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Actualité

Coronavirus: pas de cas déclaré à Zurich

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Il n'y a pas de patient atteint par le coronavirus à l'hôpital du Triemli à Zurich. Les deux patients hospitalisés et présentant des signes d'infection après un séjour en Chine n'ont pas la maladie.

Les tests pratiqués par le centre national de référence pour les infections virales émergentes (CRIVE) à Genève se sont révélés négatifs. Les deux patients n'ont pas été infectés par le coronavirus qui sévit en Chine, a indiqué ce matin l'hôpital du Triemli.

Une conférence de presse détaillera les conclusions de l'hôpital dans la matinée.

A Genève, le CRIVE a analysé moins de dix échantillons suspects
Le centre national de référence pour les infections virales émergentes (CRIVE) à Genève a jusqu'à présent analysé moins de dix échantillons pris sur des patients suspectés d'avoir été infectés par le coronavirus qui sévit en Chine, a indiqué mardi le service média des Hôpitaux universitaires de Genève (HUG).

Il confirmait une information de 24 Heures et de la Tribune de Genève. Le centre mène ces analyses depuis qu'il a développé un test permettant le diagnostic, soit depuis environ quinze jours. Il s'agit d'un prélèvement naso-pharyngé.

Des critères stricts sont appliqués pour ces examens d'échantillons. Ils sont menés sur des patients présentant de la fièvre, des problèmes respiratoires et de retour d'un séjour en Chine ou ayant été en contact avec des personnes revenues de ce pays.

L'apparition de l'épidémie et son expansion dans l'Empire du Milieu entraînent beaucoup de travail supplémentaire au CRIVE. Notamment du fait de la coordination et de l'information qu'elle nécessite, précise les HUG. Le Centre continue par ailleurs à travailler sur l'origine du virus.

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Sport

Liridon Mulaj offre un sursis au SLO

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La joie des joueurs du SLO, qui se sont offert un sursis (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le Stade Lausanne-Ouchy n'est pas encore relégué en Challenge League.

Vainqueurs 3-1 d'Yverdon samedi, les Stadistes auront toutefois besoin d'un miracle pour revenir sur la place de barragiste occupée par Grasshopper, qui les devance encore de 8 points.

Ce succès, seulement le troisième du SLO à la Pontaise cette saison, porte la marque de Liridon Mulaj. Après un penalty d'Alban Ajdini détourné par Paul Bernardoni, l'ailier de 25 ans a botté un corner repris victorieusement de la tête par Rayan Kadima (66e).

Yverdon a bien égalisé trois minutes plus tard, par l'inévitable Kevin Carlos, mais Mulaj a endossé son costume de sauveur en inscrivant un fantastique doublé. Une somptueuse frappe du pied droit décochée à 30 mètres du but de Bernardoni (77e) et une tête plongeante et rageuse (87e) ont en effet permis au SLO de rester en vie au moins quelques jours de plus.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Eurovision: tensions entre police et manifestants propalestiniens

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Plus d'une centaine de manifestants propalestiniens ont protesté samedi autour de la Malmö Arena, en Suède, contre la participation d'Israël à la finale de l'Eurovision. Les policiers ont utilisé des gaz lacrymogènes et emmené certains activistes dans des camions de police. (© KEYSTONE/EPA/Johan Nilsson/TT)

La police dispersait samedi des manifestants propalestiniens autour de la Malmö Arena, dans le sud de la Suède, où se déroulait la finale de l'Eurovision, a constaté l'AFP.

Autour de la salle de spectacle, des policiers embarquaient des manifestants vers les nombreux camions présents, une scène relativement inhabituelle dans le pays scandinave.

Plus d'une centaine de manifestants ont brandi des drapeaux au rythme des slogans "Libérez la Palestine". Certains portaient un keffieh, parfois enroulé autour du visage.

Les policiers, qui ont confirmé avoir utilisé du gaz lacrymogène, cherchaient à repousser les manifestants vers une place où un rassemblement propalestinien a été autorisé, sans que personne n'y assiste.

