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La COP29 se prolonge, les pays riches sous le feu des critiques

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Les ONG ont dénoncé un projet d'accord qui, selon elles, ne répond pas aux besoins des pays du Sud face au changement climatique. (© KEYSTONE/AP/Sergei Grits)

Les négociations entre près de 200 pays se poursuivront en prolongation samedi à la conférence sur le changement climatique de l'ONU à Bakou, les pays en développement ayant rejeté une première offre d'engagement financier de la part des pays riches.

Les pays riches, principalement l'Union européenne et les Etats-Unis, ont abattu leurs cartes au 12e et dernier jour officiel de la COP29, vendredi: ils proposent d'augmenter leur engagement de financements climatiques pour les pays plus pauvres de 100 milliards de dollars par an aujourd'hui à 250 milliards d'ici 2035.

Ce chiffre a été jugé "inacceptable" par les pays africains au regard des catastrophes qu'ils subissent et de leurs énormes besoins en énergie. Les petits Etats insulaires ont dénoncé le "mépris" pour leurs "peuples vulnérables", en rappelant qu'avec l'inflation, l'effort financier réel serait bien inférieur.

Les pays en développement ont chiffré leurs demandes entre 500 et 1300 milliards de dollars par an, pour les aider à sortir des énergies fossiles et à s'adapter au réchauffement climatique.

Consensus: le temps presse

Plutôt que 250, le chiffre devrait plutôt être de 300 milliards, ont même réagi des économistes réputés, mandatés par l'ONU, Amar Bhattacharya, Vera Songwe et Nicholas Stern.

Reste à savoir si les Occidentaux accepteront de remonter leur offre. Tout accord à la COP29 doit être adopté par consensus de tous les pays. Le temps presse, de nombreuses délégations ayant prévu de quitter l'Azerbaïdjan avant dimanche.

Selon un texte publié par la présidence azerbaïdjanaise du sommet, le nouvel engagement des pays riches pourra être financé "par une grande variété de sources, publiques et privées, bilatérales et multilatérales, dont des sources alternatives".

Peu à peu, le stade de Bakou s'est vidé vendredi soir.

Et les Azerbaïdjanais ont repris dans la nuit de vendredi à samedi des consultations marathon au 2e étage du stade de Bakou, où se croisaient de nombreux délégués du Sud, des Brésiliens, Australiens, Sud-Américains, délégués du Pacifique...

Le but: forger un compromis final dans l'espoir de le faire adopter dans une séance plénière de clôture, qui n'aura pas lieu avant samedi 10h00 (07h00 suisse), selon les organisateurs.

Austérité occidentale

Les ONG n'ont pas eu de mots assez durs pour qualifier le chiffre dévoilé jeudi.

"Le monde brûle, nous ne pouvons pas attendre des cacahuètes pendant 11 ans en donnant l'impression de faire une pause dans la sortie des énergies fossiles", a réagi Friederike Roder, de l'ONG Global Citizen.

Mais les Européens sont sous pression budgétaire et politique.

L'Europe veut "assumer ses responsabilités, mais doit faire des promesses qu'elle peut tenir", a déclaré la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock, présente à Bakou.

Les Etats-Unis ont déjà prévenu que 250 milliards par an représenteraient un effort "extraordinaire" par rapport à l'engagement actuel.

Paradoxalement, les tractations seraient "en vue d'une zone d'atterrissage", estime l'un des plus fins experts de la finance climatique, Avinash Persaud, de la Banque interaméricaine de développement.

A condition d'accepter un truisme des négociations multilatérales: "Personne ne quittera Bakou sans un goût amer dans la bouche", dit l'expert.

Le projet d'accord fixe séparément un objectif ambitieux de lever un total de 1.300 milliards de dollars par an d'ici 2035 pour les pays en développement; ce total inclurait les 250 milliards des pays développés et d'autres sources de financement (multilatérale, privée, taxes, autres pays du Sud...).

Organisation azerbaïdjanaise

Des négociateurs et des ONG critiquent la gestion de la conférence par les Azerbaïdjanais, qui n'ont jamais organisé un tel événement mondial.

