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Trump prédit la fin du Coronavirus en avril

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Le President Donald Trump à la Maison Blanche (Washington, le 10 février 2020)

Le président américain Donald Trump a prédit lundi que l'épidémie de coronavirus disparaîtrait probablement en avril à cause de la chaleur. Il a une nouvelle fois salué la réaction des dirigeants chinois.

"D'ici avril, ou au cours du mois d'avril, la chaleur en général tue ce genre de virus", a déclaré M. Trump depuis la Maison Blanche. "Ce serait une bonne chose".

La trajectoire de l'épidémie de 2019-nCoV pourrait être infléchie par l'arrivée du printemps et de l'été, mais les mesures d'endiguement du virus seront absolument déterminantes.

A ce stade, l'épidémie continue de progresser, et les autorités sanitaires se gardent de dire que le "pic" est en vue, c'est-à-dire le moment où le nombre de transmissions commencera à baisser d'une semaine à l'autre.

"Nous ne savons pas", a répondu vendredi le directeur de l'Institut américain des maladies infectieuses, Anthony Fauci, membre du groupe de travail présidentiel sur le virus, lorsqu'on lui a demandé quand l'épidémie commencerait à fléchir.

"Bon travail"

"Tout type de prédiction serait malvenue, car il reste énormément d'inconnues", a-t-il dit. Le facteur clé sera le degré de transmission hors de Chine, et la capacité des autres pays à contenir l'épidémie.

Le locataire de la Maison Blanche a par ailleurs loué de nouveau lundi l'attitude de Pékin face à cette épidémie qui a fait plus de 900 morts "Je pense qu'ils font du bon travail", a-t-il déclaré. "J'ai eu un long échange avec le président Xi (Jinping), il est très confiant".

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Premier ministre slovaque Robert Fico grièvement blessé par balles

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Le Premier ministre slovaque Robert Fico a été blessé par balle. (archives) (© KEYSTONE/AP/Petr David Josek)

Le Premier ministre slovaque Robert Fico a été grièvement blessé mercredi par des coups de feu dans la ville de Handlova, rapportent les médias slovaques. Le chef du gouvernement a été emmené à l'hôpital et l'assaillant présumé interpellé par la police.

Les journalistes présents sur place ont entendu plusieurs coups de feu. D'après la page Facebook du chef de gouvernement, Robert Fico a été blessé par plusieurs balles.

Robert Fico a été soigné dans un hôpital de Handlova et est à présent acheminé vers la capitale Bratislava, a annoncé à l'AFP la directrice de l'hôpital de la ville du centre de la Slovaquie.

"M. Fico a été amené dans notre hôpital et a été soigné dans notre unité de chirurgie vasculaire", a affirmé Marta Eckhardtova. "Le Premier ministre a ensuite été transporté en dehors de notre hôpital, il est en route pour Bratislava", a-t-elle précisé.

La présidente slovaque Zuzana Caputova a condamné l'attaque "brutale et irresponsable" à l'arme à feu contre le Premier ministre Robert Fico, à la suite d'informations faisant état de sa blessure par balle.

"Je suis choquée. Je souhaite à Robert Fico beaucoup de force dans ce moment critique pour se remettre de cette attaque", "brutale et irresponsable", a affirmé la présidente sortante dans un communiqué.

Le Premier ministre hongrois Viktor Orban a condamné pour sa part un "attentat odieux" contre son homologue slovaque.

"J'ai été profondément choqué par l'attentat odieux perpétré contre mon ami, le Premier ministre Robert Fico", a écrit le dirigeant nationaliste sur X, disant "prier pour sa santé et son prompt rétablissement".

Le chancelier allemand Olaf Scholz a de son côté dénoncé un "lâche attentat".

"La violence ne peut avoir sa place dans la politique européenne. En ces heures, mes pensées vont à Robert Fico, à la famille et aux citoyens slovaques", a-t-il ajouté sur le réseau social X.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Mathieu van der Poel a fait son choix

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Mathieu van der Poel visera le titre olympique sur route (© KEYSTONE/AP/CHRISTOPHE ENA)

Le Néerlandais Mathieu van der Poel (29 ans) disputera bien le Tour de France. Il participera ensuite aux Jeux olympiques de Paris, mais seulement à la course sur route, renonçant ainsi au VTT.

