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Présidentielle américaine: Harris accepte l'investiture démocrate

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Les sondages donnent à Kamala Harris une légère avance sur son rival républicain Donald Trump dans les intentions de vote au niveau national. (© KEYSTONE/AP/Paul Sancya)

"Au nom de tous les Américains", Kamala Harris a accepté jeudi à Chicago, avec gravité et résolution, l'investiture du parti démocrate pour la présidentielle de novembre. Dans un discours plein d'autorité, parfois enflammé, elle a promis de "tracer un nouveau chemin".

A la fin de son discours, sous la traditionnelle avalanche de ballons aux couleurs des Etats-Unis d'Amérique, Kamala Harris est restée longtemps sur scène à savourer l'exaltation des représentants de son parti, rejointe par son mari Doug Emhoff ainsi que par son colistier Tim Walz et des membres de leurs familles.

"Au nom du peuple, au nom de tous les Américains, peu importe leur parti, leur race, leur genre", au nom de ceux "qui travaillent dur, poursuivent leurs rêves et veillent les uns sur les autres, au nom de tous ceux dont l'histoire ne peut s'écrire que dans la plus grande nation du monde, j'accepte votre nomination pour devenir présidente des Etats-Unis", a lancé la candidate devant une foule transcendée.

Agir contre l'injustice

Elle a dit s'adresser à toutes les "personnes aux différents points de vue politiques qui nous regardent ce soir". Pour le plus grand discours de sa vie, la Californienne avait choisi pour fil rouge le parcours de sa mère, indienne.

"J'ai vu comme le monde la traitait parfois. Mais ma mère n'a jamais perdu son calme. Elle était forte,courageuse", a affirmé la candidate, qui a aussi dit avoir appris d'elle "à ne jamais [se] plaindre de l'injustice, mais à agir contre".

Kamala Harris a également attaqué avec force son adversaire républicain à la présidentielle de novembre. "Nous savons à quoi ressemblerait un second mandat de [l'ancien président américain Donald] Trump. Tout est écrit dans le projet 2025", a-t-elle déclaré en référence à un programme ultraconservateur confectionné par des proches du milliardaire dont l'objectif est, selon elle, de "ramener notre pays des années en arrière".

Soutien à l'Ukraine

"Contrairement à Trump, je ne ferai pas ami-ami avec les dictateurs", a-t-elle encore déclaré, en promettant son soutien à l'Ukraine et à Israël, mais aussi l'"autodétermination" pour les Palestiniens.

La vice-présidente a parlé de réformer un système d'immigration "défaillant", de promouvoir une économie "qui permette à chacun de réussir" et de rétablir une garantie du droit à l'avortement dans tout le pays.

L'essentiel pour elle n'était pas de détailler un programme, mais bien de convaincre les Américains de sa stature présidentielle. "Je serai une présidente qui nous réunit autour de nos plus hautes aspirations. Une présidente qui dirige et écoute", a déclaré Kamala Harris.

Son allocution, même accompagnée de clameurs, a apporté une soudaine gravité à la convention démocrate, qui depuis lundi s'est déroulée dans une atmosphère de fête. Devant Kamala Harris, la grande majorité des représentants et représentantes venus de tous les États américains portaient du blanc.

Légère avance

Cette couleur, associée aux grands combats politiques des femmes, témoigne de leur espoir de voir la vice-présidente de 59 ans devenir la première présidente des États-Unis, en battant Donald Trump le 5 novembre.

Les sondages donnent à Harris une légère avance sur Trump dans les intentions de vote au niveau national. Ce n'est en rien une garantie de victoire, à 74 jours d'un scrutin qui se jouera certainement, comme en 2016 et 2020, dans une poignée d'États-clés.

Vendredi, les lignes pourraient bouger encore. Selon les médias américains, le candidat indépendant Robert F. Kennedy Jr va jeter l'éponge et apporter son soutien au milliardaire républicain.

"Nous ne sommes pas les favoris [...] Voilà comment nous voyons les choses", a dit Dan Kanninen, un responsable de campagne de Kamala Harris, lors d'un événement organisé par l'agence Bloomberg.

Donald Trump a répété jeudi que sa rivale voulait faire basculer les Etats-Unis dans le "communisme".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Nouveau format pour le All-Star Game

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Adam Silver et la NBA modifient le format du All-Star Game (© KEYSTONE/FR171660 AP/NATE BILLINGS)

Le 75e All-Star Game, qui se tiendra en février prochain, adoptera un nouveau format de tournoi à trois équipes.

