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Portés par les élections locales, le Labour exige des législatives

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Le Premier ministre Rishi Sunak a concédé que le scrutin était "évidemment décevant" pour son parti. (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

L'opposition travailliste britannique savoure ses succès dans les premiers résultats d'élections locales qui confirment la mauvaise posture du parti conservateur au pouvoir, à quelques mois des législatives.

Le Premier ministre Rishi Sunak a concédé que le scrutin était "évidemment décevant" pour son parti, tout en se disant "totalement concentré" sur son rôle à la tête du gouvernement.

Au pouvoir depuis 14 ans au Royaume-Uni, les conservateurs apparaissent usés et divisés, peinant à concrétiser certaines promesses faites en amont du Brexit, en particulier en matière de lutte contre l'immigration et de croissance économique, tandis que les Britanniques voient leurs services publics se décomposer.

Fort de gains importants, notamment un nouveau siège de député dans la circonscription de Blackpool-sud au nord-ouest de l'Angleterre, le Labour a appelé vendredi le Premier ministre à convoquer des élections législatives dès à présent, et pas au second semestre comme annoncé par Rishi Sunak.

"Blackpool parle pour tout le pays en disant 'nous en avons assez, après 14 ans d'échec, 14 ans de déclin, nous voulons tourner la page et un nouveau départ avec le Labour'", a lancé le chef des travaillistes Keir Starmer, que les sondages désignent depuis des mois comme le futur Premier ministre.

"Pire" performance

Les électeurs étaient appelés aux urnes jeudi pour une législative partielle à Blackpool, après la démission du député conservateur sortant en raison d'un scandale de lobbying, et pour renouveler une partie des milliers d'élus locaux en Angleterre et au Pays de Galles, ainsi que onze maires.

A Londres, le maire travailliste Sadiq Khan brigue un troisième mandat et est donné favori face à la conservatrice Susan Hall. Le résultat est attendu samedi.

La plupart des sièges soumis au vote avaient été disputés pour la dernière fois en 2021, au sommet de la popularité des conservateurs sous Boris Johnson, alors Premier ministre.

A mesure que les résultats tombent, le recul des Tories s'amplifie. Vendredi dans la soirée, alors que la quasi-totalité des bulletins ont été dépouillés, le Labour a remporté près de 170 sièges, les conservateurs en perdant plus de 430, soit près de la moitié de ceux qu'ils occupaient. Les Libéraux-démocrates et les Verts ont également gagné des sièges.

"Nous allons probablement assister à ce qui est certainement l'une des pires performances des conservateurs, si ce n'est la pire, à des élections locales ces 40 dernières années", a déclaré sur la BBC le spécialiste des études d'opinion John Curtice.

11e défaite

La défaite à Blackpool-sud constitue la onzième élection partielle perdue par les conservateurs depuis les élections de décembre 2019, où ils avaient triomphé, alors menés par Boris Johnson.

Sept de ces défaites sont survenues sous Rishi Sunak, au pouvoir depuis octobre 2022, après avoir succédé à Liz Truss qui avait tenu à peine plus d'un mois à Downing Street.

Les raisons de se réjouir sont peu nombreuses pour les conservateurs, et le Premier ministre a couru vendredi dans le nord-est de l'Angleterre, pour féliciter la réélection du maire conservateur de Tees Valley, Ben Houchen.

Cette victoire est la preuve que "les conservateurs tiennent leur promesse", a-t-il déclaré, vantant notamment la réussite de plusieurs projets économiques, et se disant convaincu que les électeurs "resteront fidèles aussi" aux conservateurs lors des législatives.

Montée nationaliste

Symbole de l'impopularité du Premier ministre: le Labour a remporté le scrutin local dans le North Yorkshire, là où se trouve la circonscription de Rishi Sunak.

Autre signe inquiétant pour le chef du gouvernement, la montée en puissance du parti nationaliste et populiste Reform UK, fondé par le champion du Brexit Nigel Farage, qui menace de priver les conservateurs de précieuses voix lors des législatives.

A Blackpool, les Tories n'ont devancé que de peu Reform UK, qui n'a toutefois remporté que deux sièges à ce stade dans ces élections locales.