"C'est le choix le plus logique", a déclaré le champion du monde en titre dans un communiqué de son équipe Alpecin. Après avoir remporté le Tour des Flandres et Paris - Roubaix au printemps, il a longtemps hésité ces dernières semaines sur son programme pour cet été et la possibilité de cumuler route et VTT aux JO.

"Cette année, la combinaison est trop compliquée. Ma première partie de saison a été assez longue avec d'abord le cyclo-cross et ensuite, après une courte pause, la campagne des classiques jusqu'à Liège - Bastogne - Liège", a-t-il expliqué.

Période de repos

"Si je voulais me concentrer entièrement sur le VTT et être parfaitement préparé, je devrais commencer dès le week-end prochain à Nove Mesto, l'étape tchèque de Coupe du monde. En concertation avec mon équipe, j'ai opté plutôt pour une période de repos plus longue avant de commencer la préparation pour le Tour de France et la course sur route des JO sans être pressé par le temps", a ajouté le petit-fils de Raymond Poulidor qui avait chuté lors de l'épreuve de VTT aux JO de Tokyo en 2021.

"Le fait que je porte actuellement le maillot arc-en-ciel a joué un rôle indirect aussi. C'est une année spéciale. En tant que champion du monde (en titre sur route), j'aimerais porter ce maillot le plus possible. Et je ne voudrais pas manquer non plus le Tour de France que je considère comme la meilleure préparation possible pour les JO", a développé Van der Poel.

Pas de course avant le Tour

Il a repris l'entraînement chez lui, en Espagne, et n'a pas prévu de disputer la moindre course avant le Tour (29 juin-21 juillet). Sur la Grande Boucle, il veut aider une nouvelle fois le sprinter d'Alpecin, Jasper Philipsen, à gagner le maillot vert tout en visant lui-même une victoire d'étape.

Le Néerlandais sera ensuite l'un des grands favoris de l'épreuve en ligne des JO de Paris le samedi 3 août sur un parcours long et exigeant qui lui convient parfaitement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'inflation a ralenti aux USA, pour la première fois depuis janvier

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Le ralentissement de l'inflation, une bonne nouvelle pour le président Joe Biden, en campagne pour sa réélection. (© KEYSTONE/EPA/Samuel Corum / POOL)

L'inflation a repris sa trajectoire à la baisse en avril aux Etats-Unis, après trois mois de rebond. Il s'agit d'une bonne nouvelle pour le président Joe Biden, la hausse des prix étant un enjeu crucial de son duel avec Donald Trump pour l'élection présidentielle.

L'inflation est repartie à la baisse en avril pour la première fois depuis janvier, à 3,4% sur un an contre 3,5% en mars, selon l'indice CPI sur lequel sont indexées les retraites, publié mercredi par le département du Travail. Cette évolution est conforme aux attentes des analystes, selon le consensus de Market Watch.

La hausse des prix à la consommation a également été moins forte sur un mois seulement, à 0,3% contre 0,4% le mois précédent. Ce sont notamment les prix du logement et de l'essence à la pompe qui ont tiré l'inflation en avril, représentant plus de 70% de la hausse.

La hausse des prix à la consommation s'était de nouveau accélérée début 2024, après avoir largement ralenti au cours des derniers mois de 2023. "Les pressions sur les prix restent élevées mais évoluent dans la bonne direction", relève Rubeela Farooqi, cheffe économiste pour High Frequency Economics.

Pour les consommateurs, le ralentissement de l'inflation redonne du pouvoir d'achat. Et cela signifie aussi que la banque centrale américaine (Fed) pourra baisser les taux, lorsqu'elle considèrera que la hausse des prix ralentit durablement.

Cette baisse des taux aura pour effet de rendre le crédit moins onéreux pour les ménages, qui pourront plus facilement acheter un logement ou une voiture, par exemple.