Deux formations composées de joueurs américains et une équipe mondiale regroupant des talents internationaux se mesureront, a annoncé mardi la NBA.

Le tournoi, composé de quatre matches de 12 minutes, sera organisé le 15 février à l'Intuit Dome, antre des Los Angeles Clippers, qui a ouvert ses portes l'année dernière à Inglewood en Californie.

Deux équipes s'affronteront lors du premier match, la troisième équipe rencontrant ensuite le vainqueur du match d'ouverture, puis le perdant du match d'ouverture. La finale opposera les deux meilleures équipes en fonction de leurs résultats ou de leur différence de points, en cas d'égalité.

Pour ce All-Star Game 2026, la NBA maintiendra une sélection d'au moins 24 joueurs - douze par conférence -, mais le choix des participants ne tiendra plus compte de leur poste. Tous les joueurs seront désormais choisis uniquement sur leur mérite, chaque équipe comptant au moins huit représentants.

Silver pourrait trancher

Cinq joueurs seront désignés comme "titulaires" et sélectionnés parmi les Conférences Est et Ouest. Les fans auront 50% des voix, les joueurs 25% et un panel de journalistes les 25% restants. Sept joueurs par Conférence seront retenus comme "remplaçants" et sélectionnés par les entraîneurs.

Le processus d'affectation des joueurs américains à l'une ou l'autre équipe sera déterminé à une date ultérieure, a précisé la ligue.

Si le processus de vote ne permet pas de sélectionner 16 joueurs américains et huit joueurs internationaux, le commissaire de la NBA, Adam Silver, choisira des joueurs supplémentaires pour rejoindre l'un ou l'autre groupe afin d'atteindre ce minimum.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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LVMH entre au capital de la Manufacture La Joux-Perret

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LVMH annonce une prise de participation au capital de la Manufacture La Joux-Perret. Ici, le directeur général du groupe de luxe français Bernard Arnault. (© KEYSTONE/EPA/IAN LANGSDON)

Le géant du luxe LVMH a annoncé mercredi dans un communiqué une prise de participation "minoritaire" de sa division Montres au capital de la Manufacture La Joux-Perret, sous-traitant horloger chaux-de-fonnier et propriété du japonais Citizen Group.

Cette entrée au capital de la Manufecture La Joux-Perret, qui produit des mouvements mécaniques pour l'industrie horlogère, vise à "ancrer des liens stratégiques avec des partenaires industriels" ainsi qu'à "soutenir les investissements du groupe en Suisse", affirme LVMH dans son communiqué, précisant que le groupe "compte à ce jour 16 manufactures" horlogères dans le pays.

"En parallèle, un accord commercial stratégique a été conclu pour offrir de nouvelles capacités de production et d'innovation à l'ensemble des maisons horlogères du groupe", indique par ailleurs LVMH dans son communiqué, là aussi avec l'objectif affiché de s'ancrer en Suisse.

La division Montres du groupe compte notamment TAG Heuer, Hublot, ou encore Zenith.

Avant cette prise de participation, certaines maisons du groupe LVMH avaient déjà collaboré avec La Joux-Perret. "Depuis 2022, TAG Heuer travaille étroitement avec la manufacture autour du développement d'un mouvement à quartz solaire", indique par exemple le groupe de luxe.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Un pic possible du pétrole "vers 2030", selon l'AIE

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La croissance des énergies renouvelables est tirée par le solaire photovoltaïque (archives). (© KEYSTONE/AP/Andre Penner)

Les énergies renouvelables se déploient au niveau mondial plus vite que les énergies fossiles, malgré les changements de politiques aux Etats-Unis, indique mercredi l'AIE. L'agence voit, dans son scénario médian, la demande de pétrole "se stabiliser vers 2030".

Les renouvelables, tirées par le solaire photovoltaïque, voient leur demande croître "plus rapidement que toute autre source majeure d'énergie, dans tous les scénarios" présentés par l'Agence internationale de l'énergie (AIE) dans son rapport annuel sur les perspectives énergétiques mondiales (WEO 2025).

Dans ce rapport très attendu par les décideurs, publié alors que se tient la COP30 à Belém, l'AIE présente trois scénarios sur le futur de l'énergie dans le monde: l'un basé sur les politiques actuelles des pays, un autre incluant les mesures à adopter si le monde voulait atteindre la neutralité carbone en 2050 et un scenario médian incluant les mesures que les Etats ont déjà annoncées.

