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Politique

Le DDPS renforce la lutte contre les abus dans le sport

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Un scandale qui a éclaté en 2020 a révélé des abus commis par des cadres nationaux de gymnastique. Depuis, la lutte contre les abus a été renforcée notamment par de meilleures normes éthiques et la création d'un service indépendant de signalement (Photo d'illustration). (© KEYSTONE/ALEXANDRA WEY)

Pour mieux lutter contre les abus et le harcèlement dans le sport d'élite, le DDPS va augmenter le contrôle des associations qui reçoivent des subventions fédérales. Il veut aussi garantir le financement de la nouvelle Fondation Tribunal du sport suisse.

Avec la création d'une base juridique pour régler l'échange de données, ces éléments font partie des recommandations établies par un organe de révision interne. La cheffe du Département fédéral de la défense et des sports (DDPS), Viola Amherd, a chargé l'Office fédéral du sport (OFSPO) de mettre en oeuvre ces mesures, a indiqué le DDPS lundi dans un communiqué.

Le DDPS recommande à l'OFSPO et à Swiss Olympic d'assurer conjointement le financement de la Fondation Tribunal du sport suisse, sorte de tribunal arbitral indépendant qui doit voir le jour en juillet.

Après un scandale en 2020 qui a révélé des abus commis par des cadres nationaux de gymnastique, la lutte contre les abus a été renforcée par de meilleures normes éthiques et la création d'un service indépendant de signalement.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

International

Le président sud-coréen déclare la loi martiale

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Pour le président sud-coréen Yoon Suk Yeol, la loi martiale est nécessaire pour protéger le pays des "forces communistes nord-coréennes" (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANTONIO LACERDA)

Le président sud-coréen Yoon Suk Yeol a déclaré mardi la loi martiale. Il a affirmé que cette mesure était nécessaire pour protéger le pays des "menaces posées par les forces communistes nord-coréennes".

"Pour protéger la Corée du Sud libérale des menaces posées par les forces communistes nord-coréennes et éliminer les éléments anti-étatiques (...) je déclare la loi martiale d'urgence", a déclaré le président dans une allocution télévisée.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

L'UDC lausannois Valentin Christe fait son entrée au Parlement

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Valentin Christe, chef de groupe UDC au Conseil communal de Lausanne a fait mardi son entrée au Grand Conseil vaudois (archives). (© Keystone/JEAN-CHRISTOPHE BOTT)

Le conseiller communal UDC lausannois Valentin Christe a fait mardi son entrée au Grand Conseil vaudois. Il remplace son collègue du même parti, Nicola Di Giulio, récemment décédé. Juriste de profession, âgé de 34 ans, il est l'actuel chef de groupe UDC au législatif de la capitale vaudoise.

Né le 19 mai 1990 à Lausanne, originaire de Vendlincourt (JU), Valentin Christe a grandi à Lausanne et fait des études de droit. Il est entré au début de la législature 2011-2016 au Conseil communal lausannois et a été son président durant une année en 2016/2017, à 26 ans seulement.

En 2021, Valentin Christe a été l'un des cinq candidats de la liste UDC pour l'élection à la Municipalité de la Ville. Cinq ans auparavant, il avait fait partie des dissidents de l'UDC Vaud ayant formé le parti libéral-conservateur (PLC).

Cette formation était composée de fidèles de Claude-Alain Voiblet, ancien président de la section, ex-député et ex-vice-président de l'UDC suisse, évincé de la section cantonale après avait participé à une opération de sabotage d'affiches de son propre parti.

Le Tribunal d'arrondissement de Lausanne avait finalement annulé en septembre 2018 l'exclusion de quatre membres de l'UDC Vaud par le congrès du parti en 2016, dont Valentin Christe. Seule l'éviction de Claude-Alain Voiblet avait été confirmée.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Invalidation refusée des résultats des législatives en Géorgie

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En Géorgie, la Cour constitutionnelle a rejeté des plaintes visant à faire reconnaître les élections du 26 octobre comme anticonstitutionnelles (archives). (© KEYSTONE/EPA/DAVID MDZINARISHVILI)

La Cour constitutionnelle de Géorgie a refusé mardi d'invalider les législatives remportées fin octobre par le parti dirigeant, que l'opposition considère truquées et souhaite réorganiser, en pleines manifestations pro-UE dans ce pays du Caucase.