La Fed veut ramener l'inflation à 2%, et privilégie pour cela une autre mesure, l'indice PCE, qui avait aussi accéléré en mars, à 2,7% sur un an. Les données d'avril seront publiées le 31 mai.

Président de la FED prudent

Le président de la Fed, Jerome Powell a estimé mardi que la persistance d'une inflation toujours élevée avait réduit son niveau de confiance quant au fait qu'elle puisse se rapprocher de l'objectif de 2%. "Les chiffres ont été plus élevés que tout ce que n'importe qui anticipait", a-t-il déclaré.

"Ce que cela nous apprend est que nous devons nous montrer plus patients et laisser la politique restrictive faire son effet", a-t-il souligné, ne jugeant cependant pas nécessaire de monter de nouveau les taux, qui sont déjà à des niveaux "restrictifs".

La Fed avait, le 1er mai à l'issue de sa réunion, acté l'"absence de progrès" récents sur le front de l'inflation. Par conséquent, afin d'empêcher les prix de continuer à flamber, elle avait maintenu ses taux d'intérêt inchangés, au plus haut depuis plus de vingt ans, entre 5,25% et 5,50%.

L'indice des prix de gros, qui mesure la hausse des prix côté producteurs, a lui continué a grimper en avril, plus rapidement même que ne l'anticipaient les marchés.

"Il nous reste encore beaucoup à faire"

L'évolution de l'inflation aux Etats-Unis contraste avec la zone euro, où elle a nettement ralenti, et où une baisse des taux de la Banque centrale européenne (BCE) en juin semble désormais quasiment acquise. Le taux d'inflation en zone euro pour avril sera publié vendredi. En France, il a ralenti à 2,2%, selon l'Insee.

Le président américain Joe Biden, en campagne pour sa réélection, a salué mercredi le ralentissement de l'inflation. "Bien que nous ayons progressé, il nous reste beaucoup à faire", a-t-il toutefois déclaré dans un communiqué de la Maison-Blanche, accusant par ailleurs les républicains d'avoir un programme qui "ferait monter l'inflation en flèche".

L'opposition républicaine et notamment le candidat républicain à l'élection présidentielle, Donald Trump, ont imputé largement à Joe Biden la responsabilité de la flambée des prix.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'ONU déplore la loi géorgienne sur l'influence étrangère

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Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk veut des investigations rapides sur le recours à la force contre les manifestants (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'ONU déplore l'approbation mardi de la loi géorgienne sur l'influence étrangère qui encadrera le fonctionnement des ONG et des médias. Celle-ci sape les libertés fondamentales, a affirmé mercredi à Genève le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk.

"Les autorités et législateurs ont choisi de ne pas écouter les nombreuses mises en garde de défenseurs des droits humains et des organisations de la société civile", a affirmé l'Autrichien. Il redoute un effet "significatif" pour les libertés.

Toutes les institutions qui reçoivent plus de 20% de leur financement de fonds étranger seront désormais considérées comme "oeuvrant dans l'intérêt d'une puissance étrangère". Elles devront être enregistrées avec cette référence.

Ces organisations vont s'exposer à "une stigmatisation" et à une méfiance, ou même une hostilité, a ajouté M. Türk. Elles pourraient être contraintes de réduire leurs activités.

Le Haut commissaire appelle à nouveau à abandonner cette législation et demande aux autorités d'établir un dialogue avec la société civile et les défenseurs des droits humains. Il demande aussi des investigations "rapides" sur les accusations de recours excessif à la force contre les manifestants qui avaient dénoncé ces dernières semaines le projet de législation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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L'armée ukrainienne se replie "dans certaines zones" du front nord

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La situation est tendue à Kharkiv et ses environs. (© KEYSTONE/EPA/SERGEY KOZLOV)

L'armée ukrainienne a annoncé mercredi avoir dû se replier dans certaines zones du front nord-est, dans la région de Kharkiv où la Russie a lancé le 10 mai une nouvelle offensive. La pression sur Kiev s'accentue.

Pour contrer les assauts russes, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté mardi les Occidentaux à accélérer les fournitures d'armes, après une rencontre avec le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken, en visite à Kiev mardi et mercredi pour rassurer Kiev sur la pérennité du soutien des Etats-Unis après des mois de blocage et d'incertitudes.

