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Politique

Les caravanes ont quitté le Chalet-à-Gobet pour Yverdon

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Les gens du voyage ont quitté le Chalet-à-Gobet pour Yverdon. (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Les négociations ont finalement abouti entre le canton de Vaud et les gens du voyage qui s'étaient installés jeudi soir au Chalet-à-Gobet, sur les hauts de Lausanne. Les 43 caravanes présentes sur place ont accepté de partir pour Yverdon.

Le convoi a levé le camp vers 15h30 après de "longues heures de palabres", a indiqué le nouveau délégué cantonal pour les relations avec les gens du voyage, Laurent Curchod, interrogé par Keystone-ATS.

Pour les accueillir, un accord a été trouvé avec la Ville d'Yverdon pour quatre semaines, sur une parcelle à proximité d'Y-Park. "Il s'agit d'une solution provisoire", a souligné M. Curchod.

Pour l'autre convoi arrivé jeudi à Lausanne, la situation est aussi réglée pour quelques semaines au moins. Les 25 caravanes ont été installées à Montheron, au nord de Lausanne, sur le parking du Centre de formation des sapeurs-pompiers de La Rama.

La Ville de Lausanne a relevé à Keystone-ATS que la mise à disposition de cette parcelle est prévue pour trois mois, sans prolongation.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Mobilité

Mobilisation lémanique contre les méga-autoroutes

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Quelques centaines de manifestants ont protesté samedi à Lausanne contre les projets d'extensions d'autoroutes soumis au vote le 24 novembre prochain. (© KEYSTONE/LAURENT GILLIERON)

Deux manifestations simultanées se sont déroulées samedi après-midi à Lausanne et à Genève pour dire non aux projets d'extension des autoroutes soumis au vote le 24 novembre. Plusieurs centaines de participants ont répondu à l'appel de 22 organisations.

Après des manifestations en août en Suisse Alémanique, Lausanne et Genève ont réuni les opposants à des "projets inutiles, archaïques, imposés et destructeurs", selon les mots de Steven Tamburini du mouvement citoyen "Agissons" à Lausanne.

"Toutes ces tunes pour du bitume", "Qui sème les routes récolte le trafic", "+44'000 véhicules sur l'A1: non", pouvait-on lire sur des pancartes, tandis que des sonos diffusaient des sons d'autoroute. "Alberrration, démission", "Du fric, du fric pour les transports publics", ont scandé les manifestants en défilant.

Les deux manifestations se sont déroulées dans le calme. Selon les organisateurs, un millier de personnes au total sont descendues dans la rue. La police a estimé ce chiffre à 250 pour Lausanne et 200 pour Genève.

Six projets soumis au vote

Les cortèges étaient organisés par actif-trafiC, ATE, PRO VELO, AG!SSONS, Greenpeace, Alliance Climatique Suisse,Grands-parents pour le Climat, Uniterre, WWF Genève, Pro Natura Genève, Association Climat Genève, Syndicat SIT, CGAS, solidaritéS, Ensemble à Gauche, Les Vert·e·s, Parti Socialiste, Jeunesse Socialiste, Jeunes Vert·exs, Jeunes Vert’Libéraux GE, Décroissance-alternatives, Solidarité et Écologie.

Pour mémoire, ces associations, partis et collectifs dénoncent l'élargissement des autoroutes qui ne fera que générer davantage de trafic. Ces projets à 5,3 milliards de francs vont aussi contribuer à asphalter le territoire, des zones agricoles, de nature et des forêts et à produire davantage d'émissions. Ils rendront la nouvelle voie CFF pratiquement irréalisable, déplorent les opposants.

Au total, six projets d'extensions autoroutières sont soumis au vote le 24 novembre dans le cadre d'un référendum. Le projet Le Vengeron (GE) - Coppet (VD) - Nyon (VD) est le seul en Suisse romande.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'armée israélienne dit préparer sa réponse à l'Iran

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De la fumée s'élève à la suite d'un bombardement israélien samedi dans le sud du Liban, vue depuis le nord d'Israël. (© KEYSTONE/AP/Leo Correa)

Israël prépare une réponse à l'attaque de missiles lancée sur son territoire par l'Iran, a annoncé samedi un responsable militaire, à l'heure où l'armée israélienne mène de nouvelles frappes contre le Hezbollah au Liban et le Hamas à Gaza, alliés de Téhéran.

L'attaque iranienne de mardi, la deuxième depuis avril, et la menace de riposte israélienne, ont attisé les craintes d'un embrasement au Moyen-Orient.

