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Envolée des coûts des médicaments en 2018

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Les coûts des médicaments pour l'assurance de base se sont envolés en 2018 à un niveau record de 7,6 milliards de francs. L'utilisation de biosimilaires pourrait dans ce contexte réduire la facture (archives). (©KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les coûts des médicaments pour l'assurance de base se sont envolés en 2018 à un niveau record de 7,6 milliards de francs. L'utilisation de biosimilaires pourrait dans ce contexte réduire la facture, a estimé l'assureur-maladie Helsana dans une étude.

L'augmentation des coûts des traitements a été constante ces dernières années, mais elle a récemment freiné son rythme de croissance. Alors que sur la période entre 2015 et 2016, la progression a été de 6,2% et de 6,5% en 2016/2017, la hausse des coûts a nettement ralenti à 0,8% entre 2017 et 2018, a indiqué Helsana vendredi dans son rapport annuel sur les médicaments.

La progression est cependant spectaculaire à plus longue échéance: les dépenses pour les médicaments se sont ainsi envolées de 46% entre 2010 et 2018.

Au total, ce sont 119,9 millions de médicaments (+5,1%) qui ont été distribués l'année dernière à la charge de l'assurance obligatoire à 6,5 millions de patients (+1,5%).

En 2018, les traitements les plus chers ont été les immunosuppresseurs avec des coûts de 1,12 milliard de francs, suivi par les anticancéreux (729,8 millions). Ces deux classes de médicament représentent près d'un quart des dépenses totales, alors qu'elles ne représentent que 1,5% des achats.

En troisième position arrivent les antiviraux avec 445,5 millions de francs, mais leurs coûts ont baissé de 15,8% entre 2015 et 2018.

Paracétamol en tête

Les produits totalisant les coûts les plus élevés ont été l'Humira du laboratoire américain Abbvie (près de 140 millions de francs), indiqué contre une dizaine de pathologies auto-immunes, l'anticoagulant Xarelto de l'allemand Bayer (près de 130 millions francs) et l'Eylea de Bayer également (120,4 millions francs) contre notamment la dégénérescence maculaire humide liée à l'âge.

Quelque 22 principes actifs ont été mis le sur marché l'année dernière, principalement des médicaments oncologiques et des immunosuppresseurs.

Les médicaments les plus utilisés ont été le paracétamol, qui représente 3,8% du total des ventes en 2018 pour des coûts cumulés de 55,9 millions de francs, les solutions d'électrolyte (2,7% de part pour 16,1 millions de francs), le pantoprazole contre l'ulcère gastrique (2,4% et 94,6 millions de francs) et l'anti-inflammatoire ibuprofène (2,3% à 32,5 millions de francs).

Source: ATS

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International

La Corée du Nord effectue des essais de missiles de longue portée

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La Corée du Nord a considérablement intensifié ses lancements de missiles ces dernières années, dans le but d'améliorer ses capacités de frappe de précision (archives). (© KEYSTONE/EPA/JEON HEON-KYUN)

La Corée du Nord a procédé à deux tirs d'essai en mer de missiles de croisière de longue portée, ont annoncé lundi les médias d'État. Le test, organisé dimanche, est le premier depuis le début novembre.

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un a supervisé les opérations et a appelé à un développement "illimité et soutenu" des forces nucléaires de son pays, a écrit l'agence de presse nord-coréenne KCNA. Les engins ont été lancés en direction de l'ouest, au-dessus de la mer Jaune

L'armée sud-coréenne a déclaré avoir détecté le tir de plusieurs missiles à partir de la région de Sunan, près de Pyongyang, selon l'agence de presse Yonhap.

L'objectif de cet exercice était d'évaluer "la posture de riposte et la capacité de combat des sous-unités de missiles de longue portée", a dit KCNA. Toujours selon KCNA, Kim Jong-un a déclaré que le gouvernement et le parti au pouvoir "consacreraient comme toujours tous leurs efforts au développement illimité et soutenu de la force de combat nucléaire de l'État".

Intensification des essais

La Corée du Nord avait procédé à un essai de missile balistique le 6 novembre, un peu plus d'une semaine après que le président américain Donald Trump, en visite dans la région, avait fait part de son intérêt pour une rencontre avec le dirigeant nord-coréen. Mais Pyongyang n'avait pas répondu à cette offre.

M. Trump venait alors d'approuver le projet de la Corée du Sud de construire un sous-marin à propulsion nucléaire. Selon les analystes, ce projet de Séoul de se doter d'un submersible à propulsion atomique risquait de susciter une réaction agressive de la part de Pyongyang.

