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Politique

Mauvaise projection AVS: conséquences sur le personnel pas exclues

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La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider a réagi mardi depuis La Chaux-de-Fonds aux révélations sur les erreurs de calcul sur la situation financière de l'AVS. (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

La conseillère fédérale Elisabeth Baume-Schneider n'exclut pas des conséquences au niveau du personnel suite aux mauvaises projections de l'AVS. Elle veut présenter de manière transparente, une fois l'enquête administrative terminée, comment l'erreur a pu se produire.

Déjà à la mi-mai, l'Office fédéral des assurances sociales a commencé à avoir des soupçons. Mais la ministre n'en a eu connaissance que deux mois plus tard, a-t-elle indiqué jeudi dans une interview à la radio SRF.

Mardi, elle avait déjà dit que la transparence était très importante pour elle, lorsqu'elle avait été interrogée par Keystone-ATS en marge de La Plage des Six Pompes à La Chaux-de-Fonds (NE). C'est pourquoi elle a lancé une enquête administrative, afin de comprendre comment les difficultés et les erreurs dans les calculs se sont produites.

"Il s'agira de comprendre quand les erreurs sont apparues, pour être crédible et prendre des décisions", a déclaré la Jurassienne. Et d'insister sur la nécessité de rétablir la confiance des Suisses dans les assurances sociales.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Davantage de répression contre les Iraniennes (enquêtrices)

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Les membres de la Mission internationale d'établissement des faits sur l'Iran demandent aux Etats de poursuivre les responsables de violations contre les femmes iraniennes qui seraient dans leur pays (archives). (© KEYSTONE/VALENTIN FLAURAUD)

La répression contre les Iraniennes a augmenté depuis avril, selon la Mission internationale d'établissement des faits sur l'Iran. Le gouvernement souhaite éliminer leurs droits fondamentaux et "écraser" ce qui reste de leur activisme, a-t-elle dit vendredi à Genève.

Dans son rapport il y a quelques mois, la mission avait estimé que des actes équivalant à des crimes contre l'humanité avaient été perpétrés dans la répression des manifestants après le décès de la jeune Mahsa Amini en 2022. Celle-ci était décédée dans un commissariat après avoir été arrêtée pour avoir mal porté le voile islamique.

Les trois enquêtrices, qui ne s'expriment pas au nom de l'ONU, avaient alors évoqué des meurtres, des emprisonnements, des actes de torture, des viols et d'autres formes de violences sexuelles, des persécutions, des disparitions forcées et d'autres actes inhumains.

Vendredi, elles ont dénoncé le plan national annoncé en avril par le chef de la police de Téhéran, qui "encourage, autorise et soutient des violations des droits humains des femmes qui bafouent la règle du voile obligatoire". Dès le premier jour, environ 500 femmes auraient été arrêtées, selon les médias iraniens.

"Les forces de sécurité ont encore augmenté les modèles de violences physiques en vigueur", affirme la mission qui a pu évaluer des vidéos. De même, la surveillance du port du voile s'est étendue, y compris par des drones.

La mission avait déjà alerté sur un projet de loi, qui pourrait être approuvé prochainement, qui prévoit des "amendes exorbitantes, de longues peines de prison" et d'autres restrictions contre les femmes qui violent les règles. Elle demande que celui-ci ne soit pas validé et se dit "très inquiète" d'indications de peines capitales contre des femmes activistes.

Elle appelle de nouveau à mettre un terme aux exécutions et à la libération des détenus arbitraires. Elle demande aux autres pays de poursuivre les responsables de toutes ces violations qui seraient présents sur leur territoire. Et d'accueillir les personnes qui ont été blessées ou sont ciblées par le régime iranien.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

La Corée du Nord montre une installation d'uranium enrichi

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Kim Jong Un a appelé à un renforcement des capacités d'enrichissement d'uranium en Corée du Nord (© KEYSTONE/AP KCNA via KNS)

La Corée du Nord a publié pour la première fois vendredi des images de ses installations d'enrichissement d'uranium, à l'occasion d'une visite de Kim Jong Un qui a appelé à un renforcement des capacités d'enrichissement du pays.

Le dirigeant nord-coréen "a souligné la nécessité d'augmenter encore le nombre de centrifugeuses afin d'accroître de manière exponentielle les armes nucléaires d'autodéfense", a rapporté un média d'Etat, en publiant des images de Kim Jong Un en train d'inspecter des rangées de ces appareils destinés à l'enrichissement d'uranium.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Des crédits de plus de 27 millions pour rénover des stades

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Le centre sportif du Bout-du-Monde à Champel, qui accueille régulièrement des championnats suisses d'athlétisme, devrait être rénové (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

Le Conseil administratif de la Ville de Genève veut rénover ses infrastructures sportives extérieures. Il va proposer au Conseil municipal neuf crédits d'un total de plus de 27 millions de francs pour redonner une jeunesse à ses stades et à ses centres sportifs.

Les rénovations visent les centres sportifs du Bout-du-Monde, de Vessy, du Bois-des-Frères, de Varembé, les stades des Libellules, du Bois-de-la-Bâtie, de Richemont et de Belle-Idée, indique jeudi le Conseil administratif dans un communiqué. Le calendrier des travaux s'étend jusqu'en 2030.