Le nouvel assaut russe se déroule dans la région de Kharkiv, dont la capitale éponyme est la deuxième plus grande ville d'Ukraine. Située près de la frontière russe, la zone a essuyé une campagne de bombardements massive ces dernières semaines.

L'armée ukrainienne a annoncé mercredi un repli de ses troupes dans certaines zones du nord-est, alors que l'armée russe avait assuré la veille avoir pénétré "en profondeur dans les défenses" ukrainiennes et revendiqué la prise d'un nouveau village.

"Dans certains endroits des zones de Loukiantsi et de Vovtchansk, en raison des tirs et des actions d'assaut de l'ennemi, des manoeuvres ont été effectuées pour sauver la vie de nos soldats, les unités ont été déplacées vers des positions plus avantageuses", a déclaré à la télévision mercredi le porte-parole des forces dans la région, Nazar Volochine.

Situation "extrêmement difficile"

Selon Oleksiï Kharkivsky, chef de la police de Vovtchansk, localité de quelque 18'000 habitants avant-guerre, "les combats" sont en cours dans la cité. "La situation est extrêmement difficile. L'ennemi prend position dans les rues", a-t-il déclaré, ajoutant avoir appelé la population restante à évacuer.

Cette offensive par le nord de l'Ukraine a pris les forces ukrainiennes par surprise en fin de semaine dernière. Plusieurs villages ont été conquis, et quelque 7000 personnes ont été évacuées de la zone.

Selon la chaîne Telegram DeepState, proche de l'armée ukrainienne, les Russes sont parvenus à occuper une bande d'environ 80 km2 autour de Loukiantsi et une autre de 53 km2 vers Vovtchansk.

Certains analystes militaires estiment que Moscou pourrait ainsi forcer l'Ukraine à détourner ses troupes d'autres zones de la ligne de front, notamment dans l'Est comme autour de la ville stratégique de Tchassiv Iar, dans la région de Donetsk, où la Russie progresse également.

"Les régions de Donetsk et de Kharkiv sont celles où les choses sont les plus difficiles actuellement", a déclaré M. Zelensky mardi soir dans son intervention quotidienne.

Il a également insisté mardi sur le fait qu'une "accélération notable des livraisons" d'armes occidentales était nécessaire. "Trop de temps s'écoule actuellement entre l'annonce des paquets (d'aide) et l'apparition réelle des armes en première ligne", a-t-il déploré.

Le chef de la diplomatie américaine Antony Blinken a assuré le même jour l'Ukraine que l'aide militaire américaine était "en route", promettant que "cela fera une réelle différence sur le champ de bataille".

La lenteur de l'aide européenne et l'arrêt pendant des mois de celles des Etats-Unis liée à des dissensions politiques américaines ont placé l'Ukraine dans une position difficile, le pays manquant d'hommes et de munitions au moment même où la Russie, forte d'une économie de guerre, reprenait fin 2023 l'initiative sur le terrain.

Zelensky annule ses voyages

Le président ukrainien a en outre annulé sans explication une visite prévue vendredi en Espagne ainsi que tous ses déplacements à l'étranger au cours des prochains jours. Selon la presse espagnole, il a pris cette décision en raison de la nouvelle offensive russe dans le nord.

Les autorités ukrainiennes assurent cependant que la ville de Kharkiv n'est pas menacée par un assaut terrestre.

La cité fait toutefois l'objet depuis des semaines de bombardements russes dévastateurs, notamment pour son réseau énergétique.

Une frappe mardi y a encore fait au moins 20 blessés, après qu'une bombe aérienne guidée a touché un immeuble d'habitation.

L'Ukraine a par ailleurs commencé à lever mercredi matin le rationnement d'électricité imposé à travers le pays la veille au soir en raison des dommages infligés aux infrastructures énergétiques par les frappes russes des derniers mois.

De son côté, la Russie a affirmé mercredi avoir neutralisé une vingtaine de drones ukrainiens qui ont visé notamment des cibles situées à un millier de kilomètres de la frontière avec l'Ukraine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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