Mais le tableau n'est pas parfait pour autant pour le Labour, qui a notamment perdu des voix dans les collectivités à la forte population musulmane, sur fonds de critique de la position du parti sur le conflit entre Israël et le Hamas à Gaza.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Ukraine: échanges téléphoniques avant le coup de fil Trump-Poutine

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Donald Trump a annoncé un échange téléphonique lundi avec Vladimir Poutine, à droite sur le cliché (archives). (© KEYSTONE/AP)

Les dirigeants français, britannique, allemand et italien se sont entretenus dimanche par téléphone avec le président américain Donald Trump, la veille de son échange téléphonique avec Vladimir Poutine pour tenter de mettre fin au conflit en Ukraine, selon Londres.

Les chefs d'Etat et de gouvernement "ont discuté de la situation en Ukraine et du coût catastrophique de la guerre pour les deux parties", a expliqué un porte-parole du bureau de Keir Starmer dans un communiqué.

"Dans la perspective de l'appel du président Trump avec le président [russe Vladimir] Poutine, les dirigeants ont échangé sur la nécessité d'un cessez-le-feu inconditionnel et sur celle pour le président Poutine de prendre au sérieux les pourparlers de paix", a-t-il ajouté.

Après les pourparlers infructueux entre Kiev et Moscou vendredi en Turquie, les chefs d'Etat et de gouvernement "ont également discuté du recours à des sanctions si la Russie ne s'engage pas sérieusement dans un cessez-le-feu et des pourparlers de paix", selon Downing Street.

Trêve de 30 jours

"Au président Poutine de prouver demain qu'il veut vraiment la paix et d'accepter le cessez-le-feu inconditionnel de 30 jours proposé par le président Trump, soutenu par l'Ukraine et l'Europe", a écrit sur le réseau social X le président français, Emmanuel Macron.

"Européens et les Américains sont déterminés à oeuvrer ensemble, de manière ciblée, pour que cette terrible guerre cesse rapidement", a déclaré dimanche le chancelier allemand, Friedrich Merz, après la messe inaugurale du pape Léon XIV.

"Nous avons fait quelques petits pas en avant ces derniers jours [...] les parties au conflit se parlent", a-t-il poursuivi, deux jours après ces premiers pourparlers depuis le printemps 2022 qui n'ont pas abouti à une trêve.

Les dirigeants français, britannique et allemand s'étaient déjà entretenus vendredi avec Donald Trump, ainsi qu'avec le premier ministre polonais Donald Tusk.

En parallèle, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a échangé avec le vice-président américain JD Vance pendant "environ une demi-heure" dimanche à Rome, après une rencontre avec le pape, a annoncé un haut responsable ukrainien à l'AFP.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'ex-président Biden souffre d'une forme "agressive" de cancer

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Joe Biden a été diagnostiqué d'une forme "agressive" d'un cancer de la prostate (archives). (© KEYSTONE/AP/Nam Y. Huh)

L'ancien président américain Joe Biden a été diagnostiqué d'une forme "agressive" d'un cancer de la prostate, ont annoncé dimanche ses services. Le démocrate de 82 ans présente des "métastases osseuses".

"Bien que cela représente une forme plus agressive de la maladie, le cancer semble être hormonodépendant, ce qui permet une gestion effective" de la maladie, déclare le bureau de Joe Biden dans un communiqué transmis à l'AFP.

Joe Biden a quitté la Maison-Blanche en janvier après avoir renoncé à l'été 2024 à se présenter à sa réélection sur fond d'inquiétudes quant à son état de santé. Un livre doit d'ailleurs paraître mardi, qui raconte par le menu son lent déclin physique et cognitif au fil de son mandat.

L'ancien locataire de la Maison-Blanche a été diagnostiqué vendredi. Selon le communiqué, son cancer est de niveau 9 sur le score de Gleason, qui évalue les niveaux d'agressivité de cancers de la prostate sur une échelle allant jusqu'à 10.

Options de traitement

Le cancer de la prostate est le plus courant chez les hommes et représente 15% de l'ensemble des cancers masculins. La prostate est une glande masculine dont la fonction principale est de produire un liquide qui entre dans la composition du sperme.

"Le cancer de la prostate est une tumeur maligne qui évolue généralement lentement, à partir de cellules de la glande prostatique devenues anormales", selon l'association française Fondation pour la recherche sur le cancer.

Les cancers hormonodépendants de la prostate, comme celui qui touche Joe Biden, ont quant à eux besoin d'androgène - une hormone masculine - pour se propager et cessent de croître lorsque celle-ci est absente, explique l'institut national du cancer aux Etats-Unis. "Le président et sa famille évaluent les options de traitement avec ses médecins", précise le communiqué.

