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Politique

Soutien nuancé au programme de législature du Conseil d'Etat

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Les députés vaudois ont pris acte mardi du programme de législature du Conseil d'Etat (archives). (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Le Grand Conseil vaudois a pris acte mardi du programme de législature 2022-2027 du Conseil d'Etat, présenté en novembre dernier. Les députés ont globalement réservé un bon accueil à ce "document-cadre", même s'ils ont été plusieurs, surtout à gauche, à critiquer certains aspects.

Le Grand Conseil ne pouvant pas modifier ce programme de législature, ni même le refuser ou l'accepter, il s'est contenté d'en prendre acte. Cela s'est néanmoins traduit par un vote symbolique: ils ont été 97 à prendre acte, 8 à ne pas vouloir en prendre acte et 27 à s'abstenir.

Ce sont les Vert'libéraux, qui ne sont pourtant pas représentés au gouvernement, qui ont été les plus élogieux envers le programme de législature du Conseil d'Etat. "J'ai cru lire le programme de mon parti", a relevé Aurélien Demaurex, rappelant les mesures phares annoncées dans le programme, notamment en matière de durabilité, de baisses fiscales ou de soutien à l'innovation.

Le PLR a également salué un programme "équilibré et tourné vers l'avenir", a dit Florence Bettschart-Narbel. Elle a rappelé les baisses fiscales destinées à "soulager la classe moyenne" et permettre au canton de Vaud de devenir plus "attractif" en matière fiscale, "ce qu'il n'est pas aujourd'hui". Pour mémoire, la baisse fiscale sera progressive, de 73 millions cette année à 250 millions en 2027.

Parmi les "bémols" à ce programme de législature, la députée PLR a regretté une volonté à "étatiser au maximum" le système de santé.

L'UDC s'est aussi montrée plutôt favorable. Avec toutefois aussi "quelques inquiétudes", a relevé Fabrice Tanner. Il a notamment prévenu que la hausse de la biodiversité, voulue par le Conseil d'Etat, ne devait pas se faire au détriment des terres agricoles. Maîtrises des charges de l'Etat et de l'immigration ont aussi été exigées par Yvan Pahud.

Locataires "oubliés" selon la gauche

A gauche de l'hémicycle, les députés ont été plus critiques, tout en retenant certains aspects positifs. "Il y a du très bon et plusieurs points noirs", a résumé le Vert Pierre Zwahlen.

Son collègue de parti Yannick Maury a regretté "les cadeaux fiscaux offerts aux personnes les plus aisées". Il a dit voir "une dissonance" entre les ambitions climatiques du Conseil d'Etat et les moyens financiers qu'il se donnait pour les atteindre.

Plusieurs autres élus, à l'instar du socialiste Jean Tschopp, ont déploré "l'absence de toutes mesures de soutien aux locataires" qui, selon lui, sont "tout simplement absents" de ce programme de législature.

Les plus critiques ont été les députés de la gauche radicale (Ensemble à gauche et POP). Elodie Lopez a pointé "de grosses faiblesses". Elle a critiqué, elle aussi, les baisses fiscales accordées "aux plus riches" qui s'accompagneront "de coupes budgétaires dans le secteur de la santé et du social". Hadrien Buclin a aussi déploré "un programme très insuffisant" en matière climatique, surtout d'un canton riche qui devrait être "à l'avant-garde" sur ce sujet.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Crédit accordé pour le Centre sécuritaire de la gare de Lausanne

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Le chantier du bâtiment qui abritera le Centre de compétences sécuritaire a démarré sous la gare de Lausanne (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Grand Conseil vaudois a accepté mardi d'octroyer un crédit de 4,1 millions de francs pour la mise en place d'un Centre de compétences sécuritaire (CCS) en gare de Lausanne. Des réticences se sont fait entendre à gauche de l'hémicycle quant au risque de détentions abusives dans ces locaux.

Le futur bâtiment nommé "Les Epinettes" est actuellement en cours de construction au sud-ouest de la gare. Il permettra de regrouper sous un même toit la police cantonale vaudoise (PolCant), la police des transports (STP) et l'Office fédéral de la douane et de la sécurité des frontières (OFDF), a expliqué le député UDC Fabrice Tanner au nom de la majorité de la commission.

Pour ce faire, deux étages seront partiellement loués aux CFF, propriétaires du site. Prévus pour l'automne 2026, les locaux abriteront des surfaces administratives. Y seront également installées une cellule de rétention équipée d'une couchette et d'un WC ainsi que huit salles de garde à vue, (contre deux cellules et trois locaux de garde à vue actuellement).

Collaboration favorisée

Les locaux actuels n'ont pas évolué depuis des décennies et la Polcant a besoin d'une zone à partir de laquelle elle peut se déployer, tant pour les activités courantes que pour les manifestations, a souligné l'UDC.

