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Santé

Lonza débauche chez Siegfried son nouveau timonier

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L'actuel président et directeur général de Lonza Albert Baehny (à gauche de l'image sans masque), rendra ses deux mandats à la tête de la multinationale rhénano-valaisanne avant la fin de l'été. (archive) (© KEYSTONE/ALESSANDRO DELLA VALLE)

Le sous-traitant de l'industrie pharmaceutique Lonza a embauché l'actuel patron de son modeste homologue Siegfried, Wolfgang Wienand, pour reprendre le poste de directeur général (CEO) temporairement occupé par son président sur le départ, Albert Baehny.

Cette passation de témoin scellera la disparition d'Albert Baehny des deux organes dirigeants de la multinationale rhénano-valaisanne, souligne Lonza dans un communiqué mardi.

Albert Baehny avait coiffé la double casquette en octobre dernier, dans le sillage immédiat de la perte de l'important contrat pour les vaccins Covid-19 de Moderna et du départ abrupt du CEO Pierre-Alain Ruffieux. Son retrait de l'organe de surveillance à l'occasion de la prochaine assemblée générale ordinaire agendée au mois de mai, au profit de l'actuel président du brasseur néerlandais Heineken, Jean-Marc Huët, avait été annoncé fin janvier.

Wolfgang Wienand endossera ses nouvelles fonctions à la tête de la multinationale rhénano-valaisanne dans le courant de l'été, indique Siegfried dans un communiqué distinct.

M. Wienand avait intégré le groupe zofingien en août 2010 en qualité de responsable scientifique, avant d'en reprendre les rênes début 2019. Il avait auparavant oeuvré pour le compte du chimiste de spécialités allemand Evonik Industries.

Reto Suter, trésorier du laboratoire argovien, assurera l'intérim au faîte de l'exécutif dans l'attente du recrutement d'un nouveau CEO.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Genève

Genève commémore la restauration de la République

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La première commémoration a eu lieu en 1814. Depuis 1914, c'est la Société d'artillerie de Genève qui gère les tirs. (© Keystone/EPA KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Comme chaque année, des coups de canon ont ponctué le début de la journée du 31 décembre à Genève. C'est ainsi que les autorités du bout du lac commémorent la restauration de la République de 1813 et l'indépendance recouvrée de la cité.

Depuis 1798, Genève était, en effet, occupée militairement par la France qui l'avait ensuite annexée. La ville fut nommée chef-lieu et préfecture du département du Léman alors que l'armée napoléonienne triomphait en Europe. Sa débâcle dans l'immensité russe, puis ses défaites ont rabattu les cartes sur le continent, à Genève aussi.

Le 30 décembre 1813, au matin, les troupes françaises se retirent de la ville. Elles sont remplacées, dans l'après-midi, par l'armée autrichienne qui annonce la restauration de l'ordre ancien. Le 31 décembre, une proclamation d'indépendance est préparée et un gouvernement provisoire est constitué.

Avec la population

La première commémoration a eu lieu en 1814. Depuis 1914, c'est la Société d'artillerie de Genève qui gère les tirs. Comme à son habitude, la cérémonie de commémoration de la restauration a donc débuté avec les salves de 26 coups de canon, chaque détonation représentant un canton ou un demi-canton suisse.

Les tirs sont déclenchés de trois endroits de la ville, sur la promenade de la Treille, sur la promenade de l'Observatoire et sur la rotonde du Mont-Blanc.

La cérémonie officielle a aussi été agrémentée des discours des autorités, de musique et du chant de l'hymne genevois, le "Cè qu'è lainô". Thierry Apothéloz, président du Conseil d'Etat, et Anne Hiltpold, vice-présidente, étaient notamment présents.

La population a été conviée à participer à cette tradition sur la promenade de la Treille, avec aussi une collation offerte à son issue, sous l'ancien Arsenal. Un culte a ensuite suivi à la cathédrale Saint-Pierre.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Santé

Nestlé vend le restant de ses parts dans Herta à Casa Tarradellas

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Avec le retrait complet de Nestlé, Casa Tarradellas prend désormais le contrôle exclusif de l'entreprise. (archive) (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le paquebot alimentaire Nestlé a vendu les 40% restants de sa participation dans la coentreprise Herta Foods à son partenaire espagnol Casa Tarradellas. La transaction a été conclue le 23 décembre.