La Corée du Nord a considérablement intensifié ses essais de missiles ces dernières années. Le but, selon les analystes, est d'améliorer les capacités de frappe de précision, de défier les Etats-Unis et la Corée du Sud et de tester des armes avant d'éventuellement les exporter vers la Russie.

Depuis l'échec du sommet de 2019 entre MM. Kim et Trump sur les questions de la dénucléarisation et de l'allègement des sanctions, la Corée du Nord s'est présentée à plusieurs reprises comme une puissance nucléaire "irréversible".

Kim Jong-un a depuis lors été encouragé par la guerre en Ukraine, obtenant le soutien crucial de Moscou après y avoir envoyé des milliers de soldats combattre aux côtés des forces russes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Espagne: au moins un mort dans des inondations dans le sud

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Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient dans la nuit de samedi à dimanche les rues de plusieurs villages du sud de l'Espagne inondées, les services de secours s'attelant de leur côté à les nettoyer dans la matinée. (© KEYSTONE/EPA/KAI FORSTERLING)

Au moins une personne est morte dans les importantes inondations survenues dans le sud de l'Espagne à la suite de pluies diluviennes dans la nuit de samedi à dimanche, ont annoncé les secours. Deux personnes restent portées disparues à ce stade, selon les autorités.

L'Espagne est en première ligne du dérèglement climatique en Europe, avec ces dernières années des épisodes de canicule plus longs en été et des cas de pluies torrentielles générées par la hausse des quantités de gaz à effet de serre engendrée par l'activité humaine.

Ce pays reste profondément marqué par les grandes inondations de 2024 qui avaient fait plus de 230 morts, principalement dans la région de Valence (est).

Corps retrouvé

"Le corps d'une personne a été retrouvé dans la zone où se déroulent les recherches de personnes disparues à Alhaurín el Grande, à Malaga" en Andalousie, ont déclaré dimanche les secours espagnols sur le réseau social X, précisant que leurs équipes "continuent de travailler" sur place.

Une autre personne est toujours recherchée dans cette zone et une autre plus près de Grenade, d'après les autorités et la Garde civile.

Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montraient dans la nuit de samedi à dimanche les rues de plusieurs villages du sud de l'Espagne inondées, les services de secours s'attelant de leur côté à les nettoyer dans la matinée.

"Vigilance maximale"

Le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez a appelé sur X la population à "la vigilance maximale" face à cette situation.

L'agence météorologique nationale espagnole (Aemet) avait abaissé en fin de matinée de rouge à orange son niveau d'alerte en Andalousie mais les fortes pluies se concentraient en fin d'après-midi sur le littoral de la région de Valence.

"Pluies torrentielles sur la côte sud de Valence" avec "risque d'inondations et de crues soudaines", a alerté l'Aemet sur X. Cette alerte rouge est en vigueur "en principe jusqu'à 19h59" dimanche.

La région de Murcie, voisine de celle de Valence, était également touchée par de violentes précipitations dimanche.

Précédent dramatique en 2024

Ces nouvelles pluies diluviennes interviennent un peu plus d'un an après les grandes inondations d'octobre 2024.

Cette catastrophe avait provoqué l'émoi de toute l'Espagne et suscité la colère des sinistrés, qui avaient critiqué la gestion de l'alerte et des secours, sur fond de polémique entre le gouvernement central de gauche et les autorités régionales de droite sur les compétences des uns et des autres dans ces domaines.

L'enquête sur la réponse des autorités régionales ce jour-là reste un feuilleton très suivi par les médias espagnols. Cible des critiques, le président régional de droite, Carlos Mazón, avait fini par démissionner début novembre face à la pression populaire.

En Espagne, un pays très décentralisé, la gestion des catastrophes - notamment climatiques - relève de la responsabilité des autorités régionales.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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International

Ukraine: de "nombreux progrès" pour arrêter la guerre, assure Trump

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Donald Trump a proposé à Volodymyr Zelensky de s'exprimer devant le Parlement ukrainien sur son plan de paix. (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

Le président américain Donald Trump a déclaré dimanche que "de nombreux progrès" pour "mettre fin à la guerre" entre l'Ukraine et la Russie ont été réalisés lors de son entretien avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky.

"Nous nous rapprochons beaucoup, peut-être même de très près" d'un accord sur le Donbass, a ajouté Donald Trump lors d'une conférence de presse dans sa résidence en Floride. Une rencontre aux Etats-Unis avec M. Zelensky et les dirigeants européens est prévue en janvier, a déclaré le président ukrainien.

