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International

Négociations à Doha: le Hamas se dit prêt à libérer des otages

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Les manifestations réclamant au gouvernement israélien de tout faire pour libérer les otages détenus par le Hamas se poursuivent, comme ici samedi près de la base militaire de Kirya à Tel Aviv. (© KEYSTONE/EPA/ABIR SULTAN)

Le Hamas a affirmé dimanche être prêt à libérer 34 otages israéliens retenus captifs à Gaza au cours de la "première phase" d'un accord avec Israël, qui souligne de son côté n'avoir toujours pas reçu de liste de la part du mouvement palestinien.

Un responsable du Hamas a déclaré à l'AFP que le groupe islamiste avait "accepté de libérer 34 prisonniers israéliens d'une liste fournie par Israël dans la première phase d'un accord d'échange de prisonniers".

Cette liste, a-t-il précisé, comprend "l'ensemble des femmes, des malades, des enfants et des personnes âgées" parmi les otages israéliens.

"Le Hamas et les groupes de résistance ont besoin d'environ une semaine de calme pour communiquer avec les ravisseurs et identifier les (otages) morts ou vivants", a ajouté le responsable, qui a requis l'anonymat.

Le bureau du premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a indiqué de son côté dans un communiqué que "contrairement à ce qui a été rapporté, le Hamas n'a toujours pas fourni une liste d'otages".

Des négociations indirectes entre le Hamas et Israël ont repris ce week-end au Qatar en vue d'un accord sur un cessez-le-feu et la libération des otages retenus captifs à Gaza depuis l'attaque du mouvement palestinien sur le sol israélien le 7 octobre 2023.

En dépit d'efforts diplomatiques intenses menés sous l'égide du Qatar, de l'Egypte et des Etats-Unis, aucune trêve n'a pu être conclue depuis celle d'une semaine intervenue fin novembre 2023, qui avait permis la libération de 105 otages en échange de 240 prisonniers palestiniens détenus par Israël.

23 morts selon les secours

Ce nouveau round d'échanges à Doha intervient à un peu plus de deux semaines de l'investiture, le 20 janvier, du président élu américain Donald Trump, qui a déjà mis la pression sur le Hamas.

Parmi les principaux points de blocage figuraient notamment jusqu'ici le caractère permanent ou non d'un cessez-le-feu et la gouvernance de Gaza après la guerre, Israël s'opposant catégoriquement à ce que le Hamas puisse à nouveau diriger le territoire.

En attendant un éventuel accord, la violence est montée d'un cran depuis plusieurs jours dans l'enclave palestinienne assiégée et dévastée par près de 15 mois de guerre.

Les services de secours de Gaza ont fait état dimanche d'au moins 23 morts dans plusieurs frappes israéliennes à travers l'ensemble du territoire.

"L'occupation (israélienne) se sert du faux prétexte de la présence de combattants pour mener des frappes aériennes violentes sur des habitations abritant des dizaines de personnes déplacées", a dénoncé le porte-parole de la Défense civile gazaouie Mahmoud Bassal.

L'armée israélienne a annoncé avoir "frappé plus de 100 cibles terroristes" et "éliminé des dizaines de terroristes du Hamas" en l'espace de deux jours, vendredi et samedi, à Gaza.

Avertissement au Hezbollah

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, avait menacé mercredi d'intensifier les frappes sur Gaza si le Hamas continuait de tirer des roquettes en direction d'Israël, qui dit avoir été visé quasi quotidiennement depuis plus d'une semaine.

Dimanche, sur un autre front, il a accusé le Hezbollah libanais de ne pas respecter les termes de l'accord de cessez-le-feu entré en vigueur le 27 novembre, et averti que son pays pourrait être "forcé d'agir".

Le ministre a avancé que les combattants du Hezbollah ne s'étaient toujours pas retirés au nord du fleuve Litani, dans le sud du Liban, à une trentaine de kilomètres de la frontière, et que cela pouvait représenter un danger pour la population israélienne.

Depuis le début du cessez-le-feu, les deux camps s'accusent mutuellement de violations répétées. Le secrétaire général du Hezbollah, Naïm Qassem, a prévenu samedi que son mouvement était prêt à répondre si Israël continuait à ne pas respecter l'accord.

La guerre à Gaza a été déclenchée par l'attaque du Hamas en Israël le 7 octobre 2023, qui a entraîné la mort de 1208 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des chiffres officiels israéliens.

Ce jour-là, 251 personnes ont été enlevées. Parmi elles, 96 restent otages à Gaza, dont 34 ont été déclarées mortes par l'armée.