Le projet permet de conserver un point d'appui sur place, la grande circulation de personnes et les activités commerciales sur le site demandant un travail policier important. La création d'un espace mutuel entre les différents partenaires sécuritaires est pertinente et elle favorise la collaboration.

Le projet ne risque pas de prendre du retard, malgré celui pris par les travaux de transformation de la gare. Le coût est estimé à 11,5 millions de francs, dont 4,1 millions à la charge du canton, a précisé M. Tanner.

Craintes pour les conditions de détention

Pas convaincue, une minorité des députés a demandé de retravailler le projet. Elle craint notamment que les conditions de détention ne soient pas acceptables pour les personnes interpellées, a relevé Hadrien Buclin (Ensemble à gauche et POP).

Le conseiller d'Etat Vassilis Venizelos s'est engagé à ce que les gardes durent tout au plus quelques heures. Mais la tendance ces dernières années est d'utiliser des locaux de police pour des périodes de détention prolongée, ce en raison de la forte surcharge des établissements de détention, a-t-il rappelé.

Différents mouvements s'en inquiètent. En 2022 déjà, le collectif "Droit de rester" dénonçait un "projet dangereux et inhumain", visant la création d'un "centre de sécurité géant", a-t-il rappelé. Un groupe de membres du collectif "Gare à toi" a d'ailleurs demandé aux députés de refuser ce crédit mardi matin devant le Grand Conseil.

Conception minérale

Sur le plan environnemental, la minorité estime que le bâtiment n'est pas en phase avec les objectifs de réduction de CO2 affichés par les autorités cantonales. Hadrien Buclin a cité entre autres un parking enterré sur quatre étages, des nuisances routières et sonores dans un quartier à forte densité d'habitants, ainsi qu'un nombre important de façades borgnes.

"En matière de végétalisation, on n'a pas appris beaucoup de Plateforme 10", a commenté le Vert Pierre Zwahlen regrettant "une conception entièrement minérale". Laure Jaton (PS) a, elle, émis des réserves sur l'absence d'aménagements extérieurs. La Vert'libérale Graziella Schaller a regretté un projet nébuleux, notamment sur le plan de sa situation géographique.

Favorable au CCS, la droite de l'hémicycle a estimé au contraire qu'il s'agissait d'un regroupement indispensable et que le projet répondait à un "besoin croissant", selon les termes de l'UDC Cédric Weissert.

Pas de détention

"Tout ce qui se fera là-bas se fait déjà, mais de façon regroupée", a précisé la conseillère d'Etat Isabelle Moret. Dans ces locaux, pas de cuisine, ni d'infirmerie. Il n'y aura pas de détention, mais de la garde à vue. La zone carcérale de la police cantonale reste à la Blécherette, a-t-elle assuré.

Au vote, une bonne majorité s'est prononcée en faveur de ce crédit. Le deuxième débat a été refusé mardi et aura lieu ultérieurement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Députés favorables à une stratégie cyclotouristique

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Le Grand Conseil vaudois aimerait poser des bornes pour les cyclistes sur les cols du canton (photo d'illustration). (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Les amateurs de vélo devraient pouvoir profiter de bornes ou panneaux le long des routes de montagne dans le canton de Vaud. Le Grand Conseil a accepté mardi un postulat visant à rendre plus attractive l'ascension des cols.

Pour l'auteure de ce postulat, l'ancienne députée et désormais conseillère nationale Jessica Jaccoud (PS), le Conseil d'Etat devrait élaborer une stratégie "touristico-sportive". Celle-ci permettrait d'encourager la pratique du vélo et stimulerait le tourisme quatre saisons.

Certains cols vaudois sont déjà équipés de tels balisages. Mais l'idée du postulat consiste à développer "une stratégie globale", afin d'assurer une uniformité sur les différentes routes des Préalpes et du Jura, le risque étant que chaque région propose son propre concept.

Bornes ou panneaux informatifs

Dans son texte, Jessica Jaccoud cite des exemples français, italiens ou andorrans où, au pied du col, une borne est placée pour indiquer le nombre de kilomètres jusqu'au sommet, l'altitude, le dénivelé ou encore le pourcentage moyen. D'autres panneaux sont installés au cours de la montée et au sommet.

"Ces balisages sont très appréciés des cyclotouristes, tant ils permettent de calibrer l'effort et de mesurer le chemin qu'il reste à parcourir", souligne le postulat. Le texte relève aussi que les cyclistes se prennent souvent en photo à côté de ces panneaux et les partagent sur les réseaux sociaux. "C'est donc un moyen de promotion touristique très performant", affirme Mme Jaccoud.

