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Ukraine: journée de deuil à Kiev où le bilan des morts s'alourdit

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L'attaque sur le centre hospitalier Okhmatdyt a créé un choc dans le pays et parmi les alliés de l'Ukraine, qui subit depuis plus de deux ans les bombardements russes. (© KEYSTONE/AP/Evgeniy Maloletka)

La capitale ukrainienne observe mardi une journée de deuil au lendemain de frappes russes ayant fait plus de 30 morts et dévasté le plus grand hôpital pédiatrique du pays, un bilan qui peut s'alourdir, les recherches se poursuivant dans les décombres.

L'attaque sur le centre hospitalier Okhmatdyt a créé un choc dans le pays et parmi les alliés de l'Ukraine, qui subit depuis plus de deux ans les bombardements russes.

Le président Volodymyr Zelensky a fait état dans la matinée de près d'une quarantaine de morts à travers tout le pays, qui a essuyé la veille une attaque massive impliquant une quarantaine de missiles russes.

L'Ukraine, dont l'infrastructure énergétique est déjà ravagée, ne cesse de réclamer à ses alliés occidentaux plus de moyens de défense antiaérienne.

Plus de 30 morts à Kiev

Au moins 31 personnes, dont quatre enfants, ont été tués à Kiev, où les missiles russes et leurs débris ont frappé, outre l'hôpital, une clinique privée et des immeubles d'habitation dans plusieurs quartiers.

Mardi matin, cinq corps ont été sortis des décombres d'un immeuble résidentiel dans le quartier de Syrets (ouest), selon le maire Vitali Klitschko, portant à 12 le nombre total de personnes tuées dans ce bâtiment. Les recherches s'y poursuivent

Sept personnes - cinq soignants et deux patients - sont mortes dans un bombardement de la clinique privée Adonis dans l'Est de la ville.

A Okhmatdyt, deux adultes, dont une femme médecin et un visiteur, ont été tués et 32 blessées, ont indiqué les autorités après la fin des opérations de sauvetage dans la matinée.

Sur environ 630 patients qui y étaient soignés, 94 ont été transférés dans d'autres hôpitaux de la capitale, plus de 465 ont dû rentrer chez eux et 68 sont restés dans les bâtiments qui n'ont pas été touchés par l'attaque, a indiqué le ministère de la Santé.

Journée de deuil

La mairie a décrété une journée de deuil dans la capitale et les drapeaux ont été mis en berne. "En ce jour de deuil pour les victimes innocentes de notre capitale et d'autres villes d'Ukraine, je m'incline avec l'ensemble du peuple ukrainien", a déclaré de son côté le commandant en chef des forces armées ukrainiennes Oleksandre Syrsky.

Il a dénoncé un "crime de guerre" russe qui a "choqué le monde par sa cruauté" et que "nous, les soldats ukrainiens, ne pardonnerons jamais".

Mardi, 64 victimes des frappes restent hospitalisées à Kiev, 28 autres à Kryvyï Rig, ville natale du président dans le centre-sud du pays, et six autres à Dnipro, grande ville du centre-est, a listé Volodymyr Zelensky.

"Tir direct"

L'Ukraine a déclaré que la frappe sur l'hôpital pédiatrique avait été effectuée avec un missile de croisière russe Kh-101 tiré depuis un bombardier.

Le Kremlin qui nie systématiquement depuis le début de son invasion tout crime ou bavure, a mis en cause la défense aérienne ukrainienne, assurant, comme toujours, ne jamais "frapper de cibles civiles".

La représentante du Haut-Commissariat des droits de l'homme de l'ONU en Ukraine, Danielle Bell, a elle jugé "fort probable" que l'hôpital ait été touché par "un tir direct" de missile russe, évoquant aussi le projectile du type KH-101.

"L'analyse des séquences vidéo et l'évaluation effectuée sur le lieu de l'incident indiquent qu'il est fort probable que l'hôpital pour enfants ait subi une frappe directe plutôt que des dommages dus à un système d'arme intercepté", a déclaré Mme Bell lors d'un point de presse à Genève.

"Réponse plus forte" nécessaire

M. Zelensky, qui doit participer à un important sommet de l'Otan à Washington, a de son côté réclamé aux Occidentaux une "réponse plus forte" à la Russie. Une réunion d'urgence du Conseil de sécurité de l'ONU est également prévue mardi, à la demande du président ukrainien.

Joe Biden a dénoncé lundi la "brutalité" de la Russie, promettant "de nouvelles mesures pour renforcer la défense antiaérienne de l'Ukraine".

