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Starmer promet de faire "regretter" leurs actes aux émeutiers

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De nouveaux affrontements ont donné lieu à des débordements dimanche en Grande-Bretagne. (© KEYSTONE/AP/Danny Lawson)

Les émeutes d'une violence inédite depuis plus de dix ans ont continué dimanche au Royaume-Uni. Au moins deux hôtels hébergeant des demandeurs d'asile ont été pris pour cible. Le Premier ministre a promis que les casseurs anti-migrants regretteraient leurs actes.

Les émeutes ont commencé après que trois fillettes ont été tuées dans une attaque au couteau lundi à Southport (nord-ouest de l'Angleterre), un drame qui a donné lieu à une flambée de rumeurs et de désinformation sur les réseaux sociaux sur la religion et l'origine de l'agresseur présumé.

"Je vous garantis que vous regretterez d'avoir participé à ces désordres" que ce soit directement ou "en ayant provoqué ces actions en ligne", a affirmé le chef du gouvernement travailliste arrivé il y a tout juste un mois au pouvoir, lors d'une courte déclaration filmée depuis Downing Street. Il a promis que son gouvernement ferait "tout ce qu'il faut pour traduire ces voyous en justice aussi vite que possible".

Keir Starmer s'exprimait après que de nouveaux rassemblements ont eu lieu dimanche sous le mot d'ordre "Enough is enough (Trop c'est trop), en référence à l'arrivée au Royaume-Uni de migrants traversant la Manche sur des canots pneumatiques. Les forces de l'ordre ont indiqué avoir procédé à près de 150 arrestations depuis samedi.

A Tamworth, près de Birmingham (centre), la police locale a indiqué être intervenue dimanche soir près d'un hôtel, pris pour cible par un "important groupe d'individus". Ils ont "jeté des projectiles, brisé des vitres, allumé des feux et ciblé la police" et un policier a été blessé, a-t-elle détaillé.

Un peu plus tôt à Rotherham, dans le Nord, des centaines de personnes se sont rassemblées devant un hôtel hébergeant des demandeurs d'asile et des affrontements ont éclaté avec les forces de l'ordre. Au moins dix policiers ont été blessés, mais aucun personnel ou client de l'hôtel, a indiqué la police locale.

Certains participants ont brisé des vitres de l'établissement, ont déclenché un feu, jeté des projectiles sur les policiers, quand d'autres ont crié des slogans comme "Mettez les dehors". Certains sont parvenus à entrer dans l'hôtel, sans qu'il soit clair si des demandeurs d'asile étaient à l'intérieur ce jour.

Quatrième jour de violences

La ministre de l'Intérieur Yvette Cooper a qualifié sur X ces violences de "tout à fait effroyables". "Il s'agit d'un incendie délibéré d'un bâtiment dans lequel se trouvaient des personnes", a-t-elle dit.

A Middlesbrough (nord-est), des débordements ont également eu lieu lors dans le centre-ville. Une équipe de l'AFP sur place a eu sa caméra cassée par des manifestants. A Aldershot (sud-ouest), des dizaines de personnes arborant des pancartes avec des inscriptions hostiles aux demandeurs d'asile se sont rassemblées dans le calme, a constaté un photographe de l'AFP.

Il s'agit du quatrième jour de violences que connait le Royaume-Uni. Des émeutes et affrontements entre police, manifestants, et parfois contre-manifestants anti-racistes, ont eu lieu dans une dizaine de villes - dont Liverpool (nord-ouest), Hull (nord-est), Belfast (Irlande du Nord), Leeds (nord), ou encore à Southport mardi contre une mosquée.

Le suspect des trois meurtres, un adolescent de 17 ans, a été inculpé et placé en détention. Dimanche, des responsables religieux de toutes confessions de Liverpool ont publié un communiqué appelant à l'unité et au "calme Les forces de l'ordre ont indiqué avoir arrêté une centaine de personnes après les violences de samedi.

Le pays n'avait pas connu une telle flambée depuis 2011, après la mort d'un jeune homme métis, Mark Duggan, tué par la police au nord de Londres. Depuis lundi, Keir Starmer multiplie les messages de fermeté et son soutien aux forces de l'ordre contre ce qu'il a de nouveau décrit dimanche comme "des violences d'extrême droite".

"Si vous ciblez des gens à cause de la couleur de leur peau ou de leur religion, c'est de l'extrême droite", a-t-il insisté. Le gouvernement a annoncé renforcer la protection policière des mosquées.

"Signal d'alarme"

L'ambassade d'Indonésie à Londres a appelé sur X ses ressortissants à la "vigilance". Certains commentateurs et responsables politiques ont estimé que la montée d'un discours anti-immigration dans la classe politique a légitimé les manifestants.

