Rejoignez-nous

Politique

Séance et bain de foule des conseillers fédéraux à Aarau

Publié

,

le

Viola Amherd s'est entretenue avec des citoyennes présentes sur place. (© KEYSTONE/MICHAEL BUHOLZER)

Environ 300 personnes ont partagé l'apéritif avec les conseillers fédéraux, mercredi à Aarau, après la séance extra-muros du gouvernement. Le Conseil fédéral a siégé pour la 19e fois en dehors de Berne depuis 2010.

Bombardés de questions et de selfies, les sept ministres se sont mêlés à la foule dans le foyer du Musée d'art d'Argovie après avoir travaillé durant la matinée dans une salle du bâtiment du parlement argovien. Ils ont largement joué le jeu.

"Vous êtes zurichoise? Alors vous êtes une étrangère en Argovie!", a lancé en plaisantant le ministre des affaires étrangères Ignazio Cassis à une jeune femme, en posant avec elle pour un selfie.

L'approche des conseillers fédéraux par les citoyens était souvent timide, avant que les langues ne se délient et que les sourires ne rayonnent. Certaines personnes avaient apporté un livre à faire dédicacer par un membre du gouvernement.

La bonne humeur de la présidente

"Je me réjouis de cet échange", a déclaré la présidente de la Confédération Viola Amherd au début de l'apéro, avant d'enjoindre les citoyens présents à s'adresser sans gêne aux conseillers fédéraux. Vin argovien, amuse-bouches et gâteau aux carottes argovien n'ont pas manqué à l'appel pour agrémenter ce moment.

Dans un bref discours, la Valaisanne a plaisanté sur le fait que la séance du Conseil fédéral s'est terminée plus tôt que prévu, avant la fin de la séance du gouvernement argovien. "Nous nous soumettons à un casting et un test d'intelligence en tout début de législature", a-t-elle lancé sous les rires et les applaudissements des personnes présentes.

Aarau, première capitale helvétique

Il s'agissait de la 19e séance extra-muros du Conseil fédéral et de sa première à Aarau. Depuis 2010, le gouvernement siège, une à deux fois par an, en dehors de Berne. Il entend ainsi "exprimer son grand attachement aux différentes régions de notre pays", écrit la Chancellerie fédérale. Mercredi matin, l'exécutif a fait le déplacement en train.

Cette année, le choix de la présidente s'est porté sur le chef-lieu argovien, première capitale de la République helvétique en 1798, sous Napoléon, durant quelques mois. L'Argovie est une "place forte" sur le Plateau, a décrit Viola Amherd en début de matinée face aux médias. Il dispose d'une réelle force économique et est important également pour la production d'électricité en Suisse.

Viola Amherd face à la mort d'une recrue

Interrogée par les journalistes avant la séance, la ministre de la défense est aussi revenue sur la mort tragique d'une recrue de l'armée suisse, mortellement blessée à la tête, mardi à Bremgarten (AG) par un tir déclenché accidentellement dans un véhicule militaire. "C'est aussi un cas très grave pour moi personnellement", a-t-elle souligné.

"Mes premières pensées sont allées naturellement aux camarades et à la famille" du jeune homme décédé, a dit Viola Amherd. "Ce type d'accidents est très, très grave pour l'entourage et pour les responsables de l'armée."

"On essaie toujours d'améliorer les mesures de sécurité. Et malgré tout, quelque chose peut arriver", a observé la ministre. Une enquête de la justice militaire est en cours sur la mort du jeune homme âgé de 22 ans.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Syrie: des corps torturés dans un hôpital, affirment les rebelles

Publié

le

Les corps étaient empilés, montrant des "signes de tortures effroyables", selon un combattant des factions rebelles du sud du pays (cliché symbolique/Keystone archives). (© KEYSTONE/AP/Ghaith Alsayed)

Une quarantaine de corps portant des traces de torture ont été retrouvés dans la morgue d'un hôpital près de Damas, entassés dans des sacs mortuaires, ont affirmé lundi des rebelles syriens. Des yeux et des dents avaient été arrachés.