Les attaques russes contre l'Ukraine se sont poursuivies au cours de la nuit de lundi à mardi: deux personnes ont été blessées dans la région de Kherson et trois autres dans celle de Zaporijjia, les deux situées dans le Sud.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Les droits de toutes les confessions "garantis" en Syrie

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Un mouvement de retour en Syrie a démarré en Turquie, où de nombreux Syriens se sont réfugiés après le début de la guerre en 2011. (© KEYSTONE/AP/Khalil Hamra)

Le Premier ministre chargé de la transition en Syrie, Mohammad al-Bachir, tout juste nommé, a assuré mercredi que la coalition dirigée par les islamistes "garantira" les droits de toutes les confessions. Il a appelé les millions de Syriens exilés à rentrer au pays.

Reconnaissant "le comportement erroné de certains groupes islamistes", M. Bachir a insisté, dans une interview au quotidien italien Corriere della Sera, sur le fait que "la signification de l'islam (...) a été déformée".

"C'est précisément parce que nous sommes islamiques que nous garantirons les droits de tous les peuples et de toutes les confessions en Syrie", a-t-il souligné, au lendemain de sa nomination, pour diriger le gouvernement transitoire jusqu'au 1er mars.

A la tête de l'alliance rebelle qui a mis fin dimanche, en s'emparant de Damas, à un demi-siècle de pouvoir sans partage du clan Assad, le groupe islamiste radical Hayat Tahrir al-Sham (HTS), ancienne branche syrienne d'Al-Qaïda, affirme avoir rompu avec le djihadisme. Mais il reste classé terroriste par plusieurs pays occidentaux, dont les Etats-Unis.

"Reconstruire" le pays

M. Bachir a appelé les Syriens de l'étranger - dont quelque six millions, soit un quart de la population, ont fui le pays depuis 2011 - à rentrer chez eux pour "reconstruire" et faire "prospérer" le pays où sunnites, alaouites, chrétiens ou encore Kurdes cohabitent difficilement.

Morcelée par 13 ans de guerre civile, qui a fait plus d'un demi-million de morts, "la Syrie est désormais un pays libre qui a gagné sa fierté et sa dignité. Revenez", a-t-il dit, après que plusieurs pays, dont, la Suisse, l'Allemagne, l'Autriche ou le Royaume-Uni, ont décidé un gel des procédures de demandes d'asile de ressortissants syriens.

Le pays "ne va pas se retrouver dans une autre" guerre, avait assuré la veille Abou Mohammad al-Jolani, le chef de HTS, qui a mené l'offensive rebelle lancée le 27 novembre et qui a fait basculer le pays.

"Vivre normalement"

A Damas, où flotte le drapeau de la révolution, vert, blanc et noir, la vie reprend doucement son cours. Venue retrouver des amies dans un café, Rania Diab, une médecin de 64 ans, nourrit l'espoir "qu'on puisse vivre normalement dans notre pays, que nos libertés soient préservées".

Mais pour beaucoup de Syriens, la priorité reste la quête de proches disparus happés par des décennies de féroce répression. Venu de Deraa, dans le sud, Nabil Hariri examine dans la morgue d'un hôpital de la capitale des photos de cadavres, à la recherche de son frère, arrêté en 2014 à 13 ans à peine. "Quand on se noie, on s'accroche à n'importe quoi", dit cet homme de 39 ans.

Depuis 2011, plus de 100'000 personnes ont péri dans les prisons syriennes, estimait en 2022 l'Observatoire syrien des droits de l'homme, OSDH. Plusieurs capitales étrangères et l'ONU ont pris acte des signaux envoyés par le nouveau pouvoir, tout en soulignant qu'ils devaient être traduits en actes.

Washington a indiqué qu'elle "reconnaîtrait et soutiendrait pleinement un futur gouvernement syrien issu d'un processus (politique) inclusif", tandis que l'Union européenne fait état "d'énormes défis" à venir et espéré que la Syrie ne répète pas les "scénarios terrifiants" de l'Irak, de la Libye et de l'Afghanistan.

Le Kremlin, soutien jusque là du pouvoir déchu, a souhaité une situation "stabilisée le plus vite possible", indiquant être "en contact" avec les nouvelles autorités, notamment concernant l'avenir des deux bases militaires russes dans le pays. Le Qatar a annoncé la réouverture prochaine de son ambassade en Syrie, avec laquelle il avait rompu les liens sous l'ancien pouvoir.

Trêve sur le front kurde

Sur le terrain, experts et capitales étrangères mettent toutefois en garde contre les rivalités et conflits ouverts entre les différentes factions rebelles.

Dans le nord-est de la Syrie, où des combats entre forces prokurdes et proturcs ont fait 218 morts en trois jours, selon l'OSDH, "nous sommes parvenus via une médiation américaine à un accord de cessez-le-feu à Manbij", a déclaré Mazloum Abdi, commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS) dominées par les Kurdes et soutenues par Washington.

