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International

Large soutien des députés français à l'aide à l'Ukraine

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L'Assemblée nationale française a apporté mardi soir un large soutien à un accord de sécurité conclu avec Kiev. L'extrême-droite s'est abstenue. Marine Le Pen a accusé le président Macron d'instrumentaliser la crise ukrainienne au service d'un agenda électoraliste. (© KEYSTONE/AP/Christophe Ena)

Les députés français ont apporté mardi soir un large soutien à un accord de sécurité conclu entre Paris et Kiev, malgré l'abstention de l'extrême droite et l'opposition de la gauche radicale. Le gouvernement a mis en garde contre le "cataclysme" d'une victoire russe.

Après de longs débats, 372 députés ont voté pour et 99 contre, a annoncé la présidente de l'Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet à l'issue de ce vote non contraignant mais éminemment symbolique.

Le Premier ministre Gabriel Attal a défendu un peu plus tôt la stratégie française d'aide à l'Ukraine devant les députés, insistant sur les "risques concrets" et "tangibles" d'une victoire russe sur "la vie quotidienne" des Français, un "cataclysme pour leur pouvoir d'achat".

"Tourner le dos à notre histoire"

Il avait donné le coup d'envoi des débats en rendant "hommage à la résistance exceptionnelle du peuple ukrainien", applaudie par les députés, debout, le jour même où les Etats-Unis ont annoncé une nouvelle aide militaire de 300 millions de dollars à l'Ukraine, bien loin de la grande enveloppe réclamée par le président Biden, toujours bloquée au Congrès.

Voter contre la stratégie d'aide française, ce serait "tourner le dos à notre histoire", a plaidé le Premier ministre français. "Nous ne nous fixons pas de limite face à la Russie qui elle n'en fixe aucune", a-t-il souligné, après les déclarations controversées d'Emmanuel Macron, qui n'a pas exclu l'envoi de troupes occidentales au sol.

Après le vote, les deux principales chaînes françaises ont annoncé qu'Emmanuel Macron s'exprimerait sur l'Ukraine à la télévision jeudi à 20h00.

Coopération militaire renforcée

Le vote de mardi portait sur l'accord de sécurité franco-ukrainien du 16 février. Conclu pour dix ans, il comprend un renforcement de la coopération militaire, en particulier dans les domaines de l'artillerie et de la défense aérienne.

Le parti d'extrême droite de Marine Le Pen, Le Rassemblement national (RN), souvent accusé d'être pro-Kremlin, s'est abstenu, évoquant des "lignes rouges" parmi lesquelles l'envoi de troupes au sol et l'adhésion possible de l'Ukraine à l'Otan et à l'Union européenne.

"Vous avez (...) détourné, exploité et instrumentalisé une crise internationale majeure pour la mettre au service d'un agenda électoraliste de court terme" avant les élections européennes, a accusé Marine Le Pen avant le vote. "Soit on est pro-Macron, soit on est accusé d'être pro-Poutine", a-t-elle lancé à l'Assemblée.

Trois milliards d'euros en 2024

En 2024, Paris promet désormais de fournir "jusqu'à trois milliards d'euros de soutien supplémentaire". "Ces trois milliards ne sont pas un chèque à l'Ukraine. Ils correspondent à la valeur maximale de notre aide militaire en 2024, notamment aux commandes passées auprès de nos industries de défense françaises", a expliqué le ministre des Armées Sébastien Lecornu.

A trois mois des élections européennes du 9 juin, l'aide à l'Ukraine est devenue un des thèmes clés de la campagne, particulièrement depuis les propos fin février d'Emmanuel Macron qui n'a pas écarté l'envoi de troupes au sol et ne veut mettre "aucune limite" dans le soutien à Kiev. Ces déclarations ont suscité de fortes polémiques en France et en Europe, particulièrement avec l'Allemagne.

Depuis, Sébastien Lecornu a assuré que l'envoi "de troupes au sol combattantes n'était pas sur la table" et le président Volodymyr Zelensky s'est voulu rassurant lundi en affirmant à des médias français que "tant que l'Ukraine tient, l'armée française peut rester sur le territoire français".