Dans ce scénario médian, les Etats-Unis, du fait des changements de politiques annoncés, ont en 2035 35% de capacités renouvelables en moins par rapport aux prévisions du rapport 2024, "mais au niveau mondial les renouvelables poursuivent leur expansion rapide".

La Chine devant

La Chine en reste le premier marché - et premier fabricant - assurant 45 à 60% du déploiement ces dix prochaines années, quels que soient les scénarios envisagés.

Sur le partage des énergies, les chemins en revanche divergent: dans le scénario médian, la demande de charbon atteint un pic et le pétrole se stabilise "aux environs de 2030". En revanche, le gaz continue à croître au cours des années 2030 contrairement aux précédentes prévisions, là encore du fait de la nouvelle politique américaine et également de prix plus bas.

Précédemment, il y a deux ans, l'AIE avait évoqué un pic de la demande de tous les fossiles (pétrole, charbon, gaz) dans la décennie, à rebours des prévisions de l'industrie pétrogazière.

Dans le scénario le plus conservateur présenté mercredi, celui basé sur les politiques actuelles, la demande de charbon commence à se replier avant la fin de cette décennie, mais celle de pétrole et de gaz continue à croître jusqu'en 2050.

"Deux sujets critiques"

Pour cette édition, l'AIE a ressuscité ce scénario, qu'elle avait abandonné en 2020 dans le contexte d'un élan global vers la transition énergétique motivé par des enjeux climatiques et de souveraineté.

Pour Rachel Cleetus, de l'Union of Concerned Scientists, interrogée à Belém, où se tient la conférence de l'ONU sur le climat COP30, il "n'est pas représentatif de la réalité de l'accélération [de la transition] dans le monde. Ses motivations sont politiques".

Filiale de l'OCDE, l'agence est aujourd'hui dans le collimateur de la très propétrole et climatosceptique administration Trump. "Nous réformerons le fonctionnement de l'AIE ou nous nous retirerons", avait averti en juillet le secrétaire américain à l'énergie Chris Wright, à Bloomberg.

L'institution, créée en 1974 pour aider les pays riches à affronter le choc pétrolier, a produit depuis les années 2020 des scénarios décrivant un déclin des énergies fossiles et modélisé le chemin à suivre pour atteindre en 2050 la neutralité carbone nécessaire pour freiner le réchauffement.

"Pas des prévisions"

Pour ce nouveau rapport très scruté, l'AIE précise que les trois voies explorées "ne sont pas des prévisions": "il n'y a pas de scénario unique en matière d'avenir de l'énergie". Ces trois "scénarios illustrent les points-clés de décision à venir, et fournissent un cadre de discussion basé sur des chiffres, sur la façon d'avancer", souligne le directeur de l'agence, Fatih Birol, dans un communiqué.

Mais si la sécurité énergétique est la préoccupation centrale de nombreux gouvernements, "leurs réponses doivent prendre en considération les synergies et compromis pouvant surgir d'autres objectifs - accessibilité, compétitivité, changement climatique", ajoute-t-il.

Le rapport, qui appelle à la coopération et des efforts concertés, aborde de fait bien des enjeux: le boom de la demande d'énergie, et en particulier l'essor de l'électricité, les défis de l'approvisionnement en métaux critiques. Et surtout, sur "deux sujets critiques, le monde est en deçà des objectifs qu'il s'est fixés, insiste-t-il: l'accès universel à l'énergie et le changement climatique", note l'AIE. Quelque 730 millions d'humains vivent sans électricité.

Quant au climat, les trois scénarios entraîneront le monde au-delà de 1,5 degré Celsius de réchauffement annonciateur d'impacts majeurs. Seul le scénario neutralité carbone permettrait, à plus long terme, de revenir sous ce seuil, souligne l'AIE, qui relève que 2024 a été l'année la plus chaude enregistrée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Aides alimentaires américaines: gel de leur versement étendu

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La chambre des représentants doit se prononcer mercredi sur une proposition de loi qui prolonge le budget actuel jusqu'à fin janvier (archives). (© KEYSTONE/AP/Jose Luis Magana)

La cour suprême américaine a prolongé mardi sa décision de ne pas obliger le gouvernement américain à verser immédiatement les allocations d'un programme d'aide alimentaire suspendues en raison de la paralysie budgétaire. Le "shutdown" pourrait être levé mercredi.

Un tribunal avait statué la semaine dernière que le gouvernement devait financer intégralement le programme d'aide alimentaire SNAP pour le mois de novembre. Mais la juge de la cour suprême Ketanji Brown Jackson a rendu vendredi une décision administrative suspendant la procédure et accordant un délai supplémentaire pour examiner la demande du gouvernement.

