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Genève

Voilure réduite pour des lignes frontalières des TPG

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L'offre diminuera légèrement sur les lignes transfrontalières F, 66 et 68 des TPG (photo prétexte). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Les transports publics genevois (TPG) annoncent une légère diminution de la fréquence sur les lignes frontalières F, 66 et 68 dès lundi. La régie française qui les exploite pour le compte des TPG fait face à des difficultés de recrutement et à un taux d'absentéisme important.

La Régie départementale des transports de l'Ain (RDTA) a pris une première série de mesures au 5 janvier 2023. Après une réévaluation approfondie de la situation, elle a décidé d’adapter les horaires à partir de lundi, rapportent les TPG jeudi dans un communiqué.

Cette décision aura un impact sur la fréquence des lignes transfrontalières F, 66 et 68. L'ajustement va permettre d'améliorer la lisibilité des horaires sur les trois lignes concernées F, 66, 68 et d'assurer une offre homogène, en lieu et place de la suppression ponctuelle de courses.

Dans le détail, une légère diminution des fréquences aux heures de pointe est prévue dès lundi sur les lignes F et 66 du lundi au vendredi, ainsi que le samedi après-midi sur les lignes 66 et 68. L'ensemble des supports horaires sont mis à jour aux arrêts des lignes concernées et sur le site internet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Environnement

Le gel d'avril a grillé la vigne dans le Chablais et à Genève

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Feuilles de vigne brûlées par le gel le 24 avril, à Dardagny, près de Genève (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'épisode de gel qui a frappé vignes, vergers et cultures maraîchères durant la semaine du 22 avril a causé des dégâts moins graves que redoutés. En Suisse romande, ce sont surtout les vignobles du Chablais et de Genève qui ont été touchés.

Le brusque retour du froid à partir de la seconde quinzaine d'avril a inquiété bon nombre de vignerons et agriculteurs, compte tenu d'une floraison qui avait deux à trois semaines d'avance. Deux semaines après ces températures glaciales, les dégâts se révèlent très localisés, selon un premier bilan de professionnels du terroir interrogés par Keystone-ATS.

Dans le canton de Vaud, l'épisode de gel d'il y a deux semaines a majoritairement touché les vignes du Chablais où certaines parcelles ont été touchées à 100%. "Peut-être un tiers du Chablais a été touché à 100%", selon François Montet, président de la Fédération vigneronne vaudois.

Récolte assurée sur Vaud

Il y aura cependant une récolte, rassure-t-il. Les branches débourrées ont gelé, mais la vigne va repartir sur les bourgeons secondaires ou latents, en général peu ou pas porteurs de fruits", explique-t-il. Sur les deux tiers du vignoble restant, quelque deux tiers n'ont subi aucun dégât, tandis qu'un tiers a subi des dégâts partiels, précise-t-il.

Yvorne, Aigle, Ollon et Bex comptent parmi les lieux de production touchés, tandis que Villeneuve a été épargné. Dans le reste du canton, quelques parcelles ont été "bien touchées", tandis que quelques autres ont subi des "dégâts partiels".

"Avec le recul, cela ne va pas impacter le volume de la récolte", estime-t-il. L'épisode de gel "ne prétéritera en rien sa qualité". Certains vignerons ont cependant eu la malchance d'avoir quasiment l'entier de leurs vignes dans des zones gelées.

Gros dégâts à Genève

A Genève, le gel a touché quasiment toutes les parcelles de vignes du canton. La localisation des parcelles et la topographie ont joué un rôle sur l'importance des dégâts, qui reste à ce stade difficile à évaluer, selon Ellinor Sekund, conseillère viticole à AgriGenève. Les zones en bas de coteau ont ainsi été particulièrement touchées.

La spécialiste s'attend à des conséquences sur la récolte et sur le millésime 2024. Genève est le troisième canton viticole de Suisse avec 1355 hectares de vignes. Près de 85% des exploitations assurées ont déclaré un sinistre à l'assurance proposée par Suisse Grêle. L'Interpofession du vignoble et des vins de Genève a aussi sollicité l'aide du canton.

L'exception de St-Blaise (NE)

Dans le canton de Neuchâtel, seuls les vignerons de St-Blaise ont été touchés. Un encaveur a perdu 97% de sa récolte sur cette commune, mais heureusement il possède des vignes ailleurs. "Environ une dizaine d'hectares de vignes, sur 600 dans le canton, ont été concernés par le gel", a déclaré Yann Huguelit, directeur de la Chambre neuchâteloise d'agriculture et de viticulture.

Au niveau agricole, seulement quelques hectares ont été touchés par le gel. Un cultivateur de fraises en auto-cueillette à Wavre en a été victime. "Nos fraises avaient deux à trois semaines d'avance mais le gel est venu gâcher la fête. Nous avons subi des pertes de fraises et de temps", a-t-il annoncé sur Facebook.

