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Donald Trump accusé de "complot" pour "truquer" l'élection de 2016

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"C'est un simulacre" de procès, a dénoncé Donald Trump. (© KEYSTONE/AP/Stefan Jeremiah)

Donald Trump a fomenté un "complot" pour "truquer" l'élection présidentielle de 2016 en achetant le silence d'une ancienne star du X sur une relation sexuelle, ont accusé lundi les procureurs au procès historique de l'ancien président des Etats-Unis.

En présentant les charges devant le jury à l'ouverture des débats, l'accusation a d'emblée voulu poser les enjeux de l'affaire et montrer qu'elle va bien au-delà des 34 chefs de falsification de documents comptables reprochés au candidat républicain à la présidentielle de 2024.

Donald Trump a "orchestré un complot criminel pour truquer l'élection présidentielle de 2016" puis a "menti dans des documents comptables, encore et encore" pour le "dissimuler", a accusé l'un des procureurs, Matthew Colangelo, sous les yeux du milliardaire, impassible et silencieux.

"C'est de la fraude électorale, purement et simplement", a asséné le procureur devant les 12 jurés.

Selon l'accusation, ces falsifications ont permis de dissimuler, sous couvert de "frais juridiques", le paiement par l'ancien avocat de Donald Trump, Michael Cohen, de 130'000 dollars à Stormy Daniels, juste avant l'élection de 2016 remportée par Donald Trump.

L'argent avait servi à acheter le silence de l'ancienne actrice sur une relation sexuelle qu'elle affirmait avoir eu dix ans plus tôt avec le milliardaire républicain, alors qu'il était marié à son épouse Melania. Donald Trump a toujours nié toute aventure avec Stormy Daniels.

"Triste pour l'Amérique"

"Où est le crime dans tout ce qui vous a été décrit?", a balayé l'avocat de Donald Trump, Todd Blanche, en réponse à l'accusation.

Qualifiant les documents comptables au coeur de l'affaire de "morceaux de papiers, rien d'autre", il a assuré que "le président Trump n'avait rien à voir avec ces 34 morceaux de papier, à part le fait qu'il les a signés pendant qu'il était à la Maison Blanche, pendant qu'il dirigeait le pays".

"Il n'y a rien d'illégal à vouloir influencer une élection. Cela s'appelle la démocratie", a ajouté Todd Blanche, pour qui Donald Trump est "totalement innocent".

Le candidat républicain à la présidentielle de novembre était arrivé au tribunal en dénonçant comme à son habitude "une chasse aux sorcières" politique. "C'est un jour très, très, triste pour l'Amérique", a-t-il lancé avant d'entrer dans la salle d'audience.

Peine de prison possible

L'affaire menace Donald Trump d'une possible peine de prison à quelques mois du scrutin présidentiel du 5 novembre, où il affrontera Joe Biden.

Lors du procès, l'accusation entend montrer que les paiements dissimulés à Stormy Daniels n'étaient pas le seuls et qu'ils faisaient partie d'une stratégie plus large pour étouffer des affaires avec de l'argent et cacher des informations embarrassantes aux électeurs lors du scrutin remporté sur le fil par Donald Trump contre Hillary Clinton.

Premier témoin à s'avancer à la barre lundi, l'ancien patron de presse David Pecker, qui dirigeait à l'époque le tabloïd américain "The National Enquirer", devait raconter comment il s'était mis à la disposition de la campagne de Donald Trump en achetant des informations sensibles, pour en détenir l'exclusivité puis ne pas les publier, un procédé connu sous le nom de "catch and kill".

Peu après le début du témoignage de David Pecker, l'audience a été suspendue à la mi-journée jusqu'à mardi.

Crédibilité

Les jurés seront aussi confrontés aux témoignages de Stormy Daniels et de l'ancien avocat de Donald Trump, Michael Cohen, devenu l'un de ses pires ennemis. C'est lui qui avait payé l'actrice -- à la demande de son patron, assure-t-il -- avec ses propres deniers, et il a déjà été condamné par la justice dans cette affaire.

La défense a commencé à pilonner la crédibilité de ce témoin, également condamné pour mensonges devant le Congrès. "Il est obsédé par le président Trump, et son désir de voir le président Trump aller en prison (...) Et il a admis avoir menti sous serment", a attaqué Todd Blanche.