Au moins 45'805 personnes, essentiellement des civils, ont été tuées dans la campagne militaire israélienne de représailles à Gaza, selon le dernier bilan dimanche du ministère de la Santé du Hamas.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

Economie

Italie: Mediobanca lance une OPE sur Banca Generali

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Elle-même dans le viseur de Banca Monte Paschi di Siena, Mediobanca cible Banca Generali, la banque de l'assureur italien Generali (archives). (© KEYSTONE/EPA/MAURITZ ANTIN)

La banque d'affaires italienne Mediobanca, déjà visée par une offre publique d'échange (OPE) de Banca Monte Paschi di Siena, a à son tour annoncé lundi une OPE sur Banca Generali, branche bancaire du groupe Generali, évaluant la transaction à 6,3 milliards d'euros.

Mediobanca propose de payer 100% de ce montant à Banca Generali avec les titres qu'il détient dans l'assureur Generali et dont il est le premier actionnaire, avec 13,1% du capital.

Cette OPE est soumise à plusieurs conditions, entre autres l'obtention d'un minimum de 50% plus une action de Banca Generali ainsi que les autorisations règlementaires, précise un communiqué.

Mediobanca offre 1,70 action de Generali pour chaque action de Banca Generali, ce qui représente une prime de 11,4% par rapport par rapport au cours de clôture du titre de la banque vendredi soir.

"Banca Generali représente une opportunité unique pour Mediobanca", assure cette dernière dans le communiqué, revendiquant "une grande complémentarité" entre les deux institutions.

Cette complémentarité "d'échelle et industrielle" existerait aussi bien sur le plan professionnel que dans la gestion et la gouvernance.

"L'union entre Banca Generali et Mediobanca (...) permettra la création d'un groupe diversifié (...) avec des perspectives de croissance nettement supérieures au marché", a estimé le directeur général de Mediobanca, Alberto Nagel, cité par le communiqué.

"Leader national"

L'opération comporte des synergies de 300 millions d'euros, dont 150 millions de réduction des coûts de fonctionnement et 150 d'augmentation des recettes.

Elle permettrait "la création d'un leader national dans la gestion de l'épargne" et la possibilité pour les clients "d'accéder à une gamme élargie et excellente de produits".

La Banca Monte Paschi di Siena (MPS), la plus vieille banque du monde dont le premier actionnaire est l'Etat italien, a surpris en lançant en janvier une OPE sur Mediobanca, valorisant cette dernière à 13,3 milliards.

La banque d'affaires avait rejeté cette OPE, déclarant que "l'offre n'a pas fait l'objet d'un accord et doit être considérée comme hostile et contraire aux intérêts de Mediobanca".

Cette opération, soutenue par le gouvernement de Giorgia Meloni, a pour but de "créer un nouveau champion national", numéro trois du secteur bancaire italien, derrière Intesa Sanpaolo et UniCredit, avait fait valoir Monte dei Paschi.

Peu après 07H30 GMT, Banca Generali gagnait 7,63% à 52,50 euros, MPS 3,15% à 7,427 euros, Mediobanca 0,65% à 17,705 euros tandis que Generali perdait 1,97% à 31,33 euros dans un marché en hausse de 0,80%.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

La reprise de la guerre à Gaza a "déclenché un nouvel enfer", selon le CICR

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Selon Pierre Krähenbühl, "plus de 400 travailleurs humanitaires et 1.000 travailleurs de la santé ont été tués à Gaza, parmi lesquels 36 de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge" (archives). (© KEYSTONE/MARTIAL TREZZINI)

La reprise de la guerre à Gaza a "déclenché un nouvel enfer" dans le territoire palestinien, a averti lundi le directeur général du CICR, Pierre Krähenbühl. "Cette horreur et cette déshumanisation nous hanteront pendant des décennies", a-t-il dénoncé.

"Gaza subit et endure des morts, des blessés, des déplacements multiples, des amputations, des séparations, des disparitions, des famines et un déni d'aide et de dignité à grande échelle, et juste au moment où le cessez-le-feu (...) laissait croire aux gens qu'ils avaient survécu au pire, un nouvel enfer s'est déclenché", a déclaré le Genevois.

"Cela inclut le traumatisme des familles des otages israéliens qui font face à un cauchemar sans fin, et des familles des prisonniers palestiniens", a-t-il ajouté lors d'une conférence sur la sécurité à Doha, au Qatar, l'un des pays médiateurs.

Selon lui, "plus de 400 travailleurs humanitaires et 1000 travailleurs de la santé ont été tués à Gaza, parmi lesquels 36 de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge".

La guerre a été déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque du Hamas palestinien sur le territoire israélien, qui a fait 1218 morts côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes enlevées ce jour-là, 58 sont toujours retenues à Gaza, dont 34 sont mortes, selon l'armée israélienne.

Plus tôt cette année, les deux parties sont convenues d'une trêve qui a duré près de deux mois, avant que Israël ne reprenne son offensive militaire dans la bande de Gaza le 18 mars.