"Je pense que dans quelques semaines, nous saurons d'une manière ou d'une autre" si les pourparlers ont porté leurs fruits, a déclaré le président américain à l'issue de son entretien en Floride avec son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, ajoutant que les négociations ont été "très difficiles".

Interrogé sur une éventuelle visite en Ukraine, Donald Trump n'a pas écarté la possibilité, déclarant: "J'ai proposé d'y aller et de parler devant leur Parlement".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Trois morts en Syrie dans une manifestation d'alaouites

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Un homme blessé dans les heurts entre Alaouites et contre-manifestants à l'hôpital. (© KEYSTONE/AP/Omar Albam)

Au moins trois personnes ont été tuées dimanche en Syrie. Des milliers d'alaouites ont manifesté dans plusieurs villes du pays contre une attaque meurtrière visant cette minorité musulmane.

La communauté alaouite, une branche de l'islam chiite dont est issu le président déchu Bachar al-Assad, est la cible d'attaques depuis qu'une coalition islamiste a pris le pouvoir à Damas fin 2024.

Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme (OSDH), basé au Royaume-Uni et disposant d'un vaste réseau de sources dans le pays, les forces de l'ordre ont tué deux personnes en dispersant une manifestation dans la ville côtière de Lattaquié, dans l'ouest du pays.

L'agence officielle Sana, citant les services de santé, a ensuite fait état d'un bilan de "trois décès et 60 blessés".

"Maîtrisé la situation"

Les autorités n'ont de leur côté pas confirmé avoir ouvert le feu sur la foule, mais ont dit avoir "maîtrisé la situation" et ont accusé des partisans de l'ancien président Bachar al-Assad d'avoir attaqué la foule.

"Nos forces de sécurité et les manifestants ont été la cible de tirs d'origine inconnue", a déclaré le général Abdel Aziz al-Ahmad, chef de la sécurité dans la région.

Des correspondants de l'AFP ont vu des policiers intervenir en tirant des coups de feu en l'air, pour tenter de ramener le calme.

"Oppression" dénoncée

Le dignitaire Ghazal Ghazal, président du Conseil islamique alaouite en Syrie et à l'étranger, a accusé les autorités d'avoir attaqué "des civils non armés" exerçant leur "droit légitime" et dénoncé "l'oppression" des autorités.

Outre Lattaquié, des échauffourées entre manifestants et partisans des autorités ont eu lieu à Jablé, également situé sur la côte méditerranéenne.

La situation était également tendue à Homs, d'après l'OSDH qui a fait état de plusieurs blessés. C'est dans cette ville du centre du pays qu'a eu lieu vendredi l'attentat contre une mosquée qui a fait huit morts, pendant la prière.

"Nous ne soutenons pas Assad... Pourquoi cette tuerie?", s'interroge Numeir Ramadan, un marchand de 48 ans, venu manifester à Lattaquié.

Pour "un fédéralisme politique"

Le chef spirituel alaouite avait lancé cet appel à manifester pour "montrer au monde que la communauté alaouite ne peut pas être humiliée ou marginalisée", après un rassemblement similaire fin novembre.

"Nous ne voulons pas d'une guerre civile, nous voulons un fédéralisme politique. Nous ne voulons pas de votre terrorisme. Nous voulons décider de notre propre destin", avait commenté M. Ghazal. Son visage s'affichait dimanche sur des photos brandies par la foule, qui a entonné des chants appelant à davantage d'autonomie.

"Notre première revendication est le fédéralisme afin de mettre fin au bain de sang. On nous tue parce que nous sommes alaouites", déplore Hadil Saleh, femme au foyer de 40 ans.

Groupuscule extrémiste sunnite

Saraya Ansar al-Sunna, un groupuscule extrémiste sunnite peu connu, a revendiqué l'attentat de vendredi sur Telegram, jurant de poursuivre les attaques ciblant "les infidèles et apostats", en référence aux minorités.

En mars, des massacres sur le littoral avaient fait plus de 1700 morts, essentiellement des alaouites, après des affrontements entre forces de sécurité et partisans de Bachar al-Assad, selon l'OSDH. Une commission nationale d'enquête avait recensé au moins 1426 morts, pour la plupart des civils.

Craintes des minorités

Dimanche, les manifestants ont par ailleurs réclamé la libération de détenus issus de la communauté alaouite.