Joe Biden avait été opéré en 2023 d'une "petite" lésion sur la poitrine, qui s'était révélée cancéreuse après examen. Lors de son mandat, il avait lancé une grande initiative de recherche et de financement "pour guérir les cancers une bonne fois pour toutes" avec pour objectif de réduire la mortalité liée à cette maladie de 50% en 25 ans.

La question est personnelle pour le démocrate: son fils aîné, Beau Biden, était décédé en 2015 d'un cancer du cerveau à 46 ans.

Enquête

Le débat sur le déclin progressif du démocrate lors de son mandat (2021-2025) a été remis en lumière samedi avec la publication par le média Axios d'une bande sonore datant de 2023 et dans laquelle le président d'alors perd le fil de grandes dates de sa vie.

Le livre-enquête des journalistes Jake Tapper et Alex Thompson, devant paraître mardi, raconte en outre comment la Maison-Blanche a caché au monde les faiblesses grandissantes d'un président qui s'est longtemps accroché à sa tentative de réélection.

Joe Biden a récemment nié avoir subi un déclin cognitif à la fin de son mandat. "Rien ne permet d'affirmer cela", a-t-il déclaré au début mai à ABC. "Après m'être retiré de la course à la présidentielle, j'ai encore été président durant six mois et j'ai fait du bon boulot. Mais ce qui a effrayé tout le monde ça a été ce débat" contre son rival Donald Trump.

Sa santé était une question politique depuis longtemps et l'actuel président américain Donald Trump avait pris l'habitude de le surnommer "Joe l'endormi".

"Je connais des gens qui ont 89, 90, 92, 93 ans, et qui vont parfaitement bien. Mais Joe n'était pas l'un d'eux et il fait beaucoup de dissimulation", a attaqué le milliardaire républicain de 78 ans vendredi, dans son avion de retour du Moyen-Orient. "Tout le monde se retenait, y compris la presse".

M. Trump s'est cependant dit "attristé" par l'annonce du cancer de Joe Biden dimanche sur son réseau social Truth Social.

Joe Biden avait déserté la scène publique et se tenait éloigné de la presse lors de ses dernières semaines au pouvoir, y compris lors d'un voyage en Angola en décembre durant lequel il avait semblé s'endormir en public.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Pologne: candidat pro-européen en tête de la présidentielle

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Alerte Info (© )

Le candidat pro-européen Rafal Trzaskowski est arrivé dimanche légèrement en tête du premier tour de l'élection présidentielle en Pologne, selon un sondage à la sortie des bureaux de vote. Il devrait affronter au second tour le candidat nationaliste Karol Nawrocki.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / blg / afp

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Portugal: victoire de la coalition sortante de droite

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Le camp du premier ministre sortant Luis Montenegro a obtenu près de dix points de plus que les socialistes. (© KEYSTONE/AP/Armando Franca)

La coalition de droite au pouvoir depuis un an au Portugal a remporté les élections législatives anticipées de dimanche, selon des résultats quasi complets. Mais, comme il y a un an, elle n'obtient pas une majorité suffisante pour assurer la stabilité du pays.

Sans compter les circonscriptions de l'étranger, dont les résultats ne seront connus que dans les prochains jours, le camp du premier ministre sortant Luis Montenegro, l'Alliance démocratique (AD), a obtenu 32,7% des suffrages, contre 23,4% pour le parti socialiste.

Ce dernier est désormais talonné par la formation d'extrême droite Chega ("Assez"), qui, avec 22,6% des voix, continue de progresser à chaque scrutin et atteint pour la première fois la barre de 20%.

Sans les quatre mandats des circonscriptions de l'étranger, la coalition sortante remporte ainsi 89 sièges sur les 230 du Parlement, bien en dessous du seuil de 116 élus synonyme de majorité absolue.

M. Montenegro, un avocat de 52 ans qui a toujours refusé de gouverner avec le soutien de Chega, pourrait tout de même essayer de former une majorité plus large en négociant le ralliement de la formation Initiative libérale (IL), arrivée en quatrième position avec 5,5% des voix et neuf élus.

"Cordon sanitaire"

En nombre de sièges, socialistes et extrême droite se retrouvent pour l'instant à égalité, avec 58 députés chacun.

Contraint de démissionner en mars sur fond de soupçons de conflit d'intérêts, le chef du gouvernement a remporté le pari de s'en remettre au verdict des urnes pour assurer sa survie politique, mais ses gains sont insuffisants pour modifier de façon décisive le rapport de forces à l'assemblée.