"La Cour constitutionnelle n'a pas accepté les plaintes (...) visant à faire reconnaître les élections du 26 octobre comme anticonstitutionnelles", a-t-elle inidiqué dans un communiqué, précisant que cette décision était "finale".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Genève

Le statut de conseiller personnel de magistrat devrait être revu

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Dans le sillage de l'affaire Fischer, le magistrat à la Cour des comptes François Paychère propose de revoir le statut des conseillers personnels afin d'éviter qu'ils ne promeuvent leur conseiller d'Etat en période électorale (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

Dans le sillage de l'affaire Fischer, la Cour des comptes s'est penchée sur la communication à l'Etat de Genève. Elle propose de revoir le statut des conseillers personnels afin d'éviter qu'ils ne promeuvent leurs magistrats en période électorale.

"A Genève, la frontière entre la promotion des réalisations du conseiller d'Etat et la publicité lors d'élections n'est pas claire", a relevé mardi devant les médias François Paychère, magistrat à la Cour des comptes. Le risque d'octroyer un avantage indu aux conseillers d'Etat sortants avec des ressources publiques est donc important au sein des états-majors des départements.

François PaychèreMagistrat à la Cour des comptes

La Cour des comptes a été saisie par la commission de contrôle de gestion du Grand Conseil en septembre 2023 pour examiner cette question. Une sous-commission, créée pour faire la lumière sur l'utilisation de ressources publiques lors de campagnes électorales, a par ailleurs rendu un rapport accablant à l'égard de l'ex-conseillère d'Etat Fabienne Fischer. Un volet pénal est toujours en cours.

Comptabilisation impossible

Au-delà du cas des conseillers personnels, la Cour des comptes s'est intéressée aux ressources consacrées aux différentes formes de communication au sein de l'Etat. Sur la base des réponses à son questionnaire, elle considère que 133 collaborateurs consacrent plus de 10% de leur temps de travail à des activités de communication, soit l'équivalent de 64,9 emplois à temps plein.

Outre les chargés d'information et de communication, de nombreuses personnes consacrent au moins la moitié de leur activité à des tâches de communication. Or l'absence de définition commune fait qu'il n'est pas possible de comptabiliser l'ensemble des ressources qui y sont consacrées. S'y ajoute le recours récurrent à des prestataires externes, alors que les compétences internes existent.

François PaychèreMagistrat à la Cour des comptes

L'Etat conteste

Par ailleurs, le gendarme de l'administration genevoise constate que la communication publique est principalement portée par les départements, ce qui nuit à la promotion d'une image cohérente de l'Etat de Genève. A titre de comparaison, l'information est centralisée par la chancellerie dans les cantons de Vaud et de Neuchâtel.

L'Etat de Genève, qui conteste la méthodologie de la Cour des comptes, estime que 34,5 emplois à temps plein sont consacrés par l'administration cantonale à des activités de communication publique. Quant à la question des conseillers personnels, il relève que la Cour ne constate aucune mauvaise utilisation des ressources publiques et que leur statut a été décidé par le Grand Conseil.

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International

L'Ukraine met la pression pour être invitée à rejoindre l'Otan

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"La réunion se concentrera sur comment s'assurer que l'Ukraine, lorsqu'elle décidera d'entrer dans des négociations, le fasse à partir d'une position de force", a assuré mardi Mark Rutte. (© KEYSTONE/AP/Virginia Mayo)

A moins de deux mois du retour de Donald Trump à la Maison Blanche, l'Ukraine a mis mardi la pression sur les pays de l'Otan pour être invitée à les rejoindre. Mais les ministres des Affaires étrangères de l'Alliance, réunis à Bruxelles, devraient temporiser.

La "seule véritable" garantie de sécurité pour l'Ukraine est la "pleine" adhésion à l'Otan, a rappelé mardi la diplomatie ukrainienne. Cette adhésion constituerait une menace "inacceptable" pour la Russie, a rétorqué le Kremlin.