Le prix d'achat n'a pas été divulgué, conformément à l'accord conclu entre les parties. "Cette transaction met fin à la coentreprise annoncée en 2019", indique Nestlé dans un communiqué. A cette époque, l'entreprise veveysanne avait fait savoir qu'elle cédait ses activités de charcuterie et de pâte à tarte à l'entreprise familiale catalane, sise près de Barcelone.

Une joint-venture, détenue à 60% par la société espagnole et dans laquelle Nestlé conservait 40% des parts devenait ainsi propriétaire de la marque Herta pour les activités de charcuterie dans six pays européens, et de pâte à tarte en France et en Belgique.

Nestlé entendait conserver et développer les activités existantes de Herta dans le segment végétarien, conformément à son recentrage stratégique vers les produits basés sur des ingrédients végétaux.

Avec le retrait complet de Nestlé, Casa Tarradellas prend désormais le contrôle exclusif de l'entreprise.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Culture

Restauration ratée d'un tableau du Christ: décès de la peintre

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Dans ce montage de deux photos non datées fournies par le Centro de Estudios Borjanos, on voit à gauche la fresque du Christ de style Ecce Homo du XXe siècle et, à droite, la version "restaurée". Cette restauration ratée réalisée par une retraitée espagnole de 80 ans avait suscité des moqueries. (© KEYSTONE/AP Centro de Estudios Borjanos)

Devenue une insolite star mondiale en 2012 après la restauration totalement ratée d'un portrait du Christ, qui avait causé l'hilarité des internautes et attiré les curieux dans sa petite ville du nord-est de l'Espagne, Cecilia Giménez est décédée à l'âge de 94 ans.

"En août 2012, la célèbre restauration de l'Ecce Homo de Borja fut montrée; en raison du mauvais état de conservation de l'oeuvre, Cecilia, avec la meilleure intention du monde, avait décidé de repeindre l'oeuvre par-dessus", rappelle dans un message publié sur Facebook la fondation qui gère le sanctuaire où ce tableau est toujours visible, et qui a annoncé le décès de la nonagénaire.

"Cecilia Giménez devint ainsi l'un des personnages les plus célèbres de 2012 et continue encore aujourd'hui à susciter l'intérêt, non seulement des personnes qui se rendent au Sanctuaire de la Miséricorde, lieu que Cecilia adorait, mais aussi de différents médias", poursuit-elle.

En 2012, Cecilia Gimenez avait provoqué la consternation des protecteurs du patrimoine et l'hilarité chez les internautes du monde entier par son travail très personnel.

Curiosité touristique

Chevelure aux allures de pelage de singe, bouche effacée et nez maladroitement stylisé nés sous son pinceau n'avaient plus rien à voir avec l'original, un "Ecce Homo" aux traits fins coiffé d'une couronne d'épines peint par un artiste local, Elias Garcia Martinez. L'oeuvre, réalisée dans les années 1910, n'était pas classée.

Borja avait ensuite reçu en un an 57'000 visiteurs venus voir la peinture.

Partout dans le monde, le visage méconnaissable du nouvel "Ecce Homo" avait immédiatement inspiré de nombreuses versions détournées à partir notamment de photos du roi d'Espagne Juan Carlos en 2012, de Michael Jackson ou encore d'Homer Simpson, et même des masques.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Santé

Un Suisse sur trois va se serrer la ceinture en 2026

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Un bon tiers de la population suisse souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin. (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Le climat de consommation s'annonce difficile en Suisse l'an prochain. Un bon tiers de la population souhaite réduire son budget ménage et dépenser moins dans quasi tous les domaines de la vie courante, et cela particulièrement en Suisse romande et au Tessin.

A l'aube de cette nouvelle année, la moitié de la population s'inquiète pour son budget. Ainsi, 30% des personnes interrogées ont déjà procédé à des ajustements budgétaires pour joindre les deux bouts, alors que 17% trouvent que la période est difficile et 4% parlent même de crise, selon le moniteur de la consommation publié mardi par l'institut d'études de marché management tools research.

Le reste de la population se montre davantage optimiste: 42% des sondés estiment que leur situation économique est bonne et 6% très bonne, selon une enquête menée auprès de plus 1200 personnes âgées de 16 à 79 ans.

Cette perception diffère de façon notable entre les différentes régions du pays. En Suisse alémanique, plus de la moitié des participants à l'étude ne s'inquiètent pas de l'état de leur compte bancaire et 52% d'entre eux qualifient leur situation économique de bonne ou très bonne, quand au Tessin 59% de la population juge sa situation "tendue, difficile, voire critique". En Suisse romande, ce chiffre atteint même 61%.

