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Actualité

Ski alpin: Odermatt et Feuz prêts pour le premier grand rendez-vous de ces JO

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Marco Odermatt espère survoler cette descente comme il survole la Coupe du monde. (AP Photo/Robert F. Bukaty)

Le premier grand moment des Jeux olympiques de Pékin aura lieu dimanche à 4h (heure suisse) avec la descente messieurs. Dans le camp suisse, on attend forcément Marco Odermatt et Beat Feuz sur la bien nommée piste "Rock".

C'est donc sur la piste baptisée Rock que les spécialistes de vitesse vont se battre pour décrocher l'or olympique en descente. Construite sur le site de Yanqing, entièrement construit pour l’occasion, cette piste pourrait permettre à la Suisse de débloquer son compteur de médailles. Les quatre Helvètes en lice seront des prétendants au podium, à commencer par Marco Odermatt.

Si le jeune prodige nidwaldien découvre les JO, sa capacité à s’adapter n’a jamais posé problème. Très à l’aise sur les pentes difficiles, le leader du classement général de la Coupe du monde peut-il réaliser un coup sur la piste « Rock » ?

Marco OdermattSkieur suisse

 

Marco Odermatt, 24 ans, dispute ses premiers Jeux olympiques mais il fait déjà partie des favoris. Après les entraînements, que retient-il de cette piste olympique ?

Marco OdermattSkieur suisse

 

Comme tous ses concurrents, Marco Odermatt s'élancera sur une piste dont il ne sait presque rien. Le Suisse l’a découverte lors des entraînements en fin de semaine. Avant ces échéances, très peu d’informations avaient pu être récoltées.

Marco OdermattSkieur suisse

 

Beat Feuz: "on a vu que tout était possible"

Si Marco Odermatt est attendu dans la lutte pour les médailles, le grand favori dans les rangs suisses reste Beat Feuz. Troisième en descente il y a quatre ans en Corée du Sud, le Bernois domine cette discipline depuis les derniers JO. Il a remporté les quatre derniers classements de Coupe du monde de la spécialité. Beat Feuz livre ses impressions sur cette piste qu’il ne connaît pas.

Beat FeuzSkieur suisse

 

L’expérimenté bernois a pratiquement tout gagné durant sa carrière en descente. Il ne lui manque « que » le titre olympique. En fait-il pour autant une obsession ? La réponse de Beat Feuz…

Beat FeuzSkieur suisse

 

Dans le contexte particulier de cette descente (jamais la piste n'a été descendue en compétition), plusieurs athlètes ont fait part de leurs réticences. C’est notamment le cas de Beat Feuz, qui a laissé entendre que sa priorité cette saison avait plutôt été mise sur les « classiques » de Wengen et de Kitzbühel. Mais si le Bernois a fait le déplacement en Chine, ce n’est pas pour faire de la figuration. Les précisions de Beat Feuz…

Beat FeuzSkieur suisse

 

 

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Culture

Le Genevois Slimka, meilleur artiste romand aux Swiss Music Awards

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Les Bernois de Züri West ont remporté le prix du meilleur groupe de l'année (archives). (© KEYSTONE/TI-PRESS/SAMUEL GOLAY)

La chanteuse st-galloise Joya Marleen, le chanteur bâlois Baschi et le groupe bernois Züri West ont été désignés artistes de l'année mercredi à Zurich lors des Swiss Music Awards 2024. Le rappeur genevois Slimka, lui, est le meilleur artiste romand.

Le public avait jusqu'au 21 avril pour désigner ses artistes préférés. Dans la catégorie "Romandie", Slimka était opposé à deux femmes, l'auteure-interprète lausannoise Nnavy et la rappeuse jurassienne Baby Volcano.

D'autres romands sont repartis les mains vides. Dans la catégorie "Best Breaking Act", qui met en avant de nouveaux artistes, le trio de Ländler schwyzois Rusch-Büeblä a été préféré au chanteur valaisan Nuit Incolore.

Dans la catégorie "Most Rising Artist Social Media", qui récompense l'activité sur les réseaux sociaux, la Jurassienne bernoise Phanee de Pool s'est inclinée face à la rappeuse grisonne Gigi. Et Shuttle, projet du musicien indie-pop fribourgeois Grégoire Pasquier, n'a pas été retenu dans la catégorie "SRF 3 Best Talent". Le prix est allé à l'Appenzelloise Riana.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

A l'UNIL, fin de l'occupation nocturne de Géopolis

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Le bâtiment Géopolis ne sera plus occupé de nuit (archives). (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

L'Université de Lausanne (UNIL) a demandé au collectif pro-palestinien qui occupe Géopolis depuis jeudi dernier de quitter les lieux mercredi soir. Il a été admis que les locaux pourront continuer à être utilisés aux heures ouvrables, le temps des négociations.

La direction de l'UNIL a fixé comme condition pour la poursuite des négociations le retrait du bâtiment par le collectif dans la soirée, ce qui a été fait, annonce mercredi soir l'institution dans un communiqué. Les discussions pourront se poursuivre à condition que le collectif reste composé de membres de l’UNIL ou affiliés à l’UNIL.

