays, est exilé depuis une semaine en Espagne, qui lui a accordé l'asile et où il a rencontré le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez.

L'opposition affirme que M. Gonzalez Urrutia a remporté l'élection présidentielle avec plus de 60% des voix, se basant sur les procès-verbaux du vote fournis par ses scrutateurs.

M. Maduro a de son côté été proclamé vainqueur avec 52% des suffrages par le Conseil national électoral (CNE), puis sa victoire a été validée par la Cour suprême. Les deux institutions sont accusées d'être inféodées au pouvoir.

Après l'annonce de la réélection de Nicolas Maduro, des manifestations spontanées ont fait 27 morts et 192 blessés et quelque 2400 personnes ont été arrêtées, de source officielle.

Les pays de l'Union européenne se sont refusés jusqu'à présent à reconnaître un vainqueur, tandis que Washington a reconnu M. Gonzalez Urrutia.

Les Etats-Unis ont par ailleurs annoncé jeudi des sanctions contre 16 proches de M. Maduro pour "entrave" au déroulement de la présidentielle.

Caracas a de son côté fait état samedi de l'arrestation de trois Américains, deux Espagnols et un Tchèque accusés de complot pour "déstabiliser" le pays.

La diplomatie américaine a rejeté dans la soirée des accusations "catégoriquement fausses" du Venezuela sur une "implication" des Etats-Unis dans quelconque complot visant à renverser le président Maduro.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Haïti: 24 morts dans l'explosion d'un camion-citerne

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Une vingtaine de personnes ont été tuées samedi, et une quarantaine d'autres blessées dans l'explosion d'un camion en Haïti. (© KEYSTONE/AP/Odelyn Joseph)

Vingt-quatre personnes ont été tuées samedi, et une quarantaine d'autres blessées, dont certaines gravement brûlées, dans l'explosion d'un camion-citerne en Haïti, a annoncé à l'AFP la Protection civile de ce pays des Caraïbes en partie sous la coupe de bandes armées.

La détonation s'est produite, selon des témoins, alors que les victimes tentaient de collecter du carburant qui s'écoulait du camion-citerne accidenté dans l'arrondissement de Miragoâne, dans le sud-ouest du pays.

Le Premier ministre par intérim, Garry Conille, a convoqué une réunion d'urgence à la suite de ce drame, a indiqué à l'AFP Emmanuel Pierre, responsable national de la Protection civile.

D'après ce responsable haïtien, d'autres corps calcinés ont été découverts dans la soirée près du lieu de l'explosion, faisant grimper le bilan de 16 à 24 tués. Une quarantaine de personnes ont été blessées, dont la moitié très grièvement.

Dix-neuf sont des grands brûlés, qui devaient être transférés vers des hôpitaux spécialisés de la capitale Port-au-Prince grâce à un vol co-organisé par le ministère de la Santé publique et l'ONG Médecins sans frontières (MSF). Mais six seulement ont pu être évacués samedi soir, a précisé M. Pierre.

Les autres, brûlés à 80%, sont intransportables et doivent être soignés sur place, à l'hôpital Sainte Thérèse de Miragoâne. Il s'agit d'une ville portuaire située à une centaine de kilomètres de Port-au-Prince.

Le 5 septembre, le ministre américain des Affaires étrangères Antony Blinken avait insisté sur la nécessité pour les responsables haïtiens de s'engager rapidement sur la voie des élections, lors d'une rare visite sous très haute sécurité dans ce pays en crise multidimensionnelle profonde et ravagé par la violence des gangs.

Il avait annoncé une nouvelle tranche d'aide humanitaire de 45 millions de dollars en faveur d'Haïti en exhortant d'autres pays à contribuer au financement de la force internationale attendue depuis des mois dans le pays.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mobilité

Pour le patron des CFF fermer des gares est une option à long terme

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"Dans une perspective d'avenir, j'aimerais avoir un système dans lequel le train est moins sollicité localement", a déclaré le directeur général des CFF Vincent Ducrot dans une interview accordée à la "NZZ am Sonntag". (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le directeur général des CFF Vincent Ducrot n'a pas exclu à long terme la fermeture de gares. "A court terme, ce n'est pas à l'ordre du jour", a déclaré Vincent Durcot dans une interview à la NZZ am Sonntag.

Il est encore trop tôt pour dire quelles gares pourraient être concernées par des changements, a déclaré Vincent Ducrot dans l'interview publiée dimanche. "Les générations futures devront en décider".

