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Expositions et spectacles

Anne Frank et ses liens avec la Suisse au Musée de Pringins

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Une personne observe la nouvelle exposition temporaire "Anne Frank et la Suisse" au Musee national suisse ce jeudi 21 mars 2024 du Chateau de Prangins. (© KEYSTONE/Laurent Gillieron)

Le Musée national suisse retrace l'histoire de la famille d'Anne Frank et de ses liens avec la Suisse. L'exposition présente le quotidien de la famille juive à Francfort puis à Amsterdam, mais aussi la vie de sa tante et de ses grands-mères, réfugiées à Bâle.

"Le 'Jounal d'Anne Frank' sert de fil rouge à l'exposition", explique la conservatrice Nicole Staremberg. Dans ce récit, la jeune fille relate les 735 jours passés dans une cachette, à Amsterdam, pour échapper aux persécutions des nazis. Mais les clandestins seront découverts et déportés en août 1944. Seul le père, Otto, reviendra du camp d'extermination d'Auschwitz.

L'histoire de la famille Frank témoigne du destin de très nombreuses familles juives pendant la Seconde Guerre mondiale, rappelle la conservatrice. L'exposition montre les années heureuses à Francfort, où la famille est bien intégrée, puis l'émigration et la fuite, et enfin la déportation et la mort dans les camps.

Hitler au pouvoir

"Anne Frank et la Suisse", qui s'ouvre vendredi, dévoile de nombreux documents et photographies, ainsi que des effets personnels de la famille. L'exposition revient sur l'arrivée d'Hitler au pouvoir, le contexte de la crise économique et le début des persécutions à l'égard des juifs, pris comme boucs émissaires.

La tante d'Anne émigre avec sa famille à Bâle en 1929, bientôt rejointe par les deux grands-mères. Tous perdent la nationalité allemande. Le statut d'apatride rend leur séjour en Suisse précaire. Otto, le père d'Anne, fuit à Amsterdam en 1933, rejoint ensuite par sa femme et ses filles. L'exposition met les deux réalités en parallèle, Bâle et Amsterdam comme les deux côtés d'une rue.

Cachette dans l'entrepôt

Le 10 mai 1940, les nazis occupent les Pays-Bas et édictent des lois antisémites. Se sentant menacés, les Frank rejoignent en 1942 une cachette aménagée dans l'annexe de l'entreprise d'Otto Frank, au 263 Prinsengracht. Ils vivent dans la peur constante d'être découverts. Une projection évoque la vie en clandestinité et les bombardements.

Durant cette période, Anne Frank entend à la radio un ministre néerlandais en exil qui explique l'importance des écrits personnels pour témoigner des souffrances endurées. "Elle réécrit alors des passages de son journal intime pour en faire un roman. Elle a envie de devenir écrivain ou journaliste", explique Mme Staremberg.

Couloir de la mort

Dans l'exposition, un couloir rend compte du moment où les Franck sont arrêtés, sans doute sur dénonciation. Des objets, comme des pantalons de prisonniers, et des photos évoquent les camps.

Le dernier espace revient sur le succès mondial du livre d'Anne Frank, publié après sa mort et désormais traduit dans plus de 70 langues. Il entre en résonance avec les témoignages de quatre survivants de l'Holocauste installés en Suisse. "Ils rappellent l'importance du travail de mémoire", ajoute la conservatrice.

Photos et objets de la famille

L'exposition "Anne Frank et la Suisse", qui a déjà été montrée à Zurich et à Schwytz, est visible jusqu'au 29 septembre à Prangins. Elle est conseillée aux élèves dès 11 ans, après une préparation en classe, et aux enfants dès 12 ans dans un cadre familial.

Elle a pu voir le jour grâce à une collaboration avec le Anne Frank Fonds à Bâle et le Familie Frank Zentrum à Francfort, qui conservent de nombreuses archives. De multiples photographies ainsi que des objets de la vie quotidienne des Frank jalonnent le parcours comme un sac à pyjama - qu'Anne a bordé avec l'inscription "bonne nuit" en néerlandais -, un éventail, un coupe-papier ou un chapeau.

Avec Keystone-ATS

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Arts

"Elles" exposent au Musée Rath les oeuvres des aborigènes

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(KEYSTONE/Martial Trezzini)

Au Musée Rath à Genève, l'exposition "Elles. Artistes aborigènes contemporaines" présente les oeuvres de femmes autochtones reconnues, en collaboration avec la Fondation Opale. A travers leurs peintures colorées, elles rendent hommage à leurs racines et livrent quelques secrets de leurs mythologies, à voir dès jeudi, jusqu'au 19 avril.