M. Montenegro risque donc de se retrouver à nouveau pris en tenaille entre le PS de Pedro Nuno Santos, un économiste de 48 ans, et l'extrême droite emmenée par André Ventura, un ex-séminariste et juriste de 42 ans, qui s'est fait connaître comme truculent commentateur de football.

"Un hypothétique accord post-électoral entre l'AD et l'IL semble la solution la plus viable, avec un gouvernement minoritaire et une opposition affaiblie par l'hécatombe qu'a subie le PS", a réagi auprès de l'AFP la politologue Paula Espirito Santo, de l'institut supérieur des sciences sociales et politiques de l'université de Lisbonne (ISCSP).

Selon sa collègue Marina Costa Lobo, directrice de l'institut des sciences sociales de l'université de Lisbonne (ICS), "Chega est le grand vainqueur de la soirée". "En fonction de ces résultats, ce n'est pas clair s'il y aura une capacité à gouverner accrue si le cordon sanitaire est maintenu entre l'AD et Chega", a-t-elle ajouté.

"Besoin d'immigrés"

En un an, l'exécutif de M. Montenegro a pris plusieurs mesures en faveur du pouvoir d'achat, en augmentant les retraites et le salaire minimal ou en acceptant les revendications de plusieurs catégories de fonctionnaires, dont les enseignants, les médecins ou les policiers.

Il a par ailleurs durci la politique migratoire, qui était une des plus souples d'Europe sous le précédent gouvernement socialiste d'António Costa. Alors que le nombre d'étrangers vivant au Portugal a quadruplé entre 2017 et 2024, atteignant environ 15% de la population, sur 10 millions d'habitants au total, l'immigration a fait irruption dans le débat politique.

"Le pays a besoin d'immigrés, mais il n'est pas capable d'accueillir tous ceux qui arrivent", a estimé Tiago Manso, un économiste de 33 ans originaire du Brésil, qui a voté pour la première fois au Portugal.

Depuis sa fondation en 2019, Chega a connu une croissance fulgurante, obtenant en mars dernier 18% des voix pour passer de 12 à 50 députés.

Surfant sur les déboires du premier ministre et l'afflux de travailleurs migrants d'Asie du Sud, son président André Ventura a martelé la rhétorique habituelle des partis populistes contre la corruption des élites politiques et les immigrés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Présidentielle en Roumanie: le candidat pro-européen en tête

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Nicusor Dan est crédité de plus de 54% des suffrages, contre quelque 45% pour son adversaire. (© KEYSTONE/AP/Alex Nicodim)

Le maire pro-européen de Bucarest Nicusor Dan ressort en tête du second tour de l'élection présidentielle dimanche en Roumanie, selon deux sondages réalisés à la sortie des urnes. Il est crédité de plus de 54% des suffrages.

Le scrutin a été marqué par une forte participation dans un climat tendu. A la clôture des bureaux de vote à 21h00 (20h00 en Suisse), le candidat centriste est crédité de plus de 54% des suffrages, contre quelque 45% pour le chef du parti nationaliste AUR qui a cependant revendiqué la victoire, invoquant des "fraudes".

La publication de ces chiffres a été accueillie dans la confusion, les deux candidats revendiquant la victoire. Au quartier général de Nicusor Dan, installé dans un parc de Bucarest, le quinquagénaire a salué tout sourire "la victoire d'une communauté de Roumains désireux d'un profond changement".

"Savourons cette soirée et à partir de demain, reconstruisons la Roumanie", a-t-il ajouté devant ses partisans chantant "Europe" et "Unité".

Au même moment, son rival, s'exprimant devant le Parlement, s'est proclamé "le nouveau président de la Roumanie", comptant sur les votes de l'importante diaspora pour gagner et dénonçant des "fraudes".

M. Simion, un souverainiste fervent admirateur de Donald Trump, avait largement dominé le premier tour le 4 mai avec près de 41% des voix, le double de son adversaire.

Mais de nombreux Roumains se sont mobilisés entretemps pour renverser la donne d'un scrutin présenté comme crucial pour l'avenir européen de ce pays voisin de l'Ukraine, cinq mois après la rarissime annulation d'un scrutin entaché de soupçons d'ingérence russe.

Le taux de participation s'est élevé à près de 65%, contre seulement 53% au premier tour.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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