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10 heures de confrontation pour Tariq Ramadan

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L'islamologue suisse Tariq Ramadan a été confronté pendant dix heures mardi à une de ses accusatrices françaises. Il a nié les faits qui lui sont reprochés (archives). (©KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'islamologue Tariq Ramadan, visé en France et en Suisse par des plaintes pour viols, a été confronté dix heures durant mardi à une de ses accusatrices françaises. Il continue à nier les faits qui lui sont reprochés, a déclaré à Reuters son avocat.

Identifiée sous le prénom de Christelle, cette plaignante handicapée depuis un accident de voiture accuse le petit-fils du fondateur égyptien des Frères musulmans de l'avoir violée en octobre 2009 dans sa chambre d'hôtel à Lyon.

"Cela a été une confrontation âpre, qui a balayé les 11 mois d'enquête", a déclaré à Reuters l'avocat de cette quadragénaire convertie à l'Islam, Me Eric Morain.

"Elle a duré plus de dix heures. Aucune question n'a été éludée et M. Ramadan a pu constater la détermination intacte de ma cliente, qui lui a répondu et a répondu aux questions pied à pied", a-t-il poursuivi. "Il ne suffit pas simplement de dire qu'elle est menteuse, il faut se confronter aux éléments du dossier et le dossier ne ment pas, le dossier dit la vérité."

Christelle a notamment décrit lors d'une précédente audition une cicatrice arborée à l'aine par l'universitaire.

"M. Ramadan est encore un adepte de la théorie du complot, il voit des ennemis partout, il nous l'a encore dit aujourd'hui et m'a cliente a pu lui dire droit dans les yeux qu'elle n'était pas son ennemi mais sa victime et que cela faisait dix ans qu'elle traînait cette douleur", a ajouté Me Morain.

Demande de remise en liberté

L'avocat du théologien suisse de 56 ans, Me Emmanuel Marsigny, a pour sa part dit à Reuters que son client continuait à nier avoir eu des relations sexuelles avec Christelle et qu'il demandait toujours sa remise en liberté.

Tariq Ramadan est incarcéré en France depuis le 2 février et a vu jusqu'ici toutes ses demandes de libération rejetées bien qu'il souffre de sclérose en plaques.

Il est également mis en examen pour viol sur la personne d'une ex-salafiste, Henda Ayari, qui l'accuse de l'avoir agressée en marge d'un congrès de l'Union des organisations islamiques de France (UOIF) en 2012.

Le témoignage de cette femme est cependant fragilisé par son incapacité à se souvenir de la date exacte à laquelle elle dit avoir subi des violences sexuelles : le 26 mai 2012, date qu’elle avait avancée après avoir déjà changé de version, elle était au mariage de son frère à Rouen, ce que les enquêteurs ont pu vérifier, et non à Paris, à l’hôtel où elle disait avoir rencontré Tariq Ramadan.

Selon Me Marsigny, les juges chargés du dossier l'ont questionnée avec insistance sur ce point lors d'une confrontation le 19 juillet.

Tariq Ramadan est également visé par une plainte aux Etats-Unis et une autre en Suisse pour des faits similaires.

Instruction pénale à Genève

La plainte suisse a abouti à l'ouverture début septembre d'une instruction par le parquet de Genève, ce qui équivaut à une mise en examen, selon l'avocat de la plaignante identifiée sous le prénom de Brigitte, Me Romain Jordan.

Les faits dénoncés par sa cliente remontent à octobre 2008 et ressemblent à ceux décrits par les autres accusatrices : une rencontre lors d'une conférence suivie d'une phase d'échanges sur les réseaux sociaux et un rendez-vous en apparence anodin.

"Ils ont pris un café ensemble. Après, il lui a demandé de l’aider à porter des objets dans sa chambre d’hôtel. A partir du moment où elle est entrée dans sa chambre ça a été un cauchemar, toute une nuit jusqu’au petit matin", a dit à Reuters Me Jordan. "Ce sont des faits constitutifs à notre sens de viol avec cruauté, contrainte sexuelle et séquestration."

La plaignante, une Suissesse convertie à l'islam depuis l'adolescence, avait une quarantaine d'années lors des faits.

Selon Me Jordan, le procureur de Genève se rendra prochainement en France pour entendre Tariq Ramadan, détenu à l'hôpital pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne).

