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Politique

Le Parlement se donne les moyens pour réagir en temps de crise

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Le 15 mars 2020, les Chambres fédérales avaient interrompu la session de printemps après deux semaines en raison de l'épidémie de coronavirus (archives). (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

En temps de crise, le Parlement doit être capable de réagir rapidement. Les Chambres ont tiré les leçons de la pandémie de coronavirus. Elles pourront notamment siéger en ligne. Le Conseil des Etats a mis jeudi la dernière touche au projet.

En mars 2020, au début de la pandémie de Covid-19, les Chambres fédérales ont été momentanément prises au dépourvu. Cette crise avait conduit à interrompre la session de printemps pour la première fois de l'Histoire. Une commission du National a élaboré un projet de réforme pour permettre au Parlement de réagir rapidement.

Siéger virtuellement

A l'avenir, les Conseils pourront être convoqués en session extraordinaire dans un délai de quelques jours. Au printemps 2020, il avait fallu sept semaines. La demande devra émaner d'un quart des membres d'un Conseil ou du Conseil fédéral.

Les Chambres ou les commissions pourront aussi siéger en ligne en cas de force majeure, par exemple lors d'une pandémie ou d'une catastrophe naturelle. Cette possibilité sera utilisée seulement s'il n'est pas possible de se réunir physiquement. Mais l'Assemblée fédérale ne pourra pas tenir des élections en ligne. La réunion pourra également se tenir dans un autre lieu que Berne.

Traitement accéléré

Enfin, les instruments parlementaires que sont la motion et l'initiative parlementaire doivent pouvoir être utilisés plus rapidement en cas de crise. Le gouvernement ou le Parlement pourront renoncer à la procédure de consultation.

Mais le Conseil fédéral devra consulter les commissions parlementaires sur ses projets d'ordonnances de nécessité. Il n'y a toutefois pas besoin de contrôle supplémentaire sur les normes édictées en urgence par le gouvernement ou le Parlement. Les propositions des Verts et de l'UDC ont toutes échoué.

Direction inchangée

Enfin, les Chambres se sont accordées sur la direction de l'administration parlementaire. Le National a renoncé à remplacer l'actuelle Délégation administrative par une commission administrative.

Actuellement, c'est la Délégation administrative composée de six personnes, qui gère les infrastructures et le personnel nécessaire au fonctionnement de l'Assemblée fédérale. Le National souhaitait une véritable commission administrative, composée de dix élus expérimentés, nommés pour quatre ans. Mais le Conseil des Etats n'en voulait pas.

Au final, les Chambres se sont mises d'accord pour ne pas faire échouer toute la révision. La Délégation administrative ne sera pas non plus dotée d'un organe de révision interne comme les sénateurs l'avaient proposé. Le Parlement se réserve la possibilité de revenir sur cette question ultérieurement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

"Joe l'escroc", crie Trump, "dérangé", lui répond Biden

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Joe Biden et Donald Trump se sont invectivés devant leurs partisans en Géorgie et au Texas (archives). (© KEYSTONE/AP/Alex Brandon)

L'ex-président des Etats-Unis Donald Trump a de nouveau qualifié l'actuel chef d'Etat américain Joe Biden d'"escroc" samedi au Texas devant les partisans des armes à feu. En campagne en Géorgie, M. Biden taxait au même moment son rival républicain de "dérangé".

En déplacement à Dallas, entre deux audiences à son procès pénal à New York, Donald Trump a reçu le soutien de la National Rifle Association (NRA) lors de sa réunion annuelle, puissant lobby avec qui le milliardaire républicain de 77 ans entretient des relations privilégiées. La NRA lui a versé des dizaines de millions de dollars pour sa campagne victorieuse en 2016.

Devant des milliers de membres de l'organisation, M. Trump a déclaré que Joe Biden était "de loin le pire président dans l'histoire de notre pays" et "d'une connerie sans nom". "Tu es viré! Barre-toi Joe", a-t-il lancé sous les rires de l'assistance, leur affirmant que M. Biden allait s'en prendre à leurs armes à feu.

Il a qualifié Joe Biden de "Joe l'escroc", son épithète favori pour parler du président, estimant qu'il est une "menace pour la démocratie".

"Un perdant"

Ce dernier se trouvait au même moment en Géorgie (sud-est), Etat qu'il a remporté de justesse en 2020, notamment pour faire campagne auprès des électeurs noirs. "Mon opposant n'est pas un bon perdant. Mais c'est un perdant", a dit Joe Biden dans un restaurant à Atlanta, ajoutant que "notre démocratie est réellement en danger".