Hormis quelques abstentions et un refus, le postulat a été largement soutenu mardi par les députés. Il revient désormais au Conseil d'Etat d'y apporter une réponse.

Itinéraires VTT

Toujours au chapitre vélo, une motion a été présentée mardi devant le Grand Conseil pour demander une simplification administrative pour la création de parcours dédiés aux VTT et VTT à assistance électrique (VAE). L'auteur du texte, Sébastien Cala (PS), a relevé que la réalisation de tels itinéraires était actuellement "trop complexe", avec notamment des "difficultés de coordination" entre les différents services de l'Etat et l'absence d'une entité qui faciliterait les démarches pour les porteurs de projet.

De plus, une procédure CAMAC (via la centrale des autorisations en matière de construction) est désormais nécessaire alors que, "dans un passé récent", un simple accord des propriétaires suffisait, a-t-il ajouté dans sa motion.

Au vu du "fort développement" du VTT et du VAE, mais aussi de ses avantages en matière de santé publique ou de tourisme quatre saisons, M. Cala demande au Conseil d'Etat d'élaborer une stratégie VTT-VAE. Celle-ci devrait "fixer des axes de développement prioritaires, clarifier et simplifier les procédures d'autorisation".

Sa motion a été signée par une petite trentaine de députés, de gauche comme de droite. Elle a été renvoyée mardi en commission, qui sera chargée de l'étudier.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Ecosse: l'indépendantiste John Swinney élu Premier ministre

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John Swinney a été élu sans surprise avec 64 voix sur les 129 sièges du Parlement écossais. (© KEYSTONE/EPA/ROBERT PERRY)

Le nouveau chef du parti indépendantiste écossais SNP, John Swinney, a été élu Premier ministre mardi par le Parlement local. Il succède à Humza Yousaf, qui a annoncé sa démission la semaine dernière.

John Swinney a été élu sans surprise avec 64 voix sur les 129 sièges du Parlement écossais, où le SNP est loin devant les différents partis d'opposition mais n'a pas la majorité absolue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Macron et Xi au col du Tourmalet pour une escapade "personnelle"

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Emmanuel Macron et Xi Jinping, accompagnés de leurs épouses, prennent la pose avec des danseurs traditionnels. (© KEYSTONE/AP/Aurelien Morissard)

Emmanuel Macron et Xi Jinping sont dans les Pyrénées mardi, au second jour de la visite d'Etat du président chinois. Cette escapade "personnelle" est censée permettre un dialogue plus direct sur la guerre en Ukraine ou les désaccords commerciaux.

Les deux dirigeants, accompagnés de leurs épouses, sont arrivés en début d'après-midi au col du Tourmalet, mythique ascension du Tour de France, où, à 2115 mètres, la météo est encore hivernale.

Sous d'importants flocons de neige, le son de la flûte à trois trous et de l'accordéon ont retenti, tandis que des danseurs en habits traditionnels exécutaient, les bras levés, quelques pas devant les deux présidents, tout sourire, abrités sous de larges parapluies noirs.

Cadeaux

Peng Liyuan, épouse de Xi Jinping, bat le rythme. Emmanuel Macron demande une photo souvenir avant de pénétrer dans le restaurant d'altitude d'Eric Abadie, son ami éleveur, et d'offrir des cadeaux à son homologue: des couvertures en laine des Pyrénées, une bouteille d'Armagnac, des bérets, un maillot jaune du Tour de France...

"Je sais que tu aimes le sport (...) On serait ravis d'avoir des coureurs chinois sur le Tour", lance le président français qui accueille son homologue chinois en France pour la première fois depuis 2019.

Xi Jinping promet en retour de faire de la publicité pour le jambon local avant d'assurer "aimer beaucoup les fromages".

Cette escapade pyrénéenne est une sorte de réponse à la cérémonie du thé que les deux dirigeants avaient partagée l'an dernier, à Canton, dans la résidence officielle où le père du président chinois avait vécu quand il était gouverneur de la province du Guangdong.

"Cadre de concurrence loyale"

Le cadre du col du Tourmalet, sous le brouillard neigeux, offre en tout cas un contraste saisissant avec l'Elysée où, entre un accueil en grande pompe et un banquet fastueux, Emmanuel Macron et Xi Jinping n'ont pas cherché à dissimuler les différends sur le commerce entre l'Europe et la Chine.

Le président français a appelé à un "cadre de concurrence loyale", se félicitant à l'issue des discussions d'avoir préservé le cognac français de la menace de taxes douanières chinoises "provisoires".

Conviée pour afficher un front continental uni, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a prévenu que l'Union européenne prendrait "des décisions fermes" pour "protéger son économie", dénonçant l'afflux de véhicules électriques chinois massivement subventionnés.

