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Israël cible le centre de Gaza, nouveaux efforts pour une trêve

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L'hôpital al-Aqsa de Deir al-Balah a reçu depuis mardi "au moins 70 morts et plus de 300 blessés, en majorité des femmes et des enfants, à la suite des bombardements d'Israël sur les zones centrales de la bande de Gaza", a déclaré Médecins sans Frontières sur X. (© KEYSTONE/AP/Saher Alghorra)

Des frappes aériennes et des tirs d'artillerie israéliens ont ciblé mercredi le centre de la bande de Gaza, où la guerre entre Israël et le Hamas palestinien va entrer dans son 9e mois. Pendant que les médiateurs redoublent d'efforts pour arracher un cessez-le-feu.

Les opérations israéliennes se concentrent à présent dans le centre du territoire palestinien, après avoir touché surtout Rafah, dans le sud, où l'armée a lancé début mai une offensive terrestre, présentée par Israël comme l'étape finale de sa guerre contre le Hamas déclenchée après une attaque du mouvement islamiste sur le sol israélien le 7 octobre.

Chargeant leurs maigres affaires sur des véhicules, charrettes et fauteuils roulants, des déplacés ont fui mercredi le camp de réfugiés palestiniens d'al-Boureij en quête d'un lieu sûr, ont rapporté des correspondants de l'AFP.

Au cours de la nuit, un bombardement près de l'entrée du camp et des tirs d'artillerie au sud-est de Deir al-Balah, à proximité, a fait plusieurs morts, selon des témoins.

"L'odeur du sang"

L'hôpital al-Aqsa de Deir al-Balah a reçu depuis mardi "au moins 70 morts et plus de 300 blessés, en majorité des femmes et des enfants, à la suite des bombardements d'Israël sur les zones centrales de la bande de Gaza", a déclaré Médecins sans Frontières sur X.

"L'odeur du sang dans la salle des urgences ce matin était insupportable. Il y a des gens étendus partout, sur le sol, dehors. Des corps étaient apportés dans des sacs en plastique. La situation est insoutenable", a déclaré Karin Huster, coordinatrice de MSF pour Gaza.

D'après des sources hospitalières et la Défense civile, au moins onze personnes ont été tuées pendant la nuit dans le secteur. L'armée israélienne a confirmé mener "des opérations" à al-Boureij et Deir al-Balah et avoir "éliminé" plusieurs membres du Hamas.

Efforts de médiation

Après bientôt huit mois de guerre, l'Egypte, les Etats-Unis et le Qatar, qui jouent le rôle de médiateurs, poursuivent leurs efforts pour tenter de convaincre les deux camps de conclure un cessez-le-feu, quelques jours après l'annonce par le président américain, Joe Biden, d'une feuille de route proposée selon lui par Israël.

Celle-ci prévoit, dans une première phase, un cessez-le-feu de six semaines accompagné d'un retrait israélien des zones densément peuplées de Gaza, de la libération de certains otages emmenés dans le territoire palestinien lors de l'attaque du Hamas ainsi que de prisonniers palestiniens détenus par Israël.

Réunion au Qatar

Selon une source proche des négociations, une réunion a eu lieu mercredi à Doha "entre le Premier ministre qatari, le chef du renseignement égyptien et le Hamas, pour discuter d'un accord en vue d'une trêve à Gaza et d'un échange d'otages et de prisonniers".

Le chef politique du Hamas, Ismaël Haniyeh, installé au Qatar, a déclaré dans un communiqué que le mouvement étudierait "sérieusement et positivement" toute proposition basée sur "un arrêt complet" de l'offensive israélienne, "un retrait total" de l'armée israélienne de Gaza et "un échange de prisonniers".

Le directeur de la CIA, William Burns, est attendu mercredi à Doha, d'après une source proche des négociations, tandis que, selon le site américain Axios, le conseiller spécial de Joe Biden pour le Moyen-Orient, Brett McGurk, doit se rendre au Caire.

Exigences contradictoires

La guerre a été déclenchée par l'attaque menée dans le sud d'Israël par des commandos du Hamas infiltrés depuis la bande de Gaza le 7 octobre. Sur les 251 personnes emmenées comme otages le jour de l'attaque, 120 sont toujours détenues à Gaza, dont 41 sont mortes selon l'armée israélienne.

En riposte, l'armée israélienne a lancé une offensive meurtrière dans le petit territoire, dirigé par le Hamas depuis 2007. Au moins 36'586 Palestiniens, essentiellement des civils, ont été tués depuis le début de la guerre, dont 36 en 24 heures, selon des données du ministère de la Santé du gouvernement Hamas à Gaza.

