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Avortement: Trump dit vouloir laisser les Etats légiférer

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Donald Trump se félicite d'avoir été celui qui a facilité la fin de la garantie fédérale du droit à l'avortement (archives). (© KEYSTONE/AP/Lynne Sladky)

Donald Trump a affirmé lundi qu'il souhaitait laisser la main libre aux Etats américains pour légiférer sur l'avortement. Il semble ainsi rejeter une interdiction à l'échelle nationale concernant cette question, au coeur de la campagne présidentielle.

"Les Etats détermineront par vote ou par une loi, ou peut-être les deux. Quelle que soit leur décision, elle doit faire loi", a déclaré l'ex-président républicain.

De nouveau candidat en novembre face à Joe Biden, il se vante également, dans une vidéo publiée sur sa plateforme Truth Social, d'avoir été celui qui a facilité la fin de la garantie fédérale du droit à l'avortement, par la décision de la Cour suprême en juin 2022.

Interdit ou restreint dans 20 Etats

Depuis cette décision redonnant aux Etats toute latitude pour légiférer dans ce domaine, une vingtaine ont interdit ou sévèrement restreint l'accès à l'IVG.

"Beaucoup (d'Etats) auront un nombre différent de semaines" comme durée limite de grossesse pour un avortement, a exposé Donald Trump dans sa vidéo lundi. "Certains seront plus conservateurs que d'autres, et c'est comme ça. Au bout du compte, c'est la volonté du peuple qui compte", lance-t-il.

Le républicain a également accusé les démocrates d'être en faveur de l'avortement jusque dans les derniers mois de grossesse, et "même une exécution après la naissance". Une affirmation sans fondement.

En mars, Donald Trump avait d'abord indiqué qu'il pourrait se prononcer pour une interdiction nationale au-delà de 15 ou 16 semaines.

Référendums tous perdus

Mais il avait également estimé qu'il ne revenait pas à l'administration fédérale de trancher sur ces questions, mettant en garde contre le coût électoral d'une position trop conservatrice sur ce sujet éminemment sensible.

Depuis la décision de la Cour suprême de juin 2022, les conservateurs ont perdu chaque référendum ou scrutin abordant la question de l'avortement. Ce, même dans des Etats qui leur sont d'habitude acquis, comme l'Ohio ou le Kansas.

Les démocrates capitalisent sur le sujet

Les démocrates de leur côté capitalisent sur ce sujet brûlant, bien conscients que la question a fait d'eux une machine à gagner - du moins dans les scrutins locaux.

La colistière de Joe Biden, Kamala Harris, se déplace régulièrement sur des campus américains dans les Etats les plus disputés de l'élection pour évoquer le sujet.

"Dans tout le pays, des extrémistes s'en prennent à l'accès des femmes aux soins de santé et aux droits reproductifs", a-t-elle encore dénoncé fin mars en Caroline du Nord, exhortant les Américains à soutenir Joe Biden le 5 novembre pour protéger l'accès à l'avortement.

Mi-mars, elle est devenue la première vice-présidente en exercice à se rendre dans une clinique effectuant des IVG, dans le Minnesota.

A travers le pays, les démocrates ont aussi encouragé à l'organisation de mini-référendums sur l'avortement dans plusieurs Etats décisifs pour la présidentielle - l'Arizona, le Nevada, la Pennsylvanie - le même jour que l'élection qui opposera Donald Trump à Joe Biden.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trêve ou pas, Tsahal entrera à Rafah, promet Netanyahu

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Des soldats israéliens sur un terrain de rassemblement près de la frontière avec la bande de Gaza, dans le sud d'Israël. Trêve ou pas, leur premier ministre veut attaquer Rafah. (© KEYSTONE/AP/Tsafrir Abayov)

Le premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a promis mardi que son armée entrerait dans la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, qu'une trêve soit conclue ou non, peu avant l'arrivée en Israël du chef de la diplomatie américaine.

Après l'Arabie saoudite et la Jordanie, Antony Blinken est attendu dans la soirée en Israël, dans le cadre de sa septième mission au Proche-Orient pour tenter d'arracher une trêve entre Israël et le Hamas palestinien, en guerre depuis le 7 octobre dans la bande de Gaza.

Les pays médiateurs attendent pendant ce temps une réponse du mouvement islamiste palestinien à une proposition de trêve de 40 jours, associée à une libération d'otages retenus à Gaza depuis le début de la guerre en échange de prisonniers palestiniens détenus par Israël.

En rencontrant le roi de Jordanie, le secrétaire d'Etat américain a déclaré que "le Hamas devrait accepter la proposition sur la table", selon le porte-parole du département d'Etat. Une proposition qu'il avait qualifiée lundi d'"extraordinairement généreuse de la part d'Israël".

