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Politique

Chiesa ne briguera pas un nouveau mandat de président de l'UDC

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Marco Chiesa est président de l'UDC depuis août 2020 (archives). (© KEYSTONE/URS FLUEELER)

Le président de l'UDC Marco Chiesa annonce jeudi ne pas vouloir briguer un nouveau mandat à la tête du parti à la fin de son mandat, qui s'achève en mars 2024. "J'avais une mission à remplir. Et elle est remplie", déclare le Tessinois.

Une commission est déjà à l'oeuvre au sein de l'UDC pour lui trouver un successeur, précise M. Chiesa dans un entretien diffusé jeudi par les journaux du groupe de presse CH Media et le Corriere del Ticino. Le président de l'UDC se dit convaincu que le moment est bien choisi pour quitter son poste. "L'objectif de mon mandat était: gagner les élections [fédérales d'octobre 2023, ndlr] et renforcer la politique et les valeurs de l'UDC".

Le parti national conservateur a remporté neuf sièges supplémentaires au Conseil national lors du scrutin d'octobre, obtenant le troisième meilleur résultat de son histoire, se réjouit M. Chiesa. "Nous avons encore du potentiel dans de nombreux endroits, mais nous sommes en bonne position".

Pas attiré par le Conseil fédéral

Après son mandat de président du parti, le conseiller aux Etats tessinois n'entend pas disparaître de la vie publique. "J'ouvrirai encore de nouveaux chapitres dans ma vie". Il va également poursuivre ses activités dans sa société fiduciaire dans une fondation qui gère des crèches.

Mais contrairement à ses prédécesseurs à la tête de l'UDC, Albert Rösti et Ueli Maurer, M. Chiesa affirme ne pas être intéressé par le Conseil fédéral. "Devenir conseiller fédéral n'est pas un objectif personnel pour moi".

Vice-président de l'Action pour une Suisse indépendante et neutre depuis 2018, Marco Chiesa est président de l'UDC depuis août 2020, devenant le premier latin à la tête du parti. Le Luganais a succédé à Albert Rösti, qui est entré au Conseil fédéral en décembre 2022.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

Politique

Gerhard Pfister n'est pas candidat au Conseil fédéral

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Souvent cité comme favori pour succéder à Viola Amherd, le président démissionnaire du Centre, Gerhard Pfister, n'est pas candidat (archives). (© KEYSTONE/PETER SCHNEIDER)

Le président démissionnaire du Centre, Gerhard Pfister, ne veut pas devenir conseiller fédéral. Il a décidé de ne pas se présenter pour succéder à Viola Amherd, déclare-t-il dans une interview publiée samedi soir sur le site du "Tagesanzeiger".

Il s'est bien sûr demandé s'il pouvait assumer une telle fonction, "et en toute modestie, je me sentirais capable" de le faire, indique-t-il dans l'interview. Mais il s'est aussi demandé si la fonction lui conviendrait et là, la réponse était non, explique-t-il.

Et d'ajouter que ceux qui le connaissent bien savent qu'il ne serait pas un conseiller fédéral heureux. Le Zougois souligne qu'il aime débattre et, pour cela, il a besoin d'une certaine liberté personnelle, qu'il peut avoir en tant que président de parti, mais "certainement plus" en tant que conseiller fédéral.

La ministre de la défense Viola Amherd a annoncé sa démission mercredi. L'élection du ou de la successeure de la centriste aura lieu le 12 mars.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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International

Des milliers de manifestants contre Trump à Washington

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De nombreuses personnes sont descendues dans les rues de Washington pour la "Marche du peuple", organisée par plusieurs groupes de défense des droits civiques et de la justice sociale. (© KEYSTONE/EPA/JIM LO SCALZO)

Des milliers de personnes ont manifesté samedi à Washington contre la politique de Donald Trump, deux jours avant le retour du milliardaire à la Maison Blanche.

Baptisée "Marche du peuple" cette manifestation a été organisée par plusieurs groupes de défense des droits civiques et de la justice sociale, dont l'équipe derrière les "Marches des femmes" du 21 janvier 2017 à travers le pays au lendemain de la première investiture de Donald Trump.

Samedi, des pancartes colorées et des petits bonnets roses aux oreilles de chat, les "pussy hats" en référence à ces manifestations il y a huit ans, parsèment le cortège dans le centre de la capitale fédérale américaine.

"Ces lois mettent en danger nos vies. Les femmes meurent. Vos soeurs, vos filles, vos mères, vos amies meurent", affirme Aisha Becker-Burrowes, militante féministe dans la foule.

Sous une pluie fine, Susan Dutwells, venue de Floride (sud-est) avec sa fille pour la manifestation dit "avoir peur" et être "en colère" du retour de Donald Trump. "Tellement de gens votent contre leurs propres intérêts. Je ne comprends pas", a ajouté cette femme de 60 ans.

Autres manifestations prévues

"J'essaie de garder espoir", affirme Carine, une autre manifestante de 40 ans qui n'a pas voulu donner son nom de famille. "Cela fait tellement du bien d'être entourée de beaucoup de monde". Venue d'Arizona (sud-ouest), c'est la première fois qu'elle manifeste à Washington, dit-elle à l'AFP, tout en assurant qu'elle continuera "le combat de retour à la maison".

Sarah Kong, une psychiatre de 31 ans, se sent "motivée, stimulée par tous ces gens. J'ai foi en l'avenir, même si j'ai peur".