"J'ai ouvert la porte de la morgue de mes propres mains. C'était un spectacle horrible: une quarantaine de corps étaient empilés, montrant des signes de tortures effroyables", a décrit auprès de l'AFP Mohammed al-Hajj, un combattant des factions rebelles du sud du pays, joint par téléphone depuis Damas.

L'AFP a pu voir des dizaines de photographies et de séquences vidéo que M. Hajj dit avoir prises lui-même et qui montrent des cadavres présentant des signes évidents de torture: yeux et dents arrachés, éclaboussures de sang et ecchymoses.

Les images prises à l'hôpital de Harasta ont également montré un morceau de tissu contenant des os, tandis que la cage thoracique d'un corps en décomposition apparaissait à travers la peau.

Les corps ont été placés dans des sacs en plastique blancs ou enveloppés dans des tissus blancs, certains tachés de sang, sur lesquels étaient inscrits des numéros et parfois des noms. Plusieurs d'entre eux semblent avoir été tués récemment.

Rassemblement à Saydnaya

Les rebelles dirigés par le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS) ont pris le pouvoir dimanche en Syrie, chassant l'ancien président Bachar al-Assad, dont la famille a dirigé le pays d'une main de fer pendant plus de cinq décennies.

Au coeur du système de gouvernement que M. Assad a hérité de son père Hafez se trouvait un complexe de prisons et de centres de détention utilisés pour éliminer la dissidence en emprisonnant les personnes soupçonnées de s'écarter de la ligne du parti Baas au pouvoir.

Des milliers de personnes espérant retrouver des proches disparus dans les geôles de Bachar al-Assad, s'étaient rassemblées lundi soir dans la tristement célèbre prison de Saydnaya, près de Damas, ont constaté des correspondants de l'AFP.

Mohammed al-Hajj a déclaré que les combattants rebelles avaient été informés par un employé de l'hôpital de la présence de cadavres à cet endroit. "Nous avons informé le commandement militaire de ce que nous avons trouvé et nous avons coordonné notre action avec celle du Croissant-Rouge syrien, qui a transporté les corps vers un hôpital de Damas, afin que les familles puissent venir les identifier", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

International

Plus de 75 prix Nobel opposés à Kennedy comme ministre de la santé

Publié

le

Robert Kennedy Jr, neveu du président assassiné "JFK", a un temps fait campagne comme candidat à la présidentielle de novembre avant de se rallier à Donald Trump (archives). (© KEYSTONE/AP/Morry Gash)

Plus de 75 lauréats de prix Nobel ont adressé lundi une lettre ouverte exprimant leur opposition à la nomination par le président américain élu Donald Trump de Robert Kennedy Jr comme ministre de la santé. Ils pointent notamment ses positions anti-vaccins.

"Au vu de son bilan, placer M. Kennedy en charge du ministère de la santé représenterait un risque pour la santé publique", écrivent ces 77 prix Nobel de médecine, physique, chimie ou économie dans cette lettre adressée aux sénateurs américains.

Parmi les signataires figure Drew Weissman, prix Nobel de médecine en 2023 pour ses travaux sur le développement de vaccins à ARN messager, décisifs dans la lutte contre le Covid-19.

Robert Kennedy Jr, neveu du président assassiné "JFK", a un temps fait campagne comme candidat à la présidentielle de novembre avant de se rallier à Donald Trump. Le républicain l'a récompensé de son soutien après sa victoire en lui conférant un portefeuille de ministre, mais cette nomination doit faire l'objet d'un vote de confirmation au Sénat, comme le veut la constitution.

Contre de nombreux vaccins

Cet ancien avocat en droit de l'environnement, sans formation scientifique, a propagé des théories du complot sur les vaccins contre le Covid-19 comme sur de prétendus liens entre vaccination et autisme. Il réclame aussi l'arrêt de l'ajout de fluor dans l'eau courante, pourtant considérée comme une grande réussite sanitaire dans la lutte contre les caries dentaires.