Depuis cette date, les opérations militaires de l'armée israélienne ont fait au moins 2151 morts, selon le ministère de la Santé du Hamas qui fait désormais état de 52'243 victimes depuis le 7 octobre 2023.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Airbus: accord pour le rachat d'une partie de Spirit AeroSystems

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L'avionneur européen reprend notamment la production de sections de fuselage de l'A350 à Kinston (Caroline du Nord) et à Saint-Nazaire (France) (archives). (© KEYSTONE/EPA/ANNA SZILAGYI)

Le constructeur européen Airbus a annoncé lundi la signature de l'accord final pour le rachat d'une partie des activités du sous-traitant américain SpiritAeroSystems, dont la plus grande partie est reprise par Boeing.

Ce projet avait été annoncé en juillet 2024. Spirit AeroSystems est l'un des plus importants fournisseurs au monde de structures pour avions commerciaux comme les fuselages ou les ailes.

La finalisation était attendue pour mi-2025.

L'avionneur européen reprend notamment la production de sections de fuselage de l'A350 à Kinston (Caroline du Nord) et à Saint-Nazaire (France), des ailes et de sections du fuselage de l'A220 à Belfast (Irlande du Nord) et à Casablanca (Maroc), ainsi que des pylônes de l'A220 à Wichita (Kansas), a-t-il indiqué dans un communiqué.

Airbus reprend aussi la production d'éléments pour les ailes des A320 et A350 à Prestwick (Ecosse).

Le constructeur européen recevra une compensation de 439 millions de dollars pour ce rachat (contre 559 millions prévu en juillet). Il s'était engagé, toujours en juillet dernier, à réaliser des investissements sur les lignes de production.

Avec cet accord, Airbus entend assurer la stabilité de l'approvisionnement de ses programmes d'avions commerciaux, avait souligné le groupe en juillet.

Spirit AeroSystems a vu le jour en 2005, lorsque Boeing a décidé de regrouper ses activités installées à Wichita (son siège), Tulsa et McAlester (Oklahoma) au sein d'une entreprise indépendante.

Grâce à l'acquisition en avril 2006 de BAE Aerostructures, la société récupère des contrats avec Airbus qui ont encore augmenté après le rachat en octobre 2020 d'actifs de l'avionneur Bombardier en Irlande du Nord et au Maroc.

Spirit AeroSystems a accusé une perte nette de 616 millions de dollars en 2023.

En juillet 2024, Boeing avait annoncé la réintégration en son sein de cette entreprise, parallèlement à la cession d'une partie des activités à Airbus.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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International

Un teckel retrouvé en Australie après une fugue de 529 jours

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Depuis novembre 2023, un teckel "en fugue" sur l'île Kangourou, au sud de l'Australie, avait échappé à toutes les tentatives de recherches (image symbolique). (© KEYSTONE/EPA AAP/DAVID MARIUZ)

Un teckel nommé Valerie a été retrouvé en Australie après une longue fugue de 529 jours et d'intenses efforts de recherche sur une île où abondent kangourous, koalas et pingouins.

"Valerie a été récupérée en toute sécurité", elle est "en vie et en bonne santé", a déclaré vendredi soir l'association de protection des animaux qui cherchait à capturer ce chien intrépide sur l'île Kangourou, dans le sud de l'Australie.

"Nous sommes absolument ravis et profondément soulagés que Valerie soit enfin en sécurité" et bientôt en route pour retrouver ses maîtres, a indiqué l'association Kangala Wildlife Rescue sur les réseaux sociaux.

Le teckel, une espèce aussi appelée chien saucisse, s'était enfui pendant une sortie de camping avec ses propriétaires, Georgia Gardner et Josh Fishlock, sortant de son enclos pour s'enfoncer dans le bush australien.

Depuis novembre 2023, elle a échappé à toutes les tentatives de recherches, faisant seulement récemment de discrètes apparitions de nuit sur des caméras de surveillance, où son collier rose était reconnaissable.

Ses propriétaires avaient abandonné tout espoir après des jours de recherche sur l'île de plus de 4400 kilomètres carrés.

Bénévoles en renfort

La chienne disparue n'a pas été vue pendant plus d'un an. Puis, elle a été repérée sur des enregistrements de vidéosurveillance et des habitants l'ont à nouveau aperçue, poussant des bénévoles à relancer les recherches pour la retrouver.

"Valerie semble impossible à piéger", se désespéraient encore des sauveteurs dans un message sur les réseaux sociaux en mars. Les bénévoles ont passé plus de 1000 heures à traquer la chienne, parcouru plus de 5000 kilomètres et déployé des caméras, des pièges et des appâts pour tenter de la récupérer.

Après avoir réussi à attraper le chien errant, les membres de l'association ont indiqué prendre une "courte pause pour digérer ce résultat incroyable".