Les participants à la marche manifestent pour une série de sujets, selon eux menacés par Donald Trump comme l'accès à l'avortement, la lutte contre le réchauffement climatique ou encore la défense des droits des personnes immigrées.

D'autres manifestations similaires sont prévues dans le pays, notamment à New York.

Après sa victoire le 5 novembre face à la vice-présidente démocrate Kamala Harris, Donald Trump prêtera serment au Capitole lundi midi et deviendra le 47e président des Etats-Unis. Celui qui est encore pour deux jours le président élu est attendu samedi soir à Washington pour une réception dans l'un de ses golfs et un feu d'artifice.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

En Autriche, Herbert Kickl prône "l'asile zéro"

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"On va construire notre Autriche forteresse à coup de demandes d'asiles rejetées, d'avis d'expulsions et de charters", a déclaré l'extrémiste de droite Helbert Kickl devant une large foule à Vösendorf, en Basse-Autriche. (© KEYSTONE/EPA/MAX SLOVENCIK)

Le chef de l'extrême droite autrichienne Herbert Kickl a déclaré samedi vouloir réduire l'asile à "zéro". Il s'exprimait dans un discours de politique générale présentant ce qu'il souhaiterait faire s'il accédait à la chancellerie.

Arrivé pour la première fois en tête lors des dernières législatives fin septembre, le Parti autrichien de la Liberté (FPÖ) est actuellement en négociation avec les conservateurs pour former un gouvernement et obtenir la chancellerie pour la première fois.

"On va construire notre Autriche forteresse à coup de demandes d'asiles rejetées, d'avis d'expulsions et de charters", a déclaré le chef du parti devant une large foule à Vösendorf, en Basse-Autriche.

Chiffres "trop élevés"

"Pour nous, asile veut dire protection tout près de la région en crise", pas "migration déguisée des peuples, ticket d'entrée dans le système social et accès à la nationalité", a-t-il ajouté.

Estimant que les chiffres de demandes d'asile déposées ces dernières années étaient "trop élevés", il a jugé que dans ce domaine aussi, l'Autriche avait "besoin d'un zéro, comme pour le déficit zéro".

"Retour aux deux sexes"

Pour Herbert Kickl, un "retour aux deux sexes" est par ailleurs nécessaire, "nos familles" étant "composées du père, de la mère et des enfants". L'Autriche a ouvert à tous le droit au mariage et à l'adoption en 2019.

Comparant l'Union européenne qui déroule un "communisme climatique" à "l'URSS et ses grandes planifications", il a rendu hommage à la génération d'après-guerre ayant reconstruit l'Autriche "dans la plus grande misère".

Herbert Kickl estime que sa génération a l'obligation de transmettre à la prochaine la "prospérité" pour laquelle elle a "travaillé dur".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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International

La Première ministre italienne assistera à l'investiture de Trump

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La Première ministre italienne Giorgia Meloni assistera à l'investiture de Donald Trump comme président des États-Unis lundi à Washington. (© KEYSTONE/EPA/ALI HAIDER)

La Première ministre italienne Giorgia Meloni assistera à l'investiture de Donald Trump comme président des États-Unis, lundi à Washington, ont annoncé samedi ses services.

La cheffe de gouvernement d'extrême-droite s'est positionnée comme la dirigeante européenne la plus proche du milliardaire américain et entretient des relations très amicales avec Elon Musk, très proche du nouveau président.

Aucun chef d'État ou de gouvernement étranger n'est traditionnellement invité à la cérémonie d'investiture des présidents américains, où les pays sont représentés par leur ambassadeur.

Invitations de présidents

Mais Donald Trump en a décidé autrement cette fois, en invitant plusieurs dirigeants étrangers, dont le président chinois Xi Jinping, qui a décliné cette invitation, le président argentin Javier Milei, ou encore l'ex-président brésilien Jair Bolsonaro. Ce dernier, interdit de quitter le Brésil depuis février 2024 dans le cadre d'une enquête sur un projet présumé de coup d'État, ne pourra y assister.

L'eurodéputée d'extrême droite française Marion Maréchal se rendra elle aussi à la cérémonie d'investiture de Donald Trump, a-t-elle indiqué jeudi. Eric Zemmour avait annoncé la semaine dernière qu'il s'y participera également.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Politique

Les pays voisins ne sont pas des modèles en politique financière

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Des finances saines, une mission de politique publique : la présidente de la Confédération Keller-Sutter devant les délégués du PLR à Berne. (© KEYSTONE/ANTHONY ANEX)

La présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter a défendu le respect du frein à l'endettement devant les délégués du PLR à Berne. Des finances saines ne sont pas une question de comptabilité, mais revêtent une importance fondamentale pour la politique de l'Etat.

Ils garantissent la capacité d'action de la Suisse, a expliqué la ministre des Finances samedi devant les membres de son parti. Jetant un regard sur les voisins de la Suisse, la conseillère fédérale a rappelé qu'en Allemagne, la coalition s'est brisée sur la politique financière.

En Autriche, les négociations pour une coalition ont échoué sur des questions budgétaires. La France ne parvient pas à se stabiliser en raison de sa situation financière et l'Italie est fortement endettée. "Ce ne sont tout simplement pas des modèles", constate Mme Keller-Sutter: "Nous devons faire autrement et nous battre pour que le frein à l'endettement soit respecté".

Un débat sur le "modèle de réussite libéral" qu'est la Suisse et que le PLR veut renforcer est au centre de l'assemblée des délégués.

Cet article a été publié automatiquement. Source : ats

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