La conférence s'est tenue dans une atmosphère lourde. Le président Ilham Aliev a attaqué à la tribune la France, alliée de son ennemi l'Arménie, et les deux pays ont convoqué leurs ambassadeurs respectifs.

Des parlementaires américains disent avoir été harcelés à Bakou. Pendant que plusieurs militants environnementaux azerbaïdjanais sont en détention.

La finance climatique désigne les prêts et les dons fournis par les pays développés, au nom de leur responsabilité historique dans le dérèglement climatique, pour aider les pays en développement à affronter un climat plus destructeur et à investir dans les énergies bas carbone.

Bras de fer sur les fossiles

Un autre combat est mené par l'Union européenne: elle négocie davantage d'"ambition" pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, mais s'oppose aux producteurs de pétrole menés par le groupe arabe.

"Il y a eu un effort extraordinaire des Saoudiens pour qu'on obtienne rien", s'étrangle un négociateur européen.

Succès, pour l'instant: une des composantes du projet d'accord mentionne explicitement la transition vers la sortie des énergies fossiles, la formulation arrachée à la COP28 l'an dernier. Mais restera-t-elle dans l'accord final?

La Chine a tracé une ligne rouge à Bakou: elle ne veut aucune obligation financière. Pas question de renégocier la règle onusienne de 1992 qui stipule que la responsabilité de la finance climatique incombe aux pays développés.

Elle aussi devrait être satisfaite du dernier projet d'accord, qui "invite" les pays en développement, dont la Chine fait officiellement partie, "à fournir des contributions additionnelles".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Culture

USA: le principal médecin de Matthew Perry va plaider coupable

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Matthew Perry lors de l'une de ses dernières apparitions en public en novembre 2022. (© KEYSTONE/AP/Willy Sanjuan)

Le médecin de Matthew Perry, la star de la série "Friends", avant sa mort par overdose en 2023, a accepté un accord de plaider coupable, a annoncé lundi le parquet fédéral de Californie. Le médecin est soupçonné d'avoir exploité l'addiction à la kétamine

Principal médecin poursuivi dans cette affaire, Salvador Plasencia prévoit de plaider coupable de distribution de kétamine "dans les semaines à venir", a expliqué le parquet dans un communiqué. Il risque pour cela jusqu'à "40 ans d'emprisonnement".

Un second médecin de Los Angeles, Mark Chavez, a déjà reconnu avoir illégalement contribué à fournir de la kétamine à l'acteur et risque jusqu'à 10 ans d'emprisonnement.

La mort de Matthew Perry, retrouvé inconscient dans son jacuzzi en octobre 2023, avait choqué les fans de "Friends" et suscité une pluie d'hommages à Hollywood.

L'acteur avait parlé publiquement de ses problèmes d'addiction.

Il prenait de la kétamine de manière supervisée dans le cadre de sessions de thérapie contre la dépression. Mais cet anesthésiant légal est parfois détourné à des fins stimulantes ou euphorisantes, et il est retombé dans l'addiction à l'automne 2023, selon le parquet fédéral.

Une rechute qui l'a poussé dans les griffes de médecins "sans scrupules", d'après les autorités.

Le docteur Salvador Plasencia est soupçonné d'avoir joué un rôle central dans cette affaire, même s'il n'a pas fourni la kétamine qui a tué l'acteur.

Selon l'enquête, c'est lui qui aurait organisé "l'exploitation" du comédien malade.

"Je me demande combien ce crétin va payer", avait écrit en septembre 2023 le docteur Plasencia, dans un SMS exhumé par les enquêteurs.

L'accord de plaider coupable publié lundi par le parquet souligne que M.Plasencia se fournissait auprès du docteur Chavez, et se déplaçait lui-même au domicile de Matthew Perry pour lui injecter de la kétamine, ou la fournir à l'assistant de la star.

Au total, M.Plasencia "a distribué vingt flacons" de kétamine à l'acteur sur une quinzaine de jours à l'automne 2023, selon le parquet.

Les autorités ont précédemment expliqué que les flacons de kétamine coûtaient environ 12 dollars aux médecins impliqués, mais étaient revendus "2'000 dollars" à l'acteur.

Cinq suspects sont poursuivis pour leur implication dans la mort de M.Perry.

