Sorties entre amis, festivals, concerts ou expositions, retrouvez notre sélection des événements du week-end.
Geneva Lux festival débute le 24 janvier.
26 œuvres lumineuses seront à observer dans tous les quartiers de la ville. Le festival fête ses six ans d’existence à Genève et accueillera à cette occasion 26 œuvres lumineuses lors d'un parcours dans tous les quartiers les plus visités de Genève. Véritable attraction touristique appréciée non seulement des visiteurs mais aussi des genevois, le Geneva Lux nous fait rêver et accueille la lumière dans une période ou l'on voit encore peu le jour. L'occasion de se promener en soirée, entre amis ou en famille, au fil des différentes installations. Devant chacune, un panneau indique l'auteur de l'oeuvre et des explications sur cette dernière.
En collaboration étroite avec la ville de Lyon, Genève aura cette année l'occasion d'accueillir une oeuvre de l'artiste Jérome Donna et de la ville de Lyon intitulé Laniakea, dans le parc des bastions. De nombreuses autres nouveautés accompagneront cette année le Geneva Lux, avec notamment les Anoukis, ces personnages inspirés des inuits, farceurs et joueurs, qui se sont invités depuis quelques jours déjà sur les bâtiments de la ville.
Informations pratiques: Gratuit pour tous, visites guidées possible 15.-
A découvrir sur le site Site du Geneva Lux Festival et dans toute la ville jusqu'au 2 février, à la tombée de la nuit.
Photo MC
Ballade en famille de l'orchestre de chambre de Genève
Un peu de musique pour adoucir les mœurs, et cette fois-ci nous vous proposons cette sortie en famille. L'orchestre de chambre de Genève, sous la direction d'Arie Van Beek, interprète Frank Martin, compositeur suisse du 20ème siècle. Pendant ce temps, la famille Jacot présentera des numéros de cirque sur ces mélodies. Une double animation attend donc le public pour cette jolie pause dans l'après-midi, ouverte aux enfants dès 5 ans. C'est le premier volet du Quatre heures d'Arie de cette saison 2020.
Informations pratiques: Gratuit pour les moins de 12 ans, entre 5 et 20.- pour les autres tarifs. Au studio Ernest-Ansermet, Passage de la Radio 2, Genève. Samedi 25 janvier à 16h00.
Soirée disco à la patinoire des Vernets
Dans le cadre du festival Antigel, la patinoire ouvre ses portes pour une soirée très festive sous le signe du disco. Avec des animations et un DJ, des jeux de lumières et des paillettes, on vous invite à mettre un peu d'ambiance sur la glace. Les déguisements sont bienvenus et conseillés, puisque les boules à facettes et tubes entraînants seront aussi de la partie. Enfin, venez vous restaurer auprès des stands de nourritures et confiseries, pour terminer la soirée en beauté.
Informations pratiques: Entrée entre 3 et 6.-, location de patins 2.- . Samedi 25 janvier dès 18h30 à la patinoire des Vernets, Rue Hans Wilsdorf 4, 1227 Genève.
L'année 2025 a marqué un tournant pour Antoine Flahault. Fin septembre, l'épidémiologiste a quitté l’Institut de santé globale de Genève, qu'il avait lui-même fondé. L'occasion pour cette figure de la pandémie de Covid-19 de faire le bilan des années passées à l'UNIGE mais aussi de revenir sur les défis sanitaires encore nombreux et la nécessité de lutter contre la désinformation. Il nous a accordé un entretien pour Radio Lac.
Le grand public l'a découvert pendant la pandémie de Covid-19. Antoine Flahault, éminent épidémiologiste, a pris sa retraite fin septembre. Il a notamment mis en place l’Institut de santé globale de la faculté de médecine.
"Ce qui est vraiment nouveau aujourd'hui, c'est de voir des gouvernements avoir des discours anti-science qui font plaisir à une toute petite minorité, mais qui ne s'appuient pas sur la science."
Aujourd'hui les défis sanitaires restent nombreux notamment pour éradiquer certaines maladies, comme le paludisme, le choléra ou la rougeole. La lutte contre la désinformation et les mouvements populistes anti-sciences a aussi pris une nouvelle ampleur. Antoine Flahault:
Le budget de la Ville de Genève est sous toit. Après 18 heures de débats entamés samedi, le Conseil municipal a adopté lundi soir un budget déficitaire de 69,9 millions de francs en réintroduisant les mécanismes salariaux.
Le gel de ces mécanismes avait suscité la colère des employés de la Ville et entraîné une grève jeudi dernier. Cette mesure décriée a toutefois été enterrée lundi soir et le budget a été voté par une majorité du législatif, composée des socialistes, des Vert-e-s, du groupe Ensemble à gauche-Union populaire et du MCG.
"Sur proposition du Conseil administratif, l'ensemble des mécanismes salariaux a été réintroduit, pour un montant de 5,9 millions et l'indexation a été réévaluée à 0,1%", annonce la Ville de Genève dans un communiqué.
Elle précise que la prime d'ancienneté pourra être convertie en jours de congé, sur base volontaire, générant une économie estimée à 1,2 million.
Eviter le pire
Une économie supplémentaire de 3,6 millions a été trouvée via une réévaluation des amortissements et des primes de l’assurance dommages liée aux bâtiments, ainsi qu'une réduction des charges de fonctionnement de l'administration.
"Les ajustements réalisés par le Conseil administratif et le Conseil municipal ont permis de trouver une majorité pour voter le budget", relève Alfonso Gomez, le maire de Genève, en charge des finances.
Cité dans un communiqué, il ajoute que "l'enjeu a consisté à éviter à tout prix de soumettre la Ville au régime des douzièmes provisionnels. Cette situation aurait aggravé lourdement le déficit, rendant plus difficile encore le retour à l'équilibre d’ici 2033."