Opinion publique peu favorable

Le président Emmanuel Macron a mis l'aide accrue à l'Ukraine au coeur de ses priorités mais l'adhésion à ce soutien financier et militaire recule dans l'opinion française.

Un sondage Elabe pour la chaîne BFMTV et le journal La Tribune dimanche montre que 39% des Français considèrent que la France doit continuer de soutenir économiquement et financièrement Kiev comme elle le fait actuellement, soit 11 points de moins qu'à la fin juin 2023. Et davantage de Français (26%, +3 points) estiment qu'elle doit réduire son soutien.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

Burberry divise ses pertes par trois au premier semestre

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Burberry voit les premiers signes d'un rebond après ses difficultés. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

Burberry, symbole du luxe britannique, a annoncé jeudi une perte nette divisée par trois pour son premier semestre décalé, à 26 millions de livres (29 millions d'euros), et voit les premiers signes d'un rebond après le recentrage stratégique amorcé il y a un an.

"Bien qu'il soit encore trop tôt pour tirer des conclusions définitives et qu'il reste du travail à accomplir, nous disposons désormais d'éléments probants démontrant" que cette nouvelle stratégie "est la bonne voie", a fait valoir le directeur général Joshua Schulman dans un communiqué.

Confronté comme l'ensemble du secteur du luxe à un ralentissement de la demande et à l'offensive protectionniste des Etats-Unis, Burberry pâtit en outre de choix stratégiques malheureux, notamment d'un pari (raté) de monter encore davantage en gamme, ce qui avait fait tomber dans le rouge son dernier résultat annuel.

Le groupe a amorcé ces derniers mois un recentrage d'urgence sur ses grands classiques, comme son trench coat et ses écharpes, pour enrayer le plongeon de ses résultats, avec des prix plus en rapport avec sa marque: le luxe, mais pas l'ultra luxe.

Si le groupe voit encore son chiffre d'affaires reculer sur un an au cours des six mois achevés fin septembre (-5% à 1,03 milliard de livres), il signale une progression de ses "ventes à périmètre comparable" (c'est à dire notamment hors effet des ouvertures et fermetures de magasins) au deuxième trimestre de son exercice, pour la première fois en deux ans.

Burberry met aussi en oeuvre un plan drastique de réduction de coûts qui "est en bonne voie pour générer 80 millions de livres sterling d'économies annualisées d'ici la fin de l'exercice", indique l'entreprise, tout en avertissant qu'elle évolue dans un marché qui "demeure incertain".

Pour autant, plusieurs groupes de luxe tels que Kering, L'Oréal ou encore Prada, ont eux aussi publié récemment des résultats encourageants.

Et en dépit de ses difficultés, l'entreprise fondée en 1856 à Basingstoke (sud de l'Angleterre) par un apprenti drapier, peut toujours compter sur sa renommée.

La Reine d'Angleterre elle-même avait décerné un "mandat royal" à l'entreprise dès 1955, faisant de Burberry un fournisseur régulier de la famille royale.

Le groupe a par ailleurs fait en septembre un retour parmi les valeurs de l'indice vedette FTSE 100 de la Bourse de Londres, un an après en avoir été délogé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Royaume-Uni: la croissance s'essouffle au 3e trimestre, à 0,1%

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Le Premier ministre britannique Keir Starmer doit présenter le nouveau budget dans deux semaines. (archive) (© KEYSTONE/EPA/ANDY RAIN)

La croissance de l'économie britannique a encore ralenti au troisième trimestre, le PIB ne progressant que de 0,1%, ce qui constitue un nouvel accroc pour le gouvernement travailliste à deux semaines de son budget.

Ce chiffre, publié par jeudi par l'Office national des statistiques (ONS), fait suite à une croissance inattendue de 0,7% au premier trimestre, puis à un fort ralentissement, à 0,3%, sur les trois mois suivants.

Cette croissance, inférieure aux attentes des analystes interrogés par Bloomberg, qui tablaient sur 0,2%, accroît un peu plus la pression sur la ministre des Finances Rachel Reeves, qui a promis d'équilibrer les comptes publics sans étouffer une économie à la peine et présente son projet de budget le 26 novembre.