L'autre accusée au centre du dossier est Jasveen Sangha, une dealeuse connue à Hollywood comme la "reine de la kétamine".

Cette Américano-Britannique de 41 ans a vendu le flacon de kétamine qui a tué l'acteur, et risque la prison à perpétuité.

L'assistant personnel de Matthew Perry et un intermédiaire ont eux accepté de plaider coupable.

Longs problèmes d'addiction

Véritable phénomène culturel, la série diffusée entre 1994 et 2004 a marqué toute une génération de téléspectateurs, en narrant les péripéties d'une bande de joyeux copains à New York.

Mais en coulisses, Matthew Perry a longtemps caché un mal-être derrière son personnage jovial de Chandler. Il luttait de longue date contre son addiction aux médicaments et à l'alcool.

Dans ses mémoires publiés en 2022, il avait confié avoir suivi 65 séances de sevrage, dépensant plus de neuf millions de dollars.

Il avait aussi subi plusieurs opérations chirurgicales liées à ses problèmes d'addiction à la drogue, dont une intervention durant sept heures au niveau du colon en 2018, allant jusqu'à affirmer: "Je devrais être mort."

Lors d'une apparition à la télévision peu avant son décès, l'acteur avait surpris l'auditoire en admettant avoir souffert d'une grave anxiété "tous les soirs" pendant le tournage de "Friends".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Netanyahu appelle les Iraniens à se lever contre "la tyrannie"

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Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu s'est adressé au peuple iranien. (© KEYSTONE/AP/Ronen Zvulun)

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a lancé un appel lundi au peuple iranien pour qu'il se lève contre la "tyrannie" au pouvoir à Téhéran, estimant qu'il aura "une occasion d'être bientôt libre", dans une interview donnée à la chaîne "Iran International".

Une "lumière a été allumée, portez-la vers la liberté", a-t-il lancé.

Dans cette interview de 13 minutes, le Premier ministre israélien a insisté sur le fait que le peuple iranien n'est pas un "ennemi".

"Nous avons un ennemi commun et nous le combattons avec détermination, et je crois que vous allez avoir une occasion d'être bientôt libres", a-t-il encore dit.

Israël a lancé vendredi une campagne aérienne massive d'une ampleur sans précédent contre l'Iran, en ciblant des centaines de sites militaires et nucléaires, avec l'objectif affiché de l'empêcher de se doter de l'arme nucléaire. L'Iran tire depuis des salves de missiles en riposte.

"C'est le mal contre le bien, et il est temps que les bonnes personnes se lèvent avec les bonnes personnes - les bonnes personnes en Iran et les bonnes personnes partout dans le monde - contre cette folie qui nous est imposée à tous par cette tyrannie", a déclaré M. Netanyahu.

"Je sais que l'Iran peut retrouver sa grandeur. C'était une grande civilisation, et cette voyoucratie théologique qui a pris votre pays en otage ne durera pas longtemps", a-t-il affirmé.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

L'évolution des religions depuis 2010 documentée

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Pour la première fois, le christianisme est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay. (photo symbolique) (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

Le christianisme reste la première religion dans le monde, mais l'islam est en croissance et les non-croyants de plus en plus nombreux, selon une vaste étude du Pew Research Center sur l'évolution du paysage religieux entre 2010 et 2020.

Avec 2,3 milliards de personnes (+122 millions), "les chrétiens restent le plus important groupe religieux dans le monde" et ils représentent 28,8% de la population, souligne cette méta-analyse réalisée sur la base de plus de 2700 études et recensements et publiée le 9 juin.

Le christianisme n'a toutefois pas réussi à progresser au rythme de la population mondiale, et son poids a reculé de 1,8 point.

Deuxième religion du monde avec 2 milliards de personnes (+347 millions), l'islam a connu "la croissance la plus rapide de la décennie". Il représente 25,6% de la population mondiale (+1,8 point).

Sans religion en progression

Les non-croyants sont eux aussi de plus en plus nombreux (1,9 milliard de personnes) soit près d'un quart (24,2%) de la population mondiale.

En effet, "de nombreux croyants dans le monde, essentiellement des chrétiens, 'sortent' de la religion", explique l'étude qui parle de progression "frappante".