Lors des dernières législatives le parti anti-immigration Reform UK, a engrangé plus de 14% des voix. Karina, une mère de famille de 41 ans a participé au rassemblement samedi à Nottingham. "J'en ai marre que des gens (...) nous disent que les blancs de la classe ouvrière sont fascistes parce que nous ne voulons plus voir de personnes venir illégalement", a-t-elle affirmé à l'AFP.

Pour la co-présidente du parti Vert, Carla Denyer, ces violences doivent servir "de signal d'alarme pour tous les responsables politiques" ayant utilisé une rhétorique anti-immigration.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Boris: trois nouveaux morts en Autriche et en République tchèque

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La tempête a provoqué partout des coupures massives d'électricité, des ruptures du réseau de transport et des évacuations massives d'habitants dans toute la région (ici dans le village tchèque de Lipova-Lazne), (© KEYSTONE/EPA/MARTIN DIVISEK)

Trois nouvelles personnes sont mortes et sept autres sont portées disparues en Autriche et en République tchèque à la suite des inondations provoquées par la tempête Boris, ont annoncé les autorités lundi. Ces décès portent à onze le bilan total dans la région.

"Deux personnes de 70 et 80 ans ont été retrouvées mortes dans la nuit de dimanche à lundi" dans la région de Basse-Autriche frontalière de la République tchèque, a indiqué la police à l'AFP. "Elles ont été tuées dans deux villages différents par la montée des eaux, chacune dans sa maison", a-t-il précisé.

Côté tchèque, la police a également confirmé à la radio publique le décès "d'une personne qui s'est noyée dans la rivière Krasovka près de Bruntal (nord-est)", ainsi que la disparition de "sept personnes".

Dans toute la région de l'Europe centrale et orientale, frappée par la tempête Boris, le bilan s'élève désormais à onze morts et plusieurs disparus. Des milliers de personnes ont également été évacuées.

Les images impressionnantes prises par des photographes de l'AFP dans toute la région montrent des quartiers entiers submergés, des habitants secourus, des digues de sable pour limiter la montée des eaux.

La tempête a provoqué partout des coupures massives d'électricité, des ruptures du réseau de transport et des évacuations massives d'habitants dans toute la région. La situation semblait s'améliorer légèrement lundi en plusieurs endroits, mais les pluies incessantes et les crues font craindre des nouveaux dégâts importants.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Italie: l'inflation ralentit en août, confirmée à 1,1% sur un an

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L'augmentation des prix à la consommation en Italie est inférieure à la moyenne de la zone euro. (archive) (© KEYSTONE/EPA/TONINO DI MARCO)

L'inflation en Italie a décéléré en août, baissant à 1,1% sur un an après 1,3% en juillet, selon des données définitives publiées lundi par l'Institut national de la statistique (Istat) qui a ainsi confirmé sa première estimation.

L'augmentation des prix à la consommation en Italie est inférieure à la moyenne de la zone euro qui a atteint 2,2% en août en glissement annuel et à l'objectif de 2% à moyen terme de la Banque centrale européenne (BCE).

Ce ralentissement des prix à la consommation est dû surtout à la chute plus prononcée des tarifs de l'énergie non réglementés et au recul des prix des biens durables, explique l'Istat.

Sur un mois, les prix à la consommation ont augmenté de 0,2% en août.

Les prix des produits énergétiques non réglementés ont accentué leur baisse sur un an, reculant de 8,6% en août, après 6% en juillet.

A l'inverse, les tarifs réglementés du secteur de l'énergie ont accéléré leur hausse, grimpant de 14,3% contre 11,7% en juillet.

Les prix des biens durables ont baissé de 1,8% en août, après 1,2% en juillet.

Le "panier de la ménagère" (produits alimentaires, de nettoyage, de soin et d'hygiène) a ralenti sa hausse, passant de +0,7% à +0,6%.

La hausse de l'indice d'inflation calculée selon les normes harmonisées de l'Union européenne (IPCA) a reculé à 1,2% en août sur un an, après 1,6% en juillet.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

Décès du guitariste Tito Jackson, membre des Jackson 5

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Tito Jackson (à gauche) avec son frère Michael et leur mère Katherine Jackson en 2005 (archives). (© KEYSTONE/AP/Kevork Djansezian)

Le guitariste américain Tito Jackson, membre du légendaire groupe Jackson 5, est mort, ont indiqué ses fils dimanche soir. Le frère aîné des superstars Michael et Janet Jackson avait 70 ans.