Israël y "prépare une réponse", a indiqué à l'AFP un responsable militaire israélien sous couvert d'anonymat, deux jours avant le 1er anniversaire de l'attaque sans précédent du mouvement islamiste palestinien Hamas sur le sol israélien, le 7 octobre 2023 qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

Après avoir affaibli le Hamas lors d'une offensive dévastatrice de représailles toujours en cours dans le territoire palestinien assiégé, Israël a déplacé mi-septembre l'essentiel de ses opérations vers le front libanais, ouvert par le Hezbollah en soutien au Hamas au début de la guerre à Gaza.

Ses forces y ont engagé lundi une opération terrestre contre le Hezbollah dans le sud du Liban, fief du mouvement libanais et frontalier du nord d'Israël. Neuf soldats y sont morts.

L'armée, qui a affirmé y mener des raids "limités, localisés et ciblés", a indiqué avoir tué des combattants du Hezbollah et localisé entrepôts d'armes et tunnels souterrains.

Le mouvement libanais a rapporté samedi des affrontements avec des soldats dans cette région.

Il a aussi annoncé le tir de roquettes sur une base aérienne près de Haïfa, dans le nord d'Israël, à environ 45 km de la frontière. L'armée israélienne fait état de tirs réguliers visant son territoire.

"De plus en plus fortes"

De nouvelles frappes israéliennes ont également secoué la banlieue sud de Beyrouth après des raids nocturnes, selon l'agence de presse libanaise ANI.

L'armée israélienne, qui a lancé le 23 septembre des bombardements massifs principalement contre les fiefs du Hezbollah dans l'est et le sud du Liban ainsi que dans la banlieue au Liban, a appelé les habitants à évacuer certains secteurs.

Dans la matinée, des flammes s'échappaient d'immeubles touchés, dont certains effondrés dans la banlieue sud, où des habitants venaient à la hâte rassembler quelques affaires, a constaté un photographe de l'AFP.

Dans un quartier voisin, Abou Abbas, un restaurateur de 62 ans s'affirme déterminé à rester chez lui malgré les frappes "de plus en plus fortes chaque nuit et le bruit des raids".

L'armée a aussi indiqué avoir bombardé dans la nuit des combattants du Hezbollah "à l'intérieur d'une mosquée" dans le sud du Liban.

Selon le Hamas, un de ses commandants et de trois membres de sa famille ont été tués dans une frappe israélienne sur un camp de réfugiés palestiniens près de Tripoli dans le nord du Liban, la première dans cette région depuis un an.

La veille, l'armée israélienne a pilonné la banlieue sud de la capitale, visant, selon le site d'information israélien Ynet, Hachem Safieddine, potentiel successeur à la tête du mouvement de Hassan Nasrallah, tué le 27 septembre dans un raid israélien sur ce secteur.

"Crise terrible"

Selon Téhéran, les quelque 200 missiles tirés mardi vers Israël constituaient une réponse "légitime" à l'assassinat de Hassan Nasrallah et à la mort le 31 juillet d'Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas, tué dans une explosion à Téhéran imputée à Israël.

Vendredi, le guide suprême d'Iran, Ali Khamenei, a prévenu que ses alliés poursuivraient le combat contre Israël.

Le président américain Joe Biden a déconseillé à Israël de s'en prendre aux sites pétroliers iraniens, son prédécesseur et candidat républicain à sa succession, Donald Trump, suggérant des frappes sur les installations nucléaires de l'Iran.

Au Liban, l'escalade intervient après douze mois d'échanges de tirs transfrontaliers qui ont déplacé des dizaines de milliers d'habitants des deux côtés de la frontière.

D'après les autorités, plus de 2000 personnes ont été tuées au Liban depuis octobre 2023, dont plus d'un millier depuis le 23 septembre. Environ 1,2 million de personnes ont été déplacées.

Au moins quatre hôpitaux au Liban ont suspendu leur activité en raison des frappes.

"Le Liban traverse une crise terrible", a déclaré le Haut-Commissaire de l'ONU pour les réfugiés (HCR), Filippo Grandi, en visite à Beyrouth.

Frappes meurtrières à Gaza

Dans la bande de Gaza, affamée et ravagée par 12 mois de guerre et dont l'immense majorité des quelque 2,4 millions d'habitants ont été déplacés, 12 personnes, dont des enfants, ont été tuées par des frappes israéliennes, selon des sources médicales et la Défense civile.

L'armée israélienne a lancé samedi un appel à évacuer aux habitants d'une partie du centre du territoire, indiquant se préparer à y agir "avec force" contre le Hamas.

Depuis le début de la guerre, 41'825 personnes ont été tuées à Gaza, selon le dernier bilan du ministère de la Santé du gouvernement du Hamas, dont les données sont considérées fiables par l'ONU.

Sur ces deux fronts, "nous sommes en train de gagner", s'est récemment prévalu le Premier ministre Benjamin Netanyahu.