La Haute Ecole exige aussi le respect du bon déroulement des activités de recherche et d’enseignement sur le campus, ainsi que de l’intégrité des personnes et des infrastructures. Depuis jeudi dernier, un collectif pro-palestinien occupait jour et nuit Géopolis.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Suisse

Pas de millionnaire au tirage du Swiss Loto

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Le Swiss Loto est un jeu de loterie classique proposé en Suisse depuis 1970. (© Keystone/SALVATORE DI NOLFI)

Personne n'a trouvé la combinaison gagnante du Swiss Loto mercredi soir. Pour empocher le gros lot, il fallait cocher les numéros 14, 25, 26, 31, 34 et 38. Le numéro chance était le 5, le rePLAY le 3 et le Joker le 608983.

Lors du prochain tirage samedi, 17,6 millions de francs seront en jeu, indique la Loterie Romande.

https://jeux.loro.ch/games/swissloto/

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Climeworks inaugure une seconde usine de captage de CO2 en Islande

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La première usine de Climeworks en Islande, baptisée Orca. La seconde usine dévoilée mercredi, Mammoth, permettra de capter bien plus de CO2 (archives). (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Les ventilateurs moulinent: la deuxième usine islandaise de captage de CO2 dans l'air et stockage sous terre a été dévoilée mercredi par la start-up suisse Climeworks. Elle décuple ainsi ses capacités et espère "éliminer" des millions de tonnes de ce gaz d'ici 2030.

Mammoth est située à quelques centaines de mètres de sa petite soeur, Orca, usine pionnière en service depuis septembre 2021, au milieu d'un champ de lave solidifiée recouverte de mousse, à une demi-heure de la capitale Reykjavik.

Entourés par des montagnes, douze conteneurs ont commencé ces derniers jours à ventiler de l'air pour en extraire le CO2 grâce à un procédé chimique, alimenté par la chaleur issue de la centrale géothermique voisine ON Power.

D'ici la fin de l'année, 72 unités seront installées autour de l'usine qui compresse ensuite le gaz et le dissout dans de l'eau avant de l'injecter sous terre. A 700 mètres profondeur, au contact du basalte, roche volcanique poreuse riche en calcium et magnésium, le CO2 met environ deux ans à se minéraliser et est ainsi stocké durablement, selon un procédé mis au point par la société islandaise Carbfix.

36'000 tonnes de CO2 par an

Quelque 10'000 tonnes de CO2 étaient jusqu'ici captées puis stockées par an dans le monde, dont 4000 par Orca et le reste principalement par des unités pilote expérimentales. Une fois pleinement opérationnelle, Mammoth permettra d'en absorber 36'000 tonnes par an.

"Nous sommes passés de quelques milligrammes de CO2 captés dans notre laboratoire il y a 15 ans à quelques kilos, puis des tonnes et des milliers de tonnes", se réjouit Jan Wurzbacher, fondateur et codirigeant de Climeworks. D'ici 2030, l'entreprise vise une capacité de plusieurs millions de tonnes et entrevoit le milliard pour 2050.

Une vingtaine d'autres projets développés par Climeworks et d'autres start-up devraient permettre d'atteindre les 10 millions de tonnes d'ici 2030. A comparer aux 40 milliards de tonnes émises l'année dernière dans le monde.

Crédit carbone

Ces usines énergivores se distinguent de celles qui captent le CO2, plus concentré, à la sortie d'infrastructures industrielles ou énergétiques mais aussi de celles qui réutilisent ce gaz au lieu de le stocker.

Pour chaque tonne de CO2 stockée, Climeworks peut ainsi générer un crédit carbone qui permet à ses clients (Lego, Microsoft, H&M, Swiss Re, JP Morgan Chase, Lufthansa...) de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre.

Ces technologies sont reconnues par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) comme une solution pour éliminer du CO2 de l'atmosphère mais ne sont pas encore très intégrées aux scénarios de réductions des émissions tant leur développement, extrêmement couteux, est encore au stade embryonnaire avec des financements publics limités.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Occupation d'UniMail: Le dialogue est ouvert entre le rectorat et les étudiants

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Les étudiants pro-palestiniens occupent le hall d'UniMail depuis mardi midi (KEYSTONE/Salvatore Di Nolfi)

Le vice recteur de l'Université de Genève a rencontré mercredi après-midi une délégation des étudiants pro-palestiniens qui occupent Unimail depuis mardi. Il leur a proposé de se joindre au conseil scientifique pour discuter de leurs revendications.

Les discussions sont enclenchées entre le rectorat de l’université de Genève et les étudiants pro palestiniens qui occupent UniMail depuis deux jours. Une délégation a été reçue ce mercredi après-midi, pendant près de deux heures, par le vice-recteur Édouard Gentaz, en charge du vivre-ensemble.

Une ouverture des discussions saluée par l'une des porte-paroles du collectif des étudiants.

 

Le rectorat a notamment proposé à la coordination étudiante Palestine-Unige de rejoindre une réunion de travail du conseil scientifique qui se réunira jeudi pour aborder les revendications du collectif et le rôle de l’université de Genève dans le débat public. Edouard Gentaz, vice-recteur.

 

Toutes les propositions formulées par le rectorat doivent maintenant être soumises à l'assemblée générale des étudiants. Seule certitude, l'occupation d'UniMail est maintenue pour la nuit de mercredi.

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