Mais en parallèle à ces espoirs de trêve, Israël affirme maintenir son projet d'offensive terrestre sur la ville de Rafah, frontalière avec l'Egypte, considérée par Israël comme le dernier bastion du Hamas, au pouvoir à Gaza depuis 2007.

"L'idée que nous allons arrêter la guerre avant d'avoir atteint tous nos objectifs est hors de question. Nous allons entrer dans Rafah et y éliminer les bataillons du Hamas, avec ou sans accord (de trêve), afin d'obtenir une victoire totale", a déclaré mardi M. Netanyahu à des proches d'otages à Jérusalem.

M. Netanyahu a lancé cet avertissement en dépit de la réprobation de nombreuses capitales, à commencer par Washington, et organisations humanitaires qui redoutent des pertes civiles massives en cas d'offensive sur cette ville devenue un refuge pour un million et demi de Palestiniens.

"Aussi vite que possible"

Après une réunion lundi au Caire avec des représentants de l'Egypte et du Qatar, deux des pays médiateurs avec les Etats-Unis, une délégation du Hamas a regagné Doha, afin d'étudier la nouvelle proposition de trêve et devrait donner sa réponse "aussi vite que possible", a déclaré à l'AFP une source proche du mouvement.

Selon le site al-Qahera News, proche du renseignement égyptien, la délégation du Hamas doit revenir au Caire "avec une réponse écrite".

Israël attendra de son côté jusqu'à "mercredi soir" une réponse du Hamas avant de décider s'il enverra ou non une délégation au Caire, a déclaré mardi un responsable.

Cette proposition fait suite à des mois de blocage dans les négociations indirectes visant à mettre fin à la guerre, après une trêve d'une semaine, fin novembre, qui avait permis la libération de 105 otages, dont 80 Israéliens et binationaux échangés contre 240 Palestiniens détenus par Israël.

Mardi, des frappes aériennes ont visé Rafah ainsi que la ville voisine de Khan Younès et la ville de Gaza, dans le nord du territoire, selon un correspondant de l'AFP.

Selon le ministère de la Santé du Hamas, au moins 47 personnes ont été tuées en 24 heures à travers la bande de Gaza.

"Nous reconstruirons"

A Nousseirat, un camp palestinien du centre du territoire régulièrement bombardé, des habitants déblayaient mardi des montagnes de gravats, à mains nues ou presque, selon des images tournées par l'AFP.

"Nous reconstruirons, nous rebâtirons tout avec l'aide des jeunes et des enfants. Regardez-les, il est difficile de briser la volonté d'une telle génération. Bien sûr, ils reconstruiront", a promis un rescapé.

Le Hamas réclame en particulier un cessez-le-feu permanent avant tout accord sur la libération des otages, ce qu'Israël a toujours refusé.

Les exigences du mouvement islamiste portent aussi sur "un retrait (israélien) de la bande de Gaza, le retour des déplacés, un calendrier clair pour le début de la reconstruction et un accord d'échange qui lève toute injustice envers les détenus palestiniens, hommes et femmes", a déclaré lundi à l'AFP un des négociateurs, Zaher Jabareen.

"Une trêve durable"

"Nous demandons au monde entier d'appeler à une trêve durable, cela suffit", a lancé un Palestinien, qui veillait des proches tués à l'hôpital al-Najjar de Rafah.

L'aide internationale, strictement contrôlée par les autorités israéliennes, arrive au compte-gouttes principalement depuis l'Egypte via Rafah, mais reste très insuffisante face aux immenses besoins des 2,4 millions de Gazaouis.

Les Etats-Unis font pression sur Israël pour qu'il facilite l'entrée de l'aide par la route et ont par ailleurs commencé à construire un port flottant face au littoral de Gaza, destiné à accueillir des cargaisons arrivées par bateau. La structure sera prête jeudi, selon le président chypriote Nikos Christodoulides.

La guerre a éclaté le 7 octobre quand des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza ont mené une attaque sans précédent dans le sud d'Israël, entraînant la mort de 1170 personnes, essentiellement des civils, selon un bilan de l'AFP établi à partir de données officielles israéliennes.

Plus de 250 personnes ont été enlevées et 129 restent captives à Gaza, dont 34 sont mortes selon des responsables israéliens.

En représailles, Israël a juré d'anéantir le Hamas, qu'il considère comme une organisation terroriste, de même que les Etats-Unis et l'Union européenne.

