Rejoignez-nous

International

Scholz promet de l'aide, pourparlers avec Moscou en toile de fond

Publié

,

le

Le chancelier allemand Olaf Scholz (à gauche), ici aux côtés du président ukrainien Volodymyr Zelensky, ne s'était pas rendu en Ukraine depuis plus de deux ans. (© KEYSTONE/AP/Evgeniy Maloletka)

Le chancelier Olaf Scholz effectue lundi une visite surprise à Kiev. Il y a réaffirmé son soutien et offert une nouvelle aide à l'Ukraine, qui voit avec méfiance sa reprise de contact avec Vladimir Poutine et son idée de pousser les belligérants à la négociation.

Ce déplacement inattendu d'une journée survient à un moment où les forces ukrainiennes reculent sur le front et alors que l'arrivée en janvier de Donald Trump à la Maison Blanche fait craindre un arrêt de l'aide américaine à Kiev.

Il intervient aussi un peu plus de deux semaines après un entretien téléphonique entre le chancelier et le président russe - le premier depuis décembre 2022 -, fustigé par l'Ukrainien Volodymyr Zelensky. MM. Scholz et Zelensky doivent se voir et s'exprimer devant la presse lundi après-midi.

650 millons d'euros d'aide

Sa visite vise à "exprimer" sa "solidarité avec l'Ukraine", selon la chancellerie. Dans la nuit précédant son arrivée, la Russie a lancé une nouvelle attaque aérienne d'ampleur contre l'Ukraine, usant d'une centaine de drones et faisant un mort et trois blessés dans la ville de Ternopil (ouest).

Olaf Scholz a annoncé à son arrivée lundi à Kiev une aide militaire supplémentaire de 650 millions d'euros, qui sera livrée dès le mois de décembre. L'Ukraine, en manque d'hommes et d'armements, a cruellement besoin de soutien, l'armée russe accélérant ses avancées, en particulier dans l'Est.

Depuis l'invasion russe, l'Allemagne est le deuxième fournisseur d'aide militaire à Kiev, après les Etats-Unis. Elle compte "rester le principal soutien de l'Ukraine en Europe", selon le dirigeant allemand.

"Survie" de l'Ukraine

Mais malgré des demandes répétées de Kiev, le chancelier a inlassablement refusé de fournir à Kiev des missiles à plus longue portée Taurus afin d'éviter, dit-il, une escalade avec Moscou.

Une position qui ne devrait pas changer, maintenant que Vladimir Poutine menace de frapper les pays occidentaux autorisant l'usage de tels missiles, soit les Etats-Unis et le Royaume-Uni.

Autre point de dissension Kiev-Berlin, l'Otan. Alors que le président ukrainien a encore réclamé ce week-end une invitation à intégrer l'Alliance atlantique "nécessaire à la survie" de l'Ukraine, l'Allemagne fait partie des alliés qui jugent cette démarche prématurée.

Volodymyr Zelensky a assuré dimanche que son pays avait besoin de plus d'armes et des garanties de sécurité de l'Otan avant d'éventuelles négociations avec la Russie.

"Satisfaction" du Kremlin

Le Kremlin a lui dit n'avoir aucune "attentes" particulières concernant la visite de Scholz à Kiev, mais a, à l'inverse, salué une fois encore la reprise du dialogue entre le chancelier et M. Poutine mi-novembre, à l'initiative de Berlin.

"Je ne dirais pas que nous ayons des attentes s'agissant de cette visite", a déclaré à la presse le porte-parole de la présidence russe, Dmitri Peskov, "mais nous tenons à rappeler notre satisfaction du fait que récemment il y a eu un premier contact depuis longtemps entre le président et le chancelier".

M. Zelensky avait alors accusé M. Scholz d'ouvrir une "boîte de Pandore" en parlant avec M. Poutine, Kiev craignant que les alliés, fatigués du conflit et intimidés par Moscou, poussent finalement l'Ukraine à des concessions territoriales, accordant une victoire militaire et géopolitique à Moscou.