"Outre son manque de qualifications ou d'expérience pertinente dans les domaines de la médecine, des sciences, de la santé publique ou du gouvernement, M. Kennedy a été un opposant à de nombreux vaccins qui ont permis de protéger la santé et de sauver des vies, tels ceux contre la rougeole et la poliomyélite", fustigent notamment les signataires de la lettre ouverte.

Plusieurs choix de Donald Trump pour son gouvernement ont provoqué la controverse. Il a notamment nommé Pete Hegseth, un ancien militaire et présentateur de Fox News, pour prendre la tête du Pentagone malgré des accusations d'agression sexuelle et de consommation excessive d'alcool.

Le futur président républicain a déjà essuyé le retrait forcé de Matt Gaetz, son premier choix pour le poste de ministre de la justice, après des accusations de relations sexuelles avec une mineure.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Politique

Les fonctionnaires vaudois réclament un rattrapage salarial de 5%

Publié

le

Le personnel des services publics et parapublics du canton de Vaud a exigé lundi un rattrapage salarial devant les bureaux de la conseillère d'Etat en charge des finances Valérie Dittli. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

Pas loin d'une centaine de fonctionnaires des services public et parapublic vaudois se sont rassemblés lundi par un froid mordant devant le Département des finances à Lausanne. Ils ont exigé un rattrapage salarial de 5% pour répondre à l'augmentation rapide du coût de la vie et demandé au Conseil d'Etat d'ouvrir rapidement des négociations.

Bien que les syndicats aient pris acte de l'intention du Conseil d'Etat d'indexer les salaires en fonction de l'indice des prix à la consommation (IPC) d'octobre, à hauteur de 0,6%, les participants ont rappelé que le renchérissement réel du coût de la vie "dépasse très largement" l'offre gouvernementale. "L'IPC est déconnecté de la réalité", ont-ils clamé.

Cet indice "ignore des postes de dépenses cruciaux pour de nombreux ménages", ont indiqué des représentants de la Fédération des sociétés de fonctionnaires (FSF Vaud), de la Fédération syndicale SUD et du Syndicat des services publics (SSP Vaud).

"5% tout de suite et maintenant": la petite centaine de manifestants, selon un décompte de Keystone-ATS, a demandé au Conseil d'Etat d'intégrer l'impact complet de la hausse du coût de la vie de ces cinq dernières années dès le 1er janvier 2025. Un rattrapage salarial qui doit impliquer au minimum un retour à la valeur des salaires de 2019, exigent-ils.

Ras-le-bol au CHUV

Le personnel du CHUV s'était également rassemblé plus tôt dans la journée pour manifester son ras-le-bol à la direction ainsi qu'au Conseil d'Etat. Il a protesté contre les économies budgétaires qui touchent le terrain, les soins et tous les secteurs de l'hôpital, alors qu'en parallèle "la direction des ressources humaines se gavait de promotions, annuités et indemnités".

Le personnel a également demandé un rattrapage salarial, une revalorisation des indemnités et des heures de piquet, ainsi qu'une directive sur le temps de travail, selon un communiqué.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

Politique

Le Parlement confirme les 15 millions à l'Euro de football féminin

Publié

le

Le Parlement a confirmé les 15 millions de francs pour l'Euro féminin de football en 2025 (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

La Confédération devra soutenir l'Euro de football féminin organisé en Suisse en 2025 à hauteur de 15 millions de francs. Le National a confirmé lundi, par 116 voix contre 43 et 19 abstentions, une décision qu'il avait déjà prise l'été dernier.

L'Euro féminin 2025 se déroule en Suisse, entre le 2 et le 27 juillet 2025, dans les villes de Bâle, Berne, Genève, Lucerne, Saint-Gall, Sion, Thoune et Zurich. Cet événement sportif exceptionnel représente une occasion unique pour la Suisse, a déclaré Matthias Aebischer (PS/BE) pour la commission.