Au centre de l'exposition, une immense toile aux motifs symboliques et vibrants a été réalisée par un collectif de femmes aborigènes en Australie. Chacune, assise sur la toile posée au sol, y a peint une histoire liée à leur mythologie, à une dimension parallèle. Car si "pour nous ces peintures sont abstraites, il n'en est rien pour les artistes", glisse Georges Petitjean, curateur de l'exposition, lors de l'inauguration mercredi.

Dans les croyances de ces communautés très diverses, cette dimension parallèle a un nom intraduisible, selon le curateur, qui propose de l'appeler "rêve". Ce monde englobe toute la création de l'univers, y compris les esprits de leurs ancêtres qui leur soufflent des histoires. Chaque artiste est alors responsable de les transmettre, par des poèmes racontés mais aussi par la peinture, qu'elles pratiquent d'ailleurs souvent en chantant, glisse Georges Petitjean.

Lien à la terre

Emily Kam Kngwarray raconte ses histoires dans des tons doux et ronds, exposés au rez-de-chaussée. L'artiste, aussi exposée à la Tate Modern à Londres cette année, a commencé à peindre vers la fin des années 80 au crépuscule de sa vie, comme plusieurs artistes de l'exposition. Elle produira près de 5000 oeuvres avant sa mort en 1996. Cette "coloriste naturelle", selon Georges Petitjean, exprime à travers ses couleurs son lien primordial à la terre.

Ses toiles contrastent avec les couleurs vives, presque fluorescentes, de l'artiste Mirdidingkingathi Juwarnda Sally Gabori, juste à côté. Cette artiste a aussi commencé à peindre tard, vers ses 80 ans, juste après être retournée sur son île natale qu'elle avait dû fuir très jeune. La peintre contemporaine, amatrice de grandes toiles et à la renommée internationale, est décédée en 2015.

Laissant de côté l'acrylique sur toile, l'exposition présente au sous-sol de la peinture sur écorces. Sous forme de tableaux d'abord, qui représentent notamment les sensations de la pluie, en tous cas toujours des "mouvements perpétuels". Au centre se dressent des poteaux funéraires creusés par les termites, sur lesquels des serpents, symboles puissants de création parmi le monde du "rêve", glissent sur des tapis de nénuphars.

Voix politique

"La date de naissance des artistes exposées est souvent inconnue, ce qui souligne le côté politique de leur art et de leur existence", appuie Samuel Gross, deuxième curateur de l'exposition. En Australie, les Aborigènes n'étaient pas considérés comme des citoyens avant 1967, ce qui leur rend encore aujourd'hui très difficile d'obtenir un passeport, selon le curateur.

"L'art leur a donné une voix", ajoute Georges Petitjean. Leurs peintures, comme les peintures collectives, ont même été utilisées pour prouver devant les juges australiens leur lien avec leur terre, étant donné que ces cultures n'avaient pas de trace écrite. La transmission de leurs connaissances passait d'abord par les poèmes oraux, rappelle le curateur.

Les peintures exposées au Musée Rath sont aujourd'hui créées spécialement pour être présentées au grand public, souligne Georges Petitjean. Avant d'ajouter que ces oeuvres ne permettent que d'effleurer la surface du "noyau de leurs connaissances, réservé aux initiés".

Avec Keystone-ATS

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Expositions et spectacles

Révisez vos connaissances avec l’expo “La Nuit de l’Escalade”

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Illustration d'Édouard Elzingre

L'exposition “La Nuit de l'Escalade” se tient à la Bibliothèque de Genève en ce moment, l'occasion de remettre à jour ses connaissances.

Connaissez-vous bien l’histoire de l'Escalade?

Pour peaufiner vos connaissances, ne ratez pas l'exposition “La Nuit de l'Escalade” qui se tient à la Bibliothèque de Genève, en collaboration avec la Compagnie de 1602 jusqu’au 24 décembre. L’exposition aborde les différents événements qui ont conduit à cette fameuse nuit du 11 au 12 décembre 1602, quand la population genevoise repoussa les troupes savoyardes.