Les exigences contradictoires des deux camps laissent peu d'espoir de voir le plan annoncé par M. Biden se concrétiser. Le Hamas insiste pour un "cessez-le-feu permanent", tandis qu'Israël assure vouloir détruire le mouvement palestinien.

Situation "catastrophique"

L'offensive sur Rafah, qui a poussé un million de Palestiniens, selon l'ONU, à fuir la ville, a aussi entraîné la fermeture du point de passage avec l'Egypte, essentiel à l'entrée de l'aide internationale dans le territoire assiégé.

L'armée israélienne a dit mercredi poursuivre ses activités dans la zone de Rafah, où des affrontements entre les forces israéliennes et des groupes armés palestiniens ont eu lieu dans le centre de la ville, selon des témoins.

"Les conditions sont catastrophiques à Rafah, où l'armée israélienne s'emploie à détruire (...) tout ce qui permet de vivre dans ces zones et dans la bande de Gaza en général", a assuré à l'AFP Moustafa Ibrahim, un déplacé palestinien de 60 ans.

Les autorités israéliennes ont indiqué mardi que le terminal israélien de Kerem Shalom, autre passage vers la bande de Gaza, était à "pleine capacité".

Aide toujours insuffisante

Mais l'aide humanitaire qui arrive à Gaza reste insuffisante et son acheminement à l'intérieur du territoire est rendu presque impossible par les bombardements et les combats, selon les organisations humanitaires.

Sur un autre front, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a affirmé mercredi qu'Israël était "prêt pour une opération très intense" à la frontière avec le Liban, où le Hezbollah échange quotidiennement des tirs avec l'armée israélienne, en soutien au Hamas.

Le département d'Etat américain a mis en garde après ces propos contre une "escalade" au Liban, "qui nuirait considérablement à la sécurité" d'Israël.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

International

USA: des droits de douane universels "doivent être envisagés"

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"Les Etats-Unis sont un pays de producteurs", a dit Jamieson Greer, estimant que les entreprises et agriculteurs américains, parmi les "plus compétitifs au monde", doivent "gagner accès à des marchés fermés jusqu'ici". "Tous les outils à notre disposition" pourraient être utilisés pour y parvenir". (© KEYSTONE/EPA/MAANSI SRIVASTAVA)

Des droits de douane universels, imposés à l'ensemble des produits entrant aux USA, "doivent être étudiés et envisagés", a estimé jeudi le probable représentant de la Maison Blanche au Commerce (USTR), Jamieson Greer, lors de son audition de confirmation au Congrès.

Selon M. Greer, qui sera responsable en cas de confirmation d'une partie de la politique commerciale du nouveau gouvernement, en particulier de la mise en place de droits de douane, il convient de s'assurer que de telles taxes pourraient "inverser à la fois le déficit commercial et la délocalisation" et créer les "conditions d'une concurrence équitable".

Jamieson Greer, avocat au sein du cabinet américain King & Spalding, a été le directeur de cabinet de l'ancien USTR durant le premier mandat de Donald Trump, Robert Lighthizer, qui était considéré comme l'architecte du retour des droits de douane aux Etats-Unis, en particulier contre un certain nombre de produits chinois, ainsi que l'acier et l'aluminium européens.

Utiliser "tous les outils"

"Les Etats-Unis sont un pays de producteurs", a-t-il insisté, estimant que les entreprises et agriculteurs américains, parmi les "plus compétitifs au monde", doivent "gagner accès à des marchés qui ont été fermés jusqu'ici". "Tous les outils à notre disposition" pourraient être utilisés pour y parvenir, a-t-il prévenu.

Interrogé plus spécifiquement sur la relation commerciale des Etats-Unis avec la Chine, Jamieson Greer a déclaré que "mon sentiment est que nous aurons toujours besoin de commercer avec" Pékin. Mais "nous devons avoir une base d'exportation plus diversifiée", a-t-il ajouté.

"Principe de réciprocité"

"Avec la Chine, le principe de réciprocité est un mot que nous pouvons employer. Nous avons besoin d'une relation plus équilibrée" avec la deuxième économie mondiale.

La Chine a été visée samedi par des droits de douane de 10% qui seront désormais progressivement appliqués à l'ensemble de ses produits entrant aux Etats-Unis, et qui viendront s'ajouter à ceux déjà existants pour un certain nombre de produits.

Ils ont été imposés en même temps que les 25% annoncés sur les produits mexicains et canadiens, officiellement pour pousser les trois pays à agir afin de limiter le trafic de fentanyl, un opioïde puissant cause d'une crise sanitaire majeure aux Etats-Unis, vers la première économie mondiale.