Son armée a lancé une offensive qui a fait jusqu'à présent 34'535 morts, majoritairement des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas, dévasté le petit territoire et provoqué un déplacement massif de population.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Trump condamné à des amendes pour outrage - Menace d'incarcération

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L'ancien président des Etats-Unis a écopé d'une amende de 9000 dollars pour outrage au tribunal. (© KEYSTONE/AP/Seth Wenig)

Le juge qui préside les débats au procès de Donald Trump à New York a condamné mardi l'ex-président américain à 9000 dollars d'amendes pour outrage au tribunal et l'a menacé d'une "incarcération" pour avoir violé son interdiction de s'en prendre aux témoins et jurés.

Donald Trump "est prévenu que la Cour ne tolérera pas la poursuite de violations délibérées de ses ordres et que, si cela est nécessaire et approprié, elle imposera une peine d'emprisonnement", peut-on lire dans la décision écrite du juge Juan Merchan.

Le juge a rendu sa décision devant Donald Trump à l'ouverture de l'audience mardi matin, alors que le procès entre dans sa troisième semaine. Il a condamné Donald Trump à 1000 dollars d'amende par violation - neuf au total -, soit le maximum permis par la loi.

L'ancien président des Etats-Unis est poursuivi pour 34 falsifications de documents comptables qui auraient servi à dissimuler un paiement pour étouffer un potentiel scandale sexuel dans la dernière ligne droite de la campagne présidentielle de 2016.

Les 130'000 dollars avaient été versés à l'ancienne star de films X Stormy Daniels pour acheter son silence sur une relation sexuelle qu'elle affirmait avoir eue avec lui en 2006, alors qu'il était déjà marié à son épouse Melania. Une relation qu'il dément.

Sur son réseau social

Avant l'ouverture des débats, le juge avait interdit à Donald Trump de s'en prendre publiquement aux témoins et aux jurés, ce qu'il fait régulièrement sur son réseau social Truth Social, pour éviter le risque d'intimidations.

Dès le premier jour du procès, le 15 avril, le parquet avait demandé au juge de sanctionner Donald Trump, notamment pour des invectives virulentes à l'égard de Stormy Daniels et de son ancien avocat Michael Cohen, devenu son ennemi juré et un témoin clé de l'accusation.

Le parquet était revenu à la charge trois jours plus tard, avec sept nouvelles publications sur Truth Social ou son site de campagne.

Le candidat républicain s'en est pris encore à Michael Cohen, qualifié de "menteur en série". Mais il a aussi repris à son compte les propos de Jesse Watters, un animateur en vue de la chaîne préférée des conservateurs Fox News, assurant sans preuve qu'"ils sont en train de choisir des militants progressistes infiltrés qui mentent au juge pour faire partie du jury".

Le lendemain de cette publication, une jurée avait jeté l'éponge, disant craindre d'être reconnue.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Coca-Cola fait mieux qu'attendu au premier trimestre

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De janvier à fin mars, le chiffre d'affaires du mastodonte a progressé de 3%, pour atteindre 11,3 milliards de dollars, plus qu'attendu par un consensus d'analystes (archives). (© KEYSTONE/AP/GENE J. PUSKAR)

Le géant américain des sodas Coca-Cola a publié des résultats en hausse au premier trimestre, supérieurs aux attentes. Il a dans la foulée relevé certaines de ses prévisions pour 2024, selon un communiqué publié mardi.

De janvier à fin mars, le chiffre d'affaires du mastodonte a progressé de 3%, pour atteindre 11,3 milliards de dollars, plus qu'attendu par un consensus d'analystes. En excluant les effets de change et des éléments exceptionnels, le chiffre d'affaires a même bondi de 11%, dopé par des hausses de prix et une croissance dynamique dans des régions comme l'Amérique latine.

Le bénéfice net du géant des boissons non alcoolisées a par ailleurs atteint 3,18 milliards de dollars, une croissance de 2% sur un an. C'est là aussi plus qu'attendu par le marché. Rapporté par action et hors éléments exceptionnels - référence pour les marchés -, ce dernier s'établit à 72 cents (+7% sur un an), un peu au-dessus des attentes.

"Nous sommes encouragés par notre début d'année 2024", s'est félicité le PDG de Coca-Cola, James Quincey, cité dans le communiqué. Le groupe en a profité pour relever une partie de ses prévisions pour l'année. Il table désormais sur une croissance organique comprise entre 8 et 9% (contre 6 à 7% annoncés auparavant), et anticipe un bénéfice par action hors éléments exceptionnels en progression de 11 à 13% (contre 8 à 10% attendus).

Dans le détail, les ventes ont été dopées par la hausse des prix dans un contexte inflationniste (+13%), pour des volumes en progression de 1% sur la période. Par régions, en Amérique du Nord, le volume des ventes a stagné. Les jus, les boissons végétales, les boissons lactées et les coca-cola ont vu leurs ventes progresser, mais les thés, cafés, boissons énergétiques et eaux ont reculé. Néanmoins, les hausses de prix ont permis d'enregistrer un chiffre d'affaires en croissance de 7%.

