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Politique

L'imposition des entreprises entrera en vigueur au 1er janvier

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Les groupes dont le chiffre d'affaires dépasse 750 millions d'euros seront imposés à 15%. En Suisse, quelques centaines d'entreprises helvétiques et quelques milliers de filiales de groupes étrangers sont concernées (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

La réforme de l'imposition minimale des entreprises de l'OCDE et du G20 entrera en vigueur au 1er janvier, a indiqué vendredi le Conseil fédéral. La Suisse pourra percevoir un impôt complémentaire sur les grandes entreprises dès cette date.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Moustique tigre: lutte payante dans le canton de Vaud

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La lutte contre le moustique tigre permet de limiter son expansion, voire de l'éradiquer, constate le canton de Vaud. (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les mesures de lutte contre le moustique tigre sont efficaces et se poursuivent dans le canton de Vaud. Selon les autorités, il est possible de freiner son extension, voire de l'éradiquer dans certains cas. La population est toujours invitée à collaborer.

A la suite de la campagne 2023, le canton de Vaud a recensé des populations établies dans les communes de Nyon, Préverenges, Lausanne. Il a également reçu de nouvelles signalisations dans les communes de Crissier, Bussigny, Pully et Vevey, indique-t-il dans un communiqué publié mardi.

Raison de se réjouir, au cours de l'année 2023, la commune de Bourg-en-Lavaux (Cully) s'est défaite du moustique tigre grâce à l'excellent travail réalisé sur place. Trélex et Prilly ont aussi été traitées avec succès les années précédentes, ce qui confirme l’utilité et l’efficacité des mesures préventives.

Des pièges pour attirer les femelles

Cette année, un monitorage a lieu dans les communes de Nyon, Préverenges, Bussigny, Crissier, Lausanne, Cully, Vevey, Aigle, Bex et Yverdon. Au total, 69 pièges pondoirs ont été répartis dans des lieux susceptibles d’attirer d’éventuelles femelles prêtes à pondre et seront relevés toutes les deux semaines.

Les employés communaux bénéficient d’une formation et d’un accompagnement durant la saison. En cas de relevé positif, un traitement est effectué immédiatement par les autorités à l’aide d’un biocide à action ciblée, sans impact sur le reste de l’environnement, et la surveillance est accrue. Il a déjà été effectué fin avril à Nyon, Préverenges, Crissier et Lausanne.

Le public est invité à collaborer en éliminant tous les lieux favorables à la ponte, c’est-à-dire les petites collections d’eau inerte (coupelles d’eau, vieux pneus, trous dans les murs, récipients abandonnés non couverts, arrosoirs, etc.) et à signaler tout moustique actif de jour sur la plateforme nationale www.moustiques-suisse.ch.

Bouches de canalisation

Le canton de Genève a annoncé de son côté lundi qu'il va traiter 8000 bouches de canalisation durant les semaines à venir avec un anti-larve biologique. Plus d'une dizaine de communes genevoises et services cantonaux se sont ainsi déjà organisées et équipées.

Selon le communiqué, la colonisation s'accélère à Genève. Signalé pour la première fois en 2019, il était déjà noté sur 8 km en 2022, tandis qu'en 2023, sa présence n'affectait pas moins de 46 km2.

En Valais aussi, sa population se renforce. Le canton a fait savoir la semaine dernière qu'il allait intensifier sa stratégie. Cinquante pièges seront en fonction sur l'ensemble du territoire cantonal.

Surveillance nationale

Le moustique tigre est surveillé à l'échelle suisse en raison de son danger potentiel pour la santé. Il peut transmettre différentes maladies comme la dengue, le virus Zika ou le Chikungunya. Jusqu'à présent, aucune infection sur le territoire n'a encore été enregistrée.

L'insecte piqueur a été repéré pour la première fois en Suisse au Tessin en 2003. Il a été signalé à Bâle en 2015, puis dans les Grisons, dans la ville de Zurich, dans les cantons de Vaud, de Genève et du Valais notamment.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Vingt millions de plus pour le Campus Santé à Chavannes-près-Renens

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Le Campus Santé, ici en 2022 lors du lancement du chantier, doit ouvrir en 2026 (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Grand Conseil vaudois a accepté mardi d'accorder trois crédits additionnels pour le futur "Campus Santé", actuellement en construction à Chavannes-près-Renens près de l'Université de Lausanne. L'objectif consiste à améliorer le projet en le rendant plus "durable".

Adoptés à l'unanimité, les crédits additionnels atteignent 20,45 millions de francs, qui s'ajoutent aux 165,6 millions déjà accordés en 2022 lors de l'octroi des crédits d'ouvrage. Avec ces montants supplémentaires, il s'agit notamment d'augmenter la surface des panneaux solaires de 4860 à 9176 m2. Cela permettra de générer environ 2000 MWh/an, couvrant ainsi 104% des besoins électriques des quatre bâtiments.