"Le soi-disant 'problème de la surcapacité de la Chine' n'existe pas", leur a répondu sèchement Xi Jinping.

Soutien à une trêve olympique

Concernant l'Ukraine, il s'est voulu plus consensuel, réaffirmant sa volonté d'oeuvrer à une solution politique.

Et il a apporté son soutien à une "trêve olympique" à l'occasion des Jeux de Paris cet été, poussée également par Emmanuel Macron. Selon une source diplomatique française, cette trêve pourrait servir, s'agissant de l'Ukraine, à enclencher un processus plus politique après plus de deux ans de conflit.

Mais Paris, qui insiste depuis un an pour que Pékin fasse pression sur la Russie pour contribuer à mettre fin à la guerre, se veut "lucide" sur les chances limitées d'une percée rapide. D'autant que le président chinois reste le principal allié de son homologue russe Vladimir Poutine, qu'il doit recevoir prochainement.

"Pouvoir de séduction"

L'étape pyrénéenne pourrait, dans l'esprit de la délégation française, favoriser "un échange franc et amical" sur ces sujets épineux. L'idée est de casser l'imposant protocole qui accompagne le moindre déplacement du numéro un chinois.

Ce coin de montagne est "directement lié à l'histoire très personnelle" d'Emmanuel Macron, explique son entourage. Celui qui fête mardi les sept ans de sa première élection a passé de nombreuses vacances entre le bourg de Bagnères-de-Bigorre et La Mongie avec ses grands-parents auxquels il était très attaché.

"La diplomatie d'Emmanuel Macron a toujours misé, de manière peut-être excessive, sur le pouvoir de séduction", analyse Bertrand Badie, spécialiste des relations internationales à Sciences Po.

Mais Xi Jinping, "n'est pas vraiment un grand sentimental" et personne, jusqu'ici, "n'a trouvé la clé des relations euro-chinoises", prévient le chercheur.

Le candidat des socialistes aux européennes de juin Raphaël Glucksmann a dénoncé la "tonalité amicale" de cette visite officielle. "L'homme qui déporte les Ouïghours, qui réprime les Hongkongais et les Tibétains n'est pas notre ami", a-t-il déclaré sur RTL.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

La Ville de Genève expose son plan directeur communal 2040

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La Ville de Genève expose jusqu'au 5 juin son plan directeur communal révisé tourné vers la transition écologique et sociale. La maquette en bois de la première ville du canton est montrée dans sa totalité (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

A quoi va ressembler Genève en 2040? Direction le Forum Faubourg jusqu'au 5 juin, pour le découvrir. La Ville de Genève y présente son plan directeur communal révisé. Il s’agit de la dernière étape de la consultation citoyenne prévue dans le cadre de la révision de ce plan.

Le plan directeur communal offre une vision prospective, pour agir dès à présent pour atteindre les objectifs climatiques de la Ville, a expliqué mardi devant les médias la conseillère administrative Frédérique Perler, en charge du département de l'aménagement, des constructions et de la mobilité. Il affirme la volonté du gouvernement de construire une ville durable et résiliente.

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La révision de ce plan s'est accompagnée d'une consultation citoyenne dès le mois de juin 2022. La population, les associations et les milieux économiques ont ainsi été sollicités dans le cadre de réunions, d'ateliers et de marches exploratoires dans les quartiers. La consultation publique permet encore d'adresser des observations à la Ville de Genève.

Maquette entière

Le plan directeur communal va guider l'action de l'exécutif pendant les quinze prochaines années. Il comprend cinq priorités politiques: Genève en lien avec le Grand Genève, des quartiers régénérés et accueillants, une ville productive et attractive, une nouvelle coexistence ville-nature et un cadre de vie varié et convivial, où la place de la voiture sera réduite.

Le modèle urbain actuel a ainsi été remis en question. Aux thèmes précédents - le logement, l'espace public, l'environnement, la mobilité - sont venus s'ajouter de nouveaux thèmes, comme le climat, le sans-abrisme, le réemploi, le patrimoine ou encore l'inclusivité. Les explications d'Albane Ferraris, géographe urbaniste adjointe de direction au service de l’urbanisme en Ville de Genève.

Ce plan devrait être adopté par le Conseil municipal de la Ville de Genève en automne puis par le Conseil d'Etat en fin d'année.

L'exposition au Forum Faubourg présente les principaux thèmes de ce plan. Elle permet aussi de voir la maquette de la Ville de Genève dans sa totalité, avec les bâtiments existants et les projets de constructions futurs. Un mapping donne un aperçu des transformations majeures à l'horizon 2040. Les précisions d’Albane Ferraris, géographe urbaniste adjointe de direction au service de l’urbanisme en Ville de Genève.

Laurie Selli avec ATS

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