"Parvenir à un accord"

Mais "nous devons parvenir à un accord sur ce sujet", a insisté M. Greer.

Les Etats-Unis ont suspendu mardi et pour un mois les droits de douane visant le Canada et le Mexique, après que les deux pays ont annoncé une série de mesures visant à mieux surveiller leurs frontières.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

"Pillages systématiques" pendant la guerre en Syrie (enquêteurs)

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Les membres de la Commission d'enquête internationale sur la Syrie parlent d'actes équivalant à des crimes de guerre dans les pillages identifiés pendant la guerre dans ce pays (archives). (© KEYSTONE/SALVATORE DI NOLFI)

L'armée syrienne et ses milices alliées ont perpétré des "pillages systématiques" pendant la guerre, selon les enquêteurs internationaux. Des accords ont été conclus avec des marchands et des acteurs privés pour leur revente.

Dans un rapport publié jeudi à Genève, la Commission d'enquête internationale sur la Syrie, qui ne s'exprime au nom de l'ONU, dénonce des actes équivalant à de possibles crimes de guerre aussi bien de l'armée que des groupes d'opposition. Les responsables pourraient aussi être responsables du crime de punition collective, notamment dans la région d'Idleb.

La Commission explique que des marchés ont même été établis pour les transactions sur des biens volés, notamment de réfugiés sunnites ou de déplacés. Dans les territoires contrôlés par les groupes armés d'opposition, les pillages semblaient plutôt "opportunistes" que "systématiques", ajoutent les trois membres de la Commission. Des maisons étaient notamment saisies pour accueillir des combattants déplacés et des civils.

Les villes ou villages les plus affectés sont ceux qui ont changé de main à plusieurs reprises pendant le conflit. Les pillages étaient alors souvent accompagnés d'autres violations graves des droits humains.

La répartition de la population de ces territoires a été changée, peut-être de manière permanente. A moins que les réfugiés et les déplacés puissent récupérer leurs anciennes habitations, ajoutent également les membres de la Commission.

Le rapport cible l'impunité presque totale. Seules quelques personnes ont été condamnées dans les territoires contrôlés par l'Armée nationale syrienne (ANS). Ou quelques femmes membres de l'Etat islamique (EI) dont le procès a eu lieu dans d'autres pays.

La Commission, qui a ciblé ces dernières années de nombreux actes équivalant à de possibles crimes contre l'humanité ou crimes de guerre, demande aussi aux parties encore au conflit d'empêcher et de punir les pillages dans les parties du pays qu'elles contrôlent. Les maisons abandonnées par les déplacés doivent être protégées de la destruction ou de l'utilisation par d'autres personnes, insiste-t-elle.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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Economie

Pluie de records pour les banques européennes

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La banque espagnole Santander a annoncé mercredi un bénéfice record de 12,57 milliards d'euros l'an dernier, en hausse de 14% sur un an. (archive) (© )

Intesa Sanpaolo en Italie, Santander en Espagne, BNP Paribas en France: ces trois géants bancaires européens n'ont jamais autant gagné d'argent que l'an dernier et illustrent la forme actuelle éclatante du secteur bancaire européen.

Les planètes sont alignées pour l'industrie bancaire, explique jeudi à l'AFP David Benamou, directeur des investissements chez Axiom AI. La hausse des commissions, un marge plus importante sur les crédits et des clients qui ont moins de risque de faire défaut sont pour lui autant d'atouts qui ont profité aux banques en 2024.

Elles ont aussi bénéficié pour certaines d'un fort dynamisme commercial, pour d'autres de l'euphorie de certains marchés entourant en fin d'année dernière l'élection de Donald Trump à la Maison Blanche. Santander, fortement implantée en Europe et en Amérique latine, affiche toujours une santé financière à faire pâlir d'envie ses rivales. La banque a annoncé mercredi un bénéfice record de 12,57 milliards d'euros l'an dernier, en hausse de 14% sur un an.

BNP Paribas suit de près avec 11,7 milliards d'euros de résultat net (+4%), quand Intesa Sanpaolo a vu le sien grimper de 12% à 8,7 milliards d'euros. Elles ne sont pas les seules à avoir battu des profits records l'an dernier: la deuxième banque espagnole BBVA a passé pour la première fois la barre symbolique des 10 milliards d'euros. La deuxième banque allemande Commerzbank arrive elle aussi à un point haut, à 2,68 milliards d'euros.