Source ATS

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Culture

Trump veut chasser l'"idéologie inappropriée" des musées fédéraux

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L'administration Trump veut reprendre le contrôle "idéologique" des musées de la capitale fédérale, dont la Smithsonian Institution (archives). (© KEYSTONE/AP/Andrew Harnik)

Donald Trump a signé jeudi un décret exécutif visant à reprendre le contrôle du contenu des musées Smithsonian de Washington, des institutions de la capitale accusées par le président américain de mener un "endoctrinement idéologique" racial.

"Au cours de la dernière décennie, les Américains ont été témoins d'un vaste effort coordonné pour réécrire l'histoire de notre pays, remplaçant des faits objectifs par un récit déformé, inspiré par une idéologie plus que la vérité", écrit Donald Trump dans son décret.

"Sous ce révisionnisme historique, l'héritage sans égal de notre pays dans la promotion de la liberté, des droits individuels, et du bonheur humain est reconstruit comme étant de manière inhérente raciste, sexiste, tyrannique, ou avec des défauts irrémédiables", ajoute-t-il, en ciblant particulièrement l'institution Smithsonian.

Les musées et le zoo Smithsonian à Washington sont parmi les principales attractions touristiques de la capitale américaine, en raison notamment de leur caractère gratuit.

Parmi les plus prisés, figurent notamment le musée d'histoire naturelle, la galerie nationale d'art, ou encore le musée national de l'histoire et de la culture afro-américaine, inauguré en 2016 par Barack Obama.

JD Vance en charge

Le vice-président JD Vance sera ainsi chargé, grâce à son siège au conseil d'administration du Smithsonian, de "chercher à retirer toute idéologie inappropriée" de ces établissements. Il devra aussi travailler avec le Congrès pour empêcher que des fonds publics fédéraux financent des "expositions ou programmes qui déshonorent les valeurs américaines partagées, et divisent les Américains sur la base de la race".

"Les musées dans la capitale de notre pays devraient être des endroits où les individus viennent pour apprendre, pas pour subir un endoctrinement idéologique", ajoute Donald Trump dans son décret.

Pendant la campagne électorale, Donald Trump s'était engagé à supprimer tout financement fédéral des écoles ayant adopté la "théorie critique de la race". Un concept qui désigne au départ un courant de recherche et est utilisé de manière péjorative par les conservateurs pour dénoncer les enseignements de sensibilisation au racisme.

Restaurer des monuments

Le président américain ordonne en outre à son gouvernement de déterminer si depuis 2020, des monuments ou statues sous juridiction fédérale ont été "retirées ou changées pour perpétuer une reconstruction erronée de l'histoire américaine", et si c'est le cas, de réinstaurer ceux-ci.

En 2020, la mort de l'Afro-Américain George Floyd sous le genou d'un policier blanc avait déclenché des manifestations à travers les Etats-Unis sous la bannière "Black Lives Matter" (les vies noires comptent) et provoqué des débats véhéments sur le racisme et la présence dans l'espace public de symboles du passé esclavagiste du pays.

Plusieurs monuments confédérés ont dans la foulée été démontés et de nombreux établissements (écoles et même bases militaires) ont changé de nom.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Environnement

Des pêcheurs tentent de bloquer le principal port du Chili

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Des pêcheurs artisanaux dans leurs bateaux tentent de bloquer un cargo étranger à Valparaiso, au Chili. (© KEYSTONE/EPA/ADRIANA THOMASA)

Des pêcheurs artisanaux ont tenté jeudi de perturber les opérations portuaires au Chili, au troisième jour d'une manifestation pour réclamer l'augmentation de leurs quotas de pêche, ont indiqué les autorités.

Les manifestations, qui ont fait depuis mardi une vingtaine de blessés, pour la plupart des policiers, et autant d'arrestations, se sont poursuivies jeudi dans le port de San Antonio, où transite la plus grande partie du fret du pays.

Des manifestations ont également eu lieu dans les ports de Valparaiso et de Quinteros, aussi situés sur la côte centrale du Chili, à environ 120 km de Santiago.

Les pêcheurs artisanaux réclament l'approbation "immédiate" par le Parlement d'un projet de loi visant à augmenter leur quota de pêche et à réduire celui des pêcheurs industriels. La loi, présentée en septembre 2024 par le gouvernement du président Gabriel Boric, a été approuvée par la Chambre des députés et est en cours d'examen par la commission des finances du Sénat.