Dans le canton du Jura, la Fondation rurale interjurassienne (FRI) à Courtemelon ne disposait pas encore d'une vue d'ensemble pour mesurer les dégâts dus au gel sur les arbres fruitiers. "Certains vergers ont souffert et d'autres pas du tout", souligne Victor Egger. Ce spécialiste du domaine production végétale de la FRI constate que les températures sous zéro ont été très localisées.

Les vignerons du lac de Bienne ont été globalement épargnés par le gel même si des dégâts ont été constatés sur certains coteaux. Le climat tempéré du lac et la couverture nuageuse lors des nuits a protégé les vignes, explique Hannes Louis, vigneron à Chavannes (Schafis).

Marginal en Valais

En Valais, le gel d'avril "devrait avoir un impact marginal sur le volume de la vendange 2024", a indiqué la semaine dernière le canton. Mais certaines parcelles ont localement subi des dégâts importants notamment dans les zones connues pour être sensibles au gel. La lutte par aspersion ou à l’aide de bougies a permis de limiter la casse. Du côté des fruits et légumes, "aucun dégât significatif n'est signalé".

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Les cours de gym gratuits pour les aînés s'étendent en Ville

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Photo: Ville de Genève

Les seniors bougent toujours plus à Genève. Depuis fin avril, le programme “Restons dynamiques!” de la Ville s’est étendu au Parc Beaulieu, en plus de trois autres parcs. L’activité permet aux plus âgés de pratiquer une activité physique en plein air et près de chez eux.

La séance est gratuite et dure près d’une heure avec toute une série d’exercices. En plus de deux coachs sportifs, une infirmière en santé communautaire du Service social de la ville est présente. Nous avons assisté à une séance.

Ces marches sont maintenant proposées dans 4 parcs de la Ville: Parc Beaulieu, Parc Bertrand, Parc des Franchises et Parc Baud-Bovy. Et le succès est au rendez-vous, près d’une centaine de personnes participent chaque semaine. Les précisions de Luca Carrozzini, responsable de structure social au service social de la Ville de Genève.

La Ville de Genève investit 40 000 francs pour ce programme “Restons dynamiques”

Pour plus d'informations rendez-vous ici.

 

 

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Genève

La Verte Marjorie de Chastonay vise le siège de Frédérique Perler

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Marjorie de Chastonay (à gauche) est entrée au Grand Conseil en 2018 (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La députée verte au Grand Conseil genevois, Marjorie de Chastonay, vise le siège de Frédérique Perler au Conseil administratif de la Ville de Genève. Elle fera face à l'ancienne présidente du Conseil municipal de la Ville de Genève, Uzma Khamis Vannini, et à l'actuel conseiller administratif Alfonso Gomez, lors de la désignation des candidats Verts le 18 juin.

"Je veux améliorer la qualité de vie et faire comprendre le lien entre urgence climatique et urgence sociale", déclare Marjorie de Chastonay mardi dans la Tribune de Genève. Enseignante à l'école primaire, elle a siégé un an au Conseil municipal avant d'entrer en 2018 au Grand Conseil.

Quant au choix du département, la députée dit être prête pour n'importe lequel d'entre eux. "Alfonso Gomez fait un excellent travail aux Finances, quant à la Culture, je mettrais en avant les cultures alternatives et rendrais la culture plus accessible dans les quartiers", affirme-t-elle.

La conseillère administrative de la Ville de Genève, Frédérique Perler, a annoncé vendredi dernier qu'elle ne briguera pas de deuxième mandat lors des élections municipales du printemps 2025. Sa décision est intervenue suite à une affaire d'embauches controversées au sein de son département.

Mesures

Cette affaire, qui a connu plusieurs épisodes, a été révélée en mars par la Tribune de Genève et la télévision Léman Bleu. Il est apparu que la codirectrice du DACM avait engagé sa demi-soeur pour un poste de chargée de communication, sans annoncer le lien de parenté. Cette cadre a aussi permis l'embauche d'un couple de la région parisienne qui a menti sur son domicile pour contourner le règlement.

Le Conseil administratif a pris des mesures en résiliant les contrats des trois personnes et en suspendant la codirectrice du DACM. L'exécutif s'est aussi engagé à faire toute la lumière sur les procédures d'engagement qui pourraient être entachées d'irrégularités. Le service du contrôle financier doit aussi examiner les processus récents et en cours de recrutement à la tête des services du DACM.