Une morosité qui se reflète dans la planification budgétaire. Une personne sur trois (32%) dit souhaiter réduire son budget familial en 2026, un chiffre qui atteint même 41% chez les moins de 45 ans. Seuls 19% des interrogés souhaitent dépenser plus au cours de la nouvelle année et 44% maintenir leurs dépenses à un niveau constant.

Prudence de mise

Les sondés veulent avant tout faire des économies dans les domaines où les achats peuvent être reportés: 37% dévoilent prévoir de dépenser moins pour les articles de consommation courante et 35% pour les vêtements. Beaucoup réduiront également leurs dépenses liées aux sorties: 31% entendent se serrer la ceinture au niveau de la restauration et 24% dans les domaines de la culture, des loisirs et autres activités.

Seuls les domaines des assurances et des frais de santé ne permettront pas de réaliser des économies. Près de la moitié des personnes interrogées s'attendent à une augmentation des dépenses de santé pour l'année prochaine, "ce qui montre à quel point les primes pèsent lourdement sur le budget", souligne l'étude.

Ce comportement prudent des consommateurs devrait se répercuter sur les revenus de nombreux fournisseurs. Un quart des personnes interrogées souhaitent par exemple dépenser moins d'argent dans le commerce de meubles, comme par exemple chez Ikea. Les détaillants d'électronique, d'articles ménagers et en ligne sont également sous pression, plus d'un cinquième d'entre elles indiquant vouloir réduire leurs dépenses chez Galaxus, Media Markt, Fust et Interdiscount.

Concernant les denrées alimentaires, un peu moins de personnes ont l'intention d'économiser mais chez Migros, Coop, Aldi et Lidl si "environ la moitié souhaite dépenser autant que l'année précédente, les interrogés souhaitent plutôt réduire leur budget que l'augmenter".

Recours aux crédits

Afin de pouvoir effectuer des achats importants malgré un budget serré, de nombreuses personnes envisagent par ailleurs de modifier leurs habitudes de paiement. Elles sont 25% à admettre qu'elles paieront plus souvent sur facture l'année prochaine, 11% à miser davantage sur les paiements échelonnés, 4% sur le leasing et 3% à envisager un crédit.

Sur ce dernier point, les hommes sont deux fois plus nombreux que les femmes à vouloir faire une demande de crédit et ils sont également plus enclins à recourir au paiement échelonné et au leasing.

Par ailleurs, 13% des sondés déclarent ne pas pouvoir épargner du tout. Au Tessin, ce pourcentage est plus de deux fois plus élevé et atteint 29%. Le montant moyen épargné est de 1220 francs par mois, mais l'écart est énorme: ceux qui gagnent moins de 7000 francs épargnent en moyenne environ 360 francs, alors que les personnes dont le salaire mensuel dépasse 9000 francs peuvent mettre plus de 2800 francs de côté. Et tandis que les locataires ne peuvent épargner qu'environ 750 francs par mois, les propriétaires immobiliers économisent plus de 2000 francs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp

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Santé

Au musée, le dernier chapitre des loups vaudois

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André Keiser, chef de l'atelier de taxidermie du Naturéum à Lausanne, termine la préparation d'un loup renversé fin décembre par une voiture. (© KEYSTONE/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Ici convergent les loups morts, accidentés ou tirés sur sol vaudois. A l'atelier de taxidermie du Naturéum à Lausanne, certains animaux sont destinés à être empaillés, et tous font l'objet d'une récolte de données. Chaque individu vient ainsi enrichir les collections scientifiques de l'institution.

"M236" et ses panneaux explicatifs trônent depuis un peu moins de deux ans dans les allées du Palais de Rumine non loin du tigre de Sibérie et de l'ours polaire. "Il louche, ce loup", remarque en souriant le taxidermiste du musée André Keiser, au moment d'évoquer les grands canidés accueillis entre ces murs. "Mais ça gêne peu de monde, la vitrine a du succès."

Le jeune mâle de 11 mois, issu d'une portée de cinq louveteaux nés au Marchairuz en 2021, a été abattu par un tir de régulation en mars de l'année suivante. Et il fait partie des loups qui ont été naturalisés - ou "empaillés" selon les pratiques d'autrefois - dans la capitale vaudoise durant les trois dernières années.