ReportageL'exposition “La Nuit de l'Escalade” à la Bibliothèque de Genève

 

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Expositions et spectacles

RSF veut rappeler l'importance du photojournalisme

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Analyse noire, Algues maudites, A sea of tears Baie de Saint-Brieuc, France, 2022 Alice Pallot

Reporters Sans Frontières Suisse propose une exposition sur les thèmes de l’environnement, l’exil et les crises, jusqu'à vendredi à Uni Dufour.

« Photographier le monde de demain »

C’est le nom d’une exposition qui se tient jusqu’à vendredi à Uni Dufour à Genève. Elle est organisée dans le cadre de la Semaine des droits humains par Reporters Sans Frontières Suisse qui fête ses 35 ans. L'événement rend hommage au travail des photojournalistes à travers 40 photos sur les thèmes de l’environnement, l’exil et les crises. De l'Amazonie en passant par l’Ukraine, l’Afghanistan ou le Mexique, ces professionnels sont en première ligne pour saisir les vies de des populations sur place.

Solène Revillard est allée voir l’exposition pour nous:

« Photographier le monde de demain »L'exposition de Reporters Sans Frontières

C’est donc l’occasion pour RSF de rappeler l’importance d’avoir des images qui viennent du terrain, Denis Masmejan, le Secrétaire général de RSF Suisse:

Denis Masmejan Secrétaire général de RSF Suisse

L’exposition est à voir à Uni Dufour à Genève jusqu’à ce vendredi. 

Photo: Exploitation minière de cobalt de Mutoshi. Davide Monteleone.

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Expositions et spectacles

“Et toi, tu mettrais quoi dans ta valise ?”, l'expo qui fait réfléchir

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“Et toi, tu mettrais quoi dans ta valise ?” se tient jusqu’au 09 novembre prochain aux Bains des Pâquis, à Genève.

Des familles sans abri témoignent de manière originale. Elles ont accepté de montrer en une seule photo les objets qui leurs paraissaient essentiels à l’occasion de l’exposition “Et toi, tu mettrais quoi dans ta valise ?”. Une question que tout le monde peut se poser: si on devait tout quitter du jour au lendemain, que prendrions-nous?

“Et toi, tu mettrais quoi dans ta valise ?”

C’est le nom de cette exposition qui se tient jusqu’au 09 novembre prochain aux Bains des Pâquis, à Genève.

16 photos en noir et blanc sont à découvrir, elles représentent les témoignages de familles sans abri hébergées par l’HUMA, le centre d’urgence de l’association Païdos. 

La photographe Valérie Frossard met en lumière les objets intimes et les récits de ces familles aux parcours difficiles. L’exposition invite le public à réfléchir à une question universelle : “Et toi, tu mettrais quoi dans ta valise ?”.

Par exemple, sur une des photos on voit un sac à dos, avec des peluches et des médicaments. Il s’agit d’une famille qui vient de Bulgarie avec deux enfants de 14 et 10 ans.

Les explications de Cécile Poulaillon, coresponsable de l’HUMA:

Cécile PoulaillonCoresponsable de l’HUMA
"C'était très important pour le papa de présenter le kit à insuline et pour les enfants de présenter surtout le doudou avec les petites étoiles, qui est une histoire du premier cadeau que le papa a fait à la maman quand ils se sont rencontrés et puis ensuite qui a été transmis aux enfants."

Autre cliché: une valise, des clichés en noir et blanc et une main qui tient un téléphone portable. Celle d’une maman qui vient du Cameroun avec son enfants de 16 ans:

Cécile PoulaillonCoresponsable de l’HUMA

Enfin, une troisième photo: de nouveau une valise qui appartient à une famille péruvienne avec deux enfants et qui déborde de crayons de couleurs et de peluches. Cécile Poulaillon:

Cécile PoulaillonCoresponsable de l’HUMA

Les photos sont en noirs et blancs et les touches de couleurs sont apportées par les dessins des enfants:

Cécile PoulaillonCoresponsable de l’HUMA
"Ce qui était intéressant c'était de montrer avec le noir et blanc le côté intime. Et pour les familles, ça demande beaucoup de s'exposer."

Quel est l’objectif de cette exposition pour le public, Cécile Poulaillon:

Cécile PoulaillonCoresponsable de l’HUMA
"Cela humanise les histoires. Les gens se posent la question, mais est-ce qu'il y a vraiment des enfants qui dorment dans la rue ? Est-ce que c'est possible en Suisse ? Est-ce que c'est des Suisses ? Est-ce que c'est des personnes étrangères ? En fait, la première réponse, c'est que ce sont des personnes, tout court."