Il va attirer un million de visiteurs dans les stades suisses et 500 millions de téléspectateurs. "C'est un investissement dans l'avenir du sport féminin", a ajouté Céline Weber (PVL/VD). Et 15 millions, ça reste nettement moins que les 82 millions pour l'Euro masculin en 2008.

L'été dernier, le Parlement avait déjà validé le soutien fédéral à hauteur de 15 millions de francs pour l'Euro féminin dans le cadre d'un supplément du budget. Ce montant devrait être utilisé pour la promotion du sport et de l’intégration des transports publics dans les billets de la manifestation.

La motion demande en outre que 20% de cette augmentation soient compensés au sein des départements. Mais l'UDC trouvait ces paiements compensatoires insuffisants. Andreas Gafner (UDF/BE) voulait compenser l'intégralité du supplément de 11 millions de francs à l'interne. En vain.

150 millions de l'UEFA

La ministre des sports Viola Amherd voulait à l'origine s'en tenir aux 4 millions promis pour encourager le sport dans le cadre de cette manifestation. Elle a précisé en réponse à une question de M. Gafner que l'UEFA contribuerait à hauteur de 150 millions de francs.

Une part importante des contributions de la Confédération pour l'Euro 2008 était prévue pour couvrir les coûts de sécurité, bien plus élevés que ceux de l'Euro 2025.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Continuer la lecture

International

Douzième nuit de manifestations pro-UE à Tbilissi

Publié

le

Des manifestants pro-UE se sont à nouveau rassemblés à Tbilissi lundi soir. (© KEYSTONE/AP/Pavel Bednyakov)

Plusieurs milliers de Géorgiens pro-UE se sont rassemblés lundi à l'extérieur du Parlement à Tbilissi pour une 12e nuit consécutive de manifestations contre le gouvernement, accusé de renoncer aux ambitions européennes du pays et de dérive autoritaire prorusse.

Cette ex-république soviétique du Caucase est en crise politique depuis les élections législatives du 26 octobre, remportées par le parti au pouvoir du Rêve géorgien mais dénoncées comme truquées par l'opposition pro-occidentale.

La décision, le 28 novembre, du gouvernement de repousser jusqu'en 2028 "la question de l'adhésion à l'Union européenne" a mis le feu aux poudres, provoquant une vague de manifestations à Tbilissi et d'autres villes.

Arborant des drapeaux européens, des manifestants soufflaient lundi soir dans des trompettes et portaient des bannières avec des slogans anti-gouvernementaux, selon des reporters de l'AFP.

Des canons à eau ont été stationnés sur la place de la Liberté, à environ 500 mètres du Parlement.

Luka, un manifestant de 24 ans, juge "inacceptable" qu'un gouvernement qui se maintient au pouvoir "via des élections frauduleuses" suspende le rapprochement vers l'UE.

"Ils n'ont pas le droit de prendre nos libertés, ni de dicter la politique étrangère de la Géorgie", dit cet employé d'une ONG.

Pendant la journée, la municipalité a terminé l'installation d'un sapin de Noël sur le trottoir en face du Parlement, là où se réunissent les protestataires.

Elle a retiré des photos de victimes présumées de violences policières qui avaient été accrochées par des manifestants sur la structure métallique entourant le sapin.

Keso, un étudiant de 18 ans, juge "irrespectueux" une telle installation. "Les gens sont là pour protester, il n'y pas de Noël pour nous", peste-t-il, en estimant que le mouvement allait triompher car il défend "la liberté".

Tabassages et répression

Les rassemblements ont pour la plupart été dispersés par la police à coups de canons à eau et de gaz lacrymogène, tandis que certains manifestants ont tiré des feux d'artifice et jeté des pierres sur les forces de l'ordre.

Selon le ministère de l'Intérieur, plus de 400 manifestants ont été interpellés depuis le 28 novembre, la plupart pour "désobéissance" ou "vandalisme", mais "plus de 30" pour des délits tels qu'incitation à la violence.

De multiples cas de violences policières contre des manifestants et des journalistes ont été documentés par des ONG et l'opposition, une répression dénoncée par les partenaires occidentaux de Tbilissi.