Malgré leur petite taille, les teckels "dressés pour être des chasseurs indépendants de proies dangereuses, peuvent être courageux jusqu'à la témérité et un peu têtus", selon la documentation de l'American Kennel Club.

La propriétaire de Valerie s'est déclarée "incroyablement reconnaissante" envers les bénévoles qui ont aidé à retrouver sa chienne.

"Ne perdez jamais espoir", a-t-elle écrit sur les réseaux sociaux à l'adresse de ceux qui ont perdu un animal de compagnie.

Pénurie de professeurs d'allemand: une députée du Haut-Rhin propose d'assurer les cours

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

Hausse "sans précédent" des dépenses militaires en 2024

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Les dépenses militaires mondiales ont atteint 2700 milliards de dollars en 2024 (image symbolique). (© KEYSTONE/EPA/MARTIN DIVISEK)

Les dépenses militaires mondiales ont connu en 2024 leur plus forte augmentation depuis la fin de la Guerre froide, atteignant 2700 milliards de dollars à cause des guerres et conflits en cours sur la planète, selon un rapport du Sipri publié lundi.

Celles-ci ont particulièrement augmenté en Europe et au Moyen-Orient, dévoile l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (Sipri).

Les dépenses ont bondi de 9,4% en 2024 - 10e année consécutive à avoir enregistré une hausse - par rapport à 2023.

"Cela témoigne vraiment des fortes tensions géopolitiques", estime Xiao Liang, chercheur au sein du programme "Dépenses militaires et production d'armes" du Sipri. "C'est sans précédent. Il s'agit de la plus importante augmentation depuis la fin de la Guerre froide".

Plus de 100 pays ont accru leurs budgets de défense l'année dernière, souligne le rapport.

Impact profond

La facture, salée, aura par ailleurs "un profond impact socio-économique et politique", relève M. Liang, car "les pays doivent faire des arbitrages dans leurs choix budgétaires".

"Par exemple, nous avons vu de nombreux pays européens réduire d'autres postes budgétaires, comme l'aide internationale, afin de financer la hausse des moyens consacrés à l'armée, (...) ou encore envisager d'augmenter les impôts ou s'endetter", énumère-t-il.

L'Europe, Russie incluse, est la région à avoir mis le plus la main à la poche: les dépenses militaires y ont bondi de 17%, atteignant 693 milliards de dollars.

La Russie a consacré 149 milliards de dollars à son armée en 2024, en hausse de 38% sur un an, un niveau deux fois supérieur à celui de 2015.

Le budget militaire de l'Ukraine, envahie par la Russie, a lui progressé de 2,9%, atteignant 64,7 milliards.

Bien que cela ne représente que 43% de l'équivalent des moyens russes, Kiev a enregistré la charge militaire la plus élevée au monde, avec 34% de son PIB dédié à la défense.

L'Allemagne se réarme

Quelques pays européens se démarquent, note le rapport.

Les dépenses militaires de l'Allemagne ont par exemple grimpé de 28%, s'établissant à 88,5 milliards de dollars et détrônant l'Inde au quatrième rang mondial.

"Pour la première fois depuis sa réunification, l'Allemagne est devenue le principal contributeur en matière de défense en Europe centrale et occidentale", observe Xiao Liang.

Les États-Unis, premier pays mondial en termes de dépenses militaires, ont augmenté leur budget de 5,7% en 2024, atteignant 997 milliards de dollars, soit 37% des dépenses mondiales et 66% de celles des pays membres de l'Otan.

Les 32 membres de l'Alliance atlantique, engagés dans une dynamique de réarmement à l'aune d'un possible désengagement américain, ont tous considérablement accru ce poste de dépense.

"En 2024, 18 des 32 pays ont atteint l'objectif de 2% du PIB" consacré aux dépenses militaire, inédit depuis la fondation de l'Otan, selon le chercheur.

"Des projets d'acquisitions massives dans l'industrie de l'armement sont à prévoir dans les années à venir", dit-il

La tendance est la même au Moyen-Orient.

Israël poursuit sa guerre dans la bande de Gaza et en 2024, ses dépenses militaires ont explosé de 65% pour atteindre 46,5 milliards de dollars - soit la plus forte augmentation depuis la guerre des Six Jours en 1967, selon le Sipri.

Celles de l'Iran ont à l'inverse diminué de 10% et représentent 7,9 milliards de dollars en 2024, "malgré son implication dans les conflits régionaux", pointe le Sipri, car "l'impact des sanctions a fortement limité sa capacité à accroître ses dépenses".

En deuxième position derrière les Etats-Unis, la Chine, qui investit dans la modernisation de ses forces armées, l'expansion de ses capacités en guerre cybernétique et son arsenal nucléaire, représente désormais la moitié des dépenses militaires en Asie et en Océanie.

En 2024, elle a augmenté son budget militaire de 7%, atteignant 314 milliards de dollars.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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