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International

Poutine promet une Russie qui ne se laissera pas "intimider"

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La Russie ne se laissera pas "intimider" ni "écraser", a déclaré Poutine à l'issue des élections. (© KEYSTONE/AP/Alexander Zemlianichenko)

Vladimir Poutine, réélu pour six années supplémentaires au Kremlin selon les résultats définitifs d'une présidentielle sans opposition, a dressé le portrait d'une Russie "consolidée" par sa victoire. Le pays ne se laissera pas "intimider" par ses adversaires, dit-il.

Le maître du Kremlin, au pouvoir depuis près d'un quart de siècle, a récolté 87,28% des voix sur l'ensemble des suffrages dépouillés en Russie, soit 10 points de plus qu'en 2018. Il s'agit de son meilleur résultat, à l'issue d'un scrutin d'où l'opposition a été écartée.

S'adressant aux Russes en fin de soirée, M. Poutine a remercié ceux qui sont allés voter et qui ont permis de créer les conditions d'une "consolidation politique interne", deux ans après le début de l'assaut contre l'Ukraine et de l'adoption de sanctions sans précédent par les Occidentaux.

"Je tiens à vous remercier tous, ainsi que tous les citoyens du pays, pour votre soutien et votre confiance", a-t-il lancé devant son équipe de campagne, avant de promettre que la Russie tiendra tête à tous ses adversaires.

"Peu importe qui veut nous intimider ou à quel point, peu importe qui veut nous écraser ou à quel point, notre volonté ou notre conscience. Personne n'a jamais réussi à faire quelque chose de semblable dans l'histoire. Cela n'a pas fonctionné aujourd'hui et ne fonctionnera pas à l'avenir", a lancé le président, âgé de 71 ans.

Ce scrutin de trois jours, de vendredi à dimanche, a été marqué par des bombardements ukrainiens meurtriers et des incursions de combattants armés se disant être des Russes pro-Ukraine dans des régions russes frontalières, ainsi que par des actions de protestation dans les bureaux de vote.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a estimé que M. Poutine était un homme "ivre de pouvoir" voulant "régner éternellement" et le chef de la diplomatie britannique David Cameron a déploré l'absence d'élections "libres et équitables" en Russie. Les Etats-Unis ont critiqué la tenue du scrutin dans les territoires ukrainiens occupés par Moscou. Les dirigeants du Venezuela, du Nicaragua, de Cuba et de Bolivie ont de leur côté félicité M. Poutine pour sa réélection.

"J'ai écrit Navalny"

Vladimir Poutine, qui pourra se représenter après ce nouveau mandat pour se maintenir potentiellement au pouvoir jusqu'en 2036, a lui salué dans son discours les soldats combattant en Ukraine, qui "risquent leur vie" pour "protéger les territoires historiques de la Russie". Il a estimé que les forces russes, à l'offensive depuis la prise d'Avdiïvka mi-février face à une armée ukrainienne en manque d'hommes et de munitions, avaient "entièrement l'initiative" sur le front.

En Russie, les autorités n'ont pas laissé de place aux contradicteurs du pouvoir: les trois autres candidats sélectionnés étaient tous dans la ligne du Kremlin, qu'il s'agisse de l'Ukraine ou de la répression qui a culminé avec la mort d'Alexeï Navalny dans une prison de l'Arctique en février.

Vladimir Poutine a assuré lundi que le décès de son principal détracteur était un "événement triste" et qu'il avait été favorable à l'idée de l'échanger avec les Occidentaux. "Il n'y avait qu'une condition: que nous l'échangions pour qu'il ne revienne pas", a-t-il lancé.

Pour cette présidentielle, la veuve du détracteur numéro un de Vladimir Poutine, Ioulia Navalnaïa, avait appelé ses partisans à se montrer en nombre en allant tous voter au même moment, à midi dimanche, contre le maître du Kremlin.

Elle-même a voté après plusieurs heures d'attente dans une foule immense à l'ambassade de Russie à Berlin. "J'ai écrit (sur le bulletin de vote) le nom 'Navalny' parce qu'il n'est pas possible (...) qu'un mois avant les élections, le principal opposant à Poutine, déjà emprisonné, soit tué", a-t-elle déclaré à la presse après avoir voté.

Frappes et incursions

Devant de nombreuses autres ambassades russes, des foules importantes sont allées voter à midi à travers le monde, des dizaines de milliers de Russes s'étant exilés depuis le début de l'assaut contre l'Ukraine à cause de la répression et de la peur d'être mobilisés dans l'armée.

L'équipe d'Alexeï Navalny a déclaré que le score obtenu par Vladimir Poutine à la présidentielle russe n'avait "pas de lien avec la réalité". Par endroits à Moscou, comme à Saint-Pétersbourg, des queues importantes se sont formées à l'heure dite. Mais devant d'autres bureaux de vote, l'affluence ne semblait pas particulièrement élevée.