En dix ans, les Etats-Unis (où le christianisme a reculé de 14 points sur la période) ont ainsi vu le nombre de non-croyants quasiment doubler à 101 millions de personnes: ce sont 30% de la population qui se définissent comme athées, agnostiques ou "rien de particulier".

Les sans-religions représentent également plus de la moitié de la population aux Pays-Bas, en Uruguay et en Nouvelle-Zélande.

Le monde comptait aussi 1,2 milliard d'hindous, 300'000 bouddhistes et 14,8 millions de juifs en 2020.

Géographiquement, la région abritant le plus de chrétiens (30,7%) est désormais l'Afrique sub-saharienne, et non plus l'Europe (22,3%): une tendance que l'étude explique par la démographie et "la désaffiliation chrétienne généralisée en Europe occidentale".

Le christianisme reste majoritaire dans 120 pays, contre 124 dix ans auparavant. Mais pour la première fois il est revendiqué par moins de la moitié de la population dans plusieurs pays: France, Royaume-Uni, Australie et Uruguay.

Dans chacun de ces pays "les non-croyants représentent désormais 40% ou plus de la population", tandis que les autres croyants (musulmans, hindous, juifs...) pèsent ensemble "11% ou moins".

Deux mécanismes

Pourquoi ces changements ? L'étude invoque "deux mécanismes primordiaux": la désaffection religieuse, "principal moteur du déclin de la proportion de chrétiens dans la population mondiale" et l'augmentation démographique.

La progression de l'islam s'explique donc largement par la croissance générale de la population dans les pays musulmans, du fait "d'une pyramide des âges relativement jeune et d'un taux de natalité relativement élevé".

L'étude note aussi que "les habitants des pays les plus riches sont en moyenne moins croyants que ceux des économies moins avancées".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Rebeka Masarova déclasse Sofia Kenin à Berlin

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Rebeka Masarova n'a pas laissé de chances à Sofia Kenin (© KEYSTONE/EPA EFE/RAUL CARO)

Rebeka Masarova (WTA 112) s'est hissée en huitièmes de finale à Berlin. La Bâloise de 25 ans a battu l'Américaine Sofia Kenin (WTA 29) en 67 minutes 6-3 6-2.

Sofia Kenin a autrefois occupé la 4e place du classement WTA et a remporté l'Open d'Australie en 2020 avant d'atteindre la finale de Roland-Garros quatre mois plus tard. Depuis, Kenin n'a plus jamais atteint les huitièmes de finale d'un tournoi du Grand Chelem.

Rebeka Masarova a toujours mené la danse, réussissant le break pour mener 5-3 dans le premier set. Elle a ravi l'engagement de l'Américaine à deux reprises durant le deuxième set.

En huitièmes de finale, Masarova affrontera la numéro un mondiale Aryna Sabalenka.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

L'ONU accuse le M23 de possibles crimes de guerre en RDC

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Les rebelles du M23 sont accusés de possibles crimes de guerre au moment notamment de la prise de Goma dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) et l'ONU va poursuivre ses investigations (archives). (© KEYSTONE/AP/BRIAN INGANGA)

Les parties au conflit dans l'est de la République démocratique du Congo (RDC) ont perpétré des violations des droits humains et du droit international humanitaire (DIH), selon l'ONU. Elle accuse le M23 de possibles crimes de guerre.

"La situation est encore plus grave et alarmante", a affirmé lundi le Haut commissaire aux droits de l'homme Volker Türk à Genève devant le Conseil des droits de l'homme. Les violences ont fait des milliers de victimes et environ un million de déplacés.

En avril, le Haut-Commissariat avait parlé de plus de 600 victimes d'exécutions sommaires et extrajudiciaires dans le Nord et Sud-Kivu. Selon ses indications préliminaires, la Mission d'établissement des faits pilotée par l'agence onusienne affirme désormais que ces exactions du M23, rebelles soutenus par le Rwanda, pourraient constituer des crimes de guerre.

Le Haut-Commissariat avait relayé en avril une augmentation de plus de 270% des violences sexuelles de janvier à février. Toutes les parties sont en cause, ajoute encore la mission.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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