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Sans son élection, Trump aurait été condamné, selon un rapport

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Jack Smith se dit convaincu que "sans l'élection de Donald Trump et son retour imminent à la présidence, les preuves admissibles étaient suffisantes pour obtenir une condamnation lors d'un procès". (© KEYSTONE/AP/Brendan McDermid)

Donald Trump aurait été condamné pour tentatives illicites d'inverser les résultats du scrutin présidentiel de 2020 s'il n'avait pas été de nouveau élu en novembre. C'est ce qu'affirme le procureur spécial Jack Smith dans son rapport final publié mardi.

Le procureur spécial, qui a instruit ce dossier à Washington ainsi qu'une autre procédure fédérale contre Donald Trump, pour rétention de documents classifiés dans sa propriété baptisée Mar-a-Lago après son départ de la Maison Blanche, a transmis son rapport sur ces deux affaires au ministre sortant de la Justice Merrick Garland le 7 janvier.

Le ministre a rendu public dans la nuit de lundi à mardi, comme il l'avait annoncé, le premier volume de ce rapport. Ce volume porte sur les tentatives présumées illégales de Donald Trump, alors président sortant républicain, d'inverser les résultats de l'élection de 2020 remportée par son adversaire démocrate Joe Biden.

Donald Trump, qui a fait de Jack Smith une cible privilégiée de ses attaques ad hominem, s'en est de nouveau pris à lui mardi sur son réseau Truth Social, le traitant une énième fois de "cinglé" après la publication de ses "conclusions mensongères".

Ne pas poursuivre un président en exercice

Le procureur spécial a recommandé et obtenu fin novembre l'arrêt des deux procédures fédérales visant l'ex-président et désormais président élu Donald Trump.

Après consultations, le ministère de la Justice a conclu que sa politique depuis le scandale du Watergate en 1973, consistant à ne pas poursuivre un président en exercice, "s'applique à cette situation" inédite, avait expliqué Jack Smith.

"Les résultats de l'élection ont pour la première fois soulevé la question de la marche à suivre légale lorsqu'un simple citoyen qui a déjà été inculpé est élu président", souligne-t-il dans son rapport final.

"Gravité des crimes" pas en cause

Ces conclusions du ministère de la Justice "ne dépendent pas de la gravité des crimes visés, de la force du dossier de l'accusation ou du fond des poursuites", que le procureur spécial soutient pleinement, rappelle-t-il.

Au contraire, Jack Smith se dit convaincu que "sans l'élection du populiste et son retour imminent à la présidence, les preuves admissibles étaient suffisantes pour obtenir une condamnation lors d'un procès".

Donald Trump était notamment inculpé de "complot contre les institutions américaines" et d'"atteinte au droit de vote" des électeurs pour ses pressions sur les autorités locales de sept Etats-clés qu'il avait perdus de peu afin d'invalider les résultats officiels.

Documents classifiés

Dans l'autre affaire fédérale, pour rétention de documents classifiés dans sa résidence de Floride (sud-est), le ministère de la Justice a indiqué qu'il ne publierait pas les conclusions du procureur spécial. Et ce, afin de ne pas "porter préjudice" à ses deux coprévenus, ses deux assistant personnels, qui restent poursuivis dans ce dossier.

Des quatre procédures pénales visant Donald Trump, un seul procès s'est tenu, à New York, où il a été reconnu coupable de le 30 mai de paiements dissimulés à l'actrice de films X Stormy Daniels afin de "pervertir l'élection de 2016".

Repris de justice à la Maison Blanche

Une première infamante pour un ex-président américain et désormais pour un président élu. Après de multiples reports, le prononcé de la peine s'est tenu le 10 janvier, à dix jours de son retour à la Maison Blanche.

Mais comme il l'avait annoncé, le juge Juan Merchan a prononcé une "dispense de peine" afin de ne pas empiéter sur ses futures fonctions.

Toujours poursuivi en Géorgie

Donald Trump reste par ailleurs poursuivi dans l'Etat clé de Géorgie (sud-est) avec 14 autres personnes de faits similaires à ceux de son dossier fédéral d'ingérence électorale en 2020.

Mais la cour d'appel de l'Etat a ordonné en décembre le dessaisissement de la procureure pour cause de relation intime avec un enquêteur qu'elle avait engagé dans cette affaire, ce qui devrait entraîner de nouveaux délais. Sans compter que le président des Etats-Unis est en principe à l'abri des poursuites pendant la durée de son mandat.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Netflix va racheter Warner Bros Discovery pour 83 milliards

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Netflix met ainsi la main sur les séries et films de Warner Bros, allant des classiques comme Casablanca et Citizen Kane aux plus récents comme Harry Potter et Friends (archives). (© KEYSTONE/AP/Richard Drew)

Netflix, le géant du streaming, va racheter le studio de cinéma et de télévision Warner Bros Discovery pour près de 83 milliards de dollars (66,7 milliards de francs) au total, ont annoncé les deux entreprises américaines dans un communiqué commun vendredi.