D'autant que l'incertitude concernant le soutien américain à l'Ukraine avec le retour à la Maison Blanche en janvier de Donald Trump, a nourri des appels à entamer des négociations.

Avancées russes

Parallèlement, Moscou et Kiev intensifient leurs attaques aériennes. Sur le front Est, les avancées de l'armée russe se sont accélérées à un niveau sans précédent depuis les toutes premières semaines de la guerre.

Sur le plan intérieur en Allemagne, Olaf Scholz est un dirigeant affaibli depuis l'effondrement en novembre de sa coalition. Il essaie de se poser en chancelier de la paix, prônant une politique de retenue en Ukraine, pour tenter de refaire son retard dans les sondages face aux conservateurs, jugés plus bellicistes, avant des législatives anticipées du 23 février.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Keir Starmer à Kiev pour un partenariat de sécurité "sur 100 ans"

Publié

le

Le Premier ministre britannique Keir Starmer est arrivé jeudi matin à Kiev. (© KEYSTONE/AP/Carl Court)

Le Premier ministre britannique Keir Starmer est arrivé jeudi matin à Kiev. Il doit y signer un partenariat de sécurité "sur 100 ans" avec l'Ukraine, à quelques jours du retour à la Maison Blanche de Donald Trump.

Le dirigeant travailliste, qui se rend pour la première fois en Ukraine depuis son élection en juillet, va signer ce traité portant sur la défense, l'énergie et le commerce avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky, a annoncé Downing Street dans un communiqué.

L'Ukraine et ses alliés européens craignent un éventuel désengagement américain, Donald Trump ayant répété à plusieurs reprises qu'il voulait mettre un terme au conflit avec la Russie rapidement.

Volodymyr Zelensky a déclaré que Starmer et lui discuteraient de la possibilité de stationner des troupes occidentales en Ukraine pour superviser un accord de cessez-le-feu, une proposition initialement avancée par le président français Emmanuel Macron.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Stellantis a livré moins de véhicules en 2024

Publié

le

Le constructeur automobile Stellantis, qui comprend notamment la marque Peugeot, a fait état d'une baisse des facturations de 6% sur un an au quatrième trimestre en Europe (archives). (© KEYSTONE/ENNIO LEANZA)

Le groupe automobile Stellantis a annoncé jeudi une baisse de 12% de ses volumes de véhicules livrés au cours de l'année 2024, plombé notamment par un recul de 25% en Amérique du nord, selon un communiqué.

Au quatrième trimestre, les volumes de véhicules - "livrés à nos concessionnaires, à nos distributeurs ou directement par l'entreprise aux clients de détail et aux flottes" de sociétés - s'affichent en baisse de 9% au niveau du groupe, après une chute de 20% au troisième trimestre.

Lors des trois derniers mois de l'année, Stellantis (quatorze marques dont Peugeot, Fiat, Chrysler, Jeep, Lancia, Citroën, Opel,...) a livré un total de 1'395'000 unités à son réseau, "un volume qui converge progressivement vers celui des ventes" au client final "qui a reculé d'environ 5% au cours de la période, grâce aux initiatives de réduction des stocks aux États-Unis et aux expéditions en Europe qui ont été soutenues par le lancement de certains modèles de nouvelle génération", selon le communiqué.

Par régions, en Amérique du Nord, "les facturations du quatrième trimestre ont diminué d'environ 115'000 unités par rapport à la même période en 2023, ce qui représente une baisse de 28% en glissement annuel, alors que les ventes ont connu une baisse plus modeste de 5% en glissement annuel", en raison de ce phénomène de réduction des stocks chez les concessionnaires américains.

Concernant l'Europe "élargie", la baisse des facturations a atteint 6% au quatrième trimestre par rapport à un an auparavant, "fortement réduite par rapport au troisième trimestre (-17 % en glissement annuel)", met en avant Stellantis.