"Nous sommes choqués, tristes et avons le coeur brisé. Notre homme était un homme incroyable qui se souciait de chacun", ont écrit sur Instagram ses fils Taj, Taryll et TJ, qui forment le groupe 3T. "S'il vous plaît, rappelez-vous de faire ce que notre père prônait et qui est: 'Aimez-vous les uns les autres'. On t'aime papa. Tes garçons".

Un ami de la famille, Steve Manning, a précisé à l'émission Entertainment Tonight que Tito Jackson semble être décédé d'une crise cardiaque dimanche, alors qu'il se rendait du Nouveau Mexique jusqu'à chez lui en Oklahoma.

Il s'était récemment produit en Allemagne, au Royaume-Uni et en Californie avec ses frères Marlon et Jackie, se faisant appeler "The Jacksons".

Au Rock & Roll Hall of Fame

Tito Jackson était un membre original du groupe familial The Jackson 5, avec ses frères Jackie, Jermaine, Marlon et Michael - le futur "King of pop" décédé en 2009. Après avoir signé avec Motown Records en 1969, les Jackson 5 avaient connu un succès mondial avec des titres comme "I want you back", "ABC" et "I'll Be There".

Tito, tout comme ses frères du Jackson 5, avaient été intronisés au Rock & Roll Hall of Fame en 1997 par une autre légende de la Motown, Diana Ross. Selon son site internet, le défunt faisait des tournées depuis 2003 avec son propre groupe de blues et de funk.

En 2016, Tito avait été le dernier de la fraternité Jackson à entrer dans le Billboard avec une chanson produite en solo, avec le single "Get It Baby", qui avait été suivi de son premier album solo, "Tito Time".

Son second album - le premier de blues -, titré "Under Your Spell", était sorti en 2021, avec des invités comme George Benson, Bobby Rush et Stevie Wonder. L'ex-femme de Tito Jackson, Dolores, mère de ses trois fils, était décédée en 1994.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Le Français Thierry Breton quitte la Commission européenne

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Les relations étaient notoirement tendues entre Thierry Breton et Ursula von der Leyen (archives). (© KEYSTONE/DPA/PATRICK PLEUL)

Le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, a annoncé lundi démissionner de la Commission européenne avec effet immédiat. Il affirme que la présidente Ursula von der Leyen, avec qui il était en froid, avait réclamé son retrait à Emmanuel Macron.

Officiellement candidat du président français, il a expliqué que la cheffe de l'exécutif européen, en train de former son équipe pour un nouveau mandat de cinq ans, avait "demandé à la France de retirer (s)on nom".

"Il y a quelques jours, dans la toute dernière ligne droite des négociations sur la composition du futur Collège, vous avez demandé à la France de retirer mon nom - pour des raisons personnelles qu'en aucun cas vous n'avez discutées directement avec moi - et proposé, en guise de compromis politique, un portefeuille prétendument plus influent pour la France au sein du futur Collège" des commissaires, écrit Thierry Breton.

"C'est un autre candidat qui va vous être proposé" par la France, a-t-il ajouté dans une lettre à Mme von der Leyen publiée sur le réseau social X.

Gouvernance "douteuse"

"Au cours des cinq dernières années, je me suis efforcé sans relâche de défendre et de faire progresser le bien commun européen, au-delà des intérêts nationaux et partisans. Ce fut un honneur", souligne l'ancien ministre français.

"Toutefois, à la lumière des derniers développements - qui témoignent une fois de plus d'une gouvernance douteuse - je dois conclure que je ne peux plus exercer mes fonctions au sein du Collège", conclut-il.

Les relations entre la dirigeante allemande et M. Breton étaient notoirement tendues depuis que ce dernier avait pris la tête au printemps d'une fronde au sein de l'exécutif bruxellois pour contester le style de direction de la présidente, jugé peu collectif.

Ethique mise en cause

Le commissaire français avait publiquement mis en cause l'éthique de Mme von der Leyen après la nomination fin janvier d'un émissaire chargé des petites et moyennes entreprises, un poste hautement rémunéré au sein de la Commission.

Le poste avait été attribué à l'eurodéputé allemand du Parti populaire européen (droite) Markus Pieper, quelques semaines avant un congrès à Bucarest début mars au cours duquel le PPE avait apporté son soutien à un second mandat de Mme von der Leyen.

La polémique avait abouti à un vote de défiance du Parlement européen contre Mme von der Leyen, en pleine campagne pour les élections européennes de juin, et finalement au retrait de M. Pieper.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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L'avenir de TikTok en suspens devant un tribunal américain

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TikTok risque d'être interdit aux Etats-Unis. (archive) (© KEYSTONE/AP/KIICHIRO SATO)

TikTok va tenter de convaincre un tribunal fédéral lundi que la loi exigeant la vente de l'application par ses propriétaires chinois, sous peine d'interdiction aux Etats-Unis, est inconstitutionnelle.