"Notre but est de parvenir au cessez-le-feu dans toute la Syrie pour commencer un processus politique en faveur de l'avenir du pays", a-t-il mis en avant, précisant que les combattants affiliés au FDS, "se retireront de la zone dès que possible". Mardi soir, les rebelles avaient affirmé s'être emparés de la ville de Deir Ezzor, dans l'est du pays, dont les forces kurdes s'étaient retirées, selon l'OSDH.

Israël affiche de son côté sa détermination à ne permettre "à aucune force hostile de s'établir à sa frontière" en Syrie, selon les mots de son Premier ministre, Benjamin Netanyahu. L'armée israélienne a dit avoir mené en 48 heures des centaines de frappes dans plusieurs villes du pays voisin, contre des sites militaires stratégiques "pour empêcher qu'ils ne tombent aux mains d'éléments terroristes".

Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a aussi ordonné à ses troupes d'établir "une zone exempte d'armes et de menaces" dans le sud de la Syrie, où l'armée a pris position dans la zone tampon à la lisière de la partie du Golan syrien occupée par Israël. Mardi, l'OSDH a par ailleurs rapporté que 55 soldats syriens qui avaient pris la fuite pendant l'offensive rebelle avaient été exécutés par le groupe djihadiste Etat islamique (EI) dans le désert du centre syrien.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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TUI confirme en 2024 avec des résultats en forte hausse

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Dans son activité de compagnie aérienne en Europe, le groupe TUI a aussi amélioré ses résultats "dans un contexte de forte concurrence" et de "prix plus élevés". Il a franchi la barre des 20 millions de clients. (© KEYSTONE/DPA/MORITZ FRANKENBERG)

Le numéro 1 mondial du tourisme TUI a vu son bénéfice net s'envoler en 2024, soutenu par des ventes record. Le géant allemand se montre toutefois légèrement plus prudent pour 2025, sur la base des chiffres publiés mercredi.

A l'issue de l'exercice décalé achevé en septembre, le bénéfice net part du groupe a grimpé de 65,8% pour atteindre 507,1 millions d'euros, dépassant les niveaux pré-Covid. Les experts de la plateforme Factset s'étaient toutefois montrés plus optimistes, tablant sur 550 millions d'euros.

Pendant la pandémie en 2020, l'entreprise de Hanovre avait été sauvée de la faillite grâce à une aide publique de 4,3 milliards d'euros, qu'il a remboursée en 2023. Lors de l'exercice écoulé, les ventes du tour-opérateur allemand ont augmenté de 11,3%, atteignant un niveau historique de 23,0 milliards d'euros, corrigé de la variation des prix, a également annoncé le groupe dans un communiqué.

Le résultat opérationnel ajusté s'est établi à 1,3 milliard d'euros, en hausse de 35,4%, notamment grâce au dynamisme des offres de croisière, en progression de 58,6%. La croissance de ce segment résulte d'"investissements dans de nouvelles constructions", avec l'augmentation de la flotte du groupe à 17 navires, précise le communiqué.

Dans son activité de compagnie aérienne en Europe, le groupe TUI a aussi amélioré ses résultats "dans un contexte de forte concurrence" et de "prix plus élevés". Il a franchi la barre des 20 millions de clients.

Mais ses performances en Europe de l'Ouest ont fortement chuté, en raison d'une "baisse de la fréquentation sur les long-courriers au départ des Pays-Bas et de la Belgique" et de "coûts liés à la transformation" numérique au sein de l'entreprise. Pour 2025, le tour-opérateur s'attend à ce que la dynamique ralentisse légèrement, avec une croissance de 5 à 10% du chiffre d'affaires et de 7 à 10% du résultat opérationnel ajusté.

Sur le marché aérien, le directeur général Sebastian Ebel espère notamment "réduire (la) dépendance régionale vis-à-vis de l'Europe, à une époque où la conjoncture européenne connaît peu ou pas de croissance".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Macron: la coalition qui soutenait Barnier n'a pas pu être élargie

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Emmanuel Macron a engagé des discussions avec le PS, les communistes et les écologistes (archives). (© KEYSTONE/EPA/MOHAMMED BADRA)

Le président français Emmanuel Macron a affirmé mercredi que le "socle" de partis qui soutenait l'exécutif de Michel Barnier n'avait pu "en l'état" être élargi, a rapporté la porte-parole du gouvernement. Cette coalition réunissait le camp présidentiel et la droite.