Selon le groupe, "les premiers lancements européens de la vague de produits de nouvelle génération de Stellantis connaissent un début prometteur, avec des commandes de plus de 90'000 unités pour la Citroën C3/ëC3, et de plus de 140'000 unités pour les Peugeot 3008, Peugeot 5008 et Opel Grandland".

Ailleurs dans le monde, Stellantis fait état d'une augmentation de 12% des facturations en Amérique du Sud et une "stabilité" au Moyen-Orient et en Afrique, "compensant largement les baisses d'expéditions en Chine, en Inde et en Asie-Pacifique".

A l'instar d'autres géants du secteur, Stellantis traverse une passe difficile après des années de profits record depuis sa fondation en 2021 avec la fusion de PSA (Peugeot-Citroën) et Fiat-Chrysler. En cause, les ventes de véhicules électriques en Europe qui patinent depuis la fin de l'année 2023, surtout faute de modèles abordables.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

Continuer la lecture

International

L'armée ukrainienne dit avoir capturé 27 soldats russes en Russie

Publié

le

L'armée ukrainienne - ci-contre - affirme avoir capturé plus de 30 soldats russes en Russie. (© KEYSTONE/AP/Andriy Andriyenko)

L'armée ukrainienne a affirmé jeudi dans un communiqué avoir capturé 27 militaires russes dans la région russe de Koursk dont une petite partie est contrôlée par les forces de Kiev depuis août 2024.

"Ces derniers jours 27 militaires ennemis ont été capturés pendant les combats" dans la région russe de Koursk, a indiqué l'armée ukrainienne dans un communiqué sur Facebook, en publiant une vidéo qui dit montrer ces hommes s'identifiant face caméra.

Ces militaires sont "des officiers, sergents et des soldats" issus de diverses unités, et originaires de différentes régions russes ainsi que de la péninsule ukrainienne de Crimée annexée par la Russie en 2014, a précisé le communiqué de l'armée ukrainienne.

"Dans une situation de combat difficile, ils ont fait le bon choix: ils ont volontairement déposé les armes, ce qui leur a sauvé la vie. Tous les blessés ont immédiatement reçu les premiers soins", a assuré l'armée ukrainienne. "Nous appelons les autres soldats de l'armée russe (...) à se rendre".

L'Ukraine, qui combat depuis trois ans l'invasion russe, a lancé en août 2024 une offensive surprise dans la région frontalière russe de Koursk.

Les forces de Kiev y contrôlent toujours plusieurs centaines de kilomètres carrés. C'est la première occupation du territoire russe par une armée étrangère depuis la Deuxième Guerre mondiale.

La Russie cherche désespérément à reprendre la zone de sa région de Koursk sous contrôle ukrainien, que Kiev tient de son côté à garder en vue d'éventuelles négociations de paix.

Kiev, Séoul et Washington affirment que la Russie a déployé sur place depuis la fin 2024 des milliers de soldats nord-coréens envoyés par Pyongyang en renfort de l'armée russe.

L'Ukraine a récemment annoncé avoir capturé plusieurs militaires nord-coréens blessés dans la région de Koursk et proposé à Pyongyang de les échanger contre des militaires ukrainiens détenus en Russie

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

L'accord de cessez-le-feu soumis au gouvernement israélien

Publié

le

Des Palestiniens ont célébré l'accord de cessez-le-feu annoncé mercredi soir par le Qatar et les Etats-Unis. (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Le gouvernement israélien doit donner son feu vert jeudi à l'accord annoncé par le Qatar et les Etats-Unis sur un cessez-le-feu à Gaza. Ce après plus de 15 mois d'une guerre entre Israël et le Hamas qui a fait des dizaines de milliers de morts.

Après plus d'un an de blocage, les négociations indirectes à Doha se sont accélérées à l'approche du départ de la Maison Blanche de Joe Biden, remplacé lundi par Donald Trump. Elles ont débouché mercredi soir sur l'officialisation d'un accord en trois phases prévoyant une trêve à partir de dimanche, la libération de 33 otages israéliens en échange d'un millier de prisonniers palestiniens, et une augmentation de l'aide humanitaire.