Plusieurs moutures
Le Conseil administratif de la Ville de Genève avait proposé un premier projet de budget le 24 septembre, lequel prévoyait un déficit de 62,1 millions. Mi-octobre toutefois, les partis de droite et du centre avaient refusé l'entrée en matière et contraint l'exécutif à présenter un nouveau budget.
Un second projet avait été dévoilé le 12 novembre avec un déficit de 69,3 millions, intégrant la suspension des mécanismes salariaux.
Avec les ajustements trouvés et votés lundi soir, le budget 2026 présente finalement un déficit de 69,9 millions pour des charges de 1,4 milliard.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
En décembre 1985, quatre amis d'enfance fondent un lieu de vie nocturne à Carouge. Devenu un club à rayonnement international, le Chat Noir célèbre son 40e anniversaire tout au long du mois de décembre, en rendant hommage aux différents formats qui ont fait sa patte.
Les artistes prévus pour décembre ont été choisis pour faire résonner les formats qui ont façonné le Chat Noir. Moncef Genoud y a déjà rappelé les premières années jazz samedi. Jean, nouvelle voix francophone, représentera les découvertes du Chat Noir vendredi, comme indiqué dans un communiqué. Enfin le groupe Blackats fera résonner ce lieu où il est né, à la suite de jam sessions carougeoises, le 19 décembre.
D'autres formats qui "racontent l'ouverture du Chat" sont également au programme: des open mic, des spectacles d'humour et des Drag shows, entre autres. Les Troubadours du Chaos y fêteront aussi leurs quinze ans, avec "40 impros pour les 40 ans".
Histoire de famille
Le club, connu internationalement, est fondé le 7 décembre 1985 par quatre amis d'enfance: Alain Gilliand, sa femme Catherine et son frère Pierre-Edmond, ainsi que Roland le Blévennec. Le lieu a ensuite été transformé tel qu'on le connaît aujourd'hui par Nathaniel Gilliand, fils du couple fondateur, Guillaume Noyer et Priscille Alber, qui avaient repris la programmation.
L'Association de Soutien à la Musique Vivante gère la partie artistique et promotionnelle depuis 1995 et organise 250 à 300 évènements par an. Le club se revendique comme une scène incontournable pour les artistes émergents, avec 80% des artistes programmés qui viennent du Grand Genève, et 90% qui sont en développement.
Louise Attaque, Clara Luciani, Gäel Faye ou encore Gad Elmaleh font partie des figures qui sont passées sur la scène du Chat Noir. Des artistes qui témoignent de la renommée et de l'éclectisme du lieu, à la fois restaurant, bar et club.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats
A Genève, l’école Brechbühl célèbre, cette année, ses 150 ans. Anciens élèves et enseignants sont invités à marquer l'évènement ce vendredi 12 décembre. Fondé en 1875 par Marie Brechbühl, l’établissement primaire privé s’est construit autour d’un principe : placer l’enfant au centre de l’apprentissage.
Les cartables et les cahiers ont changé mais pas la manière d’enseigner. Lorsqu'elle crée l'école en 1875 Marie Brechbühl a 19 ans. La jeune enseignante souhaite que l'école soit davantage centrée sur le développement des enfants que sur une stricte éducation. Un projet moderne pour l’époque, raconte Laurence Piacentini, présidente du comité de l’école.
Laurence Piacentini
Présidente du comité de l'école
Laurence PiacentiniPrésidente du comité de l'école
Laurence PiacentiniPrésidente du comité de l'école
"C'est une école familiale, centrée sur l'enfant, puisque nous avons des petits groupes, donc les enseignants peuvent adapter leurs enseignements aux enfants. "
Marie Brechbühl entourée de ses élèves
Si un certain nombre de traditions perdurent, l’établissement primaire privé revendique aujourd’hui une approche plus moderne.
Laurence Piacentini
Présidente du comité de l'école
Laurence PiacentiniPrésidente du comité de l'école
Laurence PiacentiniPrésidente du comité de l'école
"Quand un ancien élève se marie, s'il envoie son faire-part de mariage à l'école, les enfants n'ont pas de devoirs pendant une journée."
Retrouvez l'interview en intégralité ci-dessous.
Laurence Piacentini
Présidente du comité de l'école Brechbühl
Laurence Piacentini Présidente du comité de l'école Brechbühl
Laurence Piacentini Présidente du comité de l'école Brechbühl
Star annoncée de l'épreuve, Jimmy Gressier a fêté dimanche son premier succès sur la Course de l'Escalade.
Le Français, champion du monde du 10'000 m sur piste en septembre à Tokyo, a déclassé la concurrence.
Jimmy Gressier a bouclé les 7,323 km du parcours tracé en vieille ville de Genève en 20'34''8, à environ 14 secondes du record établi en 2022 par Dominic Lobalu. Le Français s'est imposé avec une marge de 19''6 sur son dauphin kényan Boniface Kibiwott.
Le St-Gallois d'adoption Dominic Lobalu, qui avait également triomphé l'an dernier à Genève, doit se contenter du 10e rang cette fois-ci. Deux Helvètes l'ont devancé: Jonas Raess (6e, à 28''9 de Gressier) et Mathias Kyburz (8e).
Victoire kényane chez les dames, où Winnie Jeptarus s'est imposée en 23'39''5. Elle a devancé de 4''2 la lauréate de l'édition 2024, la Néerlandaise Diane van Es. Meilleure Suissesse, la Valaisanne Oria Liaci a terminé 8e à 48''9 de la gagnante.
Cet article a été publié automatiquement. Source : ats