Très prudent, le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte s'est contenté de réitérer la position de principe de l'Alliance. Le processus devant conduire à l'adhésion de l'Ukraine est "irréversible", a-t-il ainsi rappelé devant la presse, sans toutefois évoquer un calendrier.

Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andriï Sybiga entend toutefois rappeler ce message lors d'un dîner de travail à Bruxelles avec ses 32 collègues de l'Otan, sans illusion sur les chances d'être entendu cette semaine.

Négocier en position de force

L'Ukraine veut aborder une éventuelle négociation de paix avec la Russie en position de force et avec des garanties de sécurité suffisantes. Et pour elle, une invitation d'adhésion à l'Otan est de loin la meilleure garantie contre la Russie.

Plusieurs pays de l'Alliance, Etats-Unis en tête, sont toutefois réticents à prendre cette "monumentale décision", comme l'a qualifiée un diplomate à Bruxelles.

Peu probable avant Trump

Les responsables américains reconnaissent en privé qu'il est peu probable qu'une telle invitation soit lancée à quelques semaines du début de la nouvelle présidence Trump.

"Un tel geste avant l'arrivée de la nouvelle administration rendrait Trump furieux et il prendrait le contre-pied immédiatement", reconnaît un diplomate européen de l'Otan.

Cette décision prendra du temps et le sujet ne sera réellement évoqué que l'an prochain, avant le sommet de l'Alliance prévu fin juin à La Haye, estime un autre.

Réfléchir aux garanties

Mais d'ici là, il est indispensable de réfléchir aux garanties que l'Otan, ou au moins certains de ses membres, pourraient donner à l'Ukraine, particulièrement au moment où la perspective de négociations de paix semble plus proche, selon cette source.

Donald Trump a promis de faire la paix en Ukraine "en 24 heures" mais sans dire vraiment comment il compte s'y prendre.

Les pays européens de l'Otan redoutent d'être mis à l'écart d'une éventuelle négociation et plusieurs d'entre eux cherchent les moyens de s'assurer une place à la table des discussions, ont expliqué des diplomates de l'Otan.

Envoi de troupes?

Et certains de ces pays n'excluent pas l'envoi de troupes sur le sol ukrainien, pour surveiller par exemple la mise en place d'un éventuel cessez-le-feu, ont indiqué ces diplomates. Cependant, précisent-ils aussitôt, cette discussion n'a pas lieu à l'Otan, mais entre alliés européens. Le sujet ne sera donc pas à l'ordre du jour mardi, ni mercredi, deuxième jour de cette réunion ministérielle au siège de l'Otan.

"La réunion se concentrera sur comment s'assurer que l'Ukraine, lorsqu'elle décidera d'entrer dans des négociations, le fasse à partir d'une position de force", a assuré mardi M. Rutte.

"Le front se déplace d'est en ouest"

Car, a-t-il souligné, "le front se déplace d'est en ouest, et non d'ouest en est". L'armée russe a encore revendiqué mardi la conquête de deux villages dans les régions ukrainiennes de Donetsk (est) et de Zaporijjia (sud), où ses troupes, plus nombreuses que celles de Kiev, sont à l'offensive et gagnent du terrain sur l'ensemble du front à une vitesse inédite depuis mars 2022.

"La Russie ne fait pas de cadeaux. Et nous ne pouvons garantir la paix que par la force: la force de nos armes, de notre diplomatie et de notre coopération", a exhorté lundi à Kiev M. Zelensky, aux côtés du chancelier allemand Olaf Scholz.

Washington a annoncé lundi une aide militaire supplémentaire pour l'Ukraine, évaluée à 725 millions de dollars et comprenant notamment des missiles et des mines antipersonnel, selon le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken.

Lors d'une réunion à l'Otan la semaine dernière à Bruxelles, l'Ukraine avait réclamé des systèmes de défense antiaérienne capables de la protéger du nouveau missile balistique russe Orechnik lancé par Moscou. Ces systèmes incluent le THAAD américain ou le système Arrow (flèche) développé par les Etats-Unis et Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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