Lors du Conseil des ministres, M. Macron a "insisté sur le fait qu'il n'y avait pas actuellement de socle plus large que celui qui est en place aujourd'hui. Et qu'il restait donc désormais à savoir si certains étaient prêts à élargir ce socle ou à s'accorder sur un principe de non censure", a-t-elle déclaré à la presse.

Des discussions sont engagées avec les socialistes, les communistes et les écologistes. Le premier secrétaire du PS Olivier Faure a assuré mercredi que le nouveau Premier ministre "ne peut pas être (le centriste) François Bayrou" qui incarnerait une "continuité" du macronisme. Il veut un Premier ministre "issu de la gauche".

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Zalando rachète son rival About you pour 1,2 milliard d'euros

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Zalando entend payer 6,50 euros par action About You, soit deux-tiers de plus que sa valeur à la clôture de la bourse de Francfort mardi, et acquérir à terme 100% des parts (archives). (© KEYSTONE/DPA/BODO MARKS)

Zalando va acquérir son rival national About You pour environ 1,1 milliard d'euros (1,02 milliard de francs). L'opération doit permettre au géant allemand de la mode en ligne de mieux résister à la concurrence des acteurs chinois à bas prix du secteur.

"Zalando et About You unissent leurs forces pour façonner ensemble le commerce de la mode en ligne et du lifestyle en Europe", indique un communiqué des entreprises. Zalando entend payer 6,50 euros par action About You, soit deux-tiers de plus que sa valeur à la clôture de la bourse de Francfort mardi, et acquérir à terme 100% des parts.

Le titre de Zalando lâchait 6,1% mercredi vers 10h00, les investisseurs faisant part de leur mécontentement sur cette opération. Actionnaire majoritaire d'About You avec 73% des parts, le groupe de commerce de détail hambourgeois Otto va céder toute sa participation à Zalando.

La transaction devrait être finalisée à l'été 2025, après avoir satisfait les réglementations nécessaires, selon le communiqué. Pépite du commerce en ligne allemand, About You a été fondée en 2014 et se distingue notamment par ses nombreuses collaborations avec des vedettes.

Les deux entreprises allemandes espèrent créer un leader européen capable de tenir tête aux chinois Shein et Temu, qui connaît une progression fulgurante en Europe grâce à une stratégie de prix cassés.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Les forces prokurdes annoncent une trêve avec les proturcs à Manbij

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Les factions soutenues par la Turquie avaient assuré la semaine dernière avoir pris le contrôle de Manbij après avoir ravi l'enclave septentrionale stratégique de Tal Rifaat aux prokurdes (image d'illustration). (© KEYSTONE/AP)

Le chef des forces dominées par les Kurdes qui contrôlent de vastes régions du nord-est de la Syrie a annoncé mercredi une trêve avec les groupes proturcs à Manbij. Des combats ont fait plus de 200 morts dans cette zone à majorité arabe.

Ces affrontements interviennent alors qu'experts et capitales étrangères mettent en garde contre rivalités et conflits ouverts entre les différentes factions rebelles en Syrie qui ont renversé Bachar al-Assad.

"Nous sommes parvenus via une médiation américaine à un accord de cessez-le-feu à Manbij", a déclaré Mazloum Abdi, commandant des Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par Washington.

M. Abdi a ajouté que les combattants du Conseil militaire de Manbij, affiliés au FDS, "se retireront de la zone dès que possible". "Notre but est de parvenir au cessez-le-feu dans toute la Syrie pour commencer un processus politique en faveur de l'avenir du pays", a poursuivi M. Abdi.

Ces trois derniers jours, "218 membres des forces pro-kurdes et des factions pro-Ankara ont été tués dans des combats à Manbij et dans ses environs", selon l'Observatoire syrien des droits de l'homme (OSDH).

"Dessiner une solution politique"

La semaine dernière, les factions soutenues par la Turquie avaient assuré avoir pris le contrôle de Manbij après avoir ravi l'enclave septentrionale stratégique de Tal Rifaat aux prokurdes. L'OSDH ajoute que les combats se poursuivent dans la région de Raqa.

Les FDS, alliées des Occidentaux dans la lutte contre le groupe djihadiste Etat islamique (EI), sont considérées par Ankara comme une émanation du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK), son ennemi juré.

M. Abdi avait assuré la semaine dernière à la presse que l'ONU avait contacté les FDS pour qu'elles aident à "dessiner une solution politique en Syrie" alors qu'une offensive de 11 jours d'une hétéroclite d'opposants emmenés par les islamistes de Hayat Tahrir al-Sham (HTS) a mis fin à un demi-siècle de règne sans partage des Assad.

Mardi, le Commandement central américain (Centcom) avait annoncé que son chef, le général Erik Kurilla, avait visité des bases américaines et des FDS en Syrie.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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