La prolongation de cette décision mardi permet à l'administration Trump d'éviter de puiser dans des fonds de réserve pour verser plusieurs milliards de dollars aux États afin qu'ils distribuent des bons alimentaires. Quelque 42 millions d'Américains dépendent de ce programme pour faire les courses et se nourrir.

Vote mercredi

Les agences gouvernementales américaines sont à l'arrêt depuis que républicains et démocrates du congrès n'ont pas réussi à s'entendre sur un nouveau budget au-delà du 30 septembre, avec des conséquences pour les programmes d'aide sociale.

Mais la paralysie budgétaire pourrait toucher à sa fin. La chambre américaine des représentants doit se prononcer mercredi, après l'adoption par le Sénat d'une proposition de loi qui prolonge le budget actuel jusqu'à fin janvier.

En cas de vote positif, il ne resterait alors que la signature présidentielle de Donald Trump pour lever le "shutdown".

Lors d'un discours au cimetière national d'Arlington, à l'occasion mardi de la journée des anciens combattants, le président américain Donald Trump s'est réjoui de ces avancées.

"Félicitations à vous et à John et à tout le monde pour une très grande victoire", a déclaré le président américain à l'adresse de Mike Johnson, présent dans l'assistance, et en référence à John Thune, chef de la majorité républicaine au Sénat. "Nous rouvrons notre pays. Il n'aurait jamais dû être fermé", a-t-il ajouté.

Depuis le 1er octobre, le début du "shutdown", plus d'un million de fonctionnaires ne sont pas payés, le versement de certaines aides est fortement perturbé, tout comme le trafic aérien.

En raison de pénuries de contrôleurs aériens, certains choisissant de se faire porter pâle plutôt que de travailler sans salaire, des dizaines de milliers de vols ont été annulés ces derniers jours aux Etats-Unis.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Loi martiale: l'ex-chef des renseignements sud-coréens arrêté

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Cho Tae-yong est accusé notamment de présenter un risque de destruction de preuves. (© KEYSTONE/EPA/YONHAP)

L'ancien chef des renseignements sud-coréens, en poste au moment de la déclaration de la loi martiale en 2024, a été arrêté mercredi, a indiqué un tribunal de Séoul. Il est accusé notamment d'avoir manqué à ses devoirs à la tête des services secrets du pays.

Des procureurs spéciaux avaient émis un mandat d'arrêt contre Cho Tae-yong et, après l'avoir examiné mardi, un tribunal de Séoul l'a accordé en invoquant le "risque de destruction de preuves", indique-t-il dans un communiqué. "L'accusation principale est la négligence dans l'exercice des fonctions", précise-t-il.

Les procureurs reprochent à M. Cho, diplomate de carrière, qui dirigeait les services de renseignement de Corée du Sud au moment de la déclaration de loi martiale par l'ancien président Yoon Suk-yeol en décembre 2024, de n'avoir rien signalé au Parlement alors qu'il avait "compris le caractère illégal" de cette mesure présidentielle. Il est également accusé de fausses déclarations.

Ex-président Yoon inculpé

"La probabilité qu'il ait été impliqué dans l'insurrection a augmenté", avait déclaré la procureure adjointe Park Ji-young devant des journalistes la semaine dernière.

L'arrestation de M. Cho intervient alors que le parquet sud-coréen a inculpé lundi l'ex-président Yoon Suk-yeol d'aide à l'ennemi, l'accusant d'avoir nui aux intérêts militaires de son pays en ordonnant l'envoi de drones en Corée du Nord.

Les deux voisins sont techniquement toujours en guerre depuis leur conflit (1950-1953), qui s'est soldé par un armistice et non par un traité de paix.

En octobre 2024, la Corée du Nord avait affirmé détenir la preuve que le Sud avait fait voler des drones au-dessus de sa capitale, Pyongyang, pour y déverser des brochures de propagande. Séoul n'a pas confirmé. Lundi, Mme Park a expliqué que l'ancien président était accusé d'avoir "favorisé l'ennemi en général" et d'"abus de pouvoir".

Yoon Suk-yeol, actuellement en prison, a été destitué en avril au terme d'une séquence chaotique déclenchée par sa brève imposition de la loi martiale le 3 décembre 2024. Dans son allocution de ce jour-là, il avait notamment invoqué des menaces nord-coréennes pour justifier sa décision choc.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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