Vendredi, dans le Minnesota (nord), M. Trump a réaffirmé sa théorie, jamais prouvée, selon laquelle l'élection présidentielle de 2020, remportée par son rival Joe Biden, a été truquée. Le démocrate a réagi samedi, déclarant que son adversaire "n'est pas seulement obsédé par sa défaite de 2020. Il est clairement dérangé".

"Nous ne pouvons pas laisser cet homme devenir président. L'avenir de nos enfants est en jeu", a-t-il déclaré au public réuni à Mary Mac's Tea Room.

Dimanche, Joe Biden doit s'adresser à des étudiants de Morehouse College, une célèbre université de la communauté afro-américaine où a étudié le héros des droits civiques Martin Luther King.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nouvelle-Calédonie: vaste opération de gendarmes à Nouméa

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Plus de 3200 personnes sont bloquées après la suspension des vols à l'aéroport international de Nouméa. (© KEYSTONE/AP/Cedric Jacquot)

Une vaste opération de 600 gendarmes a été lancée dimanche en Nouvelle-Calédonie pour "reprendre" la route entre Nouméa et son aéroport international. Tous les vols sont suspendus depuis mardi, en raison des émeutes provoquées par une réforme électorale.

"Une grande opération de plus de 600 gendarmes, dont une centaine du GIGN, est lancée en ce moment même en Nouvelle-Calédonie visant à reprendre totalement la maîtrise de la route principale de 60 km entre Nouméa et l'aéroport", a écrit le ministre français de l'intérieur Gérald Darmanin sur le réseau social X (ex-Twitter), samedi en fin de soirée à Paris.

Selon le gouvernement de Nouvelle-Calédonie, 3200 personnes sont bloquées en l'absence de vols, soit parce qu'elles ne peuvent pas quitter l'archipel français, soit parce qu'elles ne peuvent pas le rejoindre.

Dans un communiqué dimanche matin, le haut-commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie a fait état d'une nuit "plus calme".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La santé du premier ministre slovaque évolue dans un sens positif

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Le président slovaque a été opéré deux fois depuis son agression mercredi. (© Keystone/AP/LEFTERIS PITARAKIS)

L'état de santé du chef du gouvernement slovaque Robert Fico, qui a été la cible d'une tentative d'assassinat, évolue dans un sens "positif", a annoncé samedi la ministre slovaque de la santé. Un tribunal a placé le tireur isolé en détention provisoire.

M. Fico est hospitalisé depuis mercredi, date à laquelle un homme a ouvert le feu sur lui, l'atteignant de plusieurs balles, notamment à l'abdomen. Il a subi une opération de cinq heures mercredi et une autre, plus courte, vendredi, toutes deux dans un hôpital de la ville de Banska Bystrica, dans le centre de la Slovaquie.

"L'intervention chirurgicale d'hier, qui a duré deux heures, a contribué à un pronostic positif sur l'état de santé du premier ministre", qui "est stable mais reste grave", a déclaré samedi la ministre Zuzana Dolinkova à la presse.

Poète

L'assaillant, identifié par les médias slovaques comme étant le poète Juraj Cintula, âgé de 71 ans, a tiré cinq coups de feu sur Robert Fico, le touchant à quatre reprises. Sa détention a été ordonnée, parce que "l'on craint une évasion potentielle ou que l'activité criminelle se poursuive", a dit à l'AFP Katarina Kudjakova, la porte-parole du tribunal pénal spécial de Pezinok, au nord-est de la capitale Bratislava.

La décision du tribunal suit la requête présentée vendredi par le procureur qui a inculpé le suspect de tentative de meurtre avec préméditation.

La fusillade s'est produite pendant que M. Fico saluait ses partisans après une réunion du gouvernement délocalisée à Handlova, une ville du centre de la Slovaquie. "Si le tir était parti quelques centimètres plus haut, il aurait atteint le foie du premier ministre", a raconté le ministre de l'intérieur Matus Sutaj Estok à la chaîne de télévision TA3.

Quatre blessures

Le ministre de la défense et vice-premier ministre Robert Kalinak, le plus proche allié politique de M. Fico, a affirmé devant les journalistes que ce dernier était conscient. "Je ne pense pas qu'il puisse être transporté à Bratislava dans les prochains jours, car son état est encore grave", a-t-il poursuivi.

Plus tard dans la journée, M. Kalinak a déclaré à TA3 que M. Fico avait subi quatre blessures par balle, deux légères, une moyenne et une grave. Il a ajouté que les médecins avaient retiré tout ce qui était potentiellement infectieux de ses blessures au cours de l'opération de vendredi.

"Il faudra quatre ou cinq jours à l'organisme pour commencer à surmonter de telles blessures, mais nous n'en sommes pas encore là", a souligné M. Kalinak, se félicitant de la bonne forme physique du chef du gouvernement, connu pour être un adepte de la course à pied et de la musculation. M. Fico, 59 ans, occupe son poste depuis que son parti centriste, le Smer-SD, a remporté les élections législatives à l'automne dernier.