Les Verts de la Ville de Genève désigneront le 18 juin leurs candidats pour l'élection au Conseil administratif, où siègent actuellement deux des leurs: Frédérique Perler et Alfonso Gomez. Ce dernier a annoncé la semaine dernière vouloir briguer un second mandat. L'ancienne présidente du Conseil municipal de la Ville de Genève, Uzma Khamis Vannini, avait déjà annoncé sa volonté de se porter candidate à la candidature.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Genève ne déboulonnera pas ses statues

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Alfonso Gomez, maire de la Ville de Genève, a présenté lundi le plan d'action "Monuments et héritage raciste dans l'espace public". (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Ville de Genève a présenté lundi son plan d'action par rapport aux monuments qui rendent hommage à des personnalités ayant encouragé le racisme, le colonialisme ou encore l'esclavagisme. La priorité va à la contextualisation.

"Aucun retrait de statues ou de monuments n'est prévu et aucun lieu controversé ne sera renommé", a indiqué Alfonso Gomez, maire de la Ville de Genève. La Municipalité privilégie le dialogue et la recontextualisation sur le lieu même de l'hommage, a précisé Sami Kanaan, conseiller administratif en charge de la culture:

 

Le plan d'action fait suite à une réflexion entamée en 2020 dans la foulée du mouvement mondial de dénonciation de racisme suite à la mort de l'Afro-américain George Floyd tué par un policier. Une étude commandée par la Ville sur l'héritage raciste présent dans l'espace public avait permis d'identifier 33 lieux sensibles.

Un groupe de travail impliquant les associations concernées par cette problématique s'est inspiré des pistes esquissées dans le rapport pour cibler les actions à concrétiser rapidement. Il s'agit dans un premier temps de mettre en place un dispositif de recontextualisation autour de cinq figures historiques significatives. Sur quelles formes? Illustrations avec Alfonso Gomez:

 

Le buste de Carl Vogt

Parmi ces personnalités, le controversé Carl Vogt. Ce scientifique et politicien, qui a un boulevard à son nom et un buste à son effigie, a combattu pour les libertés individuelles tout en soutenant des thèses racistes. Son buste, actuellement entreposé à l'abri des regards à cause des travaux de rénovation du bâtiment des Bastions de l'Université de Genève, pourrait être déplacé.

Mais la décision sera prise en concertation avec l'Université de Genève. Un nouvel emplacement n'a pas encore été défini. L'approche sera participative, a assuré Alfonso Gomez.

 

Gustave Moynier, qui un buste ainsi qu'une rue et un parc à son nom, fait aussi partie des personnalités ciblées par cette première phase du plan d'action. L'homme est célébré en tant que membre fondateur du CICR, mais il a aussi été consul général honoraire en Suisse du Congo et a soutenu l'entreprise coloniale leopoldienne qui a causé la mort de millions de personnes.

Mémorial à l'étude

La Ville de Genève compte aussi ériger un mémorial de l'esclavage et de la colonisation. Il est également question de créer une exposition permanente sur le sujet. A noter que le Musée d'ethnographie de Genève (MEG) propose actuellement et jusqu'en janvier 2025 une exposition intitulée "Mémoires. Genève dans le monde colonial". Une application numérique cartographiant les lieux controversés y est présentée.

Ailleurs en Suisse, Neuchâtel a aussi développé de nombreux projets pour mettre en lumière son passé colonial, notamment autour de la figure de David de Pury, un négociant qui avait fait en partie fortune avec l'esclavage. Sa statue, qui avait été maculée de peinture rouge en 2020, a finalement été dotée d'une oeuvre d'art visant à questionner les zones d'ombre du personnage ainsi que d'une plaque explicative.

Avec ATS Keystone.

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Genève

Préavis de grève levé aux TPG

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(photo d'illustration) (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Il n'y aura finalement pas de grève aux Transports Publics Genevois. Le préavis de grève a été levé ce lundi.

Les négociations entre la direction et les syndicats se prolongeaient depuis février. Plusieurs séances dites "de la dernière chance" avaient eu lieu courant avril, avant d'aboutir à ce protocole d'accord. La phase de concertation des membres du SEV sur le protocole d’accord proposé par la direction courait jusqu'à ce lundi. 64% des membres ont donné mandat au syndicat pour l'accepter.

Les employés demandaient notamment une revalorisation salariale de 1,5%. Ils ont obtenu une hausse, jugée acceptable, de 1,2% dès le mois de juin. Mais pour Aurélie Lelong, secrétaire syndicale du SEV, la principale avancée c'est la reconnaissance de la pénibilité du travail des conducteurs des TPG.

 

 

L'accord prévoit aussi l'embauche de 200 chauffeurs supplémentaires d'ici la fin de l'année.

 

Autre avancée entérinée: le recrutement de 30 nouveaux conducteurs de réserve au 1er juillet.

 

 

 

 

 

 

 

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