L'Amérique latine a, elle, été particulièrement dynamique, avec des volumes en hausse de 4%, pour une croissance totale du chiffre d'affaires de 10%. L'Asie Pacifique a à l'inverse vu les volumes de ventes se replier de 2%, en raison d'un déclin en Chine. Mais les hausses de prix ont permis d'enregistrer un chiffre d'affaires en progression de 7% pour la région.

En Europe-Moyen-Orient Afrique, les volumes ont progressé de 2%, dopés par les ventes pour l'eau, le café et le thé notamment. Au total toutefois, de fortes hausses de prix n'ont pas permis de compenser l'impact négatif des taux de change, et la région voit les revenus reculer de 3%. Dans les échanges électroniques avant l'ouverture de la Bourse de New York, le titre de Coca-Cola était stable à 62 dollars, aux alentours de 14h15.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / awp / afp

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Attaque à l'épée à Londres, un garçon de 14 ans tué

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Un garçon de 13 ans a été tué mardi par un homme armé d'une épée dans l'est de Londres (image d'illustration). (© KEYSTONE/EPA/KERIM OKTEN)

Un garçon de 14 ans a été tué mardi, victime d'un homme armé d'une épée dans l'est de Londres. L'agresseur a aussi blessé quatre personnes, dont deux policiers, a annoncé la police

"C'est avec une grande tristesse que je peux confirmer que l'un des blessés dans l'attaque, un garçon de 14 ans, est décédé", a annoncé le responsable de la police Stuart Bell dans une déclaration à la presse. Un homme de 36 ans a été arrêté. La police a précisé que l'attaque ne semblait pas liée au terrorisme.

Des images diffusées sur les réseaux sociaux et reprises par les médias britanniques montrent un homme blanc, légèrement barbu, vêtu d'un pantalon noir et d'un sweat à capuche jaune, épée en main, marchant erratiquement devant des maisons, tandis que des voitures de police encadrent la scène.

Le Premier ministre conservateur Rishi Sunak a dénoncé un "incident choquant". "Mes pensées vont aux personnes touchées et à leur famille", a-t-il écrit sur X.

Cet article a été publié automatiquement. Sources : ats / afp

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Culture

Le roi Charles III reprend ses engagements publics (VIDEO)

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Le roi de 75 ans, détendu et souriant, était accompagné de la reine Camilla, 76 ans, pour cette visite symbolique et très scrutée. (© KEYSTONE/AP/Kin Cheung)

Le roi Charles III s'est rendu mardi dans un centre de traitement contre le cancer à Londres, son premier engagement public officiel depuis qu'il a annoncé il y a trois mois qu'il souffrait lui-même de cette maladie.

Le roi de 75 ans, détendu et souriant, était accompagné de la reine Camilla, 76 ans, pour cette visite symbolique et très scrutée, durant laquelle il devait rencontrer patients et médecins au centre Macmillan de l'University College Hospital.

Arrivé en voiture, il a serré des mains avant de rentrer dans le bâtiment.

Traitement en cours

Charles III suit toujours un traitement pour son cancer, découvert après une opération de la prostate en janvier, et dont la nature n'a jamais été précisée.

Mais le palais de Buckingham, prudemment optimiste, avait annoncé vendredi dernier que ses médecins étaient "suffisamment satisfaits des progrès accomplis jusqu'à présent" pour lui permettre une reprise graduelle de ses activités publiques, adaptée à son état de santé.

Ses engagements seront "soigneusement calibrés" en "concertation étroite avec ses médecins", a précisé Buckingham palace.

Le roi et la reine doivent aussi recevoir en juin à une date non précisée l'empereur Naruhito du Japon et son épouse l'impératrice Masako, pour une visite d'Etat à l'invitation du gouvernement britannique.

D'autres engagements possibles - Royal Ascot, 80 ans du D-Day, Trooping the Color en juin, traditionnelles garden parties - seront conditionnés à l'avis de ses médecins, plus près de leur date.

Après l'annonce de son cancer début février, neuf mois après son couronnement, Charles III avait suspendu ses activités publiques. Mais il a continué ses tâches de monarque constitutionnel selon Buckingham palace. Elles prévoient notamment qu'il signe les lois, s'entretienne régulièrement avec le Premier ministre et valide certaines nominations.

Le palais a régulièrement diffusé des photos ou de très courtes vidéos de lui recevant des personnalités, préparant un discours, ou lisant des cartes de bon rétablissement.

Impatient de reprendre, selon son neveu Peter Phillips, Charles III s'était offert un bref bain de foule au sortir des matines à la chapelle du château de Windsor le dimanche de Pâques.

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