Réunion des chefs de parti

M. Fico remplit son quatrième mandat en tant que premier ministre après avoir fait campagne sur des propositions de paix entre la Russie et l'Ukraine, un Etat voisin de la Slovaquie, et sur l'arrêt de l'aide militaire à Kiev, ce que son gouvernement a mis en oeuvre par la suite.

La tentative d'assassinat a profondément choqué la Slovaquie, un pays de 5,4 millions d'habitants, membre de l'Union européenne et de l'OTAN, fortement divisé sur le plan politique depuis des années. La présidente pro-occidentale sortante, Zuzana Caputova et son successeur, Peter Pellegrini, un allié de M. Fico qui prendra ses fonctions en juin, ont appelé leurs concitoyens à s'abstenir de toute "confrontation" après la fusillade.

Ils ont convoqué une réunion de tous les chefs de partis parlementaires pour mardi afin de faire preuve d'unité à la suite de l'attentat. M. Kalinak a toutefois suggéré samedi que le Smer-SD ne participerait pas à cette rencontre. Certains hommes politiques slovaques ont déjà porté des accusations contre leurs adversaires, les accusant d'avoir été à l'origine de l'attentat.

M. Kalinak a lui-même critiqué vendredi les hommes politiques de l'opposition et certains médias pour avoir qualifié avant la tentative d'assassinat M. Fico de criminel, de dictateur ou de serviteur du président russe Vladimir Poutine.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Nouvelle-Calédonie: un sixième mort dans les émeutes

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Depuis le début de la semaine, les violences insurrectionnelles en Nouvelle-Calédonie, les plus graves survenues dans ce territoire du Pacifique sud depuis les années 80, ont fait six morts. (© KEYSTONE/AP/Nicolas Job)

Les violences liées aux émeutes en Nouvelle-Calédonie se poursuivent samedi avec un sixième mort en six jours, selon les autorités. La situation est "loin d'un retour à l'apaisement" selon la maire de Nouméa, qui a évoqué "une ville assiégée".

Un Caldoche - nom donné à la partie de la population locale d'origine européenne - a été tué à la mi-journée et deux autres hommes ont été blessés à Kaala-Gomen (Nord) dans un échange de coups de feu sur un barrage érigé par des émeutiers.

Ces émeutes, les plus graves en Nouvelle-Calédonie depuis les années 1980, sont causées par une réforme électorale qui a provoqué la colère des indépendantistes. Il s'agit du premier mort hors de l'agglomération de Nouméa, la "capitale" calédonienne, où s'étaient concentrées jusque-là les émeutes essentiellement urbaines.

Outre les six morts - deux gendarmes et quatre civils dont trois Kanaks (d'origine autochtone mélanésienne) et un Caldoche - des centaines de blessés sont à déplorer, selon les autorités.

Vendredi en fin de soirée, l'arrivée de 1000 renforts supplémentaires, en plus des 1700 déjà déployés, a montré la détermination des autorités françaises à reprendre le contrôle de la situation.

"Tristesse infinie"

"Les deux dernières nuits, on peut dire qu'elles étaient plus calmes", mais "les jours se ressemblent" avec leur "lot d'incendies", a déclaré samedi à la chaîne BFMTV la maire de Nouméa, Sonia Lagarde, du parti "Renaissance" du président français Emmanuel Macron.

"Au moment où je vous parle, il y a des barricades qui sont montées dans un quartier Est de la ville de Nouméa, qui sont tenues (...) par les indépendantistes", a-t-elle poursuivi, assurant que la situation ne s'améliorait pas, "bien au contraire, malgré tous les appels à l'apaisement".

"Quand je vois tous ces dégâts, et que ce soit les biens privés ou les biens publics qui partent en fumée, c'est la désolation", s'est émue Mme Lagarde, parlant d'une "tristesse infinie". "Est-ce qu'on peut dire qu'on est dans une ville assiégée? Oui, je pense qu'on peut le dire", a-t-elle ajouté.

Interrogée sur le montant des dégâts, elle s'est dite dans l'"impossibilité" de les chiffrer. "Il y a des tas de structures municipales qui ont brûlé, des médiathèques, des écoles". Selon des estimations locales, le montant des dégâts atteignait jeudi 200 millions d'euros.

La vie quotidienne des Néo-Calédoniens devient de plus en plus difficile. Les dégâts compliquent le ravitaillement dans les commerces ainsi que le fonctionnement des services publics, notamment de santé.

Files d'attente

Dans le quartier de Magenta à Nouméa, la rue est jonchée de débris et de voitures calcinées, stigmates des troubles de la nuit, a constaté samedi l'AFP. Un important dispositif policier la sécurise désormais.