Donald Trump fustige un dossier vide et une persécution politique en multipliant les invectives contre le juge Juan Merchan et le procureur Alvin Bragg. Les procureurs ont demandé au juge de le sanctionner pour avoir violé l'interdiction de s'en prendre aux témoins et aux jurés, une question qui sera débattue mardi.

La présence obligatoire de Donald Trump à ses audiences l'empêche de mener campagne normalement, pendant que son rival Joe Biden tente de marquer des points en labourant le terrain.

Les enjeux sont d'autant plus importants que ce procès pourrait être le seul, parmi les quatre affaires pénales qui visent Donald Trump, à se conclure avant la présidentielle.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

La Russie dit avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens

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32 drones interceptés se dirigeaient vers Moscou, selon la Russie (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAXYM MARUSENKO)

La Russie a indiqué jeudi avoir abattu dans la nuit 287 drones ukrainiens. Il s'agit de l'une des attaques les plus massives de l'armée ukrainienne en bientôt quatre ans d'offensive russe.

Sur les drones "interceptés et abattus" par la défense antiaérienne russe, 32 se dirigeaient vers Moscou, a précisé le ministère russe de la défense dans un communiqué sur le réseau social Telegram.

En raison des attaques de drones visant la capitale russe, rarement prise pour cible, des restrictions temporaires ont été mises en place dans les quatre aéroports moscovites - Cheremetievo, Domodedovo, Vnoukovo et Joukovski -, selon l'agence fédérale du transport aérien Rosaviatsia. Des dizaines de vols y ont été annulés, reportés ou redirigés vers d'autres aéroports, selon les agences de presse russes.

Cette annonce intervient alors l'Ukraine a remis mercredi aux Etats-Unis sa version mise à jour du plan pour mettre fin à la guerre avec la Russie, selon de hauts responsables ukrainiens.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Combats Cambodge-Thaïlande: pas de répit avant l'appel de Trump

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La reprise des combats entre le Cambodge et la Thaïlande en début de semaine a fait au moins 15 morts. (© KEYSTONE/AP/Sakchai Lalit)

Les combats frontaliers entre la Thaïlande et le Cambodge faisaient toujours rage jeudi avant un appel attendu du président américain Donald Trump aux dirigeants des deux pays pour leur demander de cesser les hostilités. Les affrontements ont fait au moins 19 morts.

Le ministère thaïlandais de la défense a annoncé un nouveau bilan de neuf soldats tués au total, qui s'ajoutent aux dix victimes civiles, dont un enfant, rapportées par les autorités cambodgiennes.

Plus d'un demi-million de personnes ont été contraintes depuis le début de la semaine de fuir les régions proches de la frontière, où des tirs d'artillerie résonnaient en matinée autour des temples khmers contestés.

Les deux voisins d'Asie du Sud-Est, qui se disputent de longue date des morceaux de territoire et s'accusent mutuellement de la reprise des affrontements, ne montraient aucun signe d'apaisement alors que Donald Trump a promis de jouer à nouveau les médiateurs.

Le président américain doit s'entretenir dans la journée avec le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul et son homologue cambodgien Hun Manet pour les convaincre de faire taire leurs armes. "J'ai trouvé qu'ils étaient deux grands dirigeants, deux personnes géniales et j'ai déjà réglé cela une fois", a-t-il rappelé mercredi.

"Nous devons expliquer"

Donald Trump était intervenu aux côtés de la Chine et de la Malaisie - pays assurant la présidence tournante de l'association des nations d'Asie du Sud-Est (ASEAN) - lorsqu'un premier conflit ouvert avait éclaté en juillet, faisant 43 morts en cinq jours.

Le milliardaire, qui n'a jamais fait mystère de son envie de recevoir un jour le prix Nobel de la paix, avait également cosigné le 26 octobre un accord de cessez-le-feu avec les dirigeants thaïlandais et cambodgien.

Mais Bangkok l'a suspendu quelques semaines plus tard après l'explosion d'une mine terrestre ayant blessé plusieurs de ses soldats et ne semble aujourd'hui pas encore ouvert à une trêve.

"Il [Donald Trump] souhaite sincèrement voir la paix, mais nous devons expliquer quels sont les problèmes et pourquoi la situation a évolué ainsi", a dit le premier ministre thaïlandais Anutin Charnvirakul.