"Les manifestants ont tenté d'empêcher le passage de navires (...) dans le but de bloquer les opérations portuaires", a déclaré la marine chilienne dans un communiqué.

Troupes mobilisées

La marine a utilisé l'un de ses navires pour asperger d'eau une embarcation avec trois pêcheurs portant le drapeau chilien, a constaté l'AFP sur place.

En outre, des troupes ont été mobilisées sur des bateaux rapides pour repousser les manifestants. Quatre personnes ont été arrêtées, a indiqué la marine dans un communiqué.

Aucune autorité n'a signalé de suspension des activités portuaires.

Le président de la fédération de la région de Valparaiso, Miguel Angel Hernandez, a déclaré à l'AFP qu'un de ses collègues avait été blessé par des projectiles tirés par la marine.

Il a également affirmé qu'une centaine d'embarcations avaient tenté de bloquer "le passage des navires industriels" à San Antonio.

Mercredi, des affrontements avec la police dans plusieurs régions du pays ont fait quinze blessés parmi les policiers et un parmi les manifestants. Un véhicule des forces de l'ordre a été incendié dans la région de Maule (sud), lors de manifestations particulièrement violentes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trump renonce à nommer Elise Stefanik comme ambassadrice à l'ONU

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Trump renonce à nommer Elise Stefanik au poste d'ambassadrice à l'ONU, ce qui aurait nécessité la démission de l'élue républicaine de la chambre basse du Congrès. (© KEYSTONE/AP/Rod Lamkey)

Donald Trump a annoncé jeudi renoncer à nommer l'élue new-yorkaise Elise Stefanik comme ambassadrice des Etats-Unis à l'ONU, déclarant ne pas vouloir "prendre de risque" face à la fine majorité dont disposent les républicains à la Chambre des représentants.

La confirmation d'Elise Stefanik à ce poste aurait nécessité sa démission comme élue de la chambre basse du Congrès et la tenue d'une élection partielle dans sa circonscription de l'Etat de New York.

Le président américain a donc préféré éviter le risque d'éroder la marge de manoeuvre de son parti, et a affirmé sur sa plateforme Truth Social qu'il était "essentiel de maintenir CHAQUE siège républicain au Congrès".

Après les démissions récentes de deux élus républicains de Floride, des élections partielles doivent avoir lieu mardi pour les remplacer. Mais alors qu'ils avaient confortablement remporté ces sièges en novembre, les républicains s'inquiètent des sondages qui donnent le démocrate Josh Weil au coude-à-coude avec leur candidat Randy Fine dans l'une de ces circonscriptions.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Rubio met en garde Caracas contre toute attaque du Guyana

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Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, en visite jeudi au Guyana, a mis en garde le Venezuela voisin contre toute attaque sur le petit état pétrolier. (© KEYSTONE/AP/Nathan Howard)

Le secrétaire d'État américain Marco Rubio, en visite jeudi au Guyana pour l'assurer de sa protection, a averti le Venezuela voisin que toute attaque de ce petit pays pétrolier se "terminerait mal". Le président vénézuélien Maduro l'a aussitôt traité "d'imbécile".

"S'ils (les Vénézuéliens) devaient attaquer le Guyana ou attaquer (le groupe pétrolier américain) ExxonMobil (...) ce serait une très mauvaise journée - une très mauvaise semaine - pour eux. Cela se terminerait mal", a déclaré le responsable américain lors d'une conférence de presse à Georgetown, soulignant la force et la présence de la marine américaine.

"Il y aura des conséquences à l'aventurisme. Il y aura des conséquences à des actions agressives," a-t-il insisté.

Une décennie après la découverte de vastes réserves, le petit pays anglophone d'Amérique du Sud est sur le point de devenir cette année le plus grand producteur de pétrole par habitant, dépassant le Qatar et le Koweït.

Mais le Guyana s'inquiète des revendications de Caracas, adversaire déclaré de Washington, sur l'Essequibo. Caracas estime que ce territoire riche en pétrole de quelque 160'000 km2, qui couvre les deux tiers de la superficie du Guyana, lui appartient. Des prétentions "illégitimes d'un régime de narcotrafic", a estimé M. Rubio.

Personne ne menace le Venezuela

Le président Maduro a répondu en soirée à la télévision publique, traitant M. Rubio "d'imbécile".