La nouvelle a été saluée par de nombreuses capitales et organisations internationales. Et des milliers de Palestiniens ont exulté à travers la bande de Gaza assiégée et dévastée par la guerre déclenchée par une attaque d'une ampleur sans précédent du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023.

Le mouvement islamiste palestinien a vu dans l'accord le fruit de la "ténacité" du peuple palestinien et de sa "vaillante résistance". Les Gardiens de la Révolution, l'armée idéologique de l'Iran, ont aussi salué jeudi une "victoire" pour les Palestiniens et une "défaite" pour Israël.

"Bon choix"

Mais le gouvernement israélien lui-même n'a pas confirmé l'accord, et la Défense civile de la bande de Gaza a rapporté sept morts dans deux frappes israéliennes jeudi matin à Gaza-ville, et 20 morts la veille au soir, après l'annonce. Les "derniers détails" sont encore en cours de finalisation, selon un communiqué publié dans la nuit par le bureau du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

Il a toutefois remercié Donald Trump et Joe Biden, dont les équipes ont étroitement collaboré pour parvenir à un accord sur "la libération des otages".

Une réunion du conseil des ministres israéliens est attendue dans la journée de jeudi pour examiner l'accord et sauf surprise le valider, le chef du gouvernement disposant d'une majorité, malgré des dissensions. Si le président israélien Isaac Herzog a salué un "bon choix", le ministre des Finances Bezalel Smotrich, d'extrême droite, a dénoncé un accord "dangereux" et précisé que les ministres de son parti voteraient contre.

Reconstruction

L'attaque du 7-Octobre a entraîné la mort de 1210 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur 251 personnes enlevées le jour de l'attaque, 94 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes selon l'armée.

Au moins 46'707 personnes, en majorité des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles dans la bande de Gaza qui a aussi provoqué un désastre humanitaire, selon les données du ministère de la Santé du Hamas jugées fiables par l'ONU.

Les principaux éléments de l'accord ont été rendus publics par le Premier ministre du Qatar, Mohammed ben Abdelrahmane Al-Thani, dont le pays est l'un des médiateurs entre Israël et le Hamas, et Joe Biden. Il prévoit une entrée en vigueur dimanche pour une première phase de six semaines comprenant un cessez-le-feu, la libération de 33 otages et un retrait israélien des zones densément peuplées.

Avenir politique en suspens

La deuxième phase doit aussi permettre la libération des derniers otages et un retrait complet israélien de Gaza, a encore détaillé M. Biden. La troisième et dernière phase doit être consacrée à la reconstruction de Gaza et à la restitution des corps des otages tués durant leur captivité.

"Un mécanisme de suivi pour surveiller l'application de l'accord sera mis en place au Caire et sera géré par l'Egypte, le Qatar et les Etats-Unis", a précisé le Premier ministre du Qatar. Joe Biden a assuré que l'accord se traduirait, dès sa première phase, par un cessez-le-feu "entier et total".

L'aide humanitaire doit augmenter pendant la première phase, qui doit permettre des négociations en vue d'arriver à la deuxième phase, à savoir "une fin définitive de la guerre", a-t-il ajouté. Déjà minée par un blocus israélien imposé depuis 2007, la pauvreté et le chômage, la bande de Gaza assiégée a été ravagée par la guerre et la grande majorité de ses 2,4 millions d'habitants ont été déplacés et vivent dans des conditions particulièrement dures.

"Je n'arrive pas à croire que ce cauchemar qui dure depuis plus d'un an commence à toucher à sa fin", a déclaré à l'AFP Randa Samih, une déplacée originaire de Gaza-ville dans le camp de Nousseirat. "Nous avons perdu tant de monde, nous avons tout perdu", a ajouté la Palestinienne de 45 ans, tandis que des rassemblements spontanés de joie avaient lieu en plusieurs endroits dont devant l'hôpital des Martyrs d'Al-Aqsa à Deir el-Balah, où tant de morts ont afflué depuis le début de la guerre.