Lundi, le gouvernement britannique a condamné les "scènes choquantes de violence" à l'encontre des manifestants, annonçant suspendre "tout programme de soutien" à Tbilissi.

Malgré ces condamnations, le gouvernement refuse de reculer.

Ces derniers jours, le pouvoir a musclé sa rhétorique envers le mouvement, le Premier ministre Irakli Kobakhidzé promettant "d'anéantir" ses détracteurs, qu'il accuse de "libéralo-fascisme".

Malgré sa décision de report, son gouvernement assure toujours vouloir intégrer l'UE à l'horizon 2030 et accuse l'opposition et les manifestants de viser une révolution et d'être financés depuis l'étranger.

Lundi, Irakli Kobakhidzé a loué l'action de la police, en répétant avoir empêché une tentative de révolution et en affirmant que le mouvement n'était pas significatif.

Le ministère de l'Intérieur a pour sa part annoncé avoir arrêté cinq personnes dans la ville côtière de Batoumi (ouest), en lien avec une manifestation s'y étant tenu le 3 décembre.

Ils sont accusé de violences et risquent deux ans de prison. Parmi eux se trouve un doyen d'université qui faisait partie d'un groupe ayant tenté d'accrocher une banderole soutenant le mouvement sur son établissement.

Auparavant la police avait perquisitionné plusieurs bureaux de partis d'opposition et arrêté au moins trois de leurs meneurs, dont le chef du parti Akhali Nika Gvaramia, battu et condamné à 12 jours de prison.

Au pouvoir depuis 2012, le gouvernement du parti dirigeant, Rêve géorgien, a adopté ces derniers mois des lois ciblant les ONG et les personnes LGBT+, dénoncées comme liberticides par leurs détracteurs.

L'opposition affirme que ces textes sont des copies de législations utilisées en Russie pour écraser la société civile et les voix dissidentes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Continuer la lecture

Derniers titres

Publicité

L'info en continu

InternationalIl y a 38 minutes

Syrie: des corps torturés dans un hôpital, affirment les rebelles

Une quarantaine de corps portant des traces de torture ont été retrouvés dans la morgue d'un hôpital près de Damas,...

InternationalIl y a 1 heure

Plus de 75 prix Nobel opposés à Kennedy comme ministre de la santé

Plus de 75 lauréats de prix Nobel ont adressé lundi une lettre ouverte exprimant leur...

CultureIl y a 2 heures

Recherches Google: championnat d'Europe de foot et Nemo en tête

L'Euro de football en Allemagne et le chanteur non-binaire Nemo, vainqueur de l'Eurovision, ont été...

SuisseIl y a 4 heures

Une rente de cinq ans grâce à l'Eurodreams

Une personne chanceuse a décroché une rente mensuelle de 2222 francs durant cinq ans grâce...

CultureIl y a 5 heures

Une pièce romaine à l'effigie de Brutus vendue 1,84 million

Une rarissime pièce romaine à l'effigie de Brutus, le plus célèbre des assassins de Jules...

GenèveIl y a 5 heures

Syriens de Genève: "J'ai cru à un rêve"

Les Syriens de Genève ne cachent pas leur émotion après la chute du régime de...

PolitiqueIl y a 7 heures

Les fonctionnaires vaudois réclament un rattrapage salarial de 5%

Pas loin d'une centaine de fonctionnaires des services public et parapublic vaudois se sont rassemblés...

InternationalIl y a 7 heures

Des milliers de proches de détenus devant la prison de Saydnaya

Des milliers de personnes sont massées lundi soir devant la sinistre prison de Saydnaya, à...

PolitiqueIl y a 7 heures

Le Parlement confirme les 15 millions à l'Euro de football féminin

La Confédération devra soutenir l'Euro de football féminin organisé en Suisse en 2025 à hauteur...

GenèveIl y a 7 heures

La Cannabinothèque de Vernier souffle sa première bougie

Il y a un  an la Cannabinothèque, premier point de vente régulé de chanvre dans...