"Cela brosse le tableau d'une économie qui a démarré l'année 2025 en force, mais qui perd aujourd'hui beaucoup de son élan", souligne Lindsay James, analyste chez Quilter, pour qui le budget sera "crucial pour la suite".

"L'incertitude quant à d'éventuelles hausses d'impôts et les rumeurs persistantes selon lesquelles les employeurs seraient à nouveau visés (...) risquent d'étouffer la fragile confiance des entreprises et de faire grimper le chômage", estime-t-elle.

La presse britannique spécule aussi depuis des semaines sur une possible hausse de l'impôt sur le revenu, qui viendrait compromettre une promesse formulée par les travaillistes avant leur retour au pouvoir en juillet 2024.

Mme Reeves a longtemps balayé l'hypothèse, avant d'évoluer peu à peu dans sa rhétorique, jusqu'à laisser entendre que cette hausse était possible, sans quoi il serait nécessaire de faire des "coupes profondes" dans les investissements publics, compromettant les espoirs de croissance à long terme.

Le gouvernement doit, outre une croissance faible, composer avec une inflation élevée, à 3,8% sur un an en septembre, et un chômage au plus haut depuis la pandémie, avec un taux de 5% au troisième trimestre.

La présentation du nouveau budget constitue une échéance décisive pour l'équipe du Premier ministre Keir Starmer, au plus bas dans les sondages et contesté jusque dans son camp, au moment où le parti d'extrême droite Reform UK caracole en tête des intentions de vote.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Economie

Generali avec un bénéfice net ajusté en hausse de 14% sur neuf mois

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Le numéro un italien de l'assurance Generali a vu sa rentabilité nettement progresser sur les neuf premiers mois de 2025. (archive) (© KEYSTONE/EPA ANSA/MATTEO CORNER)

Le numéro un italien de l'assurance Generali a vu sa rentabilité nettement progresser, notamment dans ses activités traditionnelles, selon les résultats des neuf premiers mois 2025 publiés jeudi.

Le bénéfice net ajusté (hors éléments exceptionnels), indicateur souvent utilisé pour les comparaisons, est en hausse de 14% sur les neuf premiers mois de 2025, à 3,3 milliards d'euros (3,1 milliards de francs), dépassant le chiffre du consensus cité par les analystes d'Equita, de 3,2 milliards.

Les revenus du groupe ont enregistré une hausse de 3,7% à 73,1 milliards d'euros grâce à une nette croissance de ses activités dans l'assurance-dommages et dans l'assurance-vie.

Generali a dégagé un bénéfice opérationnel en hausse de 10,1% à 5,9 milliards d'euros, poussé par ses activités d'assurance dans la branche dommages et responsabilité (P&C), au résultat en hausse de 23,9%. Ses activités dans l'assurance-vie et la banque progressent moins rapidement.

Le bénéfice ajusté par action atteint 2,16 euros sur la période janvier-septembre, en hausse de 16%.

"Tous les segments d'activité ont contribué positivement à la croissance à deux chiffres du résultat opérationnel", a commenté dans un communiqué le directeur financier du groupe, Cristiano Borean. "Les neuf premiers mois de 2025 confirment le début très prometteur du nouveau cycle stratégique du Groupe".

Sous l'égide du Français Philippe Donnet, en poste depuis mars 2016, Generali a commencé à se concentrer davantage sur la gestion d'actifs pour diversifier ses sources de revenus, face au poids croissant des catastrophes naturelles.

Generali a parallèlement annoncé mercredi la nomination d'un directeur général (après sept ans de vacance), dans le contexte difficile du rachat de Mediobanca (actionnaire de Generali à hauteur de 13,2%) par la banque Monte dei Paschi.

Giulio Terzariol, 53 ans, directeur de la branche assurances de Generali depuis janvier 2024, a été promu numéro 2 du groupe.

Generali assure ainsi "renforcer son orientation stratégique" pour son plan de 2027 ainsi que "la gouvernance de ses activités principales".

Selon la presse italienne, le directeur général Philippe Donnet indique aussi un successeur, alors qu'il a été confirmé en mai pour un quatrième mandat de trois ans à la tête de Generali.