"Ils m'ont aspergé de gaz lacrymogène au visage, m'ont poussée", a dit à l'AFP Sara Bo, 26 ans, montrant ses yeux rougis. La militante pour le climat, Greta Thunberg, était parmi les manifestants maismais s'est tenue à l'écart . Avec des membres de son groupe, elle s'est assise en cercle, entourée de policiers.

Dans l'après-midi, quelque 5000 personnes ont défilé paisiblement à travers la ville, où vit la majorité de la population suédoise d'origine palestinienne, pour protester contre la participation israélienne au concours de musique, rendez-vous annuel de la pop européenne qui se veut apolitique.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Géorgie: manifestations contre une loi controversée

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Des démonstrations ont lieu en Géorgie contre le projet de loi sur "l'"influence étrangère" depuis qu'il a été voté en deuxième lecture par le Parlement début mai. (Archives) (© KEYSTONE/AP/Zurab Tsertsvadze)

Plusieurs milliers de manifestants sont descendus dans la rue samedi soir à Tbilissi pour protester une nouvelle fois contre le projet de loi controversé sur l'"influence étrangère". Voulu par le gouvernement géorgien, le texte est critiqué par les États-Unis et l'UE.

Dans la foule, qui convergeait vers la place de l'Europe, des manifestants arboraient les drapeaux de la Géorgie et de l'Union européenne, que Tbilissi dit vouloir rejoindre, malgré ce texte que ses détracteurs jugent similaire à une législation russe utilisée contre l'opposition.

"Géorgie! Géorgie!", ont scandé les nombreux manifestants qui marchaient le long du fleuve Koura, malgré une forte averse, a constaté une journaliste de l'AFP. Parmi les personnes présentes, Mariam Meunargia dit être venue pour montrer que son pays veut "simplement faire partie de la société européenne". "Nous protégeons notre avenir européen", veut-elle croire.

"Tout va empirer"

La Géorgie, petit pays du Caucase, est en proie à des manifestations antigouvernementales depuis début avril après que le parti au pouvoir, le Rêve géorgien, a réintroduit un projet de loi perçu comme une entrave aux aspirations de Tbilissi à rejoindre l'UE. Car ce texte s'inspire d'une législation russe utilisée depuis plusieurs années par le Kremlin pour réprimer les voix dissidentes.

Le projet de loi doit encore passer très prochainement en troisième lecture au Parlement et la présidente Salomé Zourabichvili, en conflit avec le parti au pouvoir, devrait y opposer son veto. Le Rêve géorgien dispose cependant d'assez de voix pour pouvoir passer outre.

Dans le centre-ville de Tbilissi, une impressionnante foule s'est rassemblée la nuit tombée pour afficher son opposition, un important dispositif policier ayant été installé plus tôt dans la journée. "Non à la loi russe!", "Non à la dictature russe!", criaient les manifestants.

"Nous n'avons pas besoin de retourner dans l'Union soviétique", a dénoncé Lela Tsiklauri, une professeure de géorgien de 38 ans venue manifester, en avertissant que "tout va empirer dans notre pays si cette loi est adoptée".

Menaces

Ces derniers jours, de nombreux militants travaillant pour des ONG et autres groupes de défense des droits ont dit avoir reçu des menaces au téléphone.

Plus tôt samedi, la militante féministe Baia Pataraia avait ainsi montré à l'AFP des graffitis orange sur la porte de sa maison et à l'intérieur de son immeuble, où l'on pouvait lire "lesbienne mangeuse de subventions". "C'est pour nous terroriser", fustigeait-elle à l'intérieur de son appartement, se disant pas surprise de telles provocations mais tout de même déterminée à participer au grand rassemblement dans la soirée.