Une pizzeria et un traiteur japonais ont été réduits en cendres mais un supermarché juste à côté a rouvert ses portes pour quelques heures seulement, avec une file d'attente de plusieurs centaines de personnes.

Le gouvernement de Nouvelle-Calédonie a appelé à cesser barrages et barricades. "On est en train de s'entretuer et on ne peut pas continuer comme ça", a déclaré Vaimu'a Muliava, membre du gouvernement chargé de la fonction publique. "Des gens meurent déjà non pas à cause des conflits armés, mais parce qu'ils n'ont pas accès aux soins, pas accès à l'alimentation".

Les autorités françaises espèrent que l'état d'urgence en vigueur depuis jeudi va faire reculer les violences, qui ont débuté lundi après une mobilisation contre une réforme électorale contestée par les représentants du peuple autochtone kanak.

En réponse, le gouvernement a envoyé des renforts policiers, interdit TikTok - réseau social prisé des émeutiers -, et déployé des militaires. Le représentant de l'Etat français en Nouvelle-Calédonie, Louis Le Franc, a concédé vendredi que trois quartiers défavorisés de Nouméa, en majorité peuplés de Kanaks, restaient aux mains de "centaines d'émeutiers".

"Pont aérien"

Il a promis la mobilisation de l'Etat pour "organiser l'acheminement des produits de première nécessité", ainsi qu'un "pont aérien" entre l'Hexagone et son archipel, séparés de plus de 16'000 km.

Les violences ont "anéanti" 80% à 90% de la chaîne de distribution commerciale de la ville, selon la Chambre de commerce et d'industrie de Nouvelle-Calédonie, et les vols commerciaux restent suspendus.

A Paris, le ministre de la Justice a demandé au parquet "la plus grande fermeté à l'encontre des auteurs des exactions". Eric Dupond-Moretti a ajouté qu'il envisageait de transférer en métropole les "criminels" arrêtés "pour ne pas qu'il y ait de contaminations (...) des esprits les plus fragiles".

Parallèlement, la justice française a ouvert une enquête sur "les commanditaires" des émeutes, ciblant notamment le collectif CCAT (Cellule de coordination des actions de terrain), frange la plus radicale des indépendantistes, déjà mis en cause par le gouvernement. Au total, depuis dimanche, 163 personnes ont été placées en garde à vue, dont 26 ont été déférées devant la justice, selon le parquet. Jeudi, le ministre français de l'Intérieur Gérald Darmanin avait qualifié la CCAT d'organisation "mafieuse".

Vendredi, ce collectif a demandé "un temps d'apaisement pour enrayer l'escalade de la violence". Sur la radio RFI, un de ses membres, Rock Haocas, a assuré que son organisation "n'a pas appelé à la violence", attribuant ces émeutes à une "population majoritairement kanak marginalisée".

Sur le front politique, après l'annulation d'une visioconférence avec les élus calédoniens jeudi, le président français Emmanuel Macron a entamé vendredi des échanges avec certains d'entre eux mais son service de communication a refusé d'en dire plus.

Présentée par son gouvernement, la réforme constitutionnelle vise à élargir le corps électoral aux élections provinciales, cruciales sur l'archipel. Les pro-indépendance estiment que cela risque de réduire leur poids électoral.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Lausanne: le 26 mai ponctuera tout un mois consacré aux familles

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La 3e édition de Familles en fête (ex-Journées des familles) à Lausanne se termine en beauté le 26 mai prochain avec une multitude d'activités sur le site de Beaulieu, après deux années à Vidy (archives). (© Keystone/LAURENT GILLIERON)

A Lausanne, le mois de mai met les familles à l'honneur avec un vaste programme de loisirs gratuits. La 3e édition de Familles en fête (ex-Journées des familles) se termine en beauté le 26 mai prochain avec une multitude d'activités sur le site de Beaulieu, après deux années à Vidy.

La grande fête de clôture se tiendra précisément dans les Jardins de Beaulieu. Le programme est proposé par 28 associations partenaires, indique la Ville de Lausanne dans un communiqué.

Le public y découvrira de 10h00 à 17h00 un marché aux jouets, des initiations sportives (escalade, tennis, pickleball, pétanque, roller), un mur de grimpe, des ateliers créatifs (bricolages, slime, coloriages, maquillage, pâte à modeler, fabrication d'éponges écologiques), des jeux géants, un cours de gym poussette, du yoga et des stands d'associations oeuvrant pour les familles lausannoises.

Au total, sur tout le mois de mai, ce ne sont pas moins de 18 dates et une quarantaine d'activités qui étaient proposées. Familles en fête est organisé par le Bureau lausannois pour les familles (BLF) afin de permettre aux familles et aux associations de se rencontrer, est-il souligné.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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