Cette acquisition permet à Netflix d'acquérir un immense catalogue de films mais aussi le prestigieux service de streaming HBO Max. Il s'agit de la plus grosse opération de consolidation dans le domaine du divertissement, dépassant ainsi le rachat de Fox par Disney, pour 71 milliards de dollars en 2019.

Paramount Skydance et l'opérateur Comcast étaient également en lice pour le rachat de Warner Bros Discovery (WBD), mais Netflix a proposé l'offre la plus élevée.

La plateforme va verser 27,75 dollars par action à WBD, valorisant l'entreprise à 72 milliards de dollars, hors dette.

Selon des médias américains, le conseil d'administration de Warner Bros Discovery souhaitait un chiffre autour de 75 milliards de dollars, hors dette.

En juin, WBD avait annoncé son intention de séparer ses divisions streaming et studios en deux sociétés distinctes cotées en Bourse.

"Cette séparation devrait maintenant être achevée au troisième trimestre 2026, avant la finalisation de cette transaction", indique le communiqué.

"Notre mission a toujours été de divertir", a commenté Ted Sarandos, directeur général de Netflix, cité dans le communiqué.

"En combinant l'incroyable bibliothèque de séries et de films de Warner Bros - des classiques intemporels comme Casablanca et Citizen Kane aux favoris modernes comme Harry Potter et Friends - avec nos titres qui définissent la culture tels que Stranger Things, KPop Demon Hunters et Squid Game, nous serons en mesure de le faire encore mieux", ajoute-t-il.

La bataille du streaming et la décroissance de la télévision traditionnelle entraînent des réorganisations stratégiques majeures chez les grands acteurs américains.

Pour rivaliser avec Netflix et Disney, les concurrents cherchent à s'unir pour se renforcer dans le streaming et améliorer leur rentabilité.

Selon le New York Post, des responsables de la Maison Blanche se seraient récemment inquiétés de la possible acquisition de WBD par Netflix, risquant selon eux de donner à la plateforme vidéo une position dominante sur le marché américain des contenus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

"Ne cédez pas aux sirènes de la division", lance Macron en Chine

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"J'ai vu une volonté du Président Xi de contribuer à la stabilité et à la paix", a assuré Emmanuel Macron. (© KEYSTONE/AP/Adek Berry)

"Ne cédez pas aux sirènes de la division" : le président français Emmanuel Macron a achevé vendredi sa visite d'Etat en Chine sur un message choc à des étudiants, après une séquence plus intimiste avec son homologue Xi Jinping.

Le chef de l'Etat a été accueilli en rockstar à l'université de Chengdu (centre). Des centaines d'étudiants, massés derrière des barrières, l'attendaient aux cris de "Makelong" (Macron en chinois).

Très applaudi à son entrée dans l'amphithéâtre, il s'est "excusé" d'arriver sans cravate, dans la même tenue décontractée qu'auparavant auprès de Xi Jinping, marque d'"un moment amical".

"Ne cédez pas aux sirènes de la division", a-t-il lancé en référence aux fractures de l'ordre international. "S'il y a beaucoup de gens qui vont vous expliquer que l'Europe est vieille, que l'Europe ou les pays les plus riches, ceux qu'on trouve au G7, sont arrogants (...) tout ça sont des récits, des inventions".

Formules choc

Durant une heure d'échange, il a tiré, à coup de formules choc, les conclusions de sa visite d'Etat entamée mercredi soir et durant laquelle il a appelé la Chine à faire pression sur la Russie pour mettre fin à la guerre en Ukraine et à réduire les déséquilibres commerciaux.

"Il faut remettre les cinq membres permanents du Conseil de sécurité autour de la table pour traiter des grands sujets", a-t-il martelé, en invoquant la "tradition diplomatique".

"Venez en France étudier ! Apprendre la langue française, mais (aussi) étudier l'intelligence artificielle, étudier les mathématiques...", a-t-il lancé.

Pour réduire son déficit commercial envers la Chine, l'Europe doit accepter des investissements chinois chez elle dans les batteries de voitures électriques, les éoliennes et d'autres technologies, a-t-il réitéré.

Mais elle devra aussi se protéger dans les secteurs les plus vulnérables, a-t-il pointé, plaidant la "préférence européenne" dans l'automobile pour protéger sa "base de production" face au rouleau compresseur des véhicules électriques chinois.