"Entre dirigeants, il ne s'agit pas seulement de passer un coup de téléphone. Il y aura un rendez-vous prévu et des sujets précis à aborder", a-t-il ajouté.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Shell poursuivi par des survivants d'un typhon aux Philippines

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Shell a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices (archives). (© KEYSTONE/EPA/TOLGA AKMEN)

Des survivants du typhon Rai, qui a fait plus de 400 morts en 2021 aux Philippines, ont déposé une plainte à Londres contre le géant britannique des hydrocarbures Shell. Ils l'accusent de n'avoir pas pris ses responsabilités face aux impacts du changement climatique.

Cette plainte constitue "une contribution essentielle au mouvement mondial grandissant visant à remettre en cause l'impunité des compagnies pétrolières", ont indiqué jeudi des ONG, dont Greenpeace, qui soutiennent les plaignants.

La démarche s'inscrit dans la continuité de la reconnaissance en mai par la justice allemande d'une responsabilité mondiale des entreprises productrices d'électricité dans les dommages liés aux émissions de gaz à effet de serre, quel que soit l'endroit où ils se produisent. Les affaires de ce genre se multiplient dans le monde entier.

Il s'agit d'"une étape décisive pour tenir le géant pétrolier Shell responsable des morts, blessures et destructions causées par cette tempête", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

"Allégation infondée"

Un porte-parole de Shell a dénoncé "une allégation infondée, qui n'aidera pas à lutter contre le changement climatique, ni à réduire les émissions" de CO2. "Chez Shell, nous réduisons les émissions de nos opérations et aidons nos clients à réduire les leurs", a-t-il ajouté.

Les Philippines, classées parmi les pays les plus exposés au changement climatique, sont balayées par près de 20 tempêtes tropicales ou typhons chaque année. Le typhon Rai avait ravagé des régions très pauvres du pays en décembre 2021, faisant plus de 400 morts et des centaines de milliers de sans-abris.

La plainte, qui s'appuie sur le droit philippin, a été déposée au nom de 103 survivants qui demandent "réparation pour les vies perdues, les blessures subies et les maisons détruites", selon le communiqué.

"Les survivants soutiennent que Shell, responsable de plus de 41 milliards de tonnes d'équivalent CO2, soit plus de 2% des émissions mondiales de combustibles fossiles, ne peut pas invoquer l'ignorance", est-il souligné dans le communiqué des ONG.

L'entreprise a fait machine arrière ces dernières années sur certains de ses objectifs climatiques pour se recentrer sur les hydrocarbures, dans l'espoir de doper ses bénéfices.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Machado promet de faire tout son possible pour rentrer au Venezuela

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L'opposante vénézuéienne Maria Corina Machado a visité le parlement norvégien en compagnie du président de l'Assemblée, Masud Gharahkhani (à gauche). (© KEYSTONE/EPA/OLE BERG-RUSTEN / POOL)

L'opposante vénézuélienne Maria Corina Machado, qui vit cachée dans son pays, "fera tout (son) possible" pour rentrer au Venezuela malgré les risques d'y être arrêtée, a-t-elle déclaré jeudi depuis Oslo. Elle n'a pas donné plus de détails.

"Je suis venue pour recevoir le prix (Nobel de la paix) au nom du peuple vénézuélien et je le ramènerai au Venezuela au moment adéquat", a déclaré à la presse l'opposante de 58 ans en visitant le Parlement norvégien au lendemain de la cérémonie de remise de son Nobel de la paix.

"Je ne dirai pas quand ni comment cela se fera, mais je ferai tout (mon) possible pour pouvoir rentrer et aussi mettre fin à cette tyrannie très bientôt", a-t-elle dit. Elle a également assuré qu'il fallait "finir le travail" pour établir la démocratie dans son pays.

L'opposante vénézuélienne, qui a quitté son pays dans des conditions encore mystérieuses pour aller recevoir son prix à Oslo, a affirmé jeudi qu'être dans l'opposition dans son pays était "très dangereux".

"Tous ceux qui vivent au Venezuela et qui disent la vérité risquent leur vie", a dit Mme Machado. Marquer son opposition au pouvoir du président Nicolas Maduro "est très dangereux", a ajouté l'opposante de 58 ans, qui tiendra une conférence de presse à 12h30, selon l'Institut Nobel.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Amnesty International accuse le Hamas de crimes contre l'humanité

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Le Hamas palestinien a commis des crimes de guerre répétés depuis son attaque en Israël en octobre 2023, selon Amnesty International (archives). (© KEYSTONE/AP/Jehad Alshrafi)

Amnesty International a accusé jeudi pour la première fois le Hamas et d'autres groupes palestiniens de crimes contre l'humanité lors de l'attaque du 7 octobre 2023 en Israël et par la suite. L'ONG avait déjà reconnu des crimes de guerre commis le 7 octobre.