En Israël, Ornit Barak, 59 ans, présente à un rassemblement à Tel-Aviv mercredi soir pour réclamer la fin de la guerre et le retour de tous les otages s'affirme elle "très heureuse, mais aussi inquiète" dans l'attente du retour de tous les otages, dont 94 sont toujours captifs, parmi lesquels 34 déclarés morts par l'armée. S'il fait taire les armes, le cessez-le-feu laisse en suspens l'avenir politique du territoire où le Hamas, à présent très affaibli, a pris le pouvoir en 2007.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

La fusée New Glenn de Jeff Bezos décolle pour la première fois

Publié

le

La fusée a décollé ce matin (heure suisse). (© KEYSTONE/AP/John Raoux)

La société spatiale américaine Blue Origin a lancé jeudi pour la première fois sa grande fusée New Glenn. Ce vol inaugural à des allures de tournant pour l'entreprise du fondateur d'Amazon Jeff Bezos qui entend rattraper son retard sur son rival SpaceX.

Haute de 98 mètres, soit la taille d'un immeuble d'environ 30 étages, New Glenn a décollé avec succès autour de 02h03 locales (08h03 en Suisse) depuis la base spatiale de Cap Canaveral en Floride, malgré des conditions météorologiques qui n'étaient pas optimales.

Le vol inaugural de cette puissante fusée était attendu depuis des années et a été repoussé à plusieurs reprises et même annulé à la dernière minute lundi en raison d'un problème technique. Si la mission se déroule comme prévu, New Glenn devrait atteindre l'orbite, ce qui constituerait une première pour l'entreprise spatiale privée créée en 2000.

Si la société emmène déjà depuis plusieurs années des touristes pour quelques minutes dans l'espace avec sa fusée New Shepard, elle n'a jusqu'ici mené aucun vol orbital.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 11 minutes

Keir Starmer à Kiev pour un partenariat de sécurité "sur 100 ans"

Le Premier ministre britannique Keir Starmer est arrivé jeudi matin à Kiev. Il doit y signer un partenariat de sécurité...

CultureIl y a 15 minutes

Eurovision de la chanson: Bâle recherche 700 bénévoles

Environ 700 bénévoles sont recherchés pour participer à l'organisation du concours de l'Eurovision de la...

InternationalIl y a 20 minutes

Stellantis a livré moins de véhicules en 2024

Le groupe automobile Stellantis a annoncé jeudi une baisse de 12% de ses volumes de...

Suisse RomandeIl y a 50 minutes

La croissance du PIB devrait être plus soutenue

Après une hausse estimée à 1,2% en 2024, le PIB vaudois pourrait augmenter de 1,8%...

InternationalIl y a 1 heure

L'armée ukrainienne dit avoir capturé 27 soldats russes en Russie

L'armée ukrainienne a affirmé jeudi dans un communiqué avoir capturé 27 militaires russes dans la...

InternationalIl y a 2 heures

L'accord de cessez-le-feu soumis au gouvernement israélien

Le gouvernement israélien doit donner son feu vert jeudi à l'accord annoncé par le Qatar...

InternationalIl y a 2 heures

La fusée New Glenn de Jeff Bezos décolle pour la première fois

La société spatiale américaine Blue Origin a lancé jeudi pour la première fois sa grande...

PolitiqueIl y a 3 heures

Eventuel retrait de Cassis: présidents du PLR et du Centre réservés

Les présidents du PLR Thierry Burkart et du Centre Gerhard Pfister demeurent sur la réserve...

SantéIl y a 3 heures

Sika ouvre de nouveaux sites à Singapour et en Chine

Le chimiste de la construction Sika a ouvert deux sites de production à Singapour et...

SuisseIl y a 3 heures

Revenus stables pour Geberit en 2024

Continuant d'affronter des marchés difficiles, Geberit est parvenu à maintenir ses ventes l'an dernier. Le...