Il doit prononcer lundi un discours à la nation pour commémorer l'attaque du Hamas, dont le bilan s'élève à 1205 morts, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP réalisé à partir de données officielles israéliennes. Sur les 251 personnes enlevées durant l'attaque, 97 sont toujours otages à Gaza, dont 33 déclarées mortes par l'armée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Le Grand Conseil genevois freine sur le 30 km/h

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La saga sur l'instauration d'un 30 km/h généralisé sur poursuit dans le canton de Genève (photo d'illustration). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Le 30 km/h continue de faire débat dans le canton de Genève. La majorité de droite du Grand Conseil, opposé à une généralisation de cette limitation de vitesse, a exigé vendredi soir une modification de la loi sur la mobilité cohérente et équilibrée (LMCE).

Présenté début 2022, le plan du Conseil d'Etat contre le bruit routier prévoyait initialement une limitation à 30 km/h sur près de 300 axes, certains de jour comme de nuit, d'autres uniquement de nuit.

Une vingtaine d'axes ont ensuite été dispensés à la suite d'un accord, l'automne dernier, entre le Département des mobilités et plusieurs associations du lobby routier, qui avaient fait recours contre le projet initial. D'autres recours restent toutefois pendants, retardant l'entrée en vigueur.

Sur le plan politique, les partis de droite souhaitent revoir cette LMCE qui, selon eux, manque de "cohérence". Le rapporteur de majorité, le PLR Pascal Uehlinger, a expliqué vendredi soir que cette modification de loi visait notamment à ne pas instaurer "dogmatiquement" le 30 km/h dans certaines zones, où des tronçons pourraient ainsi rester à 50 km/h.

Plusieurs membres de la gauche se sont vivement opposés à ces modifications, évoquant "un recours déguisé" ou encore un "détricotage" de la stratégie contre le bruit routier. Le socialiste Matthieu Jotterand a notamment critiqué "l'obsession de la droite à défendre le 50 km/h, comme si c'était un intérêt vital", alors que 120'000 Genevois subissent un niveau de bruit qui dépasse les normes fédérales, a-t-il expliqué.

"D'un autre âge"

Le conseiller d'Etat Pierre Maudet, qui a repris un dossier initié par son prédécesseur Serge dal Busco, s'est aussi opposé au projet de loi de la droite, issu selon lui "d'un autre âge". Il "rigidifie tout" en ne permettant pas, par exemple, d'adapter la vitesse en fonction de l'heure la journée, a-t-il soutenu.

Au vote, la majorité de droite l'a emporté, l'entrée en matière ayant été acceptée par 49 députés, contre 42 refus. Pierre Maudet a toutefois refusé de demander le troisième débat, reportant ainsi le vote final.

Plusieurs autres objets liés au 30 km/h sont ensuite passés entre les mains du Grand Conseil. Un nouveau projet de loi soutenu par l'UDC et le MCG, souhaitant lutter "contre une mobilité délirante et déséquilibrée", a été présenté afin de largement limiter l'usage du 30 km/h.

Cette fois-ci, le PLR n'a pas suivi un projet jugé "excessif" et les propositions de l'UDC et du MCG ont été largement écartées par 63 députés, contre 28 voix favorables.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Politique

Manifestation pour le climat à Zurich

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Quelques centaines de personnes ont participé à une manifestation pour le climat vendredi soir à Zurich. (© Oliver Graf)

Plusieurs centaines de personnes se sont réunies vendredi soir à Zurich pour "une grève du climat". Elles ont appelé à un changement complet de système.

Le système capitaliste se base sur une croissance sans fin, mais ne profite qu'à peu de gens, constatent les organisateurs. Cela se fait au détriment des personnes et de leur environnement.

Les manifestants appellent à lutter ensemble pour un changement de système, car la crise climatique touche le plus durement ceux qui sont déjà les plus exploités. Les luttes féministes, anticolonialistes et anticapitalistes doivent s'unir dans ce but.

Les participants se sont regroupés en différents blocs, comme le "bloc écosocialiste" ou le "bloc queerféministe". Après une marche à travers le centre-ville de Zurich, tout le monde s'est retrouvé vers 20h sur l'Helvetiaplatz pour une grève du climat.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Culture

Macron plaide pour un espace francophone uni face aux crises

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Le président français Emmanuel Macron était volontiers lyrique lors de son discours donné depuis Villers-Cotterets, en France. (© KEYSTONE/AP/Ludovic Marin)

Conflits, internet, intelligence artificielle: Emmanuel Macron a martelé vendredi que la Francophonie était un "espace d'influence" et plaidé pour que ses membres portent "ensemble une diplomatie" qui défende partout la "souveraineté et l'intégrité territoriale".