"Des groupes armés palestiniens ont commis des violations du droit international humanitaire, des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité lors de leurs attaques dans le sud d'Israël ayant commencé le 7 octobre 2023", écrit l'organisation de défense des droits fondamentaux dans un nouveau rapport de plus de 170 pages.

Amnesty juge que le massacre de civils le 7 octobre relève du "crime contre l'humanité d'extermination" et recense comme autres crimes contre l'humanité commis par des groupes palestiniens l'emprisonnement, la torture, la disparition forcée, le viol et "d'autres formes de violences sexuelles".

Ces groupes, en premier lieu le Hamas, "ont continué de commettre des violations et des crimes relevant du droit international", après le 7 octobre, notamment des crimes contre l'humanité, en "détenant et maltraitant des otages ainsi qu'en retenant des corps enlevés", ajoute Amnesty.

"La détention d'otages s'inscrivait dans un plan explicitement formulé par la direction du Hamas et d'autres groupes armés palestiniens", écrit-elle.

Hamas "principalement responsable"

L'ONG avait déjà conclu que le Hamas et d'autres groupes avaient commis des crimes de guerre lors de l'attaque du 7 octobre en Israël, qui a déclenché la guerre dans la bande de Gaza.

Cette attaque a entraîné la mort de 1221 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP. Ce jour-là, 251 personnes avaient été prises en otage, dont 44 déjà mortes.

Sur les 207 otages emmenés vivants, 41 sont morts ou ont été tués en captivité. A ce jour, tous les captifs sont rentrés, à l'exception d'un Israélien, dont la dépouille se trouve encore dans Gaza.

Pour les violences sexuelles commises le 7 octobre, l'ONG a précisé qu'elle n'avait pu interroger qu'une seule personne parmi les survivants et n'était, par conséquent, pas en mesure de déterminer leur ampleur ou étendue.

Le rapport conclut que le Hamas, notamment sa branche armée, les Brigades Ezzedine Al-Qassam, était "principalement responsable" des crimes commis, imputant aussi une responsabilité, mais moindre, au Jihad islamique palestinien, aux Brigades des martyrs d'Al-Aqsa et à des "civils palestiniens non affiliés".

"Génocide" d'Israël

Amnesty, qui accuse Israël de commettre un génocide à Gaza, a estimé à la fin novembre que celui-ci "se poursuit sans relâche malgré le cessez-le-feu" fragile en vigueur depuis le 10 octobre. Israël rejette avec force les accusations de génocide le visant, qu'il qualifie de "mensongères" et "antisémites".

Les crimes de guerre qualifient des violations graves du droit international commises à l'encontre de civils ou de combattants à l'occasion d'un conflit armé.

Selon le statut de Rome ayant institué la Cour pénale internationale (CPI), les crimes contre l'humanité qualifient des actes commis "dans le cadre d'une attaque généralisée ou systématique lancée contre toute population civile et en connaissance de cette attaque".

En mai 2024, la CPI avait lancé des mandats d'arrêt contre Ismaïl Haniyeh, alors chef du Hamas, Mohammed Deif, alors chef des Brigades Al-Qassam, et Yahya Sinouar, alors chef du Hamas à Gaza et largement considéré comme le cerveau des massacres du 7 octobre.

La CPI a annulé ces mandats d'arrêt après leur mort plus tard cette année-là dans des attaques israéliennes.

La CPI a également émis en novembre 2024 un mandat d'arrêt, toujours en vigueur, contre le premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, et son ancien ministre de la défense, Yoav Gallant, pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité commis durant la guerre à Gaza.

Plus de 70'369 Palestiniens ont été tués dans la bande de Gaza dans la campagne militaire israélienne de représailles au 7 octobre, selon le ministère de la santé local, placé sous l'autorité du Hamas.

Le ministère, dont les chiffres sont jugés fiables par l'ONU, ne précise pas le nombre de combattants tués, mais, selon ses données, plus de la moitié des morts sont des mineurs et des femmes.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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