Depuis que cette loi a été votée par le Congrès américain en avril, le sort de TikTok dans le pays est devenu un enjeu majeur du débat politique.

Le candidat républicain à la présidence Donald Trump s'oppose à toute interdiction de la très populaire plateforme, après avoir lui-même tenté de l'interdire en 2020, à la fin de son mandat.

Le président Joe Biden, en revanche, a signé la législation qui donne à TikTok jusqu'au mois de janvier pour ne plus être détenue par une société chinoise. Sa vice-présidente Kamala Harris est la candidate démocrate à la Maison Blanche.

ByteDance, la maison mère de TikTok, a déclaré qu'elle n'avait pas l'intention de se séparer de sa précieuse application. Le recours en justice est donc sa seule option pour survivre aux États-Unis.

Une interdiction provoquerait probablement une vive réaction de la part de Pékin et rendrait les relations entre les États-Unis et la Chine encore plus tendues.

Trois juges de la cour d'appel du district de Columbia doivent entendre lundi TikTok, ByteDance et un groupe d'utilisateurs. Ils vont essentiellement soutenir que la loi viole le droit à la liberté d'expression garanti par la Constitution américaine.

Les juges se prononceront sur l'affaire dans les semaines ou les mois à venir. Mais quelle que soit leur décision, elle est susceptible d'être portée devant la Cour suprême des États-Unis.

"Coquille vide"

TikTok affirme que "la Constitution est de notre côté", ajoutant que la loi ferait taire les voix de 170 millions d'Américains.

"Il ne fait aucun doute que la loi entraînera la fermeture de TikTok d'ici le 19 janvier 2025", indique le recours de l'entreprise, "réduisant au silence ceux qui utilisent la plateforme pour communiquer d'une manière qui ne peut être reproduite ailleurs".

TikTok a également fait valoir que même si la cession était possible, l'application "serait toujours réduite à une coquille vide, dépourvue de la technologie innovante qui adapte le contenu à chaque utilisateur".

Le gouvernement américain rétorque que la loi porte sur des questions de sécurité nationale et non sur la liberté d'expression et que ByteDance ne peut se prévaloir des droits protégés par la Constitution.

"Étant donné la vaste portée de TikTok aux États-Unis, la capacité de la Chine à utiliser les fonctionnalités de TikTok pour atteindre son objectif global, qui est de saper les intérêts américains, constitue une menace pour la sécurité nationale d'une profondeur et d'une ampleur immenses", a écrit le ministère américain de la Justice.

Les États-Unis estiment que ByteDance peut se conformer - et se conforme - aux demandes du gouvernement chinois pour obtenir des données sur les utilisateurs américains. Les autorités affirment aussi que le groupe acquiesce à des pressions pour censurer ou promouvoir certains contenus sur la plateforme.

TikTok nie ces accusations.

Vers la Cour suprême

Les décrets de 2020 pour interdire TikTok de l'ancien président Donald Trump ont été bloqués par un juge fédéral, qui avait évoqué des raisons probablement exagérées et une violation potentielle du droit à la liberté d'expression.

Depuis, le milliardaire républicain, très remonté contre Meta (Facebook, Instagram) et les autres grandes plateformes qui l'ont temporairement banni pour incitation à la violence après l'assaut du Capitole en 2021, a changé d'avis.

"Pour tous ceux qui veulent sauver TikTok en Amérique, votez pour Trump", a-t-il déclaré dans une vidéo publiée la semaine dernière.

La candidate démocrate Kamala Harris est présente sur TikTok et a adopté les réseaux sociaux comme moyen de communication avec les jeunes électeurs.

La nouvelle loi signée par Joe Biden a été conçue pour surmonter les obstacles juridiques mais certains experts pensent que la Cour suprême des États-Unis aura du mal à considérer que les inquiétudes au sujet de la sécurité nationale l'emportent sur la protection de la liberté d'expression.

Une grande partie des arguments du gouvernement sont sous scellés, ce qui "complique les efforts pour les évaluer", a souligné Carl Tobias, professeur de droit de l'université de Richmond.

"Toutefois, la Cour suprême des États-Unis s'est généralement montrée très prudente lorsqu'il s'agit d'accepter les arguments de sécurité nationale lorsque la réglementation (en question) restreint le droit à la liberté d'expression, en particulier en ce qui concerne internet", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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