La Ville de Genève dispose actuellement de quinze terrains extérieurs en gazon synthétique, utilisés à l’année par plus de 82 associations principalement pour le football, mais aussi pour le rugby, le football américain et le hockey sur gazon. Les pistes d'athlétisme sont également très sollicitées.

Face à la forte demande, la solution du terrain synthétique s’avère être la plus optimale pour une exploitation annuelle, souligne la Municipalité. Les rénovations envisagées visent également à répondre aux exigences des différentes fédérations sportives pour accueillir des compétitions officielles.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Genève

Genève va profiter du tournoi pour promouvoir le sport féminin

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Genève, qui va accueillir cinq matchs de l'Euro féminin 2025, entend profiter de cet important tournoi pour promouvoir le sport féminin. L'équipe de Suisse, ici la joueuse Lydia Andrade, sera de la partie (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Genève va accueillir cinq matchs de l'Euro féminin 2025 de football. Le canton et la Ville veulent profiter de ce tournoi pour promouvoir le sport féminin. La campagne "Changeons la donne!" vise à atteindre une répartition plus équitable des femmes dans le sport.

Genève fait partie des huit villes suisses qui accueilleront, du 2 au 27 juillet, le plus grand événement sportif féminin au monde, s'est réjoui jeudi devant les médias le conseiller d'Etat Thierry Apothéloz, en charge des Sports. Près de 100'000 spectateurs sont attendus au Stade de Genève, où se disputeront notamment un quart de finale et une demi-finale.

Pour l'Etat, la Ville et l'Association genevoise des sports (AGS), cet événement d'envergure doit être un moteur de changement durable pour les femmes. Des actions seront menées dans les écoles et dans le Village du sport qui sera installé près de la Fanzone. Et alors que les comités des clubs ne sont composés que de 27% de femmes, la campagne "Changeons la donne!" de l'AGS vise à atteindre 40% d'ici à 2026.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Infox sur Brigitte Macron: deux femmes condamnées pour diffamation

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Les deux femmes qui ont fait courir de fausses rumeurs sur l'épouse du président de la République française ont été condamnées à des amendes avec sursis et devront verser des dommages et intérêts pour diffamation (Archives). (© KEYSTONE/EPA REUTERS POOL/STEPHANIE LECOCQ / POOL)

Deux femmes qui avaient propagé sur internet la rumeur selon laquelle l'épouse du président français Brigitte Macron était une femme transgenre, infox devenue virale jusqu'aux Etats-Unis, ont été condamnées jeudi par un tribunal parisien pour diffamation.

Les deux femmes ont été condamnées à une amende de 500 euros avec sursis, ainsi qu'au paiement d'un total de 8000 euros de dommages et intérêts à Brigitte Macron, et 5000 euros à son frère Jean-Michel Trogneux, tous deux parties civiles au procès, qui s'était tenu en juin dernier.

Brigitte Macron, absente lors du procès, n'était pas non plus présente pour la décision.

Au coeur du dossier, une infox ressurgissant régulièrement sur les réseaux sociaux depuis l'élection d'Emmanuel Macron en 2017, selon laquelle Brigitte Macron, née Trogneux, n'aurait jamais existé, mais que son frère Jean-Michel aurait pris cette identité après avoir changé de sexe.

Les deux femmes avaient largement contribué à la faire connaître en 2021, via une longue "interview" de plus de quatre heures dans laquelle la première, la "médium" Amandine Roy, interrogeait sur sa chaîne YouTube la seconde, Natacha Rey, "journaliste indépendante autodidacte" sur la découverte de cette "tromperie", "escroquerie", de ce "mensonge d'Etat".

Natacha Rey, malade, n'avait pas pu se présenter à l'audience et s'était vu refuser une demande de report du procès. Elle n'était pas présente pour le délibéré, qui a attiré près d'une centaine de personnes, dont une grande partie est restée à l'extérieur de la salle d'audience faute de place.

Série de victimes de rumeurs transphobes

Dans l'entretien de quatre heures diffusé sur YouTube, les deux femmes diffusaient des photos de Brigitte Macron et de sa famille, évoquaient des interventions chirurgicales qu'elle aurait subies, prétendant qu'elle ne serait pas la mère de ses trois enfants, et donnaient des informations personnelles sur son frère.

Brigitte Macron avait porté plainte pour diffamation publique avec constitution de partie civile le 31 janvier 2022, conduisant à un renvoi (quasi automatique en droit de la presse) des deux femmes devant le tribunal correctionnel.

La fausse information avait connu un écho plus important après la vidéo Youtube, s'exportant même à l'international, notamment et encore récemment aux Etats-Unis, où elle est devenue virale à l'extrême droite, en pleine campagne présidentielle.

Plusieurs femmes politiques dans le monde ont déjà fait les frais d'infox à caractère transphobe, comme l'ex-première dame des Etats-Unis Michelle Obama, l'actuelle vice-présidente américaine Kamala Harris ou l'ancienne première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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