Si la loi controversée est adoptée, elle exigera que toute ONG ou organisation médiatique recevant plus de 20% de son financement de l'étranger s'enregistre en tant qu'"organisation poursuivant les intérêts d'une puissance étrangère". Le gouvernement assure pour sa part que cette mesure est destinée à obliger les organisations à faire preuve de davantage de "transparence" sur leurs financements.

Projet ressorti du placard

La loi sur "l'influence étrangère" avait d'abord été présentée par le Rêve géorgien en 2023. Mais des manifestations massives avaient déjà forcé le gouvernement à la mettre au placard. Son retour, début avril, a ainsi créé la surprise et la colère de nombreux Géorgiens.

Ces troubles surviennent à quelques mois d'élections législatives, en octobre, considérées comme un test important pour la démocratie dans cette ex-république soviétique habituée aux crises politiques.

En décembre 2023, l'UE a accordé à la Géorgie le statut de candidat officiel, mais a déclaré que Tbilissi devrait mener des réformes de ses systèmes judiciaire et électoral, accroître la liberté de la presse et limiter le pouvoir des oligarques avant que les négociations d'adhésion ne soient officiellement lancées.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto est un jeu de loterie classique proposé en Suisse depuis 1970. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto samedi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 5, 17, 18, 24, 26 et 34. Le numéro chance était le 5, le rePLAY le 11 et le Joker le 089253.

Lors du prochain tirage mercredi, 18,6 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Des écologistes manifestent contre l'usine Tesla près de Berlin

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Les manifestants écologistes qui ont défilé samedi devant l'usine Tesla à Grünheide, au sud-est de Berlin, s'opposent au projet d'agrandissement. Ils sont notamment inquiets des effets sur la forêt environnante et la nappe phréatique. (© KEYSTONE/EPA/FILIP SINGER)

Plus d'un millier de manifestants écologistes ont de nouveau manifesté samedi contre le projet de Tesla d'agrandir son usine de voitures électriques implantée depuis 2022 à Grünheide, à une trentaine de kilomètres au sud-est de Berlin, selon la police.

Accompagné d'un important dispositif policier, les manifestants - 2000 selon les organisateurs - ont brandi des banderoles. On pouvait par exemple y lire "Grünheide dit non merci Tesla" ou l'inscription "pour une meilleure vie au delà du capitalisme", munie d'un dessin d'une Tesla en train de brûler.

Week-end d'action

Selon un vidéaste de l'AFP sur place, de petites bagarres entre quelques militants et des policiers ont eu lieu au tout début de la manifestation mais la situation s'est calmée après quelques minutes.

Issus d'un collectif d'associations de protection de l'environnement, parmi lesquelles Extinction Rebellion, Nabu et Robin des Bois, les manifestants ont entamé depuis mercredi un week-end prolongé d'actions en établissant notamment un camp non loin de l'usine.

Vendredi, plusieurs d'entre eux avaient tenté de s'introduire sur le site de Tesla mais la police les avait repoussés. Un porte-parole des forces de l'ordre avait fait état de blessés des deux côtés.

Protéger la forêt et la nappe phréatique

Depuis février des militants écologistes s'insurgent régulièrement contre le projet d'agrandissement de l'usine Tesla. Ils appellent à la sécurité de "l'approvisionnement en eau" et à "une réelle protection du climat", en protestant contre les "solutions capitalistes bidon" d'Elon Musk.

Le milliardaire américain souhaite agrandir de 170 hectares l'usine de Grünheide afin d'y doubler la production, pour atteindre un million de véhicules électriques par an.

Cette "Gigafactory", la seule de Tesla en Europe, occupe déjà environ 300 hectares, sur lesquels travaillent environ 12'000 personnes. C'est d'elle que sort le "Model Y", SUV phare de Tesla pour le marché européen.

Le projet a hérissé les écologistes et les habitants, qui s'inquiètent pour la forêt environnante et la nappe phréatique, ou encore d'une augmentation du trafic routier dans la région. Un référendum local, à valeur uniquement consultative, s'y est opposé avec 60% d'avis négatifs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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