"L'imbécile Marco Rubio menace le Venezuela depuis le Guyana! Imbécile, personne ne menace le Venezuela!", a-t-il lancé, ajoutant que "Marco Rubio (...) fait partie de l'élite corrompue de Miami, très corrompue qui déteste le Venezuela".

L'armée vénézuélienne "ne tolérera pas les menaces d'un fonctionnaire ou d'un gouvernement étranger (...) nous répondrons avec fermeté et détermination à toute provocation ou action", avait quant à lui écrit le ministre de la Défense Vladimir Padrino Lopez.

A Georgetown, M. Rubio a notamment signé un mémorandum d'entente décrivant la coopération en matière de sécurité entre les Etats-Unis et le Guyana.

L'administration Trump a déclaré qu'elle envisageait de mettre en place avec ce pays une relation analogue à celles avec les nations du Golfe persique riches en pétrole, qui accueillent des troupes américaines.

Le président du Guyana, Irfaan Ali, s'est félicité de la protection américaine. "Je suis très heureux que les Etats-Unis" aient promis de garantir "notre intégrité (territoriale) et notre souveraineté", a-t-il déclaré.

Tensions croissantes

D'obédience socialiste, le président vénézuélien Nicolas Maduro, honni par le Cubano-Américain Marco Rubio, a relancé les revendications territoriales vénézuéliennes, organisant notamment un référendum sur l'Essequibo en 2023.

Caracas a approuvé l'année dernière un projet de loi pour déclarer l'Essequibo 24e État du Venezuela et assure vouloir y faire élire un gouverneur lors des élections régionales en mai.

En mars, le Guyana a dénoncé "l'incursion" d'un navire militaire vénézuélien dans ses eaux.

Caracas estime que l'accord de Genève signé en 1966 - avant l'indépendance du Guyana - jette les bases d'un règlement négocié hors de la Cour internationale de justice (CIJ) et soutient que le fleuve Essequibo doit être la frontière naturelle, comme en 1777.

Le Guyana assure de son côté que la frontière, datant de l'époque coloniale anglaise, a été entérinée en 1899 par une cour d'arbitrage à Paris. Et demande à la CIJ de le ratifier.

ExxonMobil prévoit une production brute de 1,3 million de barils par jour au Guyana d'ici la fin de la décennie mais la majorité des 800'000 habitants du Guyana continue toutefois de vivre dans la pauvreté.

M. Rubio a quitté Georgetown pour effectuer une halte chez le voisin du Guyana, le Suriname, petit pays néerlandophone, dont la production pétrolière est aussi en augmentation.

Lors de sa tournée caribéenne (Jamaïque, Guyana, Suriname), M. Rubio, qui a critiqué à plusieurs reprises l'influence de la Chine dans la région, a évoqué l'épineux dossier des taxes sur les bateaux fabriqués en Chine proposées par Trump.

Si le secrétaire d'Etat a souligné qu'il était "dangereux d'avoir un pays dans le monde construisant tous les navires", il a, dans un changement de ton par rapport à la position habituellement inflexible de Donald Trump, reconnu les préoccupations des pays des Caraïbes qui craignent que ces taxes renchérissent leur approvisionnement et génèrent une inflation importante.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Faille de sécurité US: un juge ordonne de conserver les messages

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Après la faille de sécurité sur le Yémen, un juge fédéral américain a ordonné jeudi au gouvernement de conserver tous les messages sur Signal du 11 au 15 mars 2025 (image symbolique). (© KEYSTONE/AP/Kiichiro Sato)

Un juge a ordonné jeudi au gouvernement de Donald Trump de conserver les messages de la conversation dans laquelle les lieutenants du président américain parlent de frappes militaires à venir dans une spectaculaire faille de sécurité.

L'affaire qui secoue Washington depuis lundi a été révélée par un journaliste du magazine The Atlantic, intégré par erreur à ce groupe de discussion sur l'application chiffrée Signal, où les plus hauts responsables de l'administration évoquent des opérations contre les rebelles houthis du Yemen.

Une association de défense de la transparence, American Oversight, a porté plainte mercredi contre les éminents membres du chat - chef du Pentagone, vice-président ou encore patron de la CIA -, les accusant d'avoir contrevenu à l'obligation d'archiver tout document officiel.

A l'issue d'une audience de référé, un juge fédéral a ordonné à ceux inclus dans la conversation de "faire tout leur possible pour conserver toutes les communications sur Signal du 11 au 15 mars 2025".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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