Ces modifications intègrent aussi l'utilisation de bois et optimisent la ventilation naturelle en façade. Le décret vise aussi à régulariser l'autorisation de dépenses supplémentaires pour finaliser des fouilles archéologiques.

La conseillère d'Etat Isabelle Moret a reconnu que ces ajustements avaient "un coût", mais qu'il était nécessaire de rendre "plus durable" de tels projets, quand cela était possible. "Il est beaucoup plus difficile de le faire après coup" lorsque les constructions sont achevées, a-t-elle ajouté, faisant référence au pôle muséal de Plateforme 10.

La date d'ouverture du Campus Santé est prévue pour septembre 2026. Il fera partie d'un nouveau quartier d'une dizaine d'hectares sur le site des Côtes de la Bourdonnette et sera fréquenté par plusieurs milliers d'étudiants.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Rémunération des parlementaires: pas de durcissement en vue

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Lisa Mazzone, présidente des Vert-e-s, plaidait pour plus transparence sous la Coupole fédérale. Sans succès (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Les parlementaires n'auront pas à être plus transparents en matière d'activités accessoires. Le Conseil des Etats a enterré mardi par 22 voix contre 18 une proposition de Lisa Mazzone (Vert-e-s/GE) demandant de déclarer plus précisément les revenus qu'ils en retirent.

Les parlementaires doivent aujourd'hui déclarer leurs activités accessoires et indiquer s'ils reçoivent une rémunération ou non. L'ancienne conseillère aux Etats genevoise voulait aller plus loin: les élus auraient dû indiquer également l'ordre de grandeur du revenu et la date du début de l'activité concernée. L'activité professionnelle principale n'était pas visée par l'obligation de déclaration.

La droite et d'autres élus se sont opposés à cette exigence supplémentaire. Elle estime qu'étendre l'obligation de signaler les intérêts n'est pas approprié, étant donné que le mandat parlementaire n'est pas exercé à plein temps. La Suisse fonctionne avec un parlement de milice, a rappelé pour la commission Daniel Jositsch (PS/ZH).

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Les partis se disent favorables à l'interdiction du Hamas

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Des membres masqués des Brigades Al-Kassam, la branche militaire du Hamas, lors d'un rendez-vous médiatique à Gaza en septembre 2013 (photo d'archives) (© Keystone/AP/ADEL HANA)

Les partis approuvent l'interdiction du mouvement islamiste radical Hamas, comme le propose le Conseil fédéral. L'UDC juge que le projet de loi ne va pas assez loin, tandis que le PS demande des précisions, notamment pour que le Parlement ait son mot à dire.

Lors de la consultation qui s'est achevée mardi, les partis ont été unanimes pour dire qu'ils veulent interdire le Hamas en tant qu'organisation terroriste. Cette interdiction doit empêcher le financement et la propagande en Suisse.

L'interdiction concernerait non seulement le Hamas, mais aussi les organisations lui servant de couverture, celles qui en émanent, ainsi que les organisations et groupements qui agissent en son nom.

L'UDC souhaite aller plus loin: le projet de loi doit englober toute organisation qui poursuit les mêmes buts ou utilise les mêmes moyens que le Hamas.

Le PS demande que le Parlement ait un droit de regard sur l'interdiction d'organisations apparentées au Hamas. Il veut aussi que les diplomates et humanitaires puissent entrer en contact avec des membres du Hamas.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Mobilité

Le Parlement enterre la taxe au tonnage

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Les sociétés maritimes ne seront pas taxées au tonnage, a décidé le Parlement (archives). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les sociétés maritimes suisses ne seront pas taxées au tonnage. Le National a refusé mardi, par 108 voix contre 75, d'entrer en matière sur un projet en ce sens. Il s'y était d'abord montré favorable, avant que le Conseil des Etats ne le rejette.

La taxe au tonnage est une méthode alternative de calcul de l'impôt sur le bénéfice. Le calcul se base sur la capacité de chargement du navire de mer. Le projet, élaboré par le Conseil fédéral sur demande du Parlement, permet une charge fiscale plus basse pour les entreprises maritimes. Le but est de renforcer la compétitivité de la place économique suisse.

Pour la commission, Sophie Michaud Gigon (Vert-e-s/VD) a plaidé pour l'abandon du projet, au vu d'incertitudes financières, constitutionnelles et politiques. Et de rappeler que le projet ne contient pas de critères environnementaux et sociaux supplémentaires.

Cette taxe est un instrument bien établi à l'international, a argué en vain Céline Amaudruz (UDC/GE). Elle mettrait le secteur maritime suisse à égalité avec ceux des autres Etats.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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