Compétitivité

Les banques européennes "continueront à profiter des conditions de crédit favorables en 2025 pour consolider leurs positions financières et commerciales, et pour développer leurs ambitions", ont souligné les analystes de S&P dans une note fin janvier. Ces profits historiques invitent en effet les acteurs bancaires à faire leur marché. L'italien Unicredit, dont les résultats financiers seront connus le 11 février, cherche par exemple à avaler son compatriote Banco BPM, mais aussi l'allemande Commerzbank.

BNP Paribas a jeté son dévolu sur l'activité de gestion d'actifs de l'assureur Axa. "Si 2024 a été une année de performance exceptionnelle, 2025 s'annonce comme une épreuve de vérité pour le secteur", prévient cependant Mathieu Gosselin, du cabinet de conseil Bartle.

Dans un premier temps bénéfiques pour leurs activités de marché, les conséquences du retour de Donald Trump à la Maison Blanche sont difficiles à mesurer au sein des états-majors des grandes banques européennes. Elles posent la question de la compétitivité face aux banques américaines, pas soumises aux mêmes règles, notamment dans les "activités de marché, de grande clientèle, de prêts, de financement de projets", prévient Marc Campi, associé au sein du cabinet Square Management

En réponse, "j'ai le sentiment que les politiques (européens) ont décidé de clôturer le chapitre +stabilité financière+", estime de son côté M. Benamou, et qu'ils allaient faire preuve de davantage de pragmatisme.

Partage de la valeur

En attendant, les groupes bancaires consacrent une partie substantielle de leurs bénéfices à leurs actionnaires, augmentant le montant des dividendes et lançant des programmes de rachat d'actions (qui font mécaniquement monter leur prix): un peu plus d'un milliard d'euros pour BNP Paribas, 2 milliards d'euros pour Intesa et même 10 milliards d'euros d'ici 2026 pour Santander. Ils mettent aussi de l'argent de côté aussi en vue des taxes mises en place par les pays dont elles dépendent.

Santander a ainsi mis de côté en début d'année dernière 335 millions d'euros au titre de l'impôt exceptionnel sur les grands groupes bancaires instauré par le gouvernement de Pedro Sánchez. La facture sera plus légère pour BNP Paribas: la banque devrait payer "quelques dizaines de millions d'euros de surtaxe", telle que prévue dans le projet de budget de l'Etat 2025, a affirmé lundi son directeur général délégué Thierry Laborde.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Première fécondation in vitro de kangourous

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L'expérience a été faite sur des kangourous gris de la côte est. (© KEYSTONE/EPA AAP/LUKAS COCH)

Des scientifiques australiens ont annoncé jeudi avoir produit le premier embryon de kangourou au monde par fécondation in vitro (FIV). Cette expérimentation historique pourrait permettre de sauver d'autres espèces de marsupiaux menacées d'extinction.

L'équipe dirigée par l'université du Queensland, dans le sud-est de l'Australie, a déclaré avoir testé la FIV sur des kangourous gris de l'Est, dans le but de l'élargir ensuite à d'autres espèces. Leur étude a été publiée dans la revue scientifique internationale "Reproductive, Fertility and Development".

"L'Australie abrite la plus grande diversité de faune marsupiale de la planète, mais c'est aussi le pays où le taux d'extinction des mammifères est le plus élevé", a déclaré le chercheur Andres Gambini dans un communiqué.

Son "objectif ultime", à terme, "est de soutenir la préservation des espèces de marsupiaux menacées comme les koalas, les diables de Tasmanie, les wombats à nez poilu du Nord et les opossums de Leadbeater". Le nombre total de kangourous fluctue entre 30 et 60 millions en Australie, et ils sont fréquemment abattus pour maintenir les populations sous contrôle.

Mais d'autres espèces de marsupiaux sont beaucoup plus fragiles. On estime par exemple que seuls 20'000 à 50'000 diables de Tasmanie vivent encore à l'état sauvage, alors qu'ils étaient jusqu'à 150'000 avant qu'une mystérieuse tumeur faciale ne les frappe au milieu des années 1990.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

L'écrivain Paul-Loup Sulitzer est décédé à l'âge de 78 ans

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Paul-Loup Sulitzer et sa compagne Supriya Rathoar au Festival de Cannes en 2022 (archives). (© KEYSTONE/EPA/CLEMENS BILAN)

L'écrivain à succès et ancien homme d'affaires Paul-Loup Sulitzer est décédé jeudi à l'âge de 78 ans à l'Ile Maurice où il vivait depuis plusieurs mois, a annoncé sa fille à l'AFP.

"Il est décédé ce matin à l'hôpital des suites d'un AVC", a indiqué Olivia Sulitzer, précisant que son père, auteur prolifique de thrillers politico-financiers, avait été hospitalisé il y a plusieurs jours après une chute.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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