Pandas géants

Juste auparavant, le directeur du zoo de Beauval (Loir-et-Cher) Rodolphe Delord avait annoncé l'arrivée d'ici début 2027 de nouveaux pandas géants en France, après le retour fin novembre du couple prêté par la Chine depuis 2012.

L'épouse du président, Brigitte Macron, s'est rendue à son côté au Centre de conservation des pandas géants de Chengdu, où les deux plantigrades âgés de 17 ans viennent tout juste de revenir.

Elle y a retrouvé Yuan Meng, le premier des pandas géants nés en France en 2017, dont elle est la marraine. Indifférent à ses visiteurs, il s'est contenté de continuer à manger du bambou sans s'approcher de son hôte de marque.

Le président a terminé sa visite par un échange de balles avec les pongistes français Alexis et Félix Lebrun, présents en Chine pour une coupe du monde.

"Volonté de paix"

Loin du monumental Palais du Peuple de Pékin où ils s'étaient rencontrés jeudi, le président Xi, accompagné de son épouse Peng Liyuan, a joué le guide vendredi matin pour le couple présidentiel français arrivé main dans la main sur le site séculaire du barrage de Dujiangyan (sud-ouest), inscrit au patrimoine mondial, dans un décor verdoyant et montagneux de carte postale.

Xi Jinping a loué "la sagesse" des anciens appliquée aux éléments. "C'est un système d'ingénierie écologique et qui incarne l'harmonie entre l'homme et la nature, et cet esprit d'ingénierie rayonne dans tous les domaines, que ce soit pour la maîtrise de l'eau ou la gouvernance de l'Etat, nous pouvons toujours nous en inspirer", a-t-il dit.

"Impressionnant de voir que la nature a été ainsi maîtrisée par l'homme", s'est extasié M. Macron.

Jeudi à Pékin, le président français s'était livré à un échange autrement plus délicat, pressant son homologue d'oeuvrer à la fin de la guerre en Ukraine et de corriger les déséquilibres commerciaux avec la France et l'Europe.

La Chine n'a jamais condamné l'invasion de l'Ukraine par la Russie, un partenaire primordial, et lui achète massivement du pétrole, alimentant ainsi sa machine de guerre. "J'ai vu une volonté du Président Xi de contribuer à la stabilité et à la paix", a toutefois assuré Emmanuel Macron après ses échanges.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Economie

Unilever: la scission des glaces Magnum effective samedi

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La cotation principale de la division qui compte les marques de crèmes glacées Magnum, Ben & Jerry's et Cornetto, se fera à Amsterdam (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

La scission de la division glaces d'Unilever, géant des produits d'hygiène, cosmétiques et alimentation, sous le nom "The Magnum Ice Cream Company" aura finalement lieu samedi, a annoncé le groupe britannique.

L'admission des actions de la nouvelle entité "à la cotation et à la négociation à Amsterdam, Londres et New York, ainsi que le début des transactions (...), devraient avoir lieu lundi 8 décembre", a précisé Unilever dans un communiqué vendredi.

La paralysie budgétaire ("shutdown") la plus longue de l'histoire aux Etats-Unis (du 1er octobre au 12 novembre), a affecté totalement ou partiellement de nombreux secteurs de l'Etat fédéral, dont les autorités boursières, faute d'accord pendant des semaines entre les républicains de Donald Trump et l'opposition démocrate.

Unilever, qui voulait précédemment boucler la scission mi-novembre, avait ainsi prévenu en octobre que le gendarme boursier américain (SEC) n'était "pas en mesure de déclarer effectif" l'enregistrement des actions de la nouvelle entreprise. Mais le groupe se disait "déterminé à mettre en oeuvre en 2025" la séparation d'une division qui compte aussi les marques Ben & Jerry's et Cornetto, et dont la cotation principale sera à Amsterdam.

"La déclaration d'enregistrement" des actions aux Etats-Unis "est effective depuis jeudi 4 décembre", a précisé Unilever dans son communiqué. Connu pour les savons Dove, les déodorants Axe ou les soupes Knorr, le groupe avait publié fin octobre un chiffre d'affaires en léger recul au troisième trimestre, mais il faisait mieux qu'attendu par le marché.

Sous la pression d'investisseurs, dont le fonds activiste Trian du milliardaire américain Nelson Peltz, pour améliorer les performances, le groupe a dévoilé l'an dernier un plan stratégique pour se focaliser sur 30 marques "motrices". Il avait alors annoncé la scission de sa division glaces et lancé, pour doper les marges, un plan d'économies prévoyant 7500 suppressions d'emplois, soit près de 6% des effectifs.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Allemagne : commandes industrielles en hausse

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Les commandes industrielles allemandes ont été dopées par le secteur de l'armement (archives). (© KEYSTONE/DPA/JULIAN STRATENSCHULTE)

Les commandes industrielles allemandes ont augmenté davantage que prévu en octobre. Elles ont été dopées par le secteur de l'armement pendant que le pays se réarme face à la menace russe, selon des données officielles publiées vendredi.