“Et toi, tu mettrais quoi dans ta valise ?” se tient jusqu’au 09 novembre aux Bains des Pâquis, à Genève.

 

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Expositions et spectacles

Comme par magie: 100 ans!

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Le club des magiciens de Genève a été créé en 1925 (© Droits réservés)

Le Club des magiciens de Genève souffle ses cent bougies cette année avec un « Gala du Siècle » ce samedi 11 octobre, au Bâtiment des Forces Motrices. Un plateau d'artistes d'exception pour le Centenaire.

Anne GallienneJournaliste Radio Lac

Pour marquer son jubilé, le CMG a concocté une programmation ambitieuse et diversifiée. Le « Gala du Siècle » réunira sur scène sept artistes internationaux, promettant une soirée où l’art magique sera représenté dans toute sa splendeur.

« On a essayé de faire une programmation qui est assez exceptionnelle, ça fait longtemps qu'on n'a pas vu un gala de cette qualité-là sur Genève », assure Hervé Rudolf, le président. L’objectif est de ne pas lasser le public en proposant une palette complète de l'illusion. « Chaque artiste a un peu son monde à lui, donc il n'y aura pas deux numéros qui se ressemblent », précise-t-il.

Le spectacle alternera entre des numéros « très poétiques » et d’autres axés sur les grandes illusions. Les spectateurs auront l’occasion de voir des artistes de renom tels que Solange Kardinaly, Klek Entòs, Jean Garin, Les Chapeaux Blancs, Gianfranco, Romain Lekieffre, Voronin et Chris Torrente. L'événement est présenté comme une occasion rare de « sortir de son quotidien, oublier ses soucis, rêver un petit peu avec les artistes ».

Face à l'ennemi numérique: la divulgation des secrets

Si la magie cherche à faire rêver, elle doit aujourd'hui se battre contre la mode des réseaux sociaux qui poussent certains à briser le secret pour obtenir des vues. Phénomène que le président du Club des magiciens de Genève regrette,  y voyant un manque d’éthique professionnelle.

« Il y a de plus en plus de personnes qui aiment bien divulguer des tours sur les réseaux sociaux. Je ne suis pas fan de ces gens-là, forcément. En fait, je ne les aime pas du tout » confie le président. Selon lui, ces divulgations, souvent incomplètes, ne font que gâcher l'expérience du spectateur.

« S'ils étaient magiciens, ils sauraient que ce n'est pas intéressant de faire ça », insiste-t-il, soulignant que cette fausse connaissance est même utilisée contre le public. La vraie satisfaction d'un magicien réside dans l'émerveillement total. « Les gens qui vous disent après ‘C'était incroyable, je n'ai rien compris, je suis tout prêt, j'ai surveillé vos mains et pourtant, je n'ai rien vu.’ C'est ça qui est intéressant pour nous », conclut Hervé Rudolf.

L'esprit du CMG: Partage et intergénérationnel

Au-delà de la scène, la force du Club des magiciens de Genève, fondé il y a un siècle, réside dans la richesse et la diversité de ses membres. Le CMG est un lieu unique où les différences professionnelles s'effacent devant la passion commune pour l'illusion.

« Dans une soirée, vous allez vous retrouver à discuter avec un gars qui, dans la vie, est avocat, un autre, il est gendarme, un troisième, il est boulanger, un autre, il est informaticien, et ils partagent tous une même passion, c'est la magie », illustre le président Rudolf.

Cette mixité repose sur une forte tradition de transmission. Certains membres affichent une fidélité impressionnante, à l'image du doyen Gilles Mystère, une figure emblématique. « On a des membres, ça fait plus de 50 ans qu'ils sont membres du club. Je crois que le plus ancien membre qu'il y a au club, actuellement, ça doit être Gilles Mystère, qui est rentré au club en 1962 », indique M. Rudolf.

Cette longévité tient au partage constant: « C'est ça qui est fou, c'est qu'un gars comme Gilles va rencontrer un petit jeune qui a 20 ans, qui connaît 3-4 tours, et qui a besoin d'un conseil sur un tour, il va être là, il va partager avec lui, et c'est ça qui fait, je pense, que le club perdure depuis aussi longtemps ».

Le « Gala du Siècle » est ainsi un manifeste: celui de l’art de l’illusion qui, même à l’ère du numérique, continue de privilégier le mystère à la transparence.

Avec IA

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