Même si des gares seront fermées, il y aura toujours des transports publics. Les gares qui ont été récemment rénovées ou qui vont l'être" resteront certainement en place pour les 30 prochaines années", a déclaré le directeur des CFF.

Les petites gares freinent le système

Pour lui, il est clair que la mobilité va changer à long terme. Dans le passé déjà, Vincent Ducrot avait demandé une discussion sur la question des arrêts dans les petites gares.

Les CFF doivent fixer des priorités: "Les arrêts fréquents des trains ralentissent le système et utilisent beaucoup de capacité du réseau", a-t-il déclaré dans l'interview.

Vincent Ducrot a demandé au monde politique de se concentrer sur l'offre pour les voyageurs plutôt que sur l'infrastructure. Il faut d'abord déterminer où il faut une cadence plus dense ou une liaison plus rapide. "Ensuite, nous devons décider quelle infrastructure est nécessaire pour quelle offre".

Un exemple typique est la cadence à la demi-heure entre Berne et Lucerne: "Nous ne pouvons malheureusement pas l'introduire avant 2035, car l'infrastructure est insuffisante."

Cadence au quart d'heure

Même en ce qui concerne la fermeture éventuelle de gares, Vincent Ducrot fait une analyse à partir des besoins de la clientèle. Au début de l'année, l'homme s'était déjà prononcé en faveur d'une cadence au quart d'heure dans les n½uds ferroviaires à partir de 2035.

Pour l'avenir, le patron des CFF souhaite un système qui sollicite moins le rail au niveau local. Le rail est fort sur les moyennes et longues distances, a-t-il encore souligné. "Mais au final, c'est la politique qui décide".

https://www.nzz.ch/wirtschaft/sbb-ceo-vincent-ducrot-das-schweizer-bahnnetz-muss-ausgebaut-werden-ld.1848129

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Pour le patron des CFF, la fermeture des gares est une option

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"Dans une perspective d'avenir, j'aimerais avoir un système dans lequel le train est moins sollicité localement", a déclaré le directeur général des CFF Vincent Ducrot dans une interview accordée à la "NZZ am Sonntag". (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le directeur général des CFF Vincent Ducrot n'a pas exclu à long terme la fermeture de gares. "A court terme, ce n'est pas à l'ordre du jour", a déclaré Durcot dans une interview à la NZZ am Sonntag.

Il est encore trop tôt pour dire quelles gares pourraient être concernées par des changements, a déclaré M. Ducrot dans l'interview publiée dimanche. "Les générations futures devront en décider".

Même des gares qui seront fermées continueront d'offrir des transports publics. Les gares qui ont été récemment rénovées ou qui vont l'être" resteront certainement en place pour les 30 prochaines années", a déclaré le directeur général des CFF

https://www.nzz.ch/wirtschaft/sbb-ceo-vincent-ducrot-das-schweizer-bahnnetz-muss-ausgebaut-werden-ld.1848129

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'OMS déplore le manque de tests de Mpox en RDC

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Le nombre de tests de Mpox disponibles reste faible en République démocratique du Congo (RDC). (© KEYSTONE/EPA/MOISE KASEREKA)

Le nombre de tests de Mpox disponibles reste faible en République démocratique du Congo (RDC), pays le plus touché par l'épidémie, a regretté samedi l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dans son dernier rapport de situation.

"La couverture de la RDC en tests reste faible, en raison d'une capacité de test limitée, a déclaré l'agence de santé des Nations Unies dans sa dernière mise à jour.

"En raison de l'accès limité aux tests de laboratoire dans les zones reculées, seuls 40% environ des cas suspects ont été testés en 2024 (contre 9% en 2023), et parmi eux, environ 55% ont été testés positifs", ajoute l'OMS.

Les trois pays ayant signalé le plus grand nombre de cas suspects au cours de l'année jusqu'au 8 septembre sont la RDC, suivie du Burundi (1489 cas suspects, aucun décès) et du Nigéria (935 cas suspects, aucun décès). Le 14 août, l'OMS a déclaré une situation d'urgence internationale concernant le Mpox.

En ce qui concerne la disponibilité des vaccins au niveau mondial, l'OMS a déclaré que plus de 3,6 millions de doses avaient été promises, dont plus de 620'000 doses de vaccin MVA-BN par les pays européens, les Etats-Unis et le fabricant Bavarian Nordic.

Le Japon a promis trois millions de doses du vaccin LC16. A ce jour, 265'000 doses de vaccin MVA-BN ont été livrées à Kinshasa et 10'000 au Nigeria.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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