Dans le quartier moscovite de Marino, devant le bureau où Alexeï Navalny votait naguère, quelques dizaines de personnes ont répondu à l'appel. "J'ai pu rencontrer quelques personnes, leur parler, et j'ai senti qu'ils pensaient la même chose que moi. Je ne suis pas seule", explique Olga, 52 ans, avant de partir avec son fils se recueillir sur la tombe de l'opposant, inhumé dans le quartier.

Dans le cimetière, des dizaines de personnes ont défilé, déposant des fleurs fraîches sur la sépulture ainsi que des bulletins sur lesquels avait été ajouté le nom de Navalny. Dans l'ensemble, la mobilisation de l'opposition s'est déroulée dans le calme mais l'ONG OVD-Info, spécialisée dans le suivi de la répression, a fait état d'au moins 85 interpellations en Russie pour diverses formes d'actions de protestation électorales.

Vladimir Poutine a de son côté assuré que les actions de l'opposition n'avaient eu "aucun effet" sur le scrutin, tout en menaçant de poursuites pénales ceux qui ont gâché leur bulletin de vote. Les hostilités en Ukraine se sont aussi invitées dans le scrutin.

La semaine électorale a été marquée par des frappes aériennes meurtrières et des tentatives d'incursion terrestre à partir de l'Ukraine sur le territoire russe, répliques aux bombardements et assauts quotidiens de la Russie contre sa voisine depuis plus de deux ans.

Dimanche matin, une adolescente de 16 ans a été tuée dans une attaque aérienne sur la ville de Belgorod, proche de la frontière et très souvent prise pour cible. Dans l'après-midi, une autre personne est morte et 19 ont été blessées dans cette même région.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Saab: la croissance des ventes 2024 meilleure qu'attendu

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Sur le seul quatrième trimestre, Saab indique que le bénéfice d'exploitation est attendu à 2 milliards de couronnes, contre 1,4 milliard un an plus tôt. (© KEYSTONE/GAETAN BALLY)

Le groupe suédois d'armement et d'aéronautique Saab a enregistré une croissance plus forte que prévu de son chiffre d'affaires grâce à la réalisation meilleure qu'attendu de ses projets en fin d'année, a-t-il annoncé vendredi.

Le chiffre d'affaires a atteint l'an dernier 63,8 milliards de couronnes suédoises (5,2 milliards de francs), une croissance organique de 23,4% meilleure que prévu précédemment (haut de la fourchette de +15% à +20%), a-t-il précisé dans un communiqué.

Cette hausse résulte "d'une évolution des ventes plus importante que prévu en raison de l'exécution exceptionnelle de projets au quatrième trimestre", précise le groupe.

Cette annonce a fait brièvement bondir le titre d'environ 3%, avant de retomber. Il perdait 0,90% à 233,85 couronnes à 12H50 locales (11H50 GMT) tandis que l'indice OMX 30 de la Bourse de Stockholm gagnait 1,60%.

Sur le seul quatrième trimestre, Saab indique que le bénéfice d'exploitation est attendu à 2 milliards de couronnes, contre 1,4 milliard un an plus tôt.

Saab est porté depuis plusieurs trimestres par le réarmement provoqué par la guerre en Ukraine et l'adhésion de la Suède à l'Otan.

Ces estimations sont publiées en amont des résultats annuels qui seront rendus publics le 7 février.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Provocations de Musk: l'UE annonce approfondir son enquête contre X

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La Commiassion européenne approfondit son enquête contre X après les nouvelles provocations d'Elon Musk, notamment son interview diffudsé sur X avec la co-présidente du parti Alternative pour l'Allemagne (AfD) et candidate principale aux élections fédérales, Alice Weidel, à Essen. (© KEYSTONE/EPA/CHRISTOPHER NEUNDORF)

La Commission européenne a annoncé vendredi de nouvelles mesures techniques dans l'enquête contre le réseau social X. Celui-ci est soupçonné de répandre de fausses informations et de manipuler le débat public en Europe, après de nouvelles provocations d'Elon Musk.

"Aujourd'hui (vendredi), nous prenons de nouvelles mesures pour faire la lumière sur la conformité des systèmes de recommandation de X" avec le règlement sur les services numériques (DSA), a annoncé la commissaire européenne à la Souveraineté technologique, Henna Virkkunen.

Bruxelles est sous la pression d'eurodéputés et d'Etats membres pour agir fermement, alors que le patron de X est soupçonné de manipuler ses algorithmes pour soutenir l'extrême droite en Europe.

A l'approche des élections de fin février en Allemagne, Elon Musk a affiché régulièrement son soutien à l'AfD, parti d'extrême droite d'outre-Rhin. Mais les nouvelles mesures européennes sont "indépendantes" de ses prises de position qui relèvent de la liberté d'expression, selon l'UE.