Selon la télévision d'Etat syrienne, 70 d'entre eux ont été remis en liberté il y a deux jours "après qu'il a été prouvé qu'ils n'étaient pas impliqués dans des crimes de guerre", et d'autres libérations sont attendues.

La prise du pouvoir par Ahmad al-Chareh, ancien jihadiste de 42 ans, a renforcé les craintes des minorités syriennes.

Les autorités multiplient les gestes pour rassurer sur leur capacité à pacifier et réunifier le pays après une guerre civile de plus de 13 ans mais ont rejeté leur demande de la mise en place d'un système fédéral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Kosovo: le parti du premier ministre sortant arrive en tête

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Albin Kurti a appelé à agir au plus vite "pour mettre en place les institutions", après la publication des résultats préliminaires des législatives. (© KEYSTONE/EPA/GEORGI LICOVSKI)

Le parti du premier ministre sortant Albin Kurti a remporté les élections législatives de dimanche au Kosovo. Les résultats préliminaires officiels montrent qu'il est proche des 50% des voix, ce qui pourrait mettre fin au blocage politique paralysant le pays.

La commission électorale centrale a annoncé que le Vetëvendosje (VV) de M. Kurti était crédité de 49,79% des suffrages, après le dépouillement des bulletins dans environ 95% des bureaux de vote. Le parti démocratique du Kosovo (PDK) et la Ligue démocratique du Kosovo (LDK) arrivent respectivement en deuxième et troisième positions avec 21,18% et 13,77%.

Ces chiffres laissent entrevoir la possibilité pour VV d'obtenir jusqu'à 56 des 120 sièges en lice, soit un peu moins que la majorité absolue.

"Agir au plus vite"

"Nous devons agir au plus vite pour mettre en place les institutions", a lancé M. Kurti après la publication de ces résultats préliminaires. "J'invite les partis d'opposition à coopérer à l'assemblée dans l'intérêt des citoyens et du peuple de la république", a-t-il poursuivi.

Aux élections du 9 février dernier, son parti avait obtenu 42% des voix, ce qui n'avait pas permis de mettre fin à la crise politique. Aucune coalition ni aucun gouvernement n'avait en effet émergé, forçant les Kosovars à retourner aux urnes

Dans une chambre divisée, les députés avaient eu besoin après les précédentes législatives de plus de 50 séances pour se mettre d'accord sur un président du Parlement.

Devant un bureau de vote de la capitale Pristina, Arefik Mexhmejli, un retraité de 66 ans, a déclaré à l'AFP que le vainqueur du scrutin "devrait s'investir davantage dans l'économie".

Plus de deux millions de personnes étaient inscrites sur les listes électorales, dont des dizaines de milliers résidant à l'étranger, pour les législatives de dimanche. Les résultats définitifs seront annoncés officiellement après le dépouillement des bulletins de vote de la diaspora.

Environ 45% des électeurs inscrits ont voté, soit plus qu'en février, où le taux de participation avait été de 40,6%.

L'économie d'abord

Alors qu'il avait fait campagne en février en promettant de gouverner le Kosovo "d'un bout à l'autre", même dans les territoires en majorité peuplés de Serbes, M. Kurti a surtout parlé d'économie, cette fois.

"L'économie se porte très bien et nous allons, cette année encore, enregistrer une croissance de 4% du PIB. Tout au long de mon mandat, nous ne sommes jamais descendus en dessous de 4%", a-t-il fait valoir.

Ces derniers jours, il a également annoncé que le gouvernement verserait 100 euros aux retraités et à chaque famille avec des enfants en bas âge d'ici à la fin de l'année. De la "corruption électorale", ont attaqué les deux autres principaux partis, le PDK et la LDK.

Eux aussi ont fait campagne sur l'économie et les catégories sociales les plus fragiles, mais en s'en prenant au bilan du gouvernement sortant.

"Le Kosovo a été mal gouverné. Les prix ont augmenté de 40 à 50%, l'électricité est devenue plus chère, tandis que les salaires et les retraites sont restés presque inchangés", a accusé le chef du PDK, Bedri Hamza.

"Les projets de développement sont restés lettre morte", et "l'inflation a grignoté les revenus", a dénoncé en écho Lumir Abdixhiku, du LDK.

Il a aussi attaqué le bilan diplomatique de M. Kurti, dont la politique de fermeté envers la minorité serbe a été critiquée par plusieurs alliés, dont les Etats-Unis. "Nous avons perdu la confiance de la communauté internationale", a affirmé M. Abdixhiku.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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