Des actionnaires hostiles à sa politique se sont renforcés dans le groupe via leur position dans Monte dei Paschi. Ils se sont abstenus mercredi lors de la nomination de M. Terzariol.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Nouveau bénéfice record pour Siemens, qui se prépare à accélérer

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Le conglomérat industriel allemand Siemens a fait état d'un bénéfice net record pour la troisième année d'affilée. (archive) (© KEYSTONE/DPA/FELIX HÖRHAGER)

Le conglomérat industriel allemand Siemens a fait état jeudi d'un bénéfice net record pour la troisième année d'affilée, porté par sa transformation numérique "malgré un environnement mondial difficile", et a relevé ses prévisions pour l'exercice suivant.

Sur son exercice décalé 2024/2025, le groupe de Munich a dégagé un bénéfice net de 10,4 milliards d'euros (9,6 milliards de francs), en hausse de 16%, soit près de 600 millions d'euros de plus que ce qu'attendaient les analystes de la plateforme Factset.

"Malgré un environnement mondial difficile, l'entreprise a poursuivi sa trajectoire de croissance rentable et a respecté ses prévisions", détaille un communiqué.

Corrigé des effets de change et de portefeuille, le chiffre d'affaires a grimpé de 5 % à 78,9 milliards d'euros, le milieu de la fourchette de croissance attendue entre 3 et 7%.

La branche mobilité (+10%) et celle d'infrastructures connectées (+9%) ont tiré Siemens, et les déboires de l'industrie numérique (-4%) ont moins pesé qu'en 2023/2024.

Pour l'exercice suivant, "nous entrons dans la prochaine étape de croissance", déclare le patron Roland Busch dans le communiqué, avec une hausse des revenus attendue entre 6 à 9%.

Car Siemens "suppose que l'environnement économique mondial se stabilisera" d'après le communiqué, après les troubles provoquées par l'avalanche des droits de douane de Donald Trump.

Et ses activités numériques, au coeur de la stratégie du conglomérat qui produit aussi bien des trains, des turbines, des machines à IRM que des logiciels, vont croître près de deux fois plus rapidement que les autres lors des prochaines années.

Sur l'année, les commandes à Siemens ont augmenté de 6%, à 88,4 milliards d'euros, tirées dans tous ses segments, après une nette chute lors de l'exercice précédent.

Les commandes du segment "industries numériques", qui avaient souffert en Chine à cause du déstockage de ses clients liés au Covid, se sont notamment redressées de 8%, à 18,4 milliards d'euros, sans retrouver le niveau de 2022/2023.

A l'avenir, l'entreprise se concentrera sur "l'automatisation, la numérisation, électrification, durabilité et l'IA", tout en s'éloignant de sa filiale Siemens Healthineers.

Siemens a annoncé mercredi soir réduire sa participation dans cette activité de technologies médicales, première source de revenus du groupe, et préparer sa scission.

Une décision prise pour que le groupe "opère avec une complexité réduite, une gouvernance simplifiée et une part plus élevée d'activité numérique en forte croissance".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Culture

13-Novembre: dix ans après les attentats, l'hommage d'une Nation

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Depuis samedi, le pied de la statue de Marianne sur la place de la République est de nouveau entouré de petites attentions en mémoire des victimes des attentats. (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Stade de France, terrasses parisiennes, Bataclan: la France se recueille jeudi pour rendre hommage aux victimes des attentats du 13-Novembre, dix ans après une nuit d'horreur qui a meurtri Paris et Saint-Denis.

"Les terroristes ont voulu attaquer cette culture de Paris, de la joie, de la fête, du partage", a déclaré jeudi matin sur RTL la maire de Paris Anne Hidalgo. "Ils ont voulu nous faire perdre tout cela, on l'a reconstruit avec une forme de gravité".

Le vendredi 13 novembre 2015, la France a été frappée par les attaques djihadistes les plus meurtrières de son histoire, coordonnées par le groupe Etat islamique (EI) qui a ciblé un match de football, un concert de hard-rock et des bars et restaurants.

L'hommage national aux 132 morts, à leurs familles et aux rescapés se conclura par l'inauguration d'un jardin mémoriel au coeur de la capitale. Emmanuel Macron se rendra sur chacun des lieux des attentats, avant l'inauguration du Jardin du 13 novembre 2015, point d'orgue de cette journée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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