"La Francophonie est un espace d'influence diplomatique qui nous permet d'embrasser les enjeux du siècle", a déclaré le président français à l'ouverture du 19e Sommet de la Francophonie à la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts, à 60 kilomètres au nord de Paris.

"Elle est un lieu où nous pouvons ensemble porter une diplomatie qui défend la souveraineté et l'intégrité territoriale partout à travers la planète", a-t-il ajouté devant des dizaines de chefs d'État et de gouvernement, de l'Afrique à la région Indo-Pacifique.

"Qui porte le même discours aux côtés de l'Ukraine agressée aujourd'hui, menacée dans ses frontières et dans son intégrité territoriale par la guerre d'agression russe", a-t-il insisté, alors que nombre de pays du Sud ont refusé de condamner l'offensive russe contre son voisin.

"Mais qui défend une vision où il n'y a pas de place pour les doubles standards, où toutes les vies se valent pour tous les conflits à travers le monde", a-t-il poursuivi, le Sud dénonçant régulièrement des doubles standards de l'Occident dans la gestion des crises internationales. "Il ne pourra y avoir de paix au Proche-Orient sans solution à deux États", a réitéré le président, évoquant aussi le Liban "aujourd'hui bousculé dans sa souveraineté et sa paix".

"Pas d'immixtion"

Faisant allusion, sans les citer, à la Chine et la Corée du Nord, Emmanuel Macron a aussi plaidé pour une région Indo-Pacifique "apaisée", "où nulle puissance ne saurait remettre en cause la paix par des provocations territoriales ou quelque reprise d'essais que ce soit".

L'Organisation internationale de la francophonie (OIF) compte 88 États et gouvernements membres. Elle se réunit pour la première fois depuis 33 ans en sommet en France, siège de l'organisation. La présidente de la Confédération, Viola Amherd, était présente. La Suisse tire un grand bénéfice de ce réseau, a-t-elle écrit sur X.

"Sur cette langue, jamais le soleil ne se couche", a lancé le président français, volontiers lyrique, en évoquant au passage l'université Senghor, qui forme des cadres en français à Alexandrie en Égypte.

Le Premier ministre tunisien Kamel Madouri, dont le pays avait organisé le précédent sommet de l'OIF en 2022, a convenu que la communauté francophone devait "jouer son rôle dans la recherche de solutions aux crises". "Cependant, nous rejetons toute immixtion dans les affaires internes des pays, le principe de respect mutuel et de la souveraineté des États est sacro-saint à nos yeux", a-t-il lancé.

Dénonçant un "génocide" à Gaza, avec l'offensive israélienne en cours en réaction aux massacres perpétrés par le Hamas le 7 octobre en Israël, et les actions militaires d'Israël au Liban, il a surtout insisté de son côté pour que l'OIF s'exprime en faveur d'un "cessez-le-feu immédiat" au Proche-Orient.

La secrétaire générale de l'OIF Louise Mushikiwabo a appelé pour sa part au retour dans "la famille francophone" du Mali, du Niger du et Burkina Faso, suspendus depuis l'arrivée de juntes au pouvoir dans ces trois pays du Sahel.

"Pas la Françafrique"

L'OIF s'est progressivement muée en un "bloc" politique à l'influence encore "modeste" mais croissante, a-t-elle également souligné dan un entretien avec l'AFP. Elle a en revanche réfuté toute domination de l'organisation par la France. "La Francophonie n'est pas la Françafrique et la Francophonie n'est pas la France", a-t-elle asséné.

Les pays membres de l'OIF ont lancé "l'Appel de Villers-Cotterêts", invitant les grands acteurs du numérique à "bâtir un espace plus sûr et plus divers" sur internet et à "lutter contre tous les discours de haine". La Francophonie doit aussi être au rendez-vous de l'intelligence artificielle, a pointé Emmanuel Macron.

Le président français a aussi annoncé le lancement d'une "collection d'oeuvres littéraires de référence de la Francophonie qui seront rendus disponibles en plusieurs langues", en arabe pour commencer, et "distribués sous format papier à deux dollars".

Il a invité les jeunes entrepreneurs à compter sur le français comme vecteur dans les relations commerciales alors que le nombre de francophones - plus de 300 millions de personnes actuellement - devrait doubler dans les prochaines décennies, et évoqué le prochain lancement d'une Alliance francophone de la propriété intellectuelle.

En 2025, la Cité de Villers-Cotterêts deviendra "un laboratoire d'excellence pour former des enseignants du et en français, de futurs cadres francophones de l'éducation, des traducteurs, des interprètes tout en accueillant en résidence chercheurs et experts en didactique", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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