Dans un coin de l'atelier, qui jouxte l'entrée principale du bâtiment, un loup est couché sur son plateau de bois. Il s'agit de "Gros Pépère", le mâle reproducteur (M95) de la meute du Marchairuz. Ou, autrement dit, du père de M236, qui se trouve dans les salles d'exposition à l'étage. Plus loin, un autre loup: debout, cette fois, dans une position de "silhouette".

Les autres bêtes se dérobent. Plusieurs sont encore dans le congélateur.

Art de la conservation

"Nous n'avons pas le temps de tout taxidermiser", explique l'artisan, dont le métier tend à disparaître en Suisse. Car pour naturaliser l'animal d'une quarantaine de kilos, il faut compter entre deux mois et un an, entre le moment où le corps est réceptionné et celui où il est transformé.

Le résultat est l'affaire de quatre mains. André Keiser et son apprentie Céline Mouillé oeuvrent sur les spécimens qu'ils reçoivent, entre écorchage, tannage, montage et séchage. La partie la plus délicate? Les yeux, assurément, répond le taxidermiste.

Des yeux qui ne sont pas ceux d'origine, mais bien artificiels, comme le sont la plupart des éléments de la maquette finale. La mâchoire est trop fragile, la langue ne se garde pas et le squelette peut être prélevé pour être étudié. Seule la peau est réellement conservée.

Depuis le travail réalisé sur M236 - "le loup avec l'oeil qui part aux fraises" -, les deux naturalistes "sont montés en puissance". Techniques traditionnelles se mêlent aux plus récentes et forgent cet art d'apprêter et de conserver. Un animal taxidermisé aujourd'hui "est fait pour durer", rappelle celui qui travaille pour l'institution muséale depuis plus de 35 ans.

"Une avalanche de loups"

L'accord tacite qui existe avec la Direction générale de l'environnement (DGE) du Canton de Vaud "fait que l'on est prioritaire pour récupérer les carcasses" des animaux accidentés ou régulés sur le territoire, détaille Olivier Glaizot, conservateur en chef du Département de zoologie du Naturéum. Au moment de l'établir il y a près de trois ans, le Muséum cantonal des sciences naturelles recevait entre un et deux "Canis lupus" par année.

Depuis, "l'effet Albert Rösti" se fait sentir, constate le biologiste. L'entrée en vigueur de la loi fédérale sur la chasse révisée en 2023, qui autorise le tir de meutes entières, a provoqué "une avalanche de loups".

Selon un tempo qui est parfois difficile à déterminer, puisque les dépouilles transitent généralement par plusieurs endroits avant de se retrouver au musée. Elles passent par Berne et son Centre de médecine des poissons et des animaux sauvages (FIWI) afin d'être analysées, autopsiées et identifiées, relate le chercheur. Avant d'être, le plus souvent, renvoyées au service cantonal compétent.

Retracer le fil de l'histoire

Une fois à Lausanne, la mission est différente. Chaque vertébré qui passe les portes du musée intègre aussi ses collections scientifiques, fait savoir André Keiser. Prélever du matériel génétique sur l'animal, en l'occurrence un morceau de muscle, est partie intégrante du travail du taxidermiste. Les échantillons récoltés constituent une base de données centralisées, qui est mise à disposition de la recherche.

Il s'agit aussi de garder une trace "de ce qui est mythique dans le canton, à l'image du loup, mais aussi du chat sauvage ou du lynx", complète Olivier Glaizot. A terme, la volonté est de taxidermiser une meute entière, relève le conservateur en chef du Département de zoologie. "Mais on veut prendre le temps, surtout qu'on fait de la récupération, et aucunement des commandes de bêtes", continue-t-il.

Un sujet sensible

Parfois mal compris, le travail réalisé par l'institution se fait à la fois en marge et à travers les immenses débats politiques qui entourent le loup. "L'une des questions est de savoir si les musées devraient prendre position sur le sujet, ou simplement exposer les faits", évalue Olivier Glaizot.

"Ce sont de très belles bêtes. Une fois qu'on a la dépouille sur la table, on travaille de manière respectueuse", assure de son côté André Keiser. Le taxidermiste ne cache d'ailleurs pas la "forme d'émotion" qui se fait sentir à l'idée que Gros Pépère repose sur sa table, plutôt que de gambader dans le Jura vaudois.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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