Les nouvelles commandes ont progressé de 1,5 % sur un mois, du fait d'un bond des importantes commandes passées dans la défense et les équipements de transport, qui comprend avions, navires, trains et véhicules militaires, d'après les chiffres provisoires de l'office fédéral des statistiques, Destatis.

Le ministère de l'Économie a précisé dans un communiqué séparé que cette évolution s'inscrivait "dans le contexte des achats de défense", sans fournir davantage de détails. Les analystes interrogés par FactSet tablaient sur une hausse globale de seulement 0,5 % pour cet indicateur clé de l'activité économique.

La valeur pour septembre a par ailleurs été révisée à la hausse, à 2%, ce qui suggère que la crise de l'activité industrielle "a atteint son point le plus bas", a commenté Jens-Oliver Niklasch, économiste à la banque LBBW. Le pays pâtit d'un affaiblissement prolongé de son industrie, d'une demande en berne sur ses marchés clés et de l'impact des droits de douane américains.

L'économie allemande traverse "sa crise la plus profonde" de l'après-guerre, a même averti mardi le lobby industriel du pays (BDI), reprochant au gouvernement son inaction malgré une quatrième année consécutive de production industrielle en chute. Les députés du Bundestag ont voté en mars un vaste plan de dépenses en matière de défense, fort de 500 milliards d'euros sur douze ans, et un autre pour moderniser les infrastructures vieillissantes, de quoi relancer la première économie européenne à partir de l'an prochain.

Le comité des sages économiques allemand, qui doute de l'efficacité du plan d'investissement de Berlin, a abaissé en novembre sa prévision de croissance allemande pour 2026 à 0,9 %, moins que le gouvernement qui table sur 1,3%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Netflix en négociation pour racheter Warner Bros Discovery

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Le géant du streaming Netflix a proposé l'offre la plus élevée pour acquérir le groupe Warner Bros Discovery (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/CAROLINE BREHMAN)

Le géant du streaming Netflix est entré en "négociations exclusives" pour acquérir Warner Bros Discovery (WBD), ont rapporté vendredi les médias américains. Avec ce rachat, Netflix mettrait la main sur un immense catalogue de films et le service de streaming HBO Max.

Netflix a proposé l'offre la plus élevée pour acquérir le studio de cinéma et de télévision dans une transaction évaluée à 28 dollars par action. Les deux groupes doivent officialiser l'information de façon imminente, assure le Wall Street Journal.

Si Netflix et WBD parviennent à un accord, ce serait la plus grosse opération de consolidation dans le domaine du divertissement depuis le rachat de Fox par Disney, pour 71 milliards de dollars en 2019.

Bataille du streaming

La valorisation boursière de Warner Bros Discovery tourne autour de 60 milliards de dollars selon Bloomberg, qui a révélé l'information. Mais son conseil d'administration souhaiterait un montant autour de 75 milliards de dollars, hors dette.

Paramount Skydance et l'opérateur Comcast étaient également en lice pour le rachat de WBD. La bataille du streaming et la décroissance de la télévision traditionnelle entraînent des réorganisations stratégiques majeures chez les grands acteurs américains.

Pour rivaliser avec Netflix et Disney, les concurrents cherchent à s'unir pour se renforcer dans le streaming et améliorer leur rentabilité.

Maison Blanche inquiète

Selon le New York Post, des responsables de la Maison Blanche se seraient récemment inquiétés de cette possible acquisition de WBD par Netflix. Elle confèrerait à la plateforme vidéo, selon eux, une position dominante sur le marché américain des contenus.

"Le vainqueur va orienter la manière dont les plus gros films d'Hollywood sont distribués et comment les annonceurs s'y adaptent", a commenté dans une note Jeremy Goldman, analyste du cabinet Emarketer.

Lors d'un entretien au podcast "The Town", mis en ligne vendredi dernier, le réalisateur James Cameron ("Avatar" et "Titanic" notamment) s'était dit opposé à cette absorption, au motif que les dirigeants de ce dernier privilégient leur plateforme au détriment des salles de cinéma.

Selon Bloomberg, Netflix aurait promis une indemnité de 5 milliards de dollars en cas d'échec du rachat. Le risque n'est pas mince car la transaction pourrait déplaire aux autorités de la concurrence tant aux États-Unis qu'en Europe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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