La Commission a demandé vendredi au réseau social américain de fournir avant le 15 février "une documentation interne sur ses systèmes de recommandation et sur toute modification récente apportée à ceux-ci".

De plus, elle a annoncé une "ordonnance de conservation" qui contraint la plateforme à "préserver les documents internes et les informations concernant les changements futurs dans la conception et le fonctionnement de ses algorithmes de recommandation, pour la période allant du 17 janvier 2025 au 31 décembre 2025", sauf si l'enquête en cours de la Commission est conclue avant cette date. Cette enquête a été ouverte en décembre 2023.

Enfin, la Commission a émis une "demande d'accès à certaines API commerciales de X", des interfaces techniques permettant un accès direct aux contenus pour vérifier la modération de contenu et la viralité des comptes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Dans les rues de Pékin, la crise économique inquiète

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Le faible niveau de consommation intérieure, pourtant un moteur de la consommation pendant des années, est devenu une préoccupation majeure des autorités. (© KEYSTONE/EPA/ALEX PLAVEVSKI)

Des consommateurs frileux, des commerces désertés et un sentiment général que l'économie ne repart pas: dans les rues de Pékin, la population reste pessimiste alors que le pays a annoncé vendredi l'une des plus faibles croissances des dernières décennies.

La Chine a officiellement enregistré en 2024 une croissance de 5% de son Produit intérieur brut (PIB), le rythme le plus faible depuis trois décennies hors période de pandémie, selon des chiffres gouvernementaux.

Ce chiffre est conforme à l'objectif très politique "d'environ 5%" répété par les dirigeants chinois, mais plusieurs analystes invitent à le considérer avec prudence au vu des difficultés structurelles de la deuxième économie mondiale.

Les autorités ont d'ailleurs reconnu que la conjoncture restait hérissée d'"obstacles et de défis", même si les commentaires officiels ont surtout souligné le "succès" de ces résultats et le "redressement remarquable" de l'économie nationale.

Loin de ce ton triomphaliste, dans les rues glaciales de Pékin, l'optimiste n'est pas au rendez-vous. "L'économie a clairement décliné", affirme à l'AFP Yang Aihua, une vendeuse de thé de 35 ans originaire de la province centrale du Hubei.

"Il y a une peur de consommer et de dépenser, parce qu'il n'y a pas d'argent", ajoute-t-elle.

La commerçante explique que la fréquentation de sa boutique a nettement baissé, et que les clients qui venaient encore dépensaient moins: "Pour nous les commerçants, il est évident qu'il y a beaucoup moins de clients (...), le niveau de consommation n'a rien à voir avec avant".

Plus "d'achats superflus"

Pour Guo Jian, employé du secteur du pétrole et de la pétrochimie, la confiance des consommateurs a clairement décliné après le rebond ayant suivi la fin des restrictions liées à la pandémie de Covid-19.

"Les niveaux de consommation sont plus bas qu'avant", note ce quinquagénaire originaire de la province du Shaanxi (nord). Les gens limitent "leurs gros achats ou les achats superflus", observe-t-il.

Le faible niveau de consommation intérieure, pourtant un moteur de la consommation pendant des années, est devenu une préoccupation majeure des autorités.

Les ventes de détail se sont nettement essoufflées, progressant de 3,5% seulement l'an dernier contre une augmentation de plus de 7% en 2023, les ménages inquiets préférant reporter leurs achats, d'autant que le marché du travail s'assombrit.

Pékin a multiplié depuis l'an dernier les initiatives pour stimuler les dépenses, à l'image de l'élargissement la semaine dernière d'un programme de subventions à l'achat de produits ménagers - allant de purificateurs d'eau à des voitures électriques.

Mais cela n'empêche pas la commerçante Yang Aihua de rester prudente sur ses achats. "J'ai peur de dépenser sans réfléchir", dit-elle.

"Avant, j'aurais peut-être acheté des sacs à main. Mais aujourd'hui, je sens clairement que je gagne moins, donc je ne peux pas dépenser autant qu'avant", explique-t-elle.

A quelques pas, Li Chunyu, une agente de nettoyage, juge que cette baisse du pouvoir d'achat la concerne moins: "Nous sommes des travailleurs, nous gagnons le salaire de base, le plus bas", donc "nous ne pensons pas tellement à consommer", rappelle-t-elle.

Perspectives moroses

Li Chunyu, qui raconte à l'AFP être arrivée à Pékin il y a dix ans, reconnaît que le travail a ralenti durant la pandémie.

Mais elle juge que la vibrante capitale chinoise renferme toujours plus d'opportunités que sa ville natale, située dans la province voisine du Hebei: "Si c'était si difficile, ou alors si je n'en pouvais plus, je ne serais pas restée si longtemps, n'est-ce pas?".

Le rythme de progression de l'économie chinoise a de quoi faire pâlir la plupart des pays riches, qui stagnent autour de +1% de croissance annuel.

Mais il reste loin des taux de croissance à deux chiffres des années 2000 qui ont propulsé le géant asiatique à la deuxième place des économies mondiales.

Si les autorités ont assuré mercredi que l'économie allait reprendre son élan en 2025, les analystes s'accordent pourtant sur un nouveau ralentissement à venir.

Signe d'une consommation atone faisant toujours pression sur les prix, la Chine a de nouveau frôlé la déflation en décembre.

Pour Yang Aihua, la vendeuse de thé, le moral du pays reste morose: "Le ressenti de la plupart des gens, c'est qu'ils n'ont pas d'argent".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

L'ONU met en garde contre "un tour encore plus dangereux" au Soudan

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Le Haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk est très inquiet de l'augmentation des violences ethniques au Soudan (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le haut commissaire de l'ONU aux droits de l'homme Volker Türk met en garde sur le "tour encore plus dangereux" du conflit au Soudan pour les civils. Des dizaines de personnes ont été récemment tuées dans des attaques ethniques dans le sud-est du pays.

Une bataille pour le contrôle de la capitale Khartoum semble imminente. "Des attaques directes et motivées par des considérations ethniques deviennent de plus en plus habituelles", a dit vendredi à Genève l'Autrichien.

Il rappelle que des preuves de crimes de guerre et d'autres crimes d'atrocités ont déjà été identifiées en près de deux ans de conflit. Les violences entre l'armée soudanaise et les paramilitaires des Forces de soutien rapide (FSR) ont fait des dizaines de milliers de victimes.

Au moins 21 personnes ont été tuées depuis une semaine, selon les indications du Haut-Commissariat. Mais le nombre de victimes est probablement plus important, dit-il.

M. Türk fait remarquer que les autorités ont garanti que des investigations seraient menées et que les responsables seraient poursuivis. Un ancien responsable des FSR qui est désormais dans l'armée aurait perpétré ces attaques.

Attaque de drone sur un marché

Le haut commissaire demande de "mettre un terme" aux attaques de représailles, d'une "brutalité choquante", contre des communautés entières pour des raisons ethniques. Son bureau a reçu trois vidéos qui documentent des scènes de violence, dont des exécutions illégales et sommaires, perpétrées par des hommes en uniforme de l'armée soudanaise.

L'ONU reste aussi très inquiète pour les civils dans le Nord-Darfour. Les FSR et ses milices arabes alliées ciblent des groupes africains. Et une attaque par drone sur un marché, attribuée à l'armée, a tué lundi 120 civils et a blessé plus de 150 autres personnes dans une zone contrôlée par les paramilitaires.

Le haut commissaire appelle à nouveau les deux parties à mettre un terme aux combats. Il demande aussi d'honorer les droits humains et le droit international humanitaire (DIH) et met en garde contre l'augmentation des membres de milices. Une famine est observée dans plusieurs régions. Plus de la moitié de la population soudanaise dépend de l'assistance humanitaire, selon l'ONU.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'UE va fournir une aide de 235 millions d'euros à la Syrie

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Cette aide financière est destinée à la Syrie, en pleine transition depuis le départ de Bachar el-Assad, et à ses pays voisins. (© KEYSTONE/AP/Mosa'ab Elshamy)

L'Union Européenne va fournir une aide de 235 millions d'euros à la Syrie et aux pays voisins. C'est ce qu'a annoncé la commissaire européenne chargée de l'aide humanitaire d'urgence, Hadja Lahbib, depuis Damas vendredi.

"Je viens ici pour annoncer un nouveau paquet d'aide humanitaire de 235 millions d'euros en Syrie et dans les pays voisins", a déclaré la responsable européenne à des journalistes à l'issue de sa rencontre avec le nouveau dirigeant syrien, Ahmad al-Chareh.

Il s'agit de la première visite d'un haut responsable de l'UE en Syrie depuis la chute du président Bachar al-Assad le 8 décembre.

"Notre financement contribuera aux besoins de base tels que le logement, la nourriture, l'eau potable, l'assainissement, les soins de santé, l'éducation et les situations d'urgence", a expliqué la responsable.

La question brûlante de la levée des sanctions internationales à l'encontre de la Syrie devait figurer au centre de ses entretiens.

Les ministres des Affaires étrangères de l'UE doivent examiner de possibles assouplissements, auxquels la France et l'Allemagne sont favorables, lors d'une réunion à Bruxelles le 27 janvier.

"Au final, nous aurons besoin d'unanimité pour lever les sanctions", a souligné Hadja Lahbib.

Le haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Volker Türk, avait demandé mercredi un assouplissement "